Avant de dispter la finale de la Super Coupe d’Italie, Milan Skriniar s’est livré à DAZN dans le cadre de l’émission "1vs1". Voici les déclarations de la Bête Nerazzurra
A présent, ton surnom est Skrigno......
"Certains m’appellent encore Milan, mais ils sont très peu."
Tu es très fort cette année...
"Oui, nous sommes une bonne équipe."
Es-tu le plus fort d’Italie dans les 1 contre 1 ?
"Je ne sais pas si je suis le plus fort, mais lorsque je joue face à des adversaires, je les regarde en vidéos pour connaitre les mouvements qu’ils réalisent, c’est pour cette raison qu’l m’est plus facile de lire leur jeu, même s’ils sont talentueux : Je ne les étudie pas, mais je regarde énormément de vidéo de mes adversaires, surement qu’ils font eux aussi la même chose."
Est-ce que la défense composée avec Alessandro Bastoni et Stefan De Vrij est la plus forte dans laquelle tu as pu jouer ?
"Je dirai oui, nous avons remporté aussi le Scudetto : Depuis mon arrivée ici, c’est la plus forte."
Qui est le défenseur le plus fort ?
"En ce moment, le Napoli est la défense qui encaisse le moins de but, ils sont fort: Mais je pense que nous réussirons à les rattraper : Nous sommes les plus fort et nous voulons le rester."
Comment te sens-tu avec Simone Inzaghi ?
"Très bien, mais je ne suis pas le seul à le penser, ce sont tous les gars : Il est l’Uno di noi. Il y a encore quelques années, il jouait sur les terrains, c’est vraiment une bonne personne, c’est comme un compagnon d’équipe : Nous nous sentons vraiment bien avec lui."
Quel est l’attaquant le plus fort que tu aies dû marquer ?
"Comme numéro 9, je dirais que Romelu Lukaku était difficile à marquer, mais par chance c’était uniquement lors de nos entraînements. Edin Dzeko me donnait aussi du fil à retordre quand il était notre adverse, il est massif et protège bien le ballon, il était aussi difficile à marquer. Comme ailiers, ils sont nombreux, mais cette année, je dirais que Vinicius, qui est très rapide, est vraiment très difficile à marquer."
Bastoni ?
"Je l’appelle Gerry, comme une girafe : Il est très grand et a un long cou, d’où ce surnom : Nous avons d’excellent rapports, c’est mon frère, depuis son arrivée, nous nous sommes très bien trouvé et entendu, nous sommes toujours à deux dans les chambres et nous regardons les matchs, nous sommes toujours ensemble."
Pinamonti ?
"C’est un autre frère, il était déjà là à mon arrivée et nous sommes rapidement devenu amis. Il habitait près de chez moi et j’allais le cherchais pour aller à l’entrainement car il n’avait pas encore le permis : C’est un très brave garçon et je lui veux le meilleur, nous nous appelons quotidiennement: Il est devenu plus massif que moi."
Eriksen ?
"J’ai très mal vécu ce qui lui est arrivé, j’avais si peur et je ne comprenais rien car le chroniqueur parlait en russe. Après, lorsque j’ai vu la photo où il s’était réveillé, j’étais heureux. Nous étions tous affectés : Christian ne peut plus jouer en Italie, mais à présent, le plus important est sa santé : Je sais qu’il va bien actuellement et je suis heureux pour lui."
Penses-tu au brassard de Capitaine ?
"Oui, j’aimerai le devenir c’est sûr, être le Capitaine de l’Inter est quelque chose de si beau. Mais je n’y pense pas, selon moi le Capitaine n’est pas uniquement celui qui porte le brassard, mais nous tous qui sommes sur le terrain, nous devons nous comporter comme des capitaines et venir en aide à l’équipe."
La seconde étoile ?
"C’est l’objectif sur lequel nous travaillons tous, nous sommes un groupe fort, nous le démontrons quotidiennement, nous avons des joueurs très fort et un staff fantastique. Nous nous sentons bien, nous devons continuer ainsi jusqu’à la dernière journée et nous verrons où nous en serons. L’objectif est la seconde étoile, c’est un rêve pour nous."
Quelle est ta meilleure partie en carrière ?
"Mon premier match en Ligue des Champions."
Quelles sont les chansons que tu écoutes avant les matchs ?
"Les nouvelles de l’Inter, je les écoute toujours dans le car, j’ai un casque pour moi et un pour Bastoni : Je les écoute toujours dans le car, mais il n’y a pas qu’elles, j’écoute toujours des chansons italiennes."
Qui est ton idole ?
"Ronaldo il Fenomeno, enfant, je jouais en attaque, c’était le plaisir le plus fort qu’il soit."
Qui est l’équipier qui te fait le plus rire ?
"Ils sont nombreux : Dimarco, Cordaz, Bastoni, Barella, Brozovic, Ranocchia, sont si drôles, chacun à leur manière."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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