sont les informations relayées par le Corriere Dello Sport et Tuttosport : "Chelsea, qui s'était plié aux désirs de Big Rom et aux exigences du club Nerazzurro il y a un an, ne comprend pas pourquoi il devrait accepter plus ou moins les mêmes conditions aujourd'hui."
Qui plus est, à la Viale Liberazione, on chercherait même à faire baisser les 8 millions (plus les bonus) de l'indemnité de prêt. On comprend alors pourquoi la situation est bloquée sur l'axe Milan-Londres et "qu’en représailles, les Blues ont entrepris de proposer Lukaku en Europe" mais Big Rom, n'a pas l'intention de céder. Il est prêt à prendre les choses en main, comme il l'avait fait l'année dernière en s'adressant directement au propriétaire de Chelsea, Todd Boehly.
Le géant bruxellois a l'habitude d'obtenir ce qu'il veut: "Déjà à l'été 2019, il ne voulait que l'Inter et il avait fini par arracher le feu vert de Manchester United en jouant sur la tactique de l'usure. Mais aujourd'hui, tout semble plus compliqué. Et le sentiment est que les délais pourraient s'allonger malgré les espoirs de Lukaku de gagner sa "liberté" avant le début de la préparation estivale pour être sous les ordres d'Inzaghi."
Chelsea a un impératif : Se débarrasser de ses nombreux indésirable et Romelu Lukaku fait partie de cette catégorie, mais Big Rom a déjà rejeté la riche offre arabe: "Le Belge ne pense qu'à l'Inter, il n'y a pas d'ouverture vers d'autres équipes pour l'instant."
Juillet pyrotechnique ?
"Lukaku, en plus de rejeter l'offre de l'Arabie de 30 millions sur trois ans n'accepte aucune autre destination que l'Inter et le dossier restera épineux pendant encore quelques semaines" car Chelsea reprendra le travail le 3 juillet, tandis que Lukaku, engagé dans les matchs éliminatoire pour l’Euro avec la Belgique devrait se manifester d'ici le 17 juillet.
En coulisse, l'avocat Ledure, qui avait déjà géré le retour de Big Rom à l'Inter, continuera à travailler aux côtés de Chelsea, fort du soutien du joueur, qui lui est fortement déterminé à être satisfait malgré le fait que, pour le moment, à Londres "on refuse catégoriquement l'hypothèse d'un prêt-bis, comme communiqué également lors de la réunion qui s’est tenu avec le Directeur Sportif Piero Ausilio."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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