Lautaro Martinez s’est livré dans un Film disponible sur YouTube à travers ses différents Œuvres d’Art. L’Inter et Giuseppe Marotta lui ont également rendu hommage en préface sur le site officiel de l’Inter.
Le Communiqué de l'Inter
Qu’est-ce que l’Art ? Quels sont ces éléments qui définissent et rendent un artiste inoubliable ?
Ces interrogations accompagnent l’existence des hommes et des femmes depuis des siècles, dans chaque différente époque, dans leurs tentatives de communiquer à travers une forme d’expression innovatrice, unique, avec cette capacité de faire ressortir des sentiments et des émotions jusque-là inconnues.
Le Football est un sport capable de se transformer dans une forme d’art, surtout si ces interprètes sont dotés de talents extraordinaire et au cours de sa carrière, Lautaro Javier Martinez, a démontré et continue à prouver qu’il appartient à cette catégorie de footballeur, d’interprète merveilleux dans l’art de manier le ballon, dans ce petit cercle de joueurs qui ont été capable d’offrir des chefs d’œuvre immortels aux Tifosi à travers le Monde.
C’est sur base de ce concept qu’Inter Media House s’est lancé dans une nouvelle production originale, dans un film qui raconte la vie professionnelle de Lautaro à travers ce langage figuratif qu’est l’art, grâce à ses œuvres réalisées sur les terrains de football comme Capitaine de l’Inter, de vrais et propres chefs d’œuvre qui sont à la base d’une méthode innovante de communication.
La Carrière Nerazzurra de Lautaro est comparable à l’évolution créative d’un artiste, marqué par différentes œuvres qui définissent ces différents faits marquant dans sa vie d’Interiste, jusqu’à atteindre des objectifs jusqu’alors inimaginable.
L’Art est aussi le fil conducteur de ce film exclusif raconté en personne par le Capitaine Nerazzurro : Lautaro Martinez. Lui qui guide les tifosi de l’Inter et tous les passionnés du monde du football à l’intérieur d’un parcours intimiste dans une galerie d’art où sont disposé des tableaux représentant les moments les plus marquant de sa vie professionnelle.
Pour la Première fois, le Capitaine se raconte dans la nouvelle production Originale Inter Media House "In Arte Lautaro", celle-ci est disponible exclusivement sur le Canal YouTube du Club depuis ce vendredi 21 mars 13h00. Un film divisé en 4 thématiques
Le Prime Pennellate, (Les premiers coups de pinceaux)
La Scelta dei Colori (Le choix des couleurs)
Il Ritratto di un Campione (le portrait d’un Champion)
E Insieme per Nuovi Capolavori. (Ensemble vers de nouveaux objectifs)
Un voyage où Lautaro est aussi devenu, au cours de cette saison, le meilleur buteur étranger de l’Histoire de l’Inter et celui du joueur avec le plus grand nombre de buts inscrit en Coupe des Champions/Ligue des Champions pour le Club. Nous allons parcourir sa carrière, ses moments décisifs dans sa carrière professionnel et le rôle fondamental de sa famille, avec un regard toujours tourné vers le futur dans l’idée d’ajouter de nouveau chef d’œuvre à sa collection personnelle.
"IN ARTE LAUTARO" - AN INTER MEDIA HOUSE ORIGINAL PRODUCTION – Giuseppe Marotta
"Lorsque l’on parle de Lautaro, je parle de l’arrivée d’un jeune talent devenu Homme et Champion, un artiste de l’art du ballon et c’est justement que nous sommes proche de ce type de comparaison qu’il me vient en tête un tableau de Van Gogh, "La Notte Stellata", "La nuit étoilée" qui représente ce qui a été une année extraordinaire : La Conquête de la Seconde Etoile."
"Je me dis qu’il s’agit vraiment du tableau le plus précis, celui d’un Champion qui sait ce que veut dire la Culture du travail, le sens de l’appartenance, l’amour envers les couleurs Nerazzurre, toutes ces caractéristiques qui l’ont défini comme notre Capitane et notre Leader : Nous parlons là d’une personne, d’un footballeur, d’un Homme exceptionnel."
