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    Damien

    ILS L’ONT DIT DU 24 SEPTEMBRE AU 26 SEPTEMBRE (PARTIE 2)

     

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    INTERNAZIONALE.FR - Le concept est simple: nous regroupons les déclarations venant de l’extérieur sur les joueurs nerazzurri et sur l’Inter: d’un dirigeant d’un autre club, de l’étranger, bref nous essayerons de faire un tour nerazzurro de la planète football via les journaux et sites italiens, français, espagnols, anglais et portugais afin de regrouper le plus de déclarations possibles sur notre bien aimée Inter !

    Cette rubrique interviendra désormais régulièrement sur le forum selon le nombre de déclarations que nous récoltons et que nous traduisons pour vous.

    Avant-match Roma-Inter

    "Ce sera un match difficile à arbitrer pour n’importe quel arbitre. Nous sommes convaincus d’y mettre quelqu’un qui sera à la hauteur, du moins je l’espère. Ensuite, que le meilleur gagne."

    Marcello Nicchi, président de l’AIA. (à propos de Roma-Inter)

    "C’est un défi très compliqué pour les arbitres d’arbitrer cette rencontre à l’Olimpico, il faut beaucoup de courage pour celui qui sera choisi. Une chose me semble pourtant claire: tôt ou tard, il faudra mettre la vidéo sur le terrain. Les erreurs sont trop fréquentes."

    Roberto Pruzzo, ancien footballeur italien.

    "L’Inter est l’équipe la plus technique du moment. Mais ça ne signifie pas qu’elle pourra faire ce qu’elle veut contre la Roma: pour les Giallorossi, il faudra à tout prix qu’ils gagnent, sinon ce serait un fossé qui se formerait. Huit points de retard, c’est déjà énorme... Si l’Inter porte son avance à +11 samedi soir, ce serait la fin de l’équipe de Claudio Ranieri pour cette année."

    Mario Sconcerti, journaliste italien pour le Corriere della Sera.

    "Enfin le vrai Milito est de retour. Tout le monde connaît les qualités de Diego, ce n’était qu’une question de temps. Vous allez voir maintenant qu’il va marquer beaucoup de buts. Le match contre la Roma ? Très délicat pour les giallorossi, mais on pourrait avoir un match nul".

    Fulvio Collovati, ancien joueur de l’Inter, champion du monde avec l’Italie en 1982.

    "L’Inter a changé d’entraîneur mais le groupe et la solidité de l’équipe sont les mêmes. Ils sont en grande forme tandis que nous, nous sommes comme un patient en voie de guérison".

    Sur Mourinho-Benitez : "Il n’y a plus le numéro 1, mais il y en a un autre. Benitez a beaucoup gagné et c’est une valeur internationale. Il n’y a donc aucune différence. Peut-être un peu moins d’énergie gaspillée pour tout le monde".

    Claudio Ranieri, entraîneur de l’AS Rome.

    "Ce sera un match ouvert à tous les types de résultat. La Roma n’a pas le droit à l’erreur et à l’Olimpico, elle est capable de mettre l’Inter en difficulté. Attention à Menez et Sneijder qui pourront décider du résultat à eux seuls. Après l’avoir vu quelques fois, je pense que l’Inter de Benitez joue un beau football, meilleur que celui de Mourinho".

    Luigi Ferrajolo, journaliste au CorSport.

    "Je m’attends à une Roma décidée et combative. Je ne crois pas qu’elle va perdre contre l’Inter. L’équipe de Ranieri aura beaucoup de motivation afin d’effectuer une prestation convaincante. Avec l’absence de Samuel, l’Inter pourrait avoir quelques problèmes en défense pour contrer Marco Borriello".

    Ruggero Palombo, vice-président de la Gazzetta Dello Sport.

    "Ça sera un déplacement périlleux pour l’Inter. Les Giallorossi voudront se racheter et ils donneront tout sur le terrain pour gagner. En face, la rapidité d’Eto’o pourrait mettre la défense de la Roma en difficulté".

    Benito Carbone, ancien attaquant de l’Inter.

    "Demain, deux équipes avec deux motivations différentes vont s’affronter à l’Olimpico. L’Inter va bien, elle arrive après une grande victoire et selon moi, elle joue mieux que l’année passée. Elle joue plus au football et cela me plait. C’est devenu difficile de gagner en pratiquant du beau football. L’Inter ne doit pas prendre le match de demain à la légère. On connaît la Roma et elle nous a habitué à de belles remontées. Ils ne devront pas laisser jouer les Nerazzurri, car ces derniers peuvent faire mal à n’importe quelle minute".

    Francesco Morriero, ancien joueur de l’Inter.

    "L’Inter est plus sereine, mais on est également présent. Eux, ils ont quelque chose en plus sur la carte parce qu’ils ont tout gagné. Il faudra être vigilant et jouer rapidement parce qu’ils pressent très haut".

    Simone Perrotta, milieu de terrain de l’AS Roma.

    Après-match Roma-Inter

    "C’est un match très difficile mais on le savait. Nous devons tout miser sur les contres-attaques. Lucio ? Il a fait faute. On ne peut pas défendre de la sorte en recevant des crampons au niveau du visage. Le règlement est bien clair".

    Marco Borriello, attaquant de la Roma. // à la mi-temps

    "C’est un résultat important et très beau pour ce public qui nous a toujours soutenu. Le plus important est de ne pas s’être abattu et d’avoir fait un travail fantastique durant la semaine". 

    Mirko Vucinic, attaquant de l’AS Roma.

