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SUISSE - AUTRICHE - L'édition 2008 du Championnat d'Europe de football aura lieu du 7 au 29 juin 2008, impliquera 16 équipes, 8 villes et assistera au total à 31 matchs.

 

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Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer un gros plan sur chaque équipe qui disputera cette compétition prestigieuse :

 

 

Pays (nom officiel) : Reino de España

Superficie : 504,782 km²

Population (en millions) : 40.22

Capitale : Madrid

Principales villes : Barcelone, Valence, Seville, Saragosse, Málaga, Bilbao, Valladolid, Palma de Majorque, Murcie, Córdoba, Hospitalet, Alicante

Monnaie : Euro

Langues Officielles : L'Espagnol

Devise : Encore au-delà (Plus ultra)

Fête nationale : 12 octobre

 

 

Entraîneur : Luis Aragonés

Maillot : Rouge

Palmares (Euro): Vinqueur de l'Euro en 1964

Classement FIFA : 4e

 

Groupe de L'Espagne à l'Euro 2008 :

 

Groupe D

 

Grèce

Suède

Espagne

Russie

 

Calendrier

 

Mardi, 10 juin 2008

Espagne 18:00 Russie - Innsbruck - Tivoli Neu

 

Samedi, 14 juin 2008

Suède 18:00 Espagne - Innsbruck - Tivoli Neu

 

Mercredo, 18 juin 2008

Grèce 20:45 Espagne - Salzbourg - EM Stadion Wals-Siezenheim

 

 

Profil de l'équipe : (uefa.com)

 

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Préparation à l'Euro 2008 :

 

L'Espagne a réussi à oublier un mauvais départ dans les éliminatoires en s'imposant 3-0 sur la Suède lors de l'avant-dernier match pour confirmer sa place en phase finale.

L'Espagne a terminé l'année 2006 sur fond de crise puisque après une défaite surprise 3-2 contre l'Irlande du Nord à Belfast puis une déroute 2-0 en Suède, elle comptait seulement trois points en trois matches dans le Groupe F.

Les résultats se sont améliorés en 2007. Seul hic, un match nul 1-1 contre l'Islande à Reykjavik, obtenu grâce à un but d'Andrés Iniesta en fin de partie, alors que les Espagnols gagnaient huit matches sur neuf.

Les hommes d'Aragonés confirmaient leur bonne forme en s'imposant 3-1 sur le Danemark puis 3-0 sur la Suède.

Un succès 1-0 contre l'Irlande du Nord lors de la dernière journée des éliminatoires permettait à l'Espagne de s'emparer de la première place du groupe, mais Aragonés déclarait : "L'Espagne se qualifie pour des phases finales depuis de nombreuses années donc il ne s'agit pas d'un succès mais de notre devoir, tout simplement".

 

 

Parcours à l'UEFA EURO 2004 (uefa.com)

 

L'Espagne s'était qualifiée pour la phase finale de l'UEFA EURO 2004™ en passant par les matches de barrage après avoir terminé derrière la Grèce au tour de qualification. Les Hispaniques se débarrassaient de la Norvège et s'envolaient pour le Portugal. Ils ne sont restés cependant que trois rencontres après avoir mal négocié la phase de groupes.

Alors qu'elle n'avait perdu qu'une seule fois en huit rencontres, l'Espagne avait laissé des points stratégiques contre l'Ukraine (2-2) et l'Irlande du Nord (0-0) et s'était inclinée 1-0 à domicile face à la Grèce sur un but de Stylianos Giannakopoulos, trois minutes avant la pause, au stade de La Romareda de Saragosse.

Toutefois, l'Espagne s'imposait sans difficulté contre la Norvège en matches de barrage. Elle remportait tout d'abord une victoire 2-1 à domicile malgré l'ouverture du score de Steffen Iversen après 15 minutes de jeu. L'Espagne contre-attaquait par l'intermédiaire de Raúl González (21e) et de Rubén Baraja (85e). Le match retour à Oslo se terminait sur un score sans appel puisque l'Espagne inscrivait trois buts grâce à Raúl (34e), Vicente Rodríguez (50e) et Joseba Etxeberria (56e) sans en encaisser un seul.

