Le dernier chat vidéo avec nos joueurs Nerazzurri a vu Daniele Padelli ouvrir virtuellement les portes de sa maison et répondre aux nombreuses questions posées par les fans. De sa foi Nerazzurra à ses émotions dans le derby, notre gardien a beaucoup révélé sur lui-même et a commencé à aborder la situation actuelle :
"Nous espérons sortir de cette situation dès que possible, je suis à la maison avec ma femme et mes enfants, et je profite d'être avec eux. Mais je suis conscient que c'est un moment tragique pour l'Italie et le monde en général. Mes pensées vont à celles et ceux qui souffrent en ce moment. La seule façon de s'en sortir est de rester chez soi et de respecter les règles."
Le terrain
"Remplacer Samir est très difficile, car il n'est pas n'importe qui ! Peut-être le meilleur gardien d'Europe en ce moment ! Le remplacer me remplit de fierté mais bien sûr, il y a aussi beaucoup de pression, car il faut essayer d'être à sa hauteur et c'est une tâche ardue. J'ai ressenti beaucoup d'émotions à l'Inter, même sur le banc, comme ce match contre la Lazio qui nous a fait revenir en Ligue des champions. Ensuite, il y a aussi les émotions que j'ai vécues sur le terrain, même dans cette période, comme le derby : je l'avais déjà joué sept ou huit fois dans ma tête, et ce n'était pas facile mais à la fin il y avait une explosion de joie. Ce sont les moments dont je me souviendrai pour toujours, car cela a toujours été mon rêve. Porter ce maillot me remplit de fierté, ainsi que ma famille, à cause de tous les sacrifices que nous avons faits."
Sa carrière
"Je suis né et j'ai grandi dans une famille nerazzurra, mes amis soutiennent également l'Inter, donc j'ai toujours été un Nerazzurro. J'ai commencé à jouer au foot à sept ans. J'ai d'abord essayé d'autres sports comme le basket-ball et le karaté, mais j'ai choisi le football. Au début, je n'étais pas gardien, j'ai commencé à 13 ans et jusqu'à 16 ans, j'ai joué dans les équipes nationales, ce qui me rend également fier. Être gardien de but est différent des autres postes car vous êtes le dernier homme. Personne ne peut vous aider. Si vous faites une erreur, cela débouchera sur un but. Vous devez donc avoir beaucoup de résilience, surtout après les erreurs. Vous devez vous relever immédiatement et recommencer à effectuer des arrêts. Avant de vous lancer sur le terrain, il y a un mélange d'excitation et de tension, c'est un sentiment spécial qui vous fait vous sentir vivant. Ensuite, à partir de l'échauffement, vous vous concentrez sur le match."
Quelles sont vos idoles d'enfance ?
"Depuis que je suis enfant, mon rêve est d'être footballeur. Mes idoles d’enfance, étant fan de l’Inter, étaient les gardiens du club : Pagliuca, Toldo, Frey, Julio Cesar, Zenga, tous !"
Un mot sur vos coéquipiers ?
"Ranocchia et Berni sont deux gars merveilleux, notre amitié est incroyable, il y a un lien spécial entre nous. Handanovic fait en sorte que les choses paraissent simples, ce qui ne l'est pas en réalité ! Vous pouvez voir comment et ô combien il s'entraîne : sa précision et son souci du détail vous font comprendre beaucoup de choses. Il est toujours minutieux et n'est jamais satisfait de son talent, il travaille donc à améliorer même les plus petits aspects. C'est un professionnel de haut niveau et il a toute mon admiration."
Le plus irritable ?
"Il y en a quelques-uns en fait, mais c'est une bonne chose car lorsque vous vous mettez en colère, c'est encore plus amusant de plaisanter là dessus. Si je devais nommer quelqu'un, ce serait D'Ambrosio, ensuite peut-être moi !"
®gladis32 - internazionale.fr
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