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American Football


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Le football amĂ©ricain est un sport collectif connu pour mĂ©langer des stratĂ©gies complexes et un jeu physique intense. Le but du jeu est de marquer des points en portant un ballon ovale jusqu'Ă  une zone de but nommĂ©e end zone adverse au bout du terrain. Le ballon peut ĂȘtre avancĂ© en le portant (une course) ou en le lançant Ă  un coĂ©quipier (une passe). Les points peuvent ĂȘtre marquĂ©s de diffĂ©rentes façons comme en franchissant la ligne de but avec le ballon, en lançant la balle Ă  un autre joueur situĂ© de l'autre cĂŽtĂ© de la ligne de but, en plaquant un joueur adverse ayant le ballon dans sa propre zone de but ou en tirant au pied le ballon entre les poteaux du but adverses. Le vainqueur est l'Ă©quipe ayant marquĂ© le plus de points Ă  la fin du match.
Aux États-Unis, ce sport est connu sous la simple dĂ©nomination de « football » alors qu'au Canada, incluant le QuĂ©bec, le terme football non qualifiĂ© peut dĂ©signer selon le contexte le football amĂ©ricain ou son proche parent, le football canadien. En Australie et en Nouvelle-ZĂ©lande, le football amĂ©ricain est appelĂ© « gridiron football » tandis que dans les autres pays, il est diffĂ©renciĂ© du football par un adjectif prĂ©cisant son pays d'origine


HISTOIRE:


Le football américain descend du football (soccer) et du rugby. Ces deux disciplines codifiées en Angleterre sont introduites en Amérique du Nord dÚs 1861 pour le football (soccer) et en 1864 ou 1865 pour le rugby. Le premier match de rugby joué sur le continent américain est probablement disputé en 1864 à Toronto ou en 1865 à Montréal. Cette branche canadienne donnera naissance au football canadien.
Aux États-Unis, les Ă©quipes universitaires pratiquent aussi le rugby et le football (soccer). C'est d'ailleurs l'occasion de confusions. Ainsi, pendant longtemps, on considĂ©ra que le premier match de football amĂ©ricain se tint le 6 novembre 1869 : Rutgers s'impose 6-4 face au College of New Jersey (futur Princeton). Selon les recherches de l'historien Stephen Fox, ce match de New York Ball pourrait ĂȘtre un match de football (soccer). Princeton1 et la NFL 2 admettent dĂ©sormais cette version.
Les Canadiens proposent aux AmĂ©ricains un match universitaire de rugby opposant les MontrĂ©alais de l'UniversitĂ© McGill aux Ă©tudiants d'Harvard, qui ne pratiquaient pas du tout le football. On joue une mi-temps selon les rĂšgles de chaque universitĂ©. En effet, chaque Ă©cole possĂšde ses rĂšglements propres, comme cela Ă©tait Ă©galement le cas en Europe quelques annĂ©es plus tĂŽt. Harvard adopte en 1875 comme rĂšglement celui Ă©dictĂ© par Yale, mais il s'agit toujours d'un mĂ©lange entre rugby et football (soccer), nommĂ© « combination » en Europe. Il faut attendre le 23 novembre 1876, et la fameuse « Massasoit convention », pour voir la mise en place de rĂšgles communes Ă  plusieurs universitĂ©s amĂ©ricaines. De fait, ils adoptent l'ensemble des rĂšglements de la fĂ©dĂ©ration anglaise de rugby Ă  l'exception d'un dĂ©tail, le comptage des points. Le football amĂ©ricain clairement diffĂ©rent de ses ancĂȘtres reste encore Ă  crĂ©er.
Entre 1880 et 1883, Walter Camp, entraĂźneur de Yale, modifie en profondeur les rĂšgles et l'esprit du jeu : rĂ©duction des joueurs de 15 Ă  11, rĂ©duction de la surface du terrain et introduction du scrimmage. Ces modifications de Walter Camp sont complĂ©tĂ©es par d'autres Ă  la mĂȘme pĂ©riode : une Ă©quipe doit rendre la balle Ă  l'adversaire si elle n'est pas parvenu Ă  progresser de cinq yards en trois tentatives. Le football amĂ©ricain est nĂ©.
Les premiers joueurs professionnels sont recensés en 1892-1893, mais il faut attendre 1896 pour voir la premiÚre équipe composée exclusivement de joueurs professionnels : « Alleghany Athletic Association ». Un an plus tard, « Latrobe Athletic Association » est la premiÚre équipe à boucler une saison complÚte avec une formation composée exclusivement de joueurs professionnels (1897).
La premiÚre passe complétée date du 27 octobre 1906. Avant cette date, les passes en avant n'étaient pas autorisées.
La National Football League (NFL) se met en place en 1920 afin de mettre un terme à la gabegie qui rÚgne alors dans le monde du football américain.
Le football amĂ©ricain reste longtemps cantonnĂ© aux seuls États-Unis oĂč il devient le sport numĂ©ro un, devant le baseball, dĂšs les annĂ©es 1970. Exception notable, le Japon, influence amĂ©ricaine oblige, oĂč se dispute un championnat universitaire depuis 1947. Le jeu est introduit en Europe entre la fin des annĂ©es 1970 et le dĂ©but des annĂ©es 1980. Une fĂ©dĂ©ration internationale de football amĂ©ricain est crĂ©Ă©e en 1998.


