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    Damien

    ILS L’ONT DIT DU 22 SEPTEMBRE AU 23 SEPTEMBRE (PARTIE 2)

     

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    INTERNAZIONALE.FR - Le concept est simple: nous regroupons les déclarations venant de l’extérieur sur les joueurs nerazzurri et sur l’Inter: d’un dirigeant d’un autre club, de l’étranger, bref nous essayerons de faire un tour nerazzurro de la planète football via les journaux et sites italiens, français, espagnols, anglais et portugais afin de regrouper le plus de déclarations possibles sur notre bien aimée Inter !

    Cette rubrique interviendra désormais régulièrement sur le forum selon le nombre de déclarations que nous récoltons et que nous traduisons pour vous.

    L’Inter confirme sa domination

    "Toutes les équipes ont du mal, sauf l’Inter qui a des joueurs qui se connaissent depuis longtemps, ils jouent très bien tous ensemble. Toutes les autres grandes équipes sont encore en rôdage: c’est encore tôt pour faire les comptes au classement."

    Beppe Marotta, directeur général de la Juventus.

    "L’Inter est la même que nous avons vu à Madrid, elle a les mêmes qualités. Parmi les plus grandes équipes, c’est celle qui a le mieux commencé, ce n’est pas pour rien qu’elle est déjà en tête. Pour samedi, tout est profitable pour eux, mais la Roma peut encore se relever et remettre les choses au point."

    Riccardo Gentile, journaliste italien pour Sky Sport.

    "L’Inter reste la seule favorite de ce championnat et Benitez y mettra du sien avec le temps. La Juve et la Roma lutteront pour la troisième place: pour eux, le Scudetto est quasi impossible."

    Paolo Di Canio, ancien footballeur italien.

    "L’Inter reste supérieure aux autres équipes en Serie A malgré le bon mercato du Milan. Mou’ est un excellent entraîneur, un grand personnage, mais Benitez est également un bon technicien."

    Enzo Maresca, joueur italien actuellement sans club.

    "Cette année, la course pour le Scudetto sera excitante car ce sera beaucoup plus équilibré par rapport à la saison passée. Je ne suis pas d’accord quand on dit que l’Inter n’est pas imbattable: elle l’est, et comment! Aussi bien sur la qualité du groupe que sur le respect qu’elle a sur ses adversaires, vu que l’an dernier elle a tout gagné. C’est sûr que la Roma et le Milan se sont renforcés, mais elles sont encore loin derrière l’équipe de Benitez."

    Andrea Mandorlini, ancien entraîneur de Cluj.

    "Les autres grandes équipes ont beaucoup de mal, tandis que l’Inter suit toujours le même rythme que ces dernières années. A Palermo, elle a dominé dans beaucoup de phases de jeu, pourtant c’est une tâche très ardue de gagner sur leur terrain. A mon avis, l’absence de Thiago Motta se fait ressentir : il manque encore quelque chose au milieu de terrain, mais Benitez l’a déjà fait comprendre."

    Alfio Musmarra, journaliste italien.

    "Je me suis rendue compte que l’opinion sur Benitez a beaucoup changée ces dernières semaines: avant, il y avait beaucoup d’incertitudes à son égard, maintenant, il n’y a que des éloges de son très bon travail. Une chose est sûre... dans le football, il n’y a que les résultats qui comptent."

    Lia Capizzi, journaliste italienne et présentatrice de talk shows sportifs sur Sky Sport.

    "L’Inter, qui est une très grande équipe qui vient de remporter le triplé, s’est quand même fatiguée: regardez Milito, il a retrouvé le chemin des filets après une longue période d’abstinence. Il faut du temps, aussi bien pour eux que pour Napoli, il faut encore que la mayonnaise prenne, on paye cher nos prestations européennes."

    Aurelio de Laurentiis, président de Naples.

    Ce qui se dit chez nos rivaux

    "Comme le dit Del Neri, nous ne nous fixons aucune limite. La match contre l’Inter sera décisif pour comprendre ce que l’on pourra faire durant cette saison."

    Alessandro Del Piero, Capitaine de la Juventus.

    "C’est normal qu’il y ait une telle clameur quand le Milan ne gagne pas, surtout avec la rivalité de l’Inter, mais je suis convaincu que nous ferons une très bonne saison".

    Massimiliano Allegri, entraîneur du Milan AC.

    "Le Milan a atteint le niveau de l’Inter, c’est désormais une équipe qui possède des joueurs de haut niveau."

    Edy Reja, entraîneur de la Lazio.

