Carlos Augusto s’est livré à DAZN sur son arrivée dans le Club Vice-Champion d’Europe à l’occasion du programme 1vs1: "L’Inter a comme objectif de toujours gagner dans toutes les compétitions, nous tenons à la Seconde Etoile, mais aussi à la Coupe d’Italie et à arriver le plus loin possible en Ligue des Champions : C’est une équipe comme ça, nous voulons tout gagner, tout le temps."
"Nous avons bien débuté, le Groupe et le Staff m’ont tant aidé afin de m’habituer à ce nouvel environnement: Ils l’ont fait de la meilleure des façons et je suis très heureux de venir en aide à mes équipiers : Nous sommes en Famille où tout le monde s’entraide et c’est pour cela que tout va pour le mieux."
Pourquoi avoir justement choisi l’Inter ?
"Parce que c’est une grande équipe, quand j’étais au Brésil je regardais toujours ses matchs, elle jouait la Ligue des Champions comme je le voulais et je pense aussi, pour cette raison, que j’ai fait le bon choix."
Qu’avez-vous ressenti lors de votre première entrée au Giuseppe Meazza avec ce maillot ?
"C’était incroyable, j’étais sur le banc à regarder les Tifosi, tout était extraordinaire, je crois que ce sera une rencontre dont je me rappellerai toujours."
Avec qui es-tu le plus lié ?
"Je parle énormément avec Frattesi, nous avons déjà joué ensemble à Monza, quand la nouvelle est sortie sur mon arrivée à l’Inter, il m’a écrit immédiatement! Je parle surtout avec lui, mais j’aime aussi le faire avec tout le monde, j’aime me sentir bien avec tout le monde."
Quel est ton rapport avec Inzaghi et que te demande-t ’il ?
"Inzaghi est un entraineur qui t’aide à grandir, il est toujours très proche de toi, il te parle toujours, il te soutient et il tient le groupe toujours uni : Il m’a énormément aidé en ce début de saison : Je cherche toujours à m’améliorer et il est toujours là, à m’aider : Avec lui, je sais que je peux grandir, il m’a demandé immédiatement de m’attaquer à l’aspect pratique du jeu de l’Inter, dans la ligne de cinq, pour que je comprenne certaines choses."
A quel point les choses ont changé depuis votre arrivé à Milan ?
"Lorsque j’ai signé à l’Inter, j’étais à la maison avec mon père et je pensais à la rapidité dont les choses s’étaient passées, c’était un plaisir : C’était aussi mon rêve de jouer dans une grande équipe, mon père était très content, tout comme moi je l’étais, j’espère continuer sur cette voie et à bien faire."
Comment a évolué ta carrière avec ce poste ?
"Jusqu’à mes 15 ans, j’étais un ailier offensif, ensuite un attaquant et par la suite un latéral. Lorsque j’ai débuté en équipe première, j’ai dû m’adapter à jouer en défense centrale, vraiment, avant de repartir sur l’aile. Au Brésil, on disait que j’étais un latéral défensif, ensuite, lorsque je suis arrivé en Italie et tout a changé. A présent on parle de moi comme d’un latéral offensif."
"Je dirais que j’aime bien alterner les deux phases, cela me permet d’être encore plus heureux: Je suis un ailier au milieu du terrain, mais je suis capable d’évoluer à d’autres postes pour donner un coup de main à l’équipe."
"J’ai toujours rêvé d’être footballeur, je n’étais pas bon à l’école et mon père m’a alors inscrit dans une école de football, et à 11 ans je suis allé au Corinthians. La première fois que j’avais fréquenté cette école de football j’avais voulu arrêter, mais mon père m’avait dit que si je ne devais pas professionnel, que j’irais travailler avec lui, il est comptable et ma mère enseignante. Je pense que j’ai très bien fait de rejoindre l’Italie et Monza car cela m’a appris à grandir et à comprendre le Calcio : L’Inter est aussi le choix juste."
Qui t’as découvert ?
"J’ai été repéré par Filippo Antonelli, le Directeur de Monza. Ensuite, j’ai parlé avec Galliani, je leur en suis reconnaissant car ils m’ont tant aidé: Je suis arrivé l’année du Covid, j’étais seul, mes parents ne pouvaient pas venir en Italie et Galliani a été comme un père pour moi, je lui ai dit. Berlusconi était aussi un Président très proche de l’équipe, il aimait le football. Je suis très triste qu’il n’est plus là, j’ai fait des photos avec lui et c’était un plaisir de l’avoir connu. Lorsqu’il me voyait, il me disait toujours : "C’est un ailier qui sait faire toute l’aile, c’est notre locomotive" : Il disait toujours ça, c’était vraiment une personne extraordinaire."
Sais-tu qui est Roberto Carlos ?
"C’était un joueur dévastant, j’étais très jeune lorsqu’il était venu jouer ici, je regardais Marcelo. Mais j’ai regardé aussi tous les Brésiliens qui ont joué ici à l’Inter : Roberto Carlos, Adriano, ils sont nombreux : Julio Cesar, Lucio aussi…"
La concurrence avec Dimarco ?
"Je pense qu’elle est bonne pour nous deux, il réalise d’excellentes prestations: C’est un grand joueur, nous parlons toujours ensemble. Je veux aider l’équipe, être prêt à donner le maximum et lorsque je reçois une opportunité, je dois en profiter."
Questions courtes et réponse courtes
Ton plus mauvais souvenir...
"Celui de ne pas avoir su monter en Serie A lorsque de ma première année avec Monza. Mon plus beau souvenir est mon premier match au Meazza avec le maillot de l’Inter."
De qui aimerais-tu recevoir le maillot ?
"Neymar, il est brésilien."
Le Meilleur ailier actuellement...
"Dimarco qui réalise d’excellentes prestations."
L’entraineur qui a marque un tournant...
"Palladino car il m’a laissé la liberté de choisir mon propre poste et d’attaquer, tout en devant être attentif lors des phases défensives."
Où aimerais-tu jouer ?
"J’aimerai jouer au Bernabeu et je reste fier de mon tout premier match, disputé en équipe première, lorsque je vivais au Brésil."
Loisirs...
"Sur Playstation, j’aime aussi jouer à Call Of Duty."
Italie ou Brésil ?
"Entre les deux équipes nationales, je rêve de l’Auriverde".
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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