    "Francesco jouait bien, mais j’ai voulu mettre Vucinic pour sa vivacité qui pouvait poser des problèmes à l’Inter qui était assez fatiguée. Lucio ne semblait pas au top vers la fin du match et puis la force de mes joueurs nous a apporté cette victoire".

    "Si la différence entre la Roma et l’Inter s’est vue ? L’Inter jouait tranquillement en changeant de côté à une ou deux touches de balle. Un jeu plaisant. Mais nous, nous avons lutté et cela nous fait très plaisir de battre l’Inter.".

    Claudio Ranieri, entraîneur de l’AS Roma.

    "Le quatrième arbitre a commis une erreur en ne faisant pas effectuer le changement (l’entrée de Mariga) que Benitez avait déjà réclamé. Morganti s’est également trompé en ne signalant pas la faute sur Sneijder. Mais, il faut féliciter la Roma quand même".

    Roberto Scarpini, journaliste à Inter Channel.

    "L’Inter n’a pas mal joué à Rome. Ce sont bien les nerazzurri qui ont fait le jeu, surtout en première période, mais ils n’ont pas concrétisé leurs occasions. C’est une défaite qui peut arriver vu la qualité de l’adversaire. Il y a quelques mois seulement, la Roma tenait tête à l’Inter pour la quête du Scudetto et de la Coupe d’Italie. Ce but encaissé à la dernière minute obligera la défense à rester concentré durant les prochains matchs. L’Inter a toutefois confirmé qu’elle est l’équipe qui pratique le plus beau football en Italie. On est seulement en septembre, toutes les équipes doivent s’améliorer et l’Inter en fait partie."

     

    "Chivu s’est enervé en première période car il demandait plus d’aide sur son côté gauche. Il faut savoir qu’il joue à gauche depuis plusieurs mois, mais que ce n’est pas son poste. Le Roumain a dû attendre l’heure de jeu pour voir l’entrée de Muntari pour l’aider à arrêter les attaques de la Roma. Santon, qui n’a pas pris part à l’échauffement d’avant match, est quasiment prêt, mais pas pour disputer ce type de match. À présent, il ne faut pas dramatiser. Il y a le Werder mercredi et la Juve dimanche à San Siro. Si l’Inter bat la Juve, on sera au même niveau que la saison passée avec 13 points en 6 matchs".

    Gianluca Rossi, journaliste italien (intériste) sur les ondes de Telelombardia.

    "La victoire de la Roma ne me surprend pas. J’ai la ferme conviction que cette saison de SERIE A va être très équilibrée jusqu’à la fin. Le match d’hier a vraiment été une belle partie et je crois qu’on en verra d’autres dans l’année."

    Cesare Prandelli, sélectionneur italien.

    "L’Inter a bien démarré, puis l’équipe s’est éteinte petit-à-petit. Eto’o a cherché par tous les moyens à marquer mais Lobont a bien gardé sa cage. L’équipe nerazzurra a semblé un peu trop fébrile dans quelques phases du match, la Roma en a profité à la fin avec le but de Vucinic, mais dans la manière dont le match s’est déroulée le score aurait dû être nul."

    Davide Fontolan, ancien joueur de l’Inter.

    " Nous avons vu la véritable Roma, avec un grand caractère, contre une Inter que nous connaissons et qui est une équipe excellente. C’est beau de gagner à la dernière minute, avec un grand Vucinic. Les supporters méritaient cette victoire, mes compliments malgré tout à l’Inter."

    Rosella Sensi, présidente de la Roma.

    "Demain, je fêterai mon anniversaire et c’est beau de pouvoir le faire après cette victoire obtenue face à l’Inter. Sincèrement, j’aurais aimé marquer mais mon meilleur cadeau c’est Mirko qui me l’a fait, son but a apporté un succès important qui nous permet de repenser positivement. C’est peut être un tournant."

    Francesco Totti, capitaine de la Roma.

    "L’Inter a été normale, ni bonne, ni mauvaise, mais un peu ennuyante avec beaucoup d’erreurs au milieu de terrain. Elle était quand même en mesure de contrôler tranquillement le jeu jusqu’au moment où elle a laissé le jeu à son adversaire. Le but est beau et ce n’était pas sur une action individuelle. La Roma récupérait beaucoup de ballons depuis déjà plusieurs minutes. L’Inter s’était résignée à défendre le match nul comme si le match était presque fini. La Roma prend plus de points qu’elle en mérite, mais elle n’a vraiment rien volé."

     

    "L’Inter a dominé en surface laissant la Roma construire le jeu par terre inutilement. Il n’y a pas eu d’action dangereuse de la Roma, mais beaucoup de frayeurs. Coutinho, Sneijder, Cambiasso, Stankovic et Eto’o, ce sont ces derniers qui ont perdu le match. En fin de match, ils se contentaient de regarder l’adversaire. Une Inter lesée, endormie, qui se réveille à présent avec tous ses adversaires collés à elle, le Milan AC en tête et la Roma qui donne des signes de remontée."

     

    "L’Inter a manqué de force physique à la fin de la rencontre. Coutinho trop faible, Sneijder et Cambiasso fatigués, un Eto’o un peu vague. Le match nul aurait été plus logique, mais les attaquants et les milieux de terrain n’ont pas pu tenir haut la balle. L’Inter avait besoin d’un attaquant pour prendre le relai. Balotelli manque beaucoup, c’est évident...même si ce n’est pas cela qui a causé la défaite".

    Mario Sconcerti, chroniqueur au Corriere Della Sera.

    "L’Inter a démontré qu’elle était encore forte. Un jour peut-être, Benitez expliquera pourquoi c’est toujours Milito qui se fait remplacer, mais c’est une autre histoire".

    Alfredo Pedullà, éditorialiste sur Datasport.it.


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