Durant le match opposant le Danemark à la Finlande, Christian Eriksen a été victime d’une attaque cardiaque foudroyante qui aurait pu le tuer.
Si Simon Kjaer a été le premier à lui porter secours, la cavalerie est arrivée avec la présence du Staff médical danois dont le médecin Jens Kleinefeld qui s’est livré au médias allemands sur les premiers échanges qu’il a eu avec Christian, lorsque celui-ci est revenu à la Vie
Révélation de la Gazzetta.it
Inanimé durant de très, trop longues secondes, Christian Eriksen est parvenu à s’accrocher à la vie. Voici les échanges entre le médecin et le joueur au moment de son « réveil »
Jens : "Es-tu de retour avec nous ?"
Christian : "Oui, je suis là avec vous…Mais merde, je n’ai que 29 ans."
Cette déclaration a permis au médecin de pousser un très grand soupir de soulagement d’un danger imminent qui a été écarté : il n’y a pas eu de lésion cérébrale!
Jens Kleinefeld confirme également l’importance fondamentale du défibrillateur après quelques minutes d’un massage cardiaque continu: "Il s’agissait de manipulations décisives pour réanimer le milieu de terrain de l’Inter qui s’est réveillé environ 30 secondes plus tard."
"Ce fut un moment très émouvant car les chances de réussir un tel sauvetage dans la vie quotidienne ne sont pas aussi élevée. Ce type de traitement fonctionne bien mieux chez les athlètes professionnel que sur des patients qui présentent des conditions préexistantes."
Christian Eriksen était conscient au moment de sa sortie du terrain
Eriksen est resté conscient durant tout le trajet qui l’a amené jusqu’au vestiaire et ensuite à l’Hôpital en présence d’un Kleinefeld qui a cet instant était rassuré "J’étais certain à 99% qu’il allait arriver à l’Hôpital dans une condition stable."
Ayant quelques notions de secourismes, je tiens également à vous indiquer pourquoi Eriksen n’a pas été immédiatement embarqué à l’Hôpital, et ce, même si l'Ambulance avait été disponible "immédiatement": La réponse est « simple » La situation était tellement grave qu’il n’y avait "pas le temps" de l’embarquer. Pour qu'il y ait une chance de survie, les soins devaient impérativement être porté immédiatement, sur place, sans perdre la moindre seconde, il s’agissait d’un état d’alerte maximal. Ce qui explique que les soins ont été pratiqués sur le terrain, à l'endroit même de sa chute.
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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