"IN ARTE LAUTARO" - AN INTER MEDIA HOUSE ORIGINAL PRODUCTION – Lautaro, le synopsis
"Avant que ne débute le Derby où nous avons remporté le Scudetto, j’avais ce besoin de dire aux garçons qu’il manquait 90’ pour écrire l’Histoire. Et c’est ce qui s’est passé : Toutes ses émotions dans ma tête lorsque l’arbitre a sifflé : j’avais atteint notre objectif principal : la Seconde Etoile, et même si nous avons mis du temps pour y parvenir, je referais encore tout."
"Le Brassard de Capitaine est quelque chose de très important pour un footballeur et il l’est encore plus dans un Club comme l’Inter : Pour moi, qui suis arrivé d’Argentine, avoir été sur le toit du Duomo était spécial : Milan est ma maison, car j’ai l’impression d’être né ici : Depuis que Nina, ma première fille est née, c’est comme une renaissance pour moi : Je donne le meilleur au quotidien san penses à ce qui va arriver : Je suis devenu plus fort comme Homme, comme Pre et comme Mari, je m’attends à continuer à offrir des titres à l’Inter : Lorsque tu remportes le premier titre, tu as l’envie de continuer à le faire."
Le 1er jour
"C’était une journée très spécial pour moi : Arriver dans un Club comme l’Inter était un rêve, j’ai tellement travaillé depuis tout petit en Argentine, ma Famille ne m’a jamais fait manquer de rien : Notre rêve, pour nous les argentin est de faire le grand saut en Europe : le Football européen est très important. Et lorsque l’Inter m’a appelé, je n’ai pas eu le moindre doute une seconde."
"Mon arrivée ici m’a aussi beaucoup marqué au niveau personnel car j’ai changé de pays et de Culture et l’Inter s’est toujours montrée très proche de moi, et je l’a remercié énormément : Je suis arrivé comme un inconnu, jeune sans la connaissance ni de la langue ni de la culture et je me suis senti tout de suite comme à la maison, tout a été mis à ma disposition pour me faire sentir bien : Nous sommes très famille et lorsque ma mère a vu tout l’amour qui m’a été donné, elle est devenue plus sereine."
Le but contre l’Atletico
"Il m’a vraiment aidé car c’était mon vrai premier match avec les Tifosi, c’était une rencontre importante pour moi-même s’il s’agissait d’un amical, c’était important, comme pour dire : Je suis là. C’est après le but que je me suis rendu compte d’avoir réalisé un si beau geste technique, j’en avais mis un pareil à l’entrainement une semaine avant."
"Parfois les choses que tu réalises à l’entrainement se concrétises : J’étais vraiment heureux pour ce beau but, je l’ai fait voir à tout le même, même si je parlais peu la langue : J’ai dit à tout le monde que Lautaro était arrivé à l’Inter."
Son premier but en Serie A
"Je me souviens encore du Brouhaha du Meazza, je jouais peu et lorsque je montais au jeu, je voulais marquer. J’ai débuté comme titulaire, et je m’en souviens bien : Ce but marquait les débuts de mon Histoire avec ce maillot et ces fantastiques Tifosi."
Meilleur buteur étranger de l’Histoire de l’Inter
"Être arrivé au sommet de ce classement veut dire énormément pour moi et aussi pour les Argentins : Nous sommes très liés à l’Inter : Je travaille dur, j’en suis très fier car cela veut dire que je fais les choses bien."
Le but au Napoli
"C’était un Top match, c’était 90 minutes de jeu après la trêve pour Noel et je m’en souviens comme si c’était hier, c’était une période difficile pour l’équipe et un but important car le Napoli était fort : Nous avions réalisé un grand match, j’ai marqué et détruit un drapeau. C’est aussi dû au fait que lorsqu’une personne est habitué à marquer et que cela n’arrive pas… C’était une période difficile, j’ai énormément travaillé avec un psychologue, mais je l’ai quitté ensuite, je m’en suis sorti avec l’aide de ma Famille."
Le Premier but au Derby
"Je ne l’oublierai jamais, il signifiait tant : Nous jouions à l’extérieur dans une période où nous vivions une période difficile dans le Vestiaire. L’équipe est montée sur le terrain et nous avions joué comme il le faillait dès la première minute de jeu : Mon premier ballon touché était un assist pour Vecino et j’ai ensuite tiré ce pénalty. Ce fut un si beau moment, marquer dans un Derby est toujours beau car la saveur y est différente, et c’est encore mieux d’arriver à le faire : Les Derby ici se vivent d’une façon similaire à ceux qu’ils se font en Argentine : Les Tifosi sont chaud, le Stade est toujours plein, la semaine qui la précède est spéciale."
