Davide Frattesi s’est livré à Dazn quelques jours avant de s’envoler au pays de Captain Tsubasa
Comment allez-vous ?
"Fatigué, mais bien, je suis arrivé très enthousiaste, tout est si beau ici. Et comme on travaille énormément, tu ressens plus la fatigue lors de la mise au vert, en pleine saison ça va de suite mieux."
Tu as souvent marqué contre l’Inter et à la suite de ton dernier but, tu as été complimenté par Marotta. Est-ce ce compliment qui vous a convaincu de rejoindre l’Inter ?
"En réalité, il y a un an et demi, lorsque nous étions venu l’emporter avec Sassuolo 0-2 au Giuseppe Meazza, je suis resté marqué par le Stade et les Tifosi. Lorsque j’ai eu vent de l’intérêt concret, j’avais déjà pratiquement fait mon choix."
Fait important : Tu vas occuper le poste de Brozovic aussi bien dans le cœur du terrain que dans celui de Barella. Comment cela va-t-il se passer ?
"Nous sommes déjà voisins et une bonne amitié, qui est déjà présente, peut grandir. Nous avons tous les deux le même caractère, nous nous trouverons."
Qu'est-ce que je veux lui voler ?
"Je ne sais pas. Aujourd'hui, c’est toujours le milieu de terrain le plus fort d'Italie, j'espère qu'il va continuer comme ça parce qu'il va nous donner un coup de main incroyable."
A quels points sont importantes les déclarations de Dionisi ?
"Il m'a dit : "Tu as enfin réussi". Blague à part, je l'ai remercié, ainsi que tout le staff. Ils ont été fondamentaux pour moi, surtout lors de ma première année à Sassuolo car je voulais aller à Spezia en prêt mais ils m'ont dit de rester et tout s’est bien passé, beaucoup de mon mérite leur en revient. Ils m'ont aidé dans les moments difficiles, un autre entraîneur ou un autre staff ne l'aurait peut-être pas fait".
Ton premier contact avec Inzaghi...
"Je l'avais rencontré en Sardaigne, je mangeais des sushis et il m'a tapoté l’épaule (il rit, ndlr). Nous étions encore en phase de négociation, mais je lui avais répété l'idée de venir ici si l'occasion se présentait, et nous nous sommes revus ici : Nous sommes tous les deux ravis, car il a apporté sa contribution pour me faire arriver ici. Et je sais à quel point l’Inter tenait à me recruter."
L’impact de sa grand-mère
"Je suis très proche d'elle et elle est très jeune d’esprit malgré ses 80 ans, nous essayons toujours de l'impliquer. De temps en temps, elle m'appelle sur Facetime. En ce moment, elle est en Sardaigne avec mes frères."
L'émoticône du tracteur
"Ce sont les gars du Vestiaire qui m’en ont affublé je l’ai bien aimé et j'ai commencé à l'utiliser. Je vais aussi le laisser un peu aux autres car je suis en train, peut-être, de leur casser les bonbons."
Qui t’a a souhaité la bienvenue ?
"Bastoni a été le premier, puis Barella et Darmian. Dès que je suis arrivé, tous les autres l'ont fait. Nous en avions déjà parlé en équipe nationale car nous le savions tous. Tout le monde m'a dit que c'était bien d’être ici et je ne peux que le confirmer."
As-tu des rêves ou des attentes ?
"Je ne peux pas de dire de quoi j’ai rêvé."
Si c’est de Chiara ce n’est pas très seins (ou sain).... !
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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