Le Corriere Della Sera s’est livré de la vie au quotidienne de l’Inter, dont Simone Inzaghi, l’entraîneur, a offert comme cadeau de ce début d’année, la Super Coupe d’Italie à Suning: "C’est un long chemin emprunté de la bonne façon, celui emprunté par Inzaghi a fonctionné avec l’Inter et il continue à marcher : L’entraîneur est parvenu à trouver le moyen de rentrer dans la tête des joueurs et d’être en symbiose avec eux."
3 aspect à souligner
"Premier point, au retour de Reggio Emilia, après la victoire sur Sassuolo, l’Autogrill a vu arriver le car de l’Inter. Nicolò Barella et Marcelo Brozovic y ont dépensé 200euros et ce y compris en achat de snack et de chocolat pour toute l’équipe."
"Second point, La victoire à Salerne, direction l’aéroport vers Milan : Le lendemain les joueurs avaient un entrainement l’après-midi. Ceux-ci ont demandé à Inzaghi de le déplacer en matinée afin de pouvoir disposer d’un jour et demi de repos : requête accordée."
"Troisième point, la veille de Real Madrid-Inter, hors caméra au Santiago Bernabeu, Inzaghi demande à Perisic : "Tu es fatigué Ivan ?". "Non, pas lorsque l’ont vit des choses comme ça."
Ces trois situations résument à elles-seules le modèle Inzaghi synthétiser en un mot : Liberté.
Son Inter gagne et le Corriere Della Sera dévoile le secret de l’entraineur : "Son approche du Groupe. Même Faris, son adjoint a déjà expliqué comment Simone est parvenu à se faire respecter par ses hommes : En adaptant le modulo de telle façon que les joueurs croient plus en leur moyens, en leur faisant confiance."
"On lui avait raconté le "lourd héritage " de Conte, e établissant une relation propre avec l'équipe, " une relation directe et accessible". Il partage, il confronte, il prend en charge les demandes", comme lorsqu'il dit en direct que les garçons ont demandé une prime à Steven Zhang, une prime de 500.000€ qui a d’ailleurs été accordé et qui est à répartir entre tous."
"Le rapport joueurs-entraineur a changé et l’on comprend, à présent, pourquoi les joueurs Nerazzurre disent se sentir plus libre. Pour Conte, ils auraient tous fait, l’Inter était une armée. La méthode de l’ancien entraîneur a été intériorisé et a fait grandir l’équipe. Inzaghi, lui, a décidé d’être un gestionnaire et un valorisateur du groupe : Il a maintenu la base tactique tout en offrant la possibilité aux joueurs de faire ressortir ce qu’Is ont en eux."
"Conte avait télécommandé la Victoire, Inzaghi, comme l'a raconté l'adjoint Farris, a ajouté une interprétation plus offensive, avec les deux défenseurs centraux extérieurs (Bastoni et Skriniar) autorisé à partir dans des raids dans la moitié de terrain de l’adversaire."
La vie quotidienne à la Pinetina a également changé : "Les entrainement ne dure qu’une heure contre le double précédemment, l’analyse tactique a lieu lors des partitellas et non plus lors d’exercices bien spécifiques, les analyses vidéos ont lieu la veille du match. Tous les joueurs se sentent concernés, même jusqu’au dernier à jouer, Inzaghi ne dévoile jamais sa formation, la programmation est établie à la semaine et non plus au jour le jour, c’est une nouveauté très apprécié par le vestiaire qui sait s’organiser son temps libre."
"Inzaghi est comme le frère aîné, considéré comme un footballeur d’expérience par le groupe qui lui renvoi l’ascenseur via les résultats, le jeu et l’engagement. Alexis Sanchez est emblématique : de rejeté à retrouver, il s’agit d’une autre histoire de revanche. Et il y a également le rapport avec la Direction Nerazzurra, tous sont en parfaite symbiose, tous partagent l’objectif avoué de la Seconde étoile, sur ce long chemin qui mène au Scudetto."
La citation du jour signée Ivan Zazzaroni
"Dans le football, il faut aussi avoir du cul : Marotta a eu aussi de la chance avec Inzaghi"
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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