MILAN - « Je me sens bien, nous profitons de la pause pour travailler et passer un peu de temps avec la famille. Je viens à peine d’avoir un autre fils. Maintenant, avec deux fils milanais j’ai fermé le cercle ouvert de mes aïeux italiens. » Ce sont les premières paroles d’Esteban Cambiasso à Sky.
Le plus beau but ? Ça n’a pas d’importance, mais peut-être celui contre la Fiorentina. Le plus beau est toujours celui qui doit arriver.
Qu’est-ce que nous nous sommes dis après Inter-Roma ? Beaucoup sont en sélection. Nous essayons de trouver la meilleure condition. Quand tout le monde reviendra on en parlera. Nous ne sommes pas ici pour juger les critiques qui nous sont adressées. Nous nous regardons entre nous. Ce n’est pas à nous de nous prononcer en mode extrême, ni quand on gagne, ni quand on perd un seul match. Si nous lutterons pour les 3 premières places ? Nous ferons de notre mieux et nous nous lutterons pour arriver le plus haut possible, pour le projet. Je ne crois au fait de dire « sur le papier », je crois seulement le terrain.
Icardi ? Un bon attaquant qui peut devenir très grand. Il faut du temps. Il est déjà à un bon stade, sur la bonne route. Il ressemble plus à Batistuta et à Crespo qu’à Cruz. Alvarez ? Certains joueurs ont besoin d’être mis dans les bonnes conditions. Mais l’année passé ça était dur, cette année par contre, il y a une autre solidité.
Les stades fermés pour chants offensifs ? Il y a des chants depuis qu’il y a le football. Il y aurait un discours plus long à faire plutôt que de fermer un stade. Je me souviens que quand j’étais enfant, si un à l’école se mettait à hurler ou s’il montait sur une chaise ou sur un banc, la première chose que faisait le professeur était de lui dire qu’il n’était pas au stade... Déjà à cet âge là, la sensation était qu’au stade tout était permis : il y a toujours eu les chants offensifs des tribunes vers les joueurs et il y en aura toujours. Chacun essaye de faire mal au joueur en l’offensant avec l’intention de le faire moins bien jouer.
Zanetti a dit qu’il reviendra en novembre ? Il est toujours positif et ça l’aide beaucoup. Brassard de capitaine ? J’éprouve de l’émotion pour mes fils et les trophées gagnés. Le brassard est à Javier, je connais mon rôle ici.
Qu’est-ce que je peux dire sur la possible arrivée d’Indonésiens ? Surtout qu’il y a des personnes qui arrivent en voulant investir et faire une Inter encore plus grande, au delà du pays qu’ils proviennent. Personnellement je me sens de ne rien dire. Je peux juste faire ce que je peux et essayer de bien le faire comme j’ai toujours voulu le faire. J’espère qu’une décision ou un choix se fasse, autant pour le bien de cette société et pour rendre encore plus grand ce club qui l’est déjà tant. Je me sens seulement capable de faire ce que j’ai toujours essayer de faire, c’est-à-dire exercer mon métier du mieux possible et que ça puisse contribuer à rendre l’Inter encore plus grande."
Rédigé par Fabio Ferraro (Inter.it)
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