TERRAIN


Le terrain mesure au total 120 yards (verges au Québec) de longueur, soit 109,68 m sur 53,3 yards de largeur (48,8 m). Les rÚgles américaines de la National Football League précisent les dimensions en pied : 360 pieds par 1603.
À chaque extrĂ©mitĂ© du terrain, on trouve la zone d'en-but appelĂ©e end zone et, au fond de celle-ci, les poteaux entre lesquels le ballon doit passer pour le bottĂ© de transformation aprĂšs un touchdown ou le bottĂ© de placement - field goal. La zone d'en-but mesure 10 yards, environ 9,1 m, de longueur aprĂšs la ligne de but et ce, sur toute la largeur du terrain. Il est courant de voir les zones d'en-but peintes aux couleurs de l'Ă©quipe jouant Ă  domicile.
Le terrain est divisé en portions de 5 yards - 4,6 m - représentées par des traits de peintures blanches pour mieux visualiser les distances parcourues. Tous les 10 yards - 9,1 m -, et jusqu'au centre du terrain, la distance séparant la ligne de l'en-but est marqué en police blanche.
Tous les yards et au centre du terrain des traits hachurés appelés hashmarks sont disposés. Ces hashmarks délimitent la largeur maximale autorisée pour les mises en jeu afin d'éviter que ces derniÚres se déroulent trop prÚs des lignes de touche.
Au fond de chaque zone d'en-but, un poteau jaune est dressĂ© au milieu de la largeur du terrain. Ce poteau est complĂ©tĂ© par une barre horizontale situĂ©e Ă  3,05 m de hauteur et elle-mĂȘme complĂ©tĂ©e par deux poteaux verticaux distants de 5,6 m. Ces barres portant la hauteur total des poteaux Ă  9 m, au minimum. Contrairement au rugby oĂč les poteaux forment un H, au football amĂ©ricain, les poteaux ont la forme d'un Y


LE JEU


La partie dure 60 minutes effectives - mais plusieurs heures au total - et comporte quatre quart-temps de 15 minutes (donc, deux mi-temps de trente minutes). Entre les deux premiers (et les deux derniers) quart-temps, on procĂšde juste Ă  un changement de cĂŽtĂ© et on garde la mĂȘme position relative pour le ballon. En revanche, entre les deuxiĂšme et troisiĂšme quart-temps (premiĂšre et seconde mi-temps), c'est le repos d'environ 20 minutes. Au dĂ©but du troisiĂšme quart-temps l'Ă©quipe qui a reçu l'engagement engage Ă  son tour. En cas d'Ă©galitĂ©, une « prolongation » est jouĂ©e sur le mode de la « mort subite »


