Ce conseil émane de Marco Materazzi, ancien joueur de Perugia qui a rappelé, à la mémoire collective des juventines, la perte du Scudetto lors de la dernière journée de Serie A, le 14 mai 2000.
Comme le mentionne le Corriere Dello Sport, c’était bel et bien Marco Materazzi qui, sur le terrain, touchait le dernier ballon du match Perugia-Juventus du 14 mai 2000, un match qui aura coûté le Scudetto à la Vieille Dame.
Ce ballon, Matrix le conservait de son pied gauche et le protégeait avec son corps en attendant le triple coup de sifflet final de Pierluigi Collina, qui à 18h04 voyait la Lazio devenir Championne d’Italie.
En grand interiste qu’il est, c’est exactement avec une vingtaine d’année de distance, que le défenseur central Champion du Monde, rappelle ce souvenir aux Bianconeri, lui qui s’était fait attaquer sur les réseaux sociaux le 5 mai : "Je me souviens uniquement du 5 mai 2010, le jour de notre Triplé, la pire nuit, celle de votre cauchemar qui n’est pas encore prêt de se terminer."
“Comme il pleuvait, il pleuvait tellement…(citation d’Achille Togliani). Pour certains il y a le 5 mai et pour d’autre le 14 mai, un jour baigné de pluie et de larmes." avec une photo légendaire le reprenant lui et Zinedine Zidane qui évoluait à la Juve.
Réactions des supporters de la Juve
"Ce n’est pas comme si tu avais déjà joué pour l’Inter et remporté le Scudetto. Il est allé à la Lazio, la même équipe qui vous a fait pleurer le 5 mai. Je te conseille de regarder les dates et les périodes."
"C’est inutile de mettre des cœurs bleus et noir même si la différence est subtile. Le 5 mai la Juve a remporté le Scudetto sur l’Inter. Le 14 mai, il est vrai que le Scudetto, la Juve l’a perdu face à vous, mais ce n’était pas une victoire de votre Chère Inter. Comme l’avait dit votre ami, 0 tituli pour vous aussi."
Pour le plaisir
Si les deux équipes ont connu un destin similaire, l’Inter a su, de son côté, adoucir cette cicatrice à travers le Triplé en 2010 dont le premier titre avait été remporté, à Rome le 5 mai.
L’année 2010 reste à ce jour l’année la plus glorieuse pour l’Inter et la plus enviée pour le Club de Turin.
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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