Le But à Barcelone
"La partie venait de débuter et j’avais bien bossé durant la semaine : Nous faisions face à une équipe redoutable : Commencer comme ça était fondamentale, en première mi-temps, nous avions tout fait à la perfection : Nous devions rejoindre la mi-temps avec le plus de but d’écart : J’avais l’envie de marquer, à partir de là mon humeur et ma joie personnelle ont vraiment augmenté."
Le premier Scudetto
"C’est après avoir gagné le Derby que je me suis rendu compte que le Championnat était le nôtre : Nous jouions un football vraiment spécial, nous défendions bien, nous ne prenions pas tellement de buts et l’équipe jouait par mémoire : Gagner le Derby fut fondamentale pour notre parcours en Championnat et pour gagner mon premier Scudetto, il restera toujours gravé en moi vu aussi la façon dont le Monde tournait : Jouer ainsi était si difficile, j’ai tellement du travailler après que nous nous soyons retrouvé à l’arrêt: Nous voulons faire la fête avec tout le monde, mais ce Scudetto reste l’un des Titres parmi les plus importants."
Les titres
"Le Scudetto reste dans mon cœur car c’est mon premier titre comme professionnel et avec l’Inter, il est arrivé après tellement d’année dans un Club avec une Telle Histoire, nous ne pouvions pas le louper cette année-là : Il y avait l’équipe, mais aussi de l’engagement, je voulais que cela se termine de cette façon et nous sommes parvenu à le faire, j’ai tout donné pour ramener un titre qui manquant depuis tant de temps."
"C’était la saison où il fallait que je dise qui j’étais et que je le prouve, j’ai énormément bossé pour montrer mes qualités, j’en suis fier et orgueilleux car après cette saison-là, il y a eu tellement d’offre pour moi pour aller ailleurs, mais j’ai choisi de rester car je veux encore gagner tant avec l’Inter. Dès mes premiers instants ici, je me suis senti comme à la maison, je suis resté ici car ma Famille est aussi tombée amoureuse de Milan et je dois encore tellement à l’Inter."
"J’ai regardé l’aspect sportif et le projet qu’à en tête le Club et ce que l’Inter avait en tête était aussi très important pour moi. En fait d’autres titres sont arrivés, cela veut dire que j’ai pris la bonne décision car je voulais continuer à offrir à l’Inter d’autres titres comme la Coppa Italia et la Super Coppa, jouer des Finales : Je suis fier de mon choix."
Le Groupe
"C’est l’élément fondamental de l’équipe : Si tu as un groupe uni qui va dans la même direction et qui pense de la même manière et qui a les mêmes buts, c’est plus facile de gagner. Les grillades, c’est quelque chose que j’ai commencé à faire dès mon arrivée, mais en demandant toujours la permission au nutritionniste, à l’entraineur et au Team Manager : Après l’entrainement tu l’envie de te relaxer de parler d’autre choses que ce dont on parle dans le Vestiaire."
"J’ai mis cela en avant et j’aime les faires même si parfois on va aussi au restaurant, mais cela reste difficile, car il y a aussi d’autres personnes : C’est aussi important pour moi de rester ici au Centre sportif, c’est aussi une traditions que nous avons en nous, les argentins : Même Zanetti, Cambiasso et Milito en faisaient et ils le faisait en ayant les même pensées que moi, j'en suis sur : Cela me rappelle mon chez moi, lorsque mon père rentrait à la maison et me demandait de le faire, alors qu’à présent, je le fais toujours de moi-même.
"Je vais vous raconter une anecdote, dans ma première ancienne maison, au second étage, je faisais des grillades et il y avait toujours une femme qui me prenait toujours en vidéo. Là où nous vivons à présent, nous sommes au dernier étage et plus personne ne peut rien me dire (il se marre)."