Un match de football américain se déroule en deux phases de jeu bien distinctes : l'attaque et la défense. Le changement entre les deux phases s'opÚre à plusieurs occasions détaillées plus bas.
Le jeu commence par un bottĂ© d'engagement ou kickoff. Ce coup de pied est utilisĂ© en entame de chaque dĂ©but de mi-temps (premier et troisiĂšme quart-temps) ou pour reprendre le jeu aprĂšs qu'une Ă©quipe a marquĂ© des points. Il est, dans la plupart des cas, utilisĂ© pour envoyer le ballon le plus loin possible dans le camp adverse. Un joueur de l'Ă©quipe adverse se doit de rattraper le ballon et de tenter d'avancer ballon en main. L'endroit oĂč le joueur remontant le ballon sera plaquĂ© dĂ©terminera le lieu oĂč la phase d'attaque dĂ©butera pour son Ă©quipe. Quand le ballon atterrit dans la zone de l'en-but de l'Ă©quipe qui va passer en attaque, le joueur qui reçoit le ballon peut soit dĂ©cider de tenter de jouer le ballon soit se mettre Ă  genou pour arrĂȘter le jeu. La phase offensive commencera alors sur la ligne des 20 yards de l'Ă©quipe - on parle alors de touchback.
L'équipe possédant le ballon est en phase d'attaque et dispose de quatre tentatives pour parcourir une distance de 10 yards - aussi appelé verge au Canada et représentant environ 9,1 m - à partir de la ligne du début de la phase d'attaque la line of scrimmage. L'équipe en attaque va alors progresser en gagnant 10 yards par 10 yards, on dit parfois que le football américain est un jeu de « gagne-terrain ». Si l'équipe en attaque recule elle devra regagner le terrain perdu et ainsi que les 10 yards classiques pour avoir une nouvelle série de quatre tentatives (downs).
Si, Ă  l'issue des quatre tentatives, l'Ă©quipe n'a pas parcouru la distance des 10 yards (ou plus si elle avait reculĂ©), la possession du ballon est donnĂ©e Ă  l'adversaire. L'adversaire rĂ©cupĂšre alors le ballon Ă  l'endroit oĂč l'attaque s'est arrĂȘtĂ©e : c'est un turnover on downs. Pour Ă©viter que l'Ă©quipe adverse ne rĂ©cupĂšre le ballon trop prĂšs de la zone d'en-but et se trouve donc dans une situation de marquer trop favorable, il est possible de taper un coup de pied afin de dĂ©gager le ballon. Ce coup de pied de dĂ©gagement est appelĂ© punt -aussi appelĂ© bottĂ© de dĂ©gagement au Canada - et est gĂ©nĂ©ralement effectuĂ© lors de la quatriĂšme tentative.
La phase d'attaque débute avec le ballon tenu par le centre de la ligne offensive qui le passe entre ses jambes au quarterback. Deux moyens de progression se présentent alors aux joueurs de l'équipe offensive :
la course : dans ce mode de jeu le ballon est passé directement de la main à la main par le quarterback - aussi appelé le quart-arriÚre au Canada - à un autre joueur appelé running back - demi à l'attaque. Celui-ci doit alors courir avec le ballon en évitant les défenseurs adverses. Il existe de nombreuses variantes de ce type d'attaque : le quarterback peut par exemple courir avec le ballon sans faire de passe ou encore peut le transmettre au running back par le biais d'une courte passe. Néanmoins, le quarterback ne peut réaliser une passe que tant qu'il n'a pas dépassé la ligne d'engagement.
la passe en avant : le quarterback lance une passe Ă  un de ses receveurs qui se sera, au prĂ©alable, dĂ©placĂ© sur le terrain en suivant une trajectoire bien dĂ©terminĂ©e. Cette trajectoire, connue Ă  l'avance des deux joueurs, permet, outre la synchronisation entre passeur et receveur, de dĂ©stabiliser la dĂ©fense en utilisant des trajectoires atypiques. Une fois le ballon attrapĂ© par le receveur, celui-ci peut continuer Ă  courir ballon en main. Pour qu'une passe soit valide le ballon doit ĂȘtre attrapĂ© sans qu'il touche le sol par un joueur ayant ses deux pieds Ă  l'intĂ©rieur des limites du terrain. Si ce n'est pas le cas la passe est dite « incomplĂšte ».
Dans les deux cas l'ensemble de l'Ă©quipe peut effectuer des « blocs » afin de protĂ©ger les joueurs portant le ballon (quarterback, coureur ou receveur). Les « blocs » doivent ĂȘtre effectuĂ©s uniquement en poussant l'adversaire sans le plaquer ou le tenir.