L'Espagne ne profitait cependant pas de sa victoire lors du premier match de la phase finale contre la Russie lorsque Juan Carlos Valerón avait inscrit le seul et unique but de la partie après 60 minutes de jeu au stade Algarve de Faro-Loulé. Au match suivant, elle concédait le nul 1-1 contre la Grèce et s'inclinait contre le Portugal lors de la dernière rencontre. Les organisateurs finissaient d'ailleurs premiers de leur groupe alors que la Grèce prenait la deuxième place devant l'Espagne grâce à la différence de buts.

 

 

Meilleure prestation lors d'un Championnat d'Europe de l'UEFA (uefa.com)

Le plus grand succès de l'Espagne en Championnat d'Europe de l'UEFA remonte au 21 juin 1964 lorsqu'elle remportait la compétition à Madrid en battant l'Union soviétique 2-1. Les Espagnols avaient battu la Roumanie, l'Irlande du Nord et la République d'Irlande en phase qualificative avant de se défaire de la Hongrie (2-1) en demi-finale.

 

 

À noter

Au terme des éliminatoires de l'UEFA EURO 2008™, l'Espagne avait disputé plus de rencontres que n'importe quel autre pays (122) depuis sa victoire 4-2 à l'extérieur contre la Pologne en huitièmes de finale du Championnat d'Europe de l'UEFA 1960, le 28 juin 1959. Le Danemark prend la deuxième place avec 120 rencontres tandis que les Pays-Bas et la France sont troisièmes avec 117 rencontres disputées.

 

 

Repères

Au terme des éliminatoires de l'UEFA EURO 2008™, l'Espagne avait disputé les 13 phases de qualification du Championnat d'Europe de l'UEFA et avait disputé 122 rencontres. Elle a remporté 72 victoires, obtenu 24 matches nuls et concédé 26 défaites avec 260 buts inscrits contre 108 encaissés.

 

Depuis son existance, l'Espagne a connu sa plus large victoire le 21 mai 1933 contre la Bulgarie 13 à 0 et sa plus large défaite, le 09 décembre 1931 contre l'Angleterre, 13 à 1.

 

 

Profil du selectionneur : (Uefa.com)

 

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Luis Aragonés fut menacé au début des éliminatoires de l'UEFA EURO 2008™ après des défaites face à l'Irlande du Nord et à la Suède. Cette crise passagère n'ébranlait pas ses convictions et son expérience parlait lorsque son équipe terminait se qualifiait en prenant 25 des 27 derniers points en jeu et remportait son groupe.

 

Buteur doué

Né en 1938 à Hortaleza, à Madrid, Aragonés a porté les couleurs du Real Betis Balompié, du Real Oviedo et du RC Recreativo de Huelva. Mais c'est durant la décennie passée au Club Atlético de Madrid à partir de 1964 qu'il se fait un nom. Ses talents de buteur et son habileté naturelle dans l'exercice des coups francs lui valent même le surnom de Zapatones. Lorsqu'il prend sa retraite, en 1974, il prend aussitôt place sur un banc de touche. Mais il ne devient pas immédiatement l'entraîneur avisé et aux colères proverbiales que l'on connaît aujourd'hui. Une maladie mentale le contraint à se retirer un temps des terrains en 1986 avant de reprendre place sur le banc de l'Atlético pour conduire le club à la victoire en Coupe du Roi en 1991/92.

 

Successeur de Sáez

En club, sa consécration est survenue lorsqu'il a décroché le doublé Coupe-championnat en 1995/96. Par la suite, il s'est envolé du côté du FC Barcelona, du Sevilla FC, du Valencia CF, du RCD Espanyol, du Betis, d'Oviedo et du RCD Mallorca avant de succéder à Iñaki Sáez au poste de sélectionneur national de l'Espagne à l'issue de la phase finale de l'UEFA EURO 2004™.

 

Une qualification dans la douleur

Le premier défi qui s'est présenté à Aragonés a été de qualifier l'Espagne pour la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2006, défi qu'il a relevé malgré un début de campagne poussif. La Serbie-Monténégro a terminé en tête du Groupe 7 et, bien qu'invaincue, l'Espagne a dû disputer les barrages.