    "Ce sont toujours les mêmes équipes qui luttent pour le Scudetto: en mettant de côté l’Inter, je m’attends à un grand retour du football italien. Je pense surtout au Milan et la Roma mais aussi à la Juventus: ce sont les équipes les mieux armées pour arriver jusqu’au bout."

    Fabio Capello, sélectionneur de l’Angleterre.

    "Nous ne faisons pas la course avec l’Inter, mais avec nous-mêmes. C’est quand même dommage mais notre équipe s’est tout de même bien comportée ce soir.’"

    Massimiliano Allegri, entraîneur du Milan AC.

    Le reste des déclarations

    "Durant l’été 2009, l’Inter avait quasiment acquis Hernanes. Il manquait seulement un fax pour Sao Paolo, tout était quasiment fait. S’il avait lui aussi été là dans leur milieu de terrain, j’imagine même pas comment seraient les Nerazzurri. Pastore? Ça se jouera surement entre eux et Chelsea, mais laissons Palermo tranquille."

    Alfredo Pedullà, journaliste italien.

    "Chelsea est très dangereux, mais il y aussi les équipes espagnoles, Manchester United... et il ne faut pas oublier l’Inter également car elle pourrait remporter à nouveau ce trophée."

    Fabio Capello, sélectionneur de l’Angleterre.

    "Helenio Herrera a fait quelque chose d’exceptionnel pour moi. J’avais 21 ans quand il est arrivé à Barcelone et il m’a prit avec lui et m’a dit: "J’ai décidé de miser sur toi." Et il a compté sur moi. Il travaillait énormément avec le ballon. Le soir, nous étions crevés".

    Luis Suarez, ancienne gloire de l’Inter.

    "Mourinho et Herrera sont très semblables, aussi bien parce qu’ils s’occupent des joueurs de la même façon que par rapport à leur palmarès, ils ont tout gagné. Il a fallu l’arrivée de José Mourinho, un nouvel Herrera, pour regagner la Ligue des Champions. C’était fantastique, une émotion inoubliable, les supporters étaient heureux, les gens revivaient les joies historiques des années soixante. C’était une nuit incroyable à Madrid."

    Filippo Tramontana, commentateur pour 7Gold et fervent supporter de l’Inter.

    "L’Inter suit Pastore depuis des années et elle est prête à l’acheter lors du prochain mercato. Moratti décidera et verra avec Benitez s’ils pourront jouer ensemble avec Sneijder. On en reparlera l’été prochain, l’Inter voudra aussi recruter un latéral gauche, et le rêve se porte vers Londres, où Gareth Bale semble favori pour venir. Si Redknapp échoue pour la qualification en Ligue des Champions, le rêve pourrait devenir une réalité pour l’Inter. "

    Gianluca di Marzio, journaliste italien et expert en mercato.

    "A Milan, j’étais très ému de m’entraîner avec de grands champions. Si je devais en choisir un, ça serait sans aucun doute Javier Zanetti. En 2002, quand nous avions battu l’Inter (ndlr, cette année-là, il jouait à Bari) ça m’avait fait plaisir car ils misaient sur le Scudetto alors que nous nous étions en Serie B."

    Gionatha Spinesi, ancien joueur de l’Inter (Primavera) et footballeur retraité.

    "J’écoute souvent Rafa Benitez. C’est un mythe, je le supporte entièrement."

    Domenico Di Carlo, entraîneur de la Sampdoria.

    "C’est très difficile de remplacer quelqu’un qui a tout gagné avec son ancienne équipe. L’Inter est une équipe que je respecte énormément et c’est une des équipes les plus difficiles à battre. J’avais parié sur les Nerazzurri lors du match Inter-Barcelone. José avait préparé un grand match, et Cambiasso a été phénoménal sur Messi."

    Alex Ferguson, entraîneur de Manchester United.

    "Voir notre Capitaine au repos c’est assez bizarre, lui qui s’entraîne tous les jours très méticuleusement, et qui s’est même entraîné le jour de son mariage pour ne pas perdre sa forme. Même ses coéquipiers sont impressionnés: ils savent tous que Javier est un joueur spécial."

    Roberto Scarpini, directeur d’Inter Channel.

    "La Roma est en mille morceaux, à chaque match il y a une nouvelle blessure, ce sera très dur pour eux d’affronter l’Inter samedi. La perte de Julio Sergio est une grande perte, et avec l’attaque monstrueuse de l’équipe de Benitez, devoir faire jouer Lobont représente un grand risque pour l’équipe romaine."

    Franco Melli, journaliste italien.

    Rédigé par le staff d’Internazionale.fr


    Réactions & Commentaires

    Commentaires recommandés

    la déclaration de Mandorlini, ancienne légende du club, est un peu contradictoire non ?

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