Interviewé par Dazn, Bobo Vieri est revenu sur sa carrière à l’Inter….et sur le jour le plus noir de l’Histoire de l’Inter
Quel est le match qui t'a le plus motivé à mettre les gants de boxe pour aller au combat?
"Tous les matchs étaient des combats, il fallait toujours avoir ses gants sur soi. Je ne pense à aucun en particulier tout de suite, mais nous en avons livré tellement.. Je n'utilisais même pas de gants en réalité, je me contentais de jouer des coudes!"
As-tu déjà songé à jeter l’éponge durant ta carrière ?
"Non, être footballeur c'est beau, tu gagnes, tu perds, cela fait partie du jeu. C’est un métier que tous veulent faire, il est beau et très suivi. Tu évolue devant 80.000 personnes et il n’y a pas plus belle motivation, tu ne jettera jamais l’éponge".
Le jour le plus noir, le plus douloureux de ta carrière ?
"Probablement le 5 mai, lorsque nous avons perdu le Scudetto à la dernière journée, je pense que c’est le plus douloureux".
Le discours d’un entraîneur qui t’a marqué ?
"Tous les entraîneurs sont bons, ils te donnent un coup de main. Ensuite, année après année, tu peux devenir ami-ami, mais tout dépend de toi, tu dois tirer sur la couverture".
Le meilleur une-deux de ta carrière ?
“Stella et Cocò”.
"Non, c’est le plus beau travail du monde, je reviendrai en arrière et je serai prêt à tout recommencer depuis le début"
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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