En phase de dĂ©fense plusieurs mĂ©thodes peuvent ĂȘtre employĂ©es pour stopper la progression du ballon :
Le plaquage : le but du plaquage est de mettre au sol le porteur du ballon. Le jeu s'arrĂȘte dĂšs que le porteur du ballon est au sol, la prochaine tentative d'attaque dĂ©butera Ă  l'endroit oĂč le joueur a Ă©tĂ© plaquĂ©. Seul un joueur porteur du ballon peut ĂȘtre plaquĂ©. Un plaquage effectuĂ© sur le quarterback est appelĂ© sack. Si le plaquage a lieu dans la zone d'en-but, cela rapporte 2 points Ă  l'Ă©quipe dĂ©fensive, on parle alors de safety). Si le joueur plaquĂ© perd le ballon, le ballon peut ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ© par l'une des deux Ă©quipes. Cet Ă©vĂ©nement particulier, pouvant donner lieu Ă  un renversement (turnover) si la dĂ©fense rĂ©cupĂšre le ballon, est appelĂ© fumble. Si un joueur est plaquĂ© Ă  l'intĂ©rieur du terrain, le chronomĂštre continue. S'il sort ou est poussĂ© en touche, le chronomĂštre s'arrĂȘte. Cela Ă  un impact trĂšs important sur la stratĂ©gie du jeu, en attaque.
L'interception : elle a lieu lorsqu'un dĂ©fenseur intercepte une passe destinĂ©e Ă  un receveur. Le dĂ©fenseur ayant rĂ©alisĂ© l'interception peut progresser ballon en main jusqu'Ă  ce qu'il soit plaquĂ©. Son Ă©quipe dĂ©butera alors sa phase d'attaque Ă  l'endroit oĂč le plaquage a eu lieu.

Il existe plusieurs maniĂšres de marquer des points :
Le touchdown, aussi appelé essai ou touché, vaut 6 points. Il a lieu lorsqu'un joueur est en possession du ballon à l'intérieur de la zone d'en-but de l'équipe adverse. Il suffit que la balle passe la ligne de la zone d'en-but pour que le touchdown soit valide sur un jeu de course ou qu'un joueur reçoive la balle dans la zone avec l'un des deux pieds dans le terrain (ou les deux pieds selon le championnat).
Un touchdown donne lieu Ă  une tentative de transformation, ou une conversion. Cette tentative, jouĂ©e Ă  2 yards (ou 3 selon le championnat) de la ligne d'en-but peut ĂȘtre effectuĂ©e de deux maniĂšres :
En frappant un coup de pied sur le mĂȘme modĂšle que le field goal. Ce type de transformation, appelĂ©e extra point, rapporte 1 point.
En marquant l'Ă©quivalent d'un touchdown. Ce type de transformation, appelĂ©e two-point conversion7, rapporte 2 points. Ce type de transformation est bien plus difficile Ă  marquer qu'un coup de pied et n'est donc gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©e que dans des cas particuliers oĂč l'Ă©quipe doit rapidement marquer des points.
Le field goal - bottĂ© de placement - vaut 3 points. Un coup de pied pour ĂȘtre validĂ© doit passer entre les deux barres verticales du but. Si le coup de pied est ratĂ©, la possession de la balle est donnĂ©e Ă  l'Ă©quipe adverse Ă  l'endroit oĂč le coup de pied a Ă©tĂ© frappĂ©.
Le safety - touché de sureté - vaut 2 points. Un safety se produit dans la zone d'en-but de l'équipe se trouvant en possession du ballon. Il est accordé si le porteur du ballon est plaqué dans sa propre zone d'en-but ou sort des limites de celle-ci ou encore si une faute d'attaque est commise dans cette zone.



