Nicola Ferraris, associé et directeur général d'Investcorp European Private Equity, évoque l'Inter et le football en général.
"No comment!" . C'est la réponse donnée par Nicolas Ferraris interrogé par les confrères de Milano Finanza sur le prétendu intérêt du fonds bahreïni pour l'Inter. Cependant, le dirigeant n'a pas fermé sur l'hypothèse d'un investissement d'Investcorp dans le monde du football. Ses mots.
"Investir dans un seul club est complexe car la performance financière est étroitement liée à la performance sportive. Une qualification réussie ou non pour la Ligue des champions implique plusieurs millions euros de chiffre d'affaires en plus ou en moins. Cela dépend aussi de la structure de l'équipe et de la gestion de l'entreprise. Enfin, cela dépend également d'une bonne dose de chance."
"Le sport est une entreprise dans laquelle il existe d'autres facteurs qui ne sont pas entièrement contrôlables .Cela dit, les clubs historiques avec une marque mondiale et, surtout, dans un marché mondial en croissance créent potentiellement plus d'opportunités. Malgré le risque élevé que ce type d'investissement comporte par rapport à d'autres investissements."
"Quels travaux pourraient être effectués sur un club ? C'est un travail à 360 degrés qui part de la composition de l'équipe, du portefeuille de joueurs et du mercato. Cela atteint le sponsoring de la marque, la création d'une marque mondiale, la possibilité de monétiser la base de fans en Asie, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud."
Traduction alex_j via FCInterNews.
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