 

Défait par la France

Ces barrages contre la Slovaquie n'ont finalement été qu'une formalité pour les Espagnols. Après seulement vingt minutes de jeu à l'aller, les hommes d'Aragonés menaient déjà 2-0 avant de s'imposer 5-1 à Madrid. Au retour, ils devaient ramener un nul 1-1 et obtenir ainsi leur billet pour l'Allemagne. Lors de la phase finale, l'Espagne a impressionné en dominant son groupe, avant de s'incliner 3-1 contre la France en 8es. Il s'agissait de sa première défaite en 25 matches et Aragonés a pu obtenir de continuer son travail jusqu'à l'UEFA EURO 2008™

 

 

 

Infos sur l'Équipe : (uefa.com)

 

Après avoir constaté l'irrégularité de ses troupes au début des éliminatoires, Luis Aragonés semble avoir trouvé la bonne formule pour son équipe d'Espagne regorgeant de vedettes.

 

Rigueur défensive

L'Espagne tentera de trouver une certaine solidité en défense alors que le secteur offensif déborde de confiance. L'élément clé au bloc défensif sera Iker Casillas, qui garde les cages ibères pour sa quatrième compétition internationale d'affilée. Aragonés se plaît à déployer Sergio Ramos, le coéquipier de Casillas au Real Madrid CF, sur le côté droit de la défense en tant qu'arrière latéral offensif. Le Sévillan, jeune, rapide, solide et assuré, ne pêche pas non plus dans le dernier geste. Joan Capdevila du Villarreal CF lui aussi jette ses forces vers l'avant depuis son poste d'arrière gauche tandis que Carlos Marchena évolue aux côtés du coordinateur défensif Carles Puyol au centre de la défense.

 

Armure au milieu

Avec Marcos Senna évoluant à un poste de milieu de terrain défensif, les joueurs plus axiaux Xavi Hernández et Cesc Fabregas sont libres de créer des occasions pour un attaquant de pointe ou un duo de buteurs. Andrés Iniesta est très rapide en contre-attaque et le milieu de terrain polyvalent est à l'aise aussi bien au centre qu'à gauche et à droite où il peut intervertir avec David Silva. Xavi et Iniesta sont également capables de marquer des buts puisqu'ils comptent sept réalisations à eux deux en éliminatoires.

 

Villa premier choix

Etincelant avec le Liverpool FC (24 buts), Fernando Torres est très attendu à l'EURO. Mais David Villa, moins en vue à Valence, est le meilleur buteur espagnol des éliminatoires. S'il faut un troisième attaquant, Cesc Fabregas se dévouera volontiers.

 

 

 

Équipe type :

 

4-4-2 : Casillas – Sergio Ramos, Puyol, Marchena, Capdevila (Pernia) – Fabregas, Xavi, Iniesta, Silva – Villa, Fernando Torres.

 

Joueur Clé :

 

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Cesc Fabregas :

 

Il est en train de devenir le patron d’Arsenal et de la sélection espagnole. Cette saison, en Angleterre, il a pris une nouvelle dimension, de nouvelles responsabilités avec le départ de Thierry Henry et figure parmi les meilleurs buteurs de Premier League, ce qui n’est pas un mince exploit pour un milieu défensif. Rarement un joueur de son âge (20 ans) aura été aussi complet : râtisseur de ballon hors pair, il est aussi le premier relanceur de son équipe, possède une technique irréprochable, une qualité de passe, mais aussi un sens du but et une précision rares pour un demi défensif. Sans doute l’une des grandes stars du foot mondial ces prochaines années, voire ces prochains mois…

 

Le joueur à suivre :

 

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David Silva :

 

Il fait partie, aux côtés de Villa, Albiol ou Gavilan, de la nouvelle génération de Valence, appelée à remplacer les Vicente, Aimar et autres Albelda. Silva a été l’une des grandes révélations de la saison passée en Espagne, inscrivant 7 buts. Son ascension est fulgurante, Silva élevant son niveau de jeu année après année. Il s’est définitivement imposé avec Valence et ses premiers pas en sélection ont été remarqués. Au point de conquérir une place de titulaire? Pas impossible, d’ici le mois de juin....

 

 

 

 

Posté le : 02/06/08 à 13:24, par Nadjibtifosi

 

 

Source(s) associée(s) : Uefa.com

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Rahim95
Rahim95

T'as oublié qu'ils sont coachés par Le Tactico De Boer.   Et @bouba930 Adama est flingué en vrai. Beaucoup de hype parce qu'il est ultra baraque et qu'il se met de l'huile sur les bras mais

Boubou
Boubou

Non mais c’est parce que le stade était vide et du coup les défenseurs n’étaient pas assez concentrés. 