A suivre: Les Ă©quipes de la Nfl
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intervenant
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moi je connaissais que le super boule

Trent_FCI
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De Super Bowl ? Oui, c'est sûr oui... ??

bricero
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Semaine 11 de folie en perspective qui commence  ce soir 20h15 ( heure d'Ottawa)😀 avec Ravens de Baltimore  ( Lamar Jackson) vs Cincinati  Bengals  ( Jow Borrow). En jeu le leadership  pour l'AFC Nord

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Nathy le Superbowl n'a pas d'égal quand tu aimes le foot américain. C'est l'évÚnement le plus regardé dans le monde et c'est pas pour rien. Attention, ne pas confondre un match de NFL et LE SUPERBOWL :smile:

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les saints ont tout réussi dans le 3eme et le 4eme quart temps, ce fameux coup de pieds en début de 3eme a bien montrer la volonté de l'équipe pour remonter le score =D

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Nathy le Superbowl n'a pas d'égal quand tu aimes le foot américain. C'est l'évÚnement le plus regardé dans le monde et c'est pas pour rien. Attention, ne pas confondre un match de NFL et LE SUPERBOWL :smile:

 

Je ne dis pas le contraire mais moi, j'aime pas le Foot US donc le Superbowl ça me passe à des kilomÚtres^^ Mike dit que seul le Superbowl peut procurer des émotions intenses comme il a ressenti hier, perso, je ne suis pas d'accord, tout dépend du/des sport/s que tu aimes :smile:

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Ah exactement, si tu n'aimes pas le foot américain c'est clair :smile:

 

Mais quand tu aimes ce sport, il n'y a que le Superbowl pour procurer autant d'Ă©motion.

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suis content pour la nouvelle orléans qui peine à se relever des dommages causés par l'ouragan Katrina il y a quelques années. :nikel:

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Je parlais d'un systÚme égalitaire en faite j'aime plusieurs sports et la mise en scÚne de l'évÚnement fait que d'un point de vue personnel il n'y a rien qui peut me posséder autant que cette évÚnements.

 

Pas mĂȘme les playoffs de Basket, un grand chelem Ă  New york, un match Dodgers vs Yankees et autres.

Bien sur cela va de soit si on aime pas le football américain on peut pas comprendre mon ressenti envers cet évÚnement.

 

Le foot US c'est indescriptible pour avoir une place c'est quasi impossible tellement les gens sont fanatiques. 85 pour cent des places se transmettent de génération en génération sous forme d'abonnement.

 

Pour transcire mes propos, Clemson Ă©quipe universitaire comptent je crois de souvenir 20000/25000 et leurs stades fait genre le double, on ne retrouve ca que dans le foot US, c'Ă©tait ca le fond de mon raisonnement.

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Le premier quarts temps n'était pas à son avantage mais bon Thomas a raté 2 ballons en temps que receveur .. On a vu sa vrai valeur par la suite.

 

Je peux vous dire Ă©galement que j'ai vu un reportage sur son entrainement physique, bah le mec il se laisse pas aller.

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  • 1 mois plus tard...
  • 1 mois plus tard...

A noter que Donovan Mcnabb joueur emblématique des Eagles de Philadelphie a été transféré aux Redskins de Washington.

 

L'infos date mais n'a pas été relaté donc j'en profite !

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  • 2 mois plus tard...

Gros fan de foot US, et des Vikings (epoque 98 avec le superbowl manqué pour un coup de pied de 30 yard...)

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  • 2 semaines plus tard...

LA RENAISSANCE DE LA LOUISIANE !!

 

Nous sommes en AoĂ»t 2005, le 23 pour ĂȘtre prĂ©cis, la peur s'abat sur toute une population. Katrina vient d'entrer dans l'Ă©tat de la Lousiane. Le 28 AĂŽut 9 habitants des alentours ont Ă©tĂ© tuĂ©s chiffre peu significatif puisqu'on atteindra par la suite prĂšs de 2000 morts.Mais quel en est la raison ? Une dĂ©pression tropicale Ă  l'origine de Katrina a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ© le 23 AoĂ»t dans les Bahamas.

