Romelu Lukaku s’est livré au Magazine Vogue dans une interview à cœur ouvert
La "Belle"
…. Personne : Car Big Rom est un Gentil Géant qui n’aime pas perdre et sur le terrain, et si cela s’avère nécessaire, il est prêt à réveiller le Diable qui sommeille en lui
La pauvreté a été sa stimulation.....
"J’ai compris que nous étions à terre, j’ai compris que je devais devenir un champion."
.....Alors qu’Antonio Conte a été son mentor
"Trois fois par semaine, il me plaçait devant le Ball Launcher, celui que l’on utilise pour les gardiens de buts, j’étais aux prises avec des missiles envoyés à 50 km/h que je devais contrôler pour ensuite dribbler des adversaires imaginaire."
A présent, Lukaku est plus qu’un joueur, c’est aussi devenu un fantastique ambassadeur pour les marques de mode, lui qui aime bien s’habiller:
Jusqu’à récemment, vous aviez encore des traits enfantins.....
"Oui, des trait de bébé je dirais, mais mon frère Jordan en a encore plus que moi, on se devait compenser cela en lançant des regards agressifs, même si dans la vie je souris toujours: Je parais toujours heureux même si je vis traverse des périodes difficiles, en fait personne ne le remarque."
"Un peu avant mes vingt ans, j’ai décidé que c’en était terminé de ce baby face, même les filles avec qui je sortais me le reprochais. J’ai donc décidé de faire pousser ma barbe, avec elle ma masculinité s’est exprimée avec plus de fermeté. Jusqu’à mes 22 ans j’étais toujours le joueurs le plus jeune de l’équipe où j’évoluais, et je voulais paraître plus mature. Je vivais encore à Manchester lorsqu’un jour j’ai dit à ma mère : "Allez je vais me raser les cheveux". Elle ne me croyait pas et je l’ai fait : Barbe et cheveux à zéro."
Nouveau départ
"Pour un homme l’apparence est importante, j’ai toujours eu confiance en moi mais à un certain moment, c’était important que cette confiance en moi soit visible par les autres. Après cela, tout s’est amélioré : Les relations personnelles, les relations professionnelles, les histoires d’amour, je parvenais à paraître sérieux et à "apparence excellente doit correspondre des prestations excellentes"."
Sa nouvelle image
"Le magnétisme qui entoure un homme est important aussi pour son esprit."
Qui vous l’a enseigné ?
"Il m’a juste suffi d’observer les géants tel que Michael Jordan qui est toujours impeccable. Tu te dois de l’être aussi lors des interview d’après-match : Tu ne dois jamais être négligé, toujours en costard, être parfaitement à l’aise : Cristiano Ronaldo est, en ce sens, aussi un exemple. Ou David Beckham si l’on veut parler du passé. J’éssaye, à ma manière, de faire quelque chose de similaire, je veux que cela se voit, que l’on m’entende, celui qui me croise à présent doit pense : C’est ça Lukaku."
…...Et la Bête
"Je suis un bon garçon, je le suis du plus profond de moi. J’aime entrer dans une pièce et observer ce qu’il s’y passe : Cerner les gens et prendre possession de la place, j’aime me divertir avec tous ceux avec qui j’’interagis et avec qui je me sens bien J’aime bien les vannes et je ne me choque pas lorsque cela me vise directement. Mais si je me rends compte que l’on me cherche vraiment des problèmes, et si je te prends vraiment au mot, tu trahis tout ce que je t’avais accordé, et même si je n’irais pas aussi loin, j’irai directement là où tu voudras arriver. Et là : Wow, tu fais face au Mec : C’est aussi ce qui se passe en moi lorsque la bête qui sommeille en moi se réveille."
Que fait la Bête ?
"C’est là que c’est un problème mon gars, car je déteste perdre, je chasse mon adversaires, je leur fais dire les choses horribles qu’ils ont à me dire et je réponds à mon tour."
Mais c’est une attitude négative…
"Non, c’est bénéfique et cela me permet de rester en vie. C’est là même chose avec l’entraîneur : Lorsqu’il me hurle depuis le banc, dès que je marque je lui réponds en criant : "Et maintenant ? Tu en veux encore un autre ?" Cela me motive et le motive : C’est une compétitivité personnelle, si elle est absente, tu ne gagnes pas."
"Vous savez pourquoi j’ai aimé le documentaire The Last Chance sur les Chicago Bulls ? Car cela démontre qu’il ne faut pas nécessairement être amis pour atteindre le sommer. Derrière les victoires, on ne retrouve pas que des bouquets de roses et des fleurs, croyez-moi."
Pourquoi, avant d’arriver en Italie vous sembliez avoir j’avais les bras tombant
"Je ne le sais pas, je dirais qu’il me manquait simplement la force intérieure pour prendre par la main mes équipiers et les porter ailleurs. Je répondais absent lorsqu’ils avaient besoin de moi, je n’avais pas assez de carrure pour qu’ils puissent s’appuyer sur moi, c’est comme ça. J’avais simplement besoin de traverser une telle période douloureuse, aussi mystérieuse, pour grandir et me retrouver ici."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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