Le Scudetto perdu face au Milan
"La toute première chose qui me vient en tête c’est la tristesse que j’éprouvais, nous avions été si proche de remporter un autre Scudetto, et la désillusion a commencé lors d’une partie que nous avons tous en mémoire. Nous aurions pu faire de grandes choses, mais les choses n’ont pas tourné en notre faveur et nous avions perdu le Scudetto : C’était un coup vraiment si dur pour moi, j’avais cru au projet de l’Inter et aux choses qui m’avaient été dite lorsque j’avais reçu toutes ces offres, lorsque tu gagnes le premier titre, tu as envie de continuer à gagner, ne pas arriver à atteindre cette objectif était un coup si dur à te donner envie d’aller voir ailleurs, mais ce sont aussi des choses qui te font grandir et qui, parfois, t’apporte encore bien plus qu’une victoire."
"Nous sommes arrivés à un chouillat de l’objectif, cela veut dire que nous avions bien bossé, mais qu’il nous avait manqué quelque chose : Nous nous sommes relevé en croyant encore plus en ce que nous faisions, car si tu n’y crois pas toi-même cela devient difficile d’atteindre tes objectifs. Nous avons énormément travaillé sur ce que nous faisions afin d’ajouter ce qui nous avait fait défaut et à partir de là nous avons commencé à faire tant de belles choses, nous avons réalisé de l’excellent boulot.
"Ce jour-là, lorsque l’arbitre a sifflé la fin du match, tout le public était resté-là malgré que nous avions tous connaissance de l’autre résultat à la mi-temps : C’était fondamental pour nous de ressentir cette chaleur, malgré la défaite, qui nous a tellement lié aux Tifosi, nous voir si lié dans une telle période avec notre peuple qui souffrait comme nous à nos côtés a représenté un message si important: Nous nous sommes, je me suis senti extrêmement proche d’eux."
La Coupe du Monde
"Je suis rentré à ma maison, à l’Inter, après la Coupe du Monde où les marques d’affections sont toujours importante: Gagner une Coupe du monde reste toujours spécial, beau et difficile : Surtout pour tout ce que j’y ai vécu, j’ai cet esprit de sacrifice en moi ce qui veut dire de ne jamais manquer un entrainement et d’être toujours sur le terrain."
"C’est comme ça que je vis le football et j’ai joué cette compétition avec ma cheville pratique détruite, je faisais des infiltrations tous les jours et déjà lors du second match, je n’avais plus de sensibilité, je ne sentais plus rien lorsque je touchais le ballon. A la fin de la saison, après la Ligue des Champions, je voulais me faire opérer, c’était une décision difficile. J'en viens à pleurer car j’ai tout donné à l’Inter, lorsque les choses ne vont pas bien, je cherche toujours à les laisser derrière moi, j’ai toujours donné mon maximum, même si parfois cela ne se voyait pas."
"Je travaille toujours en me donnant au maximum, je cherche à aider mes équipiers. J’en suis arrivé à jouer un Mondial avec une cheville dans un tel état car j’ai toujours voulu être sur le terrain et m’entrainer, avoir manqué pour moi la Coupe du Monde en Russie était vraiment un sale coup et être au Qatar dans cet état n’est pas ce que je voulais, mais je suis fait ainsi, je donne mon maximum au quotidien et je ne prête pas attention aux conséquences : Je vis aussi comme ça avec mes enfants, dans ma vie personnelle et au niveau footballistique : Je Donne tout."
EuroDerby
"Nous avions marqué immédiatement deux buts au match aller, nous sommes partis du bon bien, nous n’avons laissé aucune chance au Milan. Nous devions faire la même chose au match retour, il fallait gagner pour aller en finale. Nous ne savions pas si nous allions être capable de rééditer le même match qu’à l’aller, mais c’est toujours beau de se présenter dans ce type de match en voulant aller de l’avant même si tu as l’avantage."
"Nous avons bien compris le message et nous avons abordé le match retour de la bonne façon, celle que voulait l’entraineur et le Staff et nous avons méritoirement pris l’avantage. C’est surement le but qui m’a donné le plus d’émotion sur tous les autres car il signifiait le retour en Finale de la Ligue des Champions, et nous jouions le Milan en demi-finale, il reste émotionnellement comme l’un des plus important que j’ai inscrit .Cette semaine-là tant de Tifosi m’ont attendu à mon restaurant, je ne pouvais pas aller au parc car les personnes étaient toutes encore sous le coup de l’émotion. Jouer le match retour à la maison était si beau."