 

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Certains secteurs de la Nouvelle OrlĂ©ans sont jusqu’à 6 mĂštres sous le niveau de la mer, zones dans lesquelles les eaux de pluie sont pompĂ©es puis rejetĂ©es Ă  la mer. Des digues de 4 mĂštres de haut protĂšgent la ville, mais la hausse possible du niveau de la mer dut Ă  Katrina pourrait atteindre 6 mĂštres. Et si l’ouragan passait comme prĂ©vu Ă  l’est, les eaux du Lac Pontchartain pourraient Ă©galement envahir la ville.Devant ces risques de submersions et d’inondations graves, le maire Ray a ordonnĂ© l’évacuation de la ville et Ă©tabli des refuges de dernier ressort pour les personnes qui ne pourraient Ă©vacuer la ville, dont la salle de sport du Lousiana Superdome, dĂ©jĂ  utilisĂ©e en 1998 lors de l’ouragan Georges. Le prĂ©sident W.Bush a dĂ©clarĂ© l’état d'urgence en Lousiane, deux jours avant l’arrivĂ©e de l’ouragan sur les cĂŽtes. Le bilan affichĂ© 1 mois plus tard est tout simplement affligeant.

 

Au moins 141 500 personnes sont hébergées dans des centres et foyers d'accueil mis en place dans 18 états et à Washington. Plus d'un million de personnes résidant la Lousiane ont été déplacés, Katrina sera également la catastrophe la plus coûteuse économiquement parlant qu'est connu le pays. On parle de plus de 10 Milliards de dollars !

 

Dans un état ou la mixité ethnique est une force (53 pour cent d'afro américain, 39 pour cent de blanc, 8 pour cent d'amer-indiens et autres), la solidarité ne se fait pas attendre, l'aide étrangÚre et le déploiement rapide de la croix rouge pour aider les sinistrés ne s'est pas fait attendre. Beaucoup de stars ont contribué à la remise en état de la Lousiane. Sean Penn, Oprah Winfrey, et Julia Roberts était sur le terrain tandis que Céline Dion et Steven Spielberg ont effectué des donnations. N'oublions pas de saluer Jack Nickolson, Cameron Diaz et Bruce Willis qui répondait au téléphone pendant que le chanteur de RNB R.Kelly leur écrivait une chanson intitulée : Rise Up.

 

 

Pour la saison 2007/08 des Hornets (l'Ă©quipe local de NBA), un retour au source est donc enfin possible. AprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©localisĂ©e du cĂŽtĂ© d'Oklahoma City, les coĂ©quipiers de Chris Paul peuvent enfin revenir Ă  la maison. L'envie des joueurs est intacte et la revanche se fait sentir dans le regard du All star qui est trĂšs attachĂ© Ă  cette rĂ©gion ! Les Hornets effectueront leur meilleur saison avec un bilan de plus de 55 victoires et une solide seconde place obtenue dans la saison rĂ©guliĂšre, juste derriĂšre les Los Angeles Lakers. Un come back incroyable pour les frelons qui n'avait pas atteint les 50 pour cent de victoires en 2005/06. EmmenĂ© par un Chris Paul hĂ©roĂŻque adepte des alley oop envers Tyson Chandler et un David West trĂšs impliquĂ©, les Hornets parvienne Ă  Ă©liminer les Mavericks de Dirk Nowitzki avant de tomber face aux Spurs de San Antonio au terme de 7 matchs d'anthologie. Malheureusement, les saisons se suivent mais ne se ressemble pas puisque un an plus tard les Hornets se font violemment sortir par les Nuggets de Denver dĂšs le premier tour des playoffs. Outre cet Ă©chec vĂ©cu par toute une population rempli d'espoir malgrĂ© un bilan en saison rĂ©guliĂšre, on retiendra l'implication de toute l'Ă©quipe Ă  vouloir redonner de l'espoir Ă  toute une population meurtri et mĂȘme si tout n'avait pas Ă©tĂ© rĂ©solu, le sport avait su redonner le sourire Ă  ses habitants et ce ne fĂ»t qu'un dĂ©but !