Serpent-NA
Serpent-NA

Je pense qu'on peut officiellement enlever l'Espagne parmis les favoris pour l'Euro mdr.  Par contre Perez il doit être en pls encore une fois. Aucun joueur du Real convoqué avec la Roja 🤣🤣

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Personnellement, j'attends juste qu'ils reviennent sur terre...

 

Et puis comme ça a été dis, sur une Coupe du Monde, tout peux se passer. Ce n'est pas une loterie mais il suffit d'un penalty sifflé (à raison ou pas) et tout s'écroule.

 

Qui aurait parié un euro sur l'Italie en 2006?

Sauf qu'ici on parle de football, pas de vie sociale.

 

Et ça change quoi ? Que l'on aime son pays c'est une chose, que l'on soit fier une autre. Parce que la frontière est très mince entre fierté nationale et nationalisme.

 

Enfin, bon RDV à la CM. Il suffit qu'il tombe en 1/8 sur une équipe qui leur rentre dedans, et les petits espagnols rentreront à la maison la queue basse et on les plaindra pas.

moi je trouve que le foot dois resté du sport et c'est tout, après tout le reste comme la politique ne dois pas intervenir dans le foot parce que ça pollue se beau sport

Autant je ne crois pas trop en l'espagne pour ce mondial (juste une intuition) autant j'espere que c'est une équipe de ce type qui gagne la coupe du monde avec un jeu agréable.

 

L'Italie, championne du monde bravo à eux mais qu'est ce que c'est vilain quoi...

Rien n'est plus beau que l'efficacité, dans 50 ans on retiendra pas le beau jeu espagnol de 2006 mais le sacre de l'Italie. Chacun ses gouts certains préfèrent le semblant de beau jeu de l'AC, d'autre préfèrent la hargne et l'efficacité interista ;)

C'est pas leur beau jeu qui leur a permis de ne pas prendre une claque contre l'EDF en 2006..

 

Sangoku croit moi, les Espagnols / Italiens /Brésiliens par exemple seront plus motivé cet été que lors de cette coupe des Conf., qui tu l'as dis était là pour tester, donc au vu de ton argument je ne suis pas d'accord avec toi. :smile:

Modifié par B4TISTA

C'est aussi grace à leur beau jeu qu'ils ont survolé ce dernier EURO. Mais vous avez raison, gare aux excès de confiance. De plus si il arrive premier de leu poule (ce qui risque d'arrivée vu son niveau), ils tomberont contre une nation qui est dans le groupe de la mort (Brésil, Portugal, Côte d'Ivoire, Corée du Nord).

  • 2 mois plus tard...
Les 30 joueurs retenus:

 

Gardiens de but : Iker Casillas (Real Madrid), David De Gea (Atletico Madrid), Diego Lopez (Villarreal), José Manuel Reina (Liverpool/ANG) et Victor Valdés (FC Barcelone).

 

Défenseurs : Raul Albiol (Real Madrid), Alvaro Arbeloa (Real Madrid), César Azpilicueta (Osasuna Pampelune), Joan Capdevila (Villarreal), Carlos Marchena (Valence), Gerard Piqué (FC Barcelone), Carles Puyol (FC Barcelone) et Sergio Ramos (Real Madrid).

 

Milieux de terrain : Xabi Alonso (Real Madrid), Sergio Busquets (FC Barcelone), Cesc Fabregas (Arsenal/ANG), Andrés Iniesta (FC Barcelone), Javi Martinez (Athletic Bilbao), Marcos Senna (Villarreal), David Silva (Valence) et Xavi Hernandez (FC Barcelone).

 

Attaquants : Santi Cazorla (Villarreal), Jesus Navas (FC Séville), Juan Manuel Mata (Valence), Pedro Rodriguez (FC Barcelone), Dani Güiza (Fenerbaçhe), Fernando Llorente (Athletic Bilbao), Alvaro Negredo (FC Séville), Fernando Torres (Liverpool/ANG) et David Villa (Valence).

 

NB:La liste des 23 Espagnols choisis par le sélectionneur sera annoncée le 20 mai.

  • 2 semaines plus tard...

La selection Ibérique pour le mondial

 

 

Gardiens

 

Reina (Liverpool), Casillas (Real Madrid), Valdés (Barcelone).

