Pour Il Seccolo XIX, Beppe Marotta est revenu sur son divorce avec la Juventus à l'issue d'une relation longue et victorieuse, non sans amertume.
"Il était temps. La société souhaitait un changement générationnel. Bien entendu cela aurait pu être mieux géré mais je citerai Nelson Mandela «Dans la vie je ne perds jamais, soit je gagne soit j'apprends.» Dans mon cas une porte s'est fermée et une autre s'est ouverte."
Un petit mot sur Icardi ?
"C'est un talent. Un talent qui n'a pas encore été consacré, qui a aujourd'hui 25 ans et doit apprendre de toutes les expériences quotidiennes pour grandir."
Pensez-vous que les clubs dits provinciaux peuvent encore gagner ?
"C'est une utopie. Jadis il y avait la place pour un football de mécénat, maintenant c'est une affaire comme une autre. Il répond à des chiffres que seul certains marché peuvent atteindre. Le Genoa et la Sampdoria se débrouillent très bien. Le trading de joueurs est la seule chose qu'ils peuvent faire. La vente de Krzsytof Piatek a rapporté plus de 40 millions, soit presque autant que le chiffre d'affaire annuel du club."
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