 

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Autre année, autre sport, nous sommes désormais au début de la saison NFL de 2009/2010 (Football américain pour les non initiés). Les New Orleans Saints emmenés notamment par Drew Brees, Reggie Bush ou encore Marques Colston le Wide Receiver. Juste aprÚs Katrina les Saints sont dans l'obligation de jouer leurs matchs à domicile hors du superdome. Il s'effectueront notamment dans l'entre de l'équipe NCAA des Tigers ou encore à Aladome dans le Texas. Mais Revenons un instant sur Drew Brees car l'anecdote est belle ! D'abord pensionnaire des Chargers de San Diego par qui il aura été drafté en 2001 (32Úme position), il devint free agent et décide de ne pas revenir chez les Chargers car ses derniers ont recrutés le quaterback à renom Philip Rivers. Drew Brees se retrouve alors sans club mais il ne le restera pas longtemps. En effet, L'ex Quaterback des Chargers intéresse fortement les Dolphins de Miami ainsi que bien entendu les Saints de la Nouvelle Orléans. Anecdote intéressante puisque les Dolphins ne formuleront pas d'offre pour la simple et bonne raison qu'il pense que l'épaule du quaterback n'est pas rétabli à 100 pour cent, Drew Brees signe chez les Saints le 14 Mars 2006.

 

L'anecdote Ă©tait dĂ©voilĂ© et l'appartĂ© effectuĂ©, nous pouvons nous focaliser dĂšs Ă  prĂ©sent sur cetet fameuse saison de 2009/1010. Les Saints sont tout simplement injouable en saison rĂ©guliĂšre, il affiche un bilan de 13 Victoires et 3 dĂ©faites mais les 3 dĂ©faites sont survenus dans les 3 derniers matchs sans ce diable de Drew Brees. Ils se sont par la mĂȘme occasion, offert le luxe d'atomiser des Ă©quipes comme les Giants de New York laurĂ©at en 2008 et les Eagles de Philadelphie sur le score de 48 Ă  22. Inutile de vous rappeler que Drew Brees est un grand artisan de la bonne marche de son Ă©quipe. Il finit la saison avec un pourcentage de passe rĂ©ussis Ă©quivalent Ă  70.62, ce qui constitue par ailleurs un nouveau record dans la NFL (34 Touchdowns et seulement 11 interceptions).

 

http://www.youtube.com/watch?v=Koaql1UJiDc&hl=en_US&fs=1

 

Les choses sérieuses peuvent enfin commencé et c'est tout un peuple qui est derriÚre eux mais pas seulement, beaucoup d'américains veulent voir les Saints sur le toit du monde puisque le jeu qu'il produise est de loin le plus beau. Premier match de playoff face aux Cardinals de l'un des meilleurs receveurs : Larry Flitzgerald (finaliste l'an dernier). Le résultat est sans appel, les Saints s'impose de plus de 30 points (45/14) avec un début de match pourtant en leur défaveur. La dithyrambie du peuple contraste avec la méfiance du coach Payton. Le big game approche à grands pas face aux Vikings de Brett Favre (faut-il rappeler la carriÚre de ce futur hall of famer ?) et du meilleur running back Adrian Peterson ... Un nouveau challenge attend Drew Brees et cette fois ci face à Brett Favre il va falloir se montrer à la hauteur sans commettre la moindre erreur. Le premier quarts temps est à l'avantage des Vikings puisqu'ils mÚneront de 7 points (14/7) mais Brett Favre est magnifiquement pris par la défense des Saints et commence à commettre quelques fautes qui permettra aux Saints de revenir à hauteur avant de débuter la seconde mi temps (14/14). En seconde période le show Adrian Peterson se poursuit il finira avec 3 Touchdown mais l'homme du match se trouve cÎté Saints, puisque Drew Brees distile 3 Touchdown pour permettre au sien de disputer un Overtime (fin du temps réglementaire (28/28). C'est grùce à une pénalité que les Saints accÚde en finale du superbowl, le peuple à eu raison d'y croire, le rendez vous est pris.

