Sacré champion d’Europe face à une Inter qui l’aura fait déjouer, Pep Guardiola s’est livré sur l’adversaire du soir à Sport Mediaset
Après 12 ans d’attente vous l’avez de nouveau gagné…
"Félicitations à l’Inter qui est une grande équipe, je le dit comme gagnant mais je l’aurais aussi dit comme perdant : Elle méritait d’être à sa place ici, on aurait pu aller jusqu’aux prolongations mais notre Victoire semblait écrite, depuis les défaites de nos années précédentes."
Vous attendiez-vous à une telle Inter ?
"Je ne m’attendais pas à quelque chose de différent si tu as un portier qui joue comme un joueur de champs, des joueurs comme Barella et Çalhanoğlu, des joueurs qui sont aussi physiquement fort…. Sans un tel gardien tout aurait été plus facile : Ce n’est pas un hasard si les équipes italiennes sont arrivées dans les trois finales."
Que voudriez-vous dire à Inzaghi ?
"Je voudrais dire à Inzaghi que ce qu’il ressent, je l’ai ressenti il y a quelques années, mais il est aux commandes de l’équipe qui est vice-championne d’Europe, elle est vraiment très forte et ils reviendront ici pour jouer la gagne : Le football est ainsi parfois l’on gagne, parfois l’on perd."
Que répondez-vous à ceux qui disent que vous étiez en difficulté avec City pour l’emporter ?
"Quelque chose a changé ? On peut dire ce que l’on veut, mais l’important est de gagner et d'être là car tôt ou tard tu l’emporte : Nous ne voulions pas simplement gagner et retomber dans l'anonymat: Nous voulons rester présent pour tout le temps. Cela aurait pu arriver les autres années, mais cela nous est arrivé cette année, et c’est important de pouvoir disputer des matchs comme celui-ci"
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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