APPIANO GENTILE -Le portugais parle de son enfance, de sa façon de jouer, du présent avec l'Inter.
Internazionale.fr vous propose un extrait de l'interview publiée par la Gazzetta dello Sport parru aujourd'hui en kioske.
Signes particuliers en dehors du terrain: le gitan Ricardo Quaresma a des cheveux qui semblent sortis d'un test type « modeler avec le gel », deux grandes oreilles comme des bonbons et un brillant sur la dent qui est étincelante à chaque fois qu'il sourit, c'est-à-dire souvent.
Signes particuliers sur le terrain, une seule plus particulièrement (en attendant les suivantes): ce tir qui est appellé trivela et son histoire, comme le sien, est une histoire qui démarre de loin. D'un lieu qui a le nom du vent et - unique fois durant cette interview- il force ce petit brillant à se montrer sous une forme qui communique de la mélancolie, et non de la joie.
Où et quand est naît le Quaresma footballeur ?
"J'avais 7 ans, je jouais avec des amis dans le jardin, sur la route, partout. Quartier Casal Ventoso, endroit peu recommandable : drogue, délinquance, violence. Un observateur me remarque il venait du D.D.S. , un club petit club de Lisbonne mais surtout pauvre. Je joue là moins d'une année, ensuite le Sporting Lisbonne me prend et le reste, plus ou moins, on le connaît".
On ne sait pas bien lorsque est naît la « trivela », et comment ?
"Rapidement, à 7-8 ans. J'avais les pieds tordu vers l'intérieur, beaucoup plus que maintenant, et je touchais le ballon ainsi : toujours de l'extérieur et toujours avec le droit, parce que le pied gauche pour moi il peut rester à la maison. L'entraîneur n'en pouvait plus et un jour il m'a dit : 'Si tu tires encore une fois de cette façon, je te renvois'. Une action après j'étais déjà dans le vestiaire, très triste. Il voulait seulement que je m'améliore, mais ensuite il s'est résigné : ce tir « sortait » et « il sort » toujours aussi naturellement. Et sans besoin de travailler pour l'améliorer".
N'êtes vous jamais demandé pourquoi ?
"Mah, peut-être parce que j'ai une sensibilité particulière sur l'extérieur du pied : théoriquement c'est plus difficile, je le sais, par contre c'est plus facile de le faire ainsi, même le passage plus banal ".
Cela peut être un poids le prix, très fort, de votre contrat ?
"Chaque jour nous avons de la responsabilité à affronter : je préfère penser que l'Inter m'a choisi et qu'elle m'a donné cette opportunité, pas au fait qu'elle a du le payer pour le faire".
Et le fait que Mourinho, ne vous ayant jamais entraîné, ait insisté aussi fortement pour vous avoir ?
"Ce n'est pas un poids, si jamais un orgeuil : il, au Portugal mais pas seulement, est vu comme le meilleur entraîneur du monde. Mais, j'espère qu' il ne m'a pas voulu seulement parce que j'ai marquai un but (Mars 2007, Chelsea-Porto 2-1) contre lui…".
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