Le centième but en Finale de la Coupe d’Italie
"La soirée avait mal commencé, mais ensuite les Tifosi ont commencé à chanter et cela nous redonné le coup de fouet qui nous a permis de ramener la coupe à la maison : C’est si beau de parler de 100 buts à l’Inter, et le faire en Finale était vraiment unique."
Le Brassard de Capitaine
"Le brassard au bras et quelque chose d’important pour un joueur et cela l’est encore plus dans un club comme l’Inter qui a connu des Capitaines qui ont écrit l’Histoire.Je savais depuis peu que j’allais le devenir, j'etais ensuite remplie de joie et de fierté lorsque j’ai débuté mon premier match avec le brassard."
"Je reste toujours le même avec ou sans, c’était un choix du Club et de l’Entraîneur, cela m’a fait plaisir de le prendre, c’est un Honneur. Comme Capitaine, j’ai besoin de tout le monde, je le porte, mais la chose la plus importante est l’équipe, j’en ai besoin du plus vieux au plus jeune : Respect et Humilité sont les choses que je tiens à représenter."
Le Poker de Salerne
"Je me rappelle que cela faisait trois matchs de suite que je ne parvenais plus à marquer et la veille du match, l’entraineur m’avait dit que j’irais sur le banc pour récupérer. J’étais furieux car je veux toujours jouer et lorsque je suis rentré, j’ai réussi à débloquer la partie, je voulais les mettre en difficulté. La partie s’est débloquée, il y a eu plus d’espace et j’ai pu inscrire quatre buts."
"A présent, chaque fois que l’entraineur me met sur le banc, il me dit : "Tu l’as refait comme à Salerne."
Simone INZAGHI
"Nous parlons énormément, il m’a fait des promesses qu’il a tenu et je le remercie énormément, j’ai grandi grâce à lui, il te donne la liberté de t’exprimer au maximum, il travaille avec le sourire et c’est un avantage."
La Seconde Etoile
"Cette partie restera gravée pour toujours, pour tout le Monde Interiste. Je me souviens bien du discours d’avant-match, c’était une des parties parmi les plus importantes pour nous tous, car nous savions tous ce que signifiait remporter le Scudetto dans le Derby : C’était une chose si belle à réaliser, et j’ai cherché à dire à tout le monde ce qui me passait sur le moment, je n’avais rien préparé avant. A ce moment-là, j’ai eu l’envie de dire que nous étions à 90 minutes d’écrire l’Histoire et nous l’avons fait."
"Nous avons écrit une page importante de ce club, à la fin du match, j’ai cherché à courir vers la Curva comme tout le monde, mais je n’y suis pas parvenu car j’étais sous le coup de l’émotion, j’ai repensé au Scudetto et à la Finale de la Ligue des Champions perdus, toutes les émotions se sont mélangées directement dans ma tête lorsque l’arbitre à sillé : Nous étions parvenu à atteindre l’Objectif principal : la Seconde Etoile."
La Coupe du Scudetto
"C’est le moment que tout le monde veut vivre, c’était mon premier Scudetto comme capitaine et j’étais impatient de la soulever. Cette date n’arrivait jamais et j’ai vraiment pris le temps d’en profiter car c’est le moment auquel je tenais le plus avec le brassard, c’était si spécial."
La Fête
"Nous étions tous fou après le tour en bus, nous avons mis vraiment du temps pour réaliser le parcours, mais je le referais encore : C’était une folie, lors du premier Scudetto nous n’avions pas pu profiter de l’affection des Tifos dans toute la ville. Comme pour la Victoire en Coupe du Monde, où nous n’avons pas pu aller jusqu’à la fin du parcours, ici, je n’ai pas su aller jusqu’au Duomo vu les gens qui y étaient présent."
La Ville de Milan
"Milan est ma maison, c’est comme si j’étais né ici, j’ai immédiatement eu un lien avec les gens, la Ville. En ville, même les tifosis des autres équipes viennent pour m’adresser la parole, avant de me dire qui ils supportent. Je respecte tout le monde et je défends le maillot comme il se doit, toujours tant le respect : Le Duomo signifie tellement pour Milan, j’y ait vécu tant de moment après le Scudetto et arriver sur le toit du Duomo n’était pas facile pour moi qui suis arrivé d’Argentine, c’était si spécial."
