Benjamin Pavard s’est livré à une longue interview à DAZN : Champion du Monde 2018, celui-ci s’est livré sur son arrivée dans la Botte et le Volcanique Giuseppe Meazza
Serie A
"C’est un championnat que je suis depuis très longtemps, j’ai énormément d’amis qui jouent en Italie. Pour moi c’est un football qui est fort tactiquement, j’ai énormément à apprendre ici et je suis impatient de faire partie de ce grand club : L’Inter. Je joue au football pour gagner des titres, c’est ma raison de jouer et c’est ce qui me plait : A la fin de ma carrière, je serai fier de regarder dans ma vitrine tous les titres remportés : J’espère qu’il y en aura encore tellement car je suis une personne qui a faim de victoire. J’aimerais gagner de très nombreux titres avec l’Inter aussi et, en fin de saison, célébrer le Scudetto et mettre cette seconde étoile sur le maillot."
Son arrivée en Italie
"J’étais en Allemagne depuis sept années, le moment était arrivé pour un nouveau défi et l’Inter s’est présentée. C’est un grand Club Historique , une grande Histoire écrite par des Légendes comme Javier Zanetti qui travaille encoure aujourd’hui pour le club et envers qui j’ai le plus grand respect. Pour moi, il s’agissait d’une question de choix et de nouveau défi et l’Inter s’est présentée avec les mêmes ambitions : celle de gagner le plus de titre possible. J’espère pouvoir célébrer, en fin de saison, le plus de victoires possible, en compagnie de nos merveilleux Tifosi."
Poste de prédilection
"Ma position préférée est celle de central dans la défense à trois, c’est là que je me sens le plus à mon avantage."
Le fait d’avoir été Latéral droit ?
"Vous savez tous que je peux occuper cette position, mais ce n’est pas celle qui m’avantage le plus. Je suis à l’Inter pour m’exprimer au poste que je préfère et où je peux apporter ma contribution, mon expérience."
Coupe du Monde 2018
"Lorsque tu vis ce type d’émotions, comme celle de remporter un Mondial, ce qui est le plus beau et le plus important des titres dans l’absolu, tu veux toujours en profiter avec tes supporters."
Mon but face à l’Argentine ?
"C’est un moment magique, unique pour moi, pour l’équipe et pour toute la France, c’est un instant qui restera gravé dans la mémoire des français et la mienne car c’était un très grand but dans un match important. D’un autre côté, et je ne m’en cache pas, je me dois de continuer à regarder de l’avant, je préfère penser au présent et à l’avenir, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis."
Un jour vous avez déclaré : Je n’ai pas le talent de Messi, mais je suis fort mentalement : L’aspect mental est fondamental pour un joueur
"Oui, absolument, pour un joueur de haut niveau c’est comme ça : Je ne suis pas un génie du football comme Messi, mais je suis un garçon qui a toujours bossé. Personne ne m’a jamais rien donné, tout ce que j’ai, je l’ai gagné par mon travail. Je n’ai jamais abdiqué, même lorsque je traversais des périodes difficiles. Je tiens ça de mon père qui a une grande force mentale et qui me la transmise."
"Pour moi c’était important de l’avoir aussi bien dans les bons moments que dans les plus compliqués, c’est la Clé pour réussir une grande carrière dans le football."
Un match à annuler
"C’est difficile à dire. Je dirais la défaite face à Manchester City lors de la dernière Ligue des Champions."
Le plus beau Stade
"Celui de l’Inter : Le Giuseppe Meazza."
Idole d’enfance
"Sergio Ramos, j’aime son style de jeu et sa Grinta, c’est un exemple pour moi."
Les sacrifices
"Ce n’est pas un sacrifice, mais c’est un privilège d’être un joueur de haut niveau d’apporter de la joie aux supporters qui viennent dans le Stade. C’est vrai qu’il arrive que je rate des anniversaires, Noël, le Nouvel-An en Famille ou avec les amis. C’est compliqué, mais je n’ai pas à me plaindre car je fais le plus beau métier du monde."
L’attaquant le plus dur à marquer
"Je dois y penser… Je dirais Eden Hazard."
Plat préféré
"Les frites du Nord et de la Belgique."
Quel équipier écoute la pire des musiques ?
"Marcus Thuram, il écoute de tout, mais ce n’est pas Top. Ce que j’écoute n’est pas mal : Les années 80, 90, le Reggaeton."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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