MILAN - Massimo Moratti est venu répondre aux questions des journalistes dans le centre de Milan, après une nouvelle rencontre avec Erick Thohir.
Internazionale.fr vous présente l’intégralité de ses déclarations:
Peut-on dire que l’accord est conclu ?
"Non pas vraiment. C’était l’occasion de se connaitre un peu plus, et aussi de rencontrer les personnes qui peuvent interagir avec Thohir, s’il y a un accord. C’était plus une opportunité de mieux se connaitre ensemble qu’une prise de décision. Il n’y a pas de gros problèmes à résoudre."
Ces autres potentiels investisseurs sont aussi Indonésiens ?
"Oui mais cela ne change pas grand-chose. Ce n’est pas comme si nous avions révisé ce que peut être ce type d’opération, que nous devrions ou pourrions accomplir."
A ce stade que manque-t-il pour arriver à un accord ?
"Décider et comprendre le moment auquel il sera opportun de la réaliser. Et que nous soyons heureux de cela, c’est important."
On parle ici de pourcentages ou de rôles ?
"Les rôles sont précisément la dernière chose qui peut créer des problèmes. Ces opérations sont compliquées, une simple turbulence et tout peut exploser."
Peut-on dire que vous avez fait des progrès dans cette négociation ?
"Oui mais des progrès d’un point de vue plus personnel, nous nous connaissons un peu mieux maintenant. J’ai vraiment apprécié le caractère des personnes rencontrés. Pour moi c’est important."
Pouvez-vous nous confirmer que vous garderez un rôle au club si les négociations se passent correctement ?
"Ma famille sera toujours présente c’est certain. Mais il est question d’une restructuration plus organisée pour faire face à l’avenir. Étant donné que maintenant il y a des joueurs qui coutent 100M d’euros, vous devez comprendre que si vous voulez rester à ce niveau, vous devez avoir la structure pour faire face à ce type de situation. L’Inter ne peut être sur un niveau différent."
Vous êtes certain d’être président ?
"Je ne sais pas, je n’ai pas pensé à cette situation. Non je ne pense pas."
Vous ne pensez pas ?
"Non je ne sais pas, je ne le pense pas." (il sourit)
Vous avez une idée du calendrier ?
"Nous devons encore nous rencontrer, parler plus. Je pense que cela prendra plus ou moins un mois si tout se déroule bien ce mois-ci."
Vous pouvez toujours dire non."[/i]
Avec un large sourire "Oui c’est vrai... lui aussi."
Il n’y a pas d’engagements contraignants ?
"Non, absolument pas."
Donc dans un mois il pourrait y avoir un accord ?
"Si l’ensemble s’avère positif, oui cela peut arriver, nous verrons. Mais nous avions dit la même chose il y a trois mois."
Rédigé par Gladis32 & Antony (Inter.it)
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