CORAJE (la bravoure, la hargne, la grinta)
"C’est un message clair pour dire que nous sommes à la Maison et que Milan fait partie de notre vie."
Diego Milito
"Diego a été pour moi une personne très spéciale. Lorsque je suis arrivé au Racing, il venait de rentrer en Argentine. Je commençais à aller en équipe première et lui parlait énormément avec tous les petits jeunes comme moi : Nous avons immédiatement eu un rapport fraternel. Je suis monté sur le terrain lorsque lui en est sorti, c’est un moment qui restera marqué pour toujours, lui est une Légende : Il m’a toujours dit que je me devais de donner toujours plus chaque jour, sa déclaration est restée gravée en moi."
Le Futur
"Je m’attends à continuer à offrir des titres à l’Inter, plus principalement tout ceux qu’ils me manquent. Nous avons été très proche de remporter la Ligue des Champions mais nous n’y sommes pas parvenu pour une raison ou une autre. Nous devons être réaliste, nous avons réalisé un très grand parcours, mais je ne veux pas en rester là. Je cherche toujours à élever le niveau en ajoutant des titres dans l’armoire à trophée de l’Inter."
Elle est déjà très importante, mais elle doit continuer à s’agrandir, c’est notre objectif comme Groupe. Comme personne, je veux continuer à en apprendre tous les jours, en restant humble comme mon père me l’a enseigné. Je veux transmettre à mes enfants tout mon vécu lorsque j’étais enfant : Mes parents ne font jamais fait manquer de rien, j’avais à manger et un ballon. La façon dont vous me voyez dans la vie est la façon dont ils m’ont éduqués.
Agustina
"Nous nous sommes connu avant mon arrivée à l’Inter, j’étais entrain d’être transférée et elle est arrivée quelques jours avant. Elle est restée avec moi suite car nous sommes tombés amoureux et nous sommes très heureux."
Nina
"Depuis que ma fille Nina est né, j’ai changé, c’est comme une renaissance, j’ai changé, comme personne, ma vision, je suis plus calme, je sais comment parler à mes équipiers, elle m’a fait tant grandir. Avant d’avoir des enfants, je gardais tout en moi et c’était un désastre à la maison, à présent, je suis une autre personne et je cherche à laisser les problèmes hors de chez moi et à profiter de la Famille, le fait d’être toujours sur la route me prive de tellement de temps."
"Si lorsque je rentre je n’ai pas un sourire de mes enfants, c’est comme si la vie n’avait pas de saveur et ce n’est pas le message que je veux transmettre à mes enfants. Je vis mon travail intensément, lorsque ‘l’on perd, je garde en moi ce quelque qui ne va pas et la semaine suivante je cherche à prendre ma revanche comme il se doit, mais lorsque je rentre à la maison, tous les problèmes prennent fin. Je cherche toujours à établir des règles et à être présent : J’aime cuisiner, les laver."
"Mon fils est encore petit mais est intelligent, Nina est plus grande et parvient à parler. La relation père fille est différente, elle est vraiment si affectueuse avec moi. Avant d’aller à l’entrainement, je l’emmène à l’école et je vais ensuite la rechercher, je tiens à ce que ce soit moi et j’aime faire cela, je sors peu de chez moi et lorsque je le fais, je veux tout faire."
Théo
"Il est arrivé dans un moment important qui nous a renforcé comme famille. Depuis la naissance de Théo, je suis devenu encore plus fort, lorsque je suis chez moi, je cherche à tout vivre au maximum : Ils ne manqueront jamais de rien, mais ils devront avoir conscience de tout le sacrifice qu’il a fallu pour en arriver là aujourd’hui."
Mario Martinez - Le Papa
"Il m’a transmis sa passion pour le football, ma grand-mère était la toute première footballeuse de Bahia Blanca, je viens d’une famille sportive, c’est mon secret. La chose que me lie le plus à elle est qu’elle m’accompagnait toujours aux entrainements et aux matchs, sous le froid et la pluie : elle était toujours la première : J’en suis si fier."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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