 

Défenseurs

 

Albiol, Arbeloa et Sergio Ramos (Real Madrid), Capdevilla (Villarreal), Marchena (Valence), Piqué et Puyol (Barcelone)

 

Milieux

 

Xabi Alonso (Real Madrid), Busquets, Xavi et Iniesta (Barcelone), Cesc (Arsenal), Javi Martinez (Athletic Bilbao)

 

 

Attaquants

 

Silva, Mata, David Villa (Valence), Llorente (Athletic Bilbao), Navas (Sevilla), Torres (Liverpool), Pedro (Barcelone)

 

 

 

Grosse satisfaction de voir Pedro :bigrin: et Valdes, sinon c'est plein de Blaugrana !!!!!! :bigrin:

 

 

Je suis anti Roja et Portugal, jarrive pas a saqué ces 2 selections mais ça fait plaisir de voir nos joueur au mondial.

 

 

 

Content pour Mata, en espérant qu'il est du temps de jeu pour qu'il puisse s'exprimer. Déçu pour De Gea mais bon il aura encore sa chance. Puis vu ce qu'il a devant lui en plus... :D

 

 

Perso aussi j'aime pas trop les Espagnoles.

Content pour Mata, en espérant qu'il est du temps de jeu pour qu'il puisse s'exprimer. Déçu pour De Gea mais bon il aura encore sa chance. Puis vu ce qu'il a devant lui en plus... :D

 

 

Perso aussi j'aime pas trop les Espagnoles.

 

On se demande pourquoi :laughing[2]:

 

T'inquete moi non plus :nikel:

Valdes et Reina ensemble, ça va péter :bigrin:

 

N'empêche c'est rare qu'une sélection ait trois gardiens de classe mondiale...

Navas il vient avec toute sa famille ?! :laugh:

 

Sur le papier c'est surement l'une des meilleurs sélection, a chaque poste ils ont du lourd :blink:

Il ont une équipe ultra complète d'autant que leur banc est également bien fourni, mais je reste persuadé qu'ils ne gagneront pas ;).

C'est vrai que le statut de favori ne leur réussit jamais trop. En 2008, personnes ne les attendait.

Mais, je suis persuadé qu'ils peuvent faire quelque chose. Ils ont maintenant confiance en leurs capacités et ils peuvent vite devenir innarêtable.

C'est ce que je dis, tout le monde les voyait les pulvériser. Eux-même d'ailleurs, avec une arrogance folle, et on sait tous comment ça s'est terminé.

Il faut pas qu'ils se voient déjà aller au bout. Ni qu'ils espèrent gagner en jouant comme ils l'ont fait contre la France en amical. Ils risquent de tomber de haut sinon

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Oui on s'en souvient tous très bien :laughing[2]:. Pour moi je les place après le Brésil dans le statut de favori numéros 1 :nikel:

Bresil, forcément. Et l'Allemagne avec.

Il faut savoir qu'il n' y a eu que 2 finales dans l'histoire où on ne trouvait aucune de ces deux équipes.

Argentine-Angleterre et France-Italie. Et le pire c'est qu'ils se sont rencontrés qu'une fois en finale, en 2002.

Donc, parier sur ces 2 équipes dans le dernier carré, c'est pas prendre trop de risque :bleee: .

Comme le disait Gary Lineker:

"Le football est un sport simple: 22 hommes courent après un ballon pendant 90 minutes et, à la fin, ce sont les allemands qui gagnent" :bleee:

Modifié par Bahamut_88

Gladis oublies pas qu'ils seront privés de Ballack ;). Mais je les vois aussi dans le dernier carré.

 

Espagne-Angleterre-Brésil-Allemagne

J'espère que l'Espagne va se faire dérouiller. Trop arrogant. C'est leur culture qui veut ça, sans cesse en train de péter plus haut que leur c**.

Et pourtant j'aime leur pays et leur langue.

J'espère que l'Espagne va se faire dérouiller. Trop arrogant. C'est leur culture qui veut ça, sans cesse en train de péter plus haut que leur c**.

Et pourtant j'aime leur pays et leur langue.

 

Je partage totalement ton point de vue le kid, leur âge d'or sportif les a surement trop exités, la roue tourne de toute façon. :nikel:

 

Je suis d'accord sinon car j'adore l'Espagne ( le pays en soi, ses paysages, sa langue etc...) :nikel:

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