L'Inter d'Inzaghi crée beaucoup et encaisse très peu. Outre le gardien de but, c'est toute la défense qui est performante.
L'Inter crée et marque beaucoup, mais surtout n'encaisse pas de but. Sommer est devenu quasiment impénétrable, cela fait maintenant 14 clean sheets en 19 matches. Marquer des buts contre les Nerazzurri est une affaire délicate, et maintenant il y a le test de la Roma avec Dybala-Lukaku.
La Gazzetta Dello Sport analyse :
Citation"Sommer-Pavard-Acerbi-Bastoni, voilà un refrain qui restera longtemps dans l'histoire de l'Inter. Il y a tout dans ces quatre visages. Il y a aussi beaucoup de choses dans ceux de l'arrière. Bisseck surprend quand on fait appel à lui, De Vrij retrouve son niveau d'antan. Darmian est inattaquable en défense. Ainsi, le secret réside davantage dans la recette globale que dans les ingrédients individuels. Inzaghi a mis en place la meilleure défense d'Europe : aucune équipe des cinq grands championnats européen n'a encaissé moins de buts que l'Inter.
En Serie A, seule la Roma de Fabio Capello, en 2003-2004, avait encaissé la bagatelle de 10 buts en 23 matches de championnat. Parmi les records que cette équipe est en train d'écrire, les records défensifs occupent une place de choix. A tel point que Sommer s'est fixé comme objectif de devenir le gardien de but ayant réalisé le plus grand nombre de clean sheet. Le record appartient aujourd'hui à trois gardiens, qui comptent tous 21 matchs : Buffon à deux reprises (Juve 2011-12 et 2015-16), De Sanctis (Roma 2013-14) et Provedel (Lazio 2022-23).
Sommer en est déjà à 14, dans un rythme parfait pour s'emparer de la première place".
Le quotidien poursuit ainsi :
Citation"La croissance est globale, le résultat aussi. Et puis il y a les individualités, bien sûr. Pavard a une personnalité et une qualité qui justifient l'investissement coûteux consenti. Bastoni a pratiquement effacé les blancs (déjà rares) qui lui arrivaient de temps en temps. Mais la continuité d'Acerbi mérite d'être soulignée. C'est une victoire pour Inzaghi, qui réclamait son achat à corps et à cris, il y a un an et demi. Et c'est encore plus une revanche pour le joueur.
Dimanche dernier, Vlahovic lui faisait face. Maintenant, il y a Lukaku à nouveau devant ses yeux, déjà affronté à San Siro à la fin du mois d'octobre. Ce soir-là, il avait terminé par un clean sheet. Un rappel s'impose. Il faut, après tout, répéter ce que l'Inter a appris par cœur : "se sentir protégé et en sécurité".
®Zanetti63 - Internazionale.fr
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