 

http://www.youtube.com/watch?v=cShJQZlEYJA&hl=en_US&fs=1

 

Le rendez vous est d'autant plus excitant car le prochain adversaire de Sean payton sera les Colts d'Indianapolis menĂ© par Peyton Manning et Reggie Wayne. Le pĂšre de Peyton Manning, Archie dĂ©clarera qu'il ne prendra parti pour aucune Ă©quipe. Archie Manning a jouĂ© 11 annĂ©es pour les Saints de la Nouvelle OrlĂ©ans et reste une vĂ©ritable icĂŽne mais rappelons le c'Ă©tait aussi une Ă©poque ou les Saints Ă©tait misĂ©rable. Tellement misĂ©rable, que les supporters venaient avec des sacs d'Ă©piceries sur la tĂȘte, ce qui voulait dire que l'Ă©quipe Ă©tait une honte.

 

Drew Brees est trĂšs Ă©mu par l'hymne amĂ©ricain et est Ă  deux doigt de craquer Ă©motionnellement. Le match ne dĂ©marre pas de la meilleur des maniĂšres puisque les Saints sont rapidement distancĂ©s (10/0) grĂące notamment Ă  un premier touchdown de P.Garcon, dĂ©livrĂ© par sa majestĂ© Peyton Manning. Le score n'Ă©voluera plus dans ce premier quarts temps et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on ne voit pas comment les Saints pourraient revenir dans la partie ... le DeuxiĂšme quart temps dĂ©marre avec des doutes plein la tĂȘte pour les Fans des Saints, un doute lĂ©gitime quand on voit la facilitĂ© dĂ©fensive des hommes de Jim Caldwell. Mais le passĂ© ne s'oublie pas et l'implication des joueurs fait plaisir Ă  voir. C'est dans un Ă©lan de gĂ©nĂ©rositĂ© que les Saints parviennent Ă  glaner leur premiers points grĂące Ă  deux pĂ©nalitĂ©s rĂ©ussis par Garrett Hartley. Le score est alors de 10 Ă  6 en faveur des Colts.

 

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Le troisiÚme quart temps est assurément le plus dense, un mano à mano est alors engagé entre les deux équipes mais pas seulement car le regard de Drew Brees quand Peyton Manning est sur le terrain est comparable à celui de Mike Tyson lorsque ce dernier gagnait ses combats en moins d'une minute. En ballotage défavorable la franchise de Sean Payton tente le tout pour le tout, un engagement court de la part de Garrett Hartley et un gain immédiat de la possession. La suite ? Des offrandes de Drew Brees pour permettre aux siens de gagner du terrain. Arrivée dans les 40 mÚtres adverses, Drew Brees effectue une passe courte pour Pierre Thomas qui effectue l'impossible dans la surface de vérité en slalomant et feintant pas moins de 6 joueurs adverses pour permettre aux Saints de mener 13 à 10. Mais ce regain de forme contraste avec le génie de Peyton Manning qui ne se laisse pas abattre, feinte la passe et laisse la balle à Ayai pour un touchdown en force (17/13). Le Field Goal inscrit par Garrett est presque anecdotique puisque le match va se jouer dans ce dernier quarts temps avec un handicap de -1 pour les Saints (16/17).

 

C'est le moment ou jamais doit se dire Drew Brees de devenir un monument du sport US et de justifier ses 10 millions de dollars par an. La passe de Peyton n'est pas attrapé par Austin Collie, grùce à une bonne défense de Jonathan Vilma. Le Field Goal sera par la suite loupé par Matt Stover. Une aubaine pour les Saints, alors que de l'autre cÎté on peut aperçevoir la frustration de Peyton Manning qui jette sa serviette ! Reggie Bush qui n'est pas seulement un people et accessoirement l'ex petit ami de l'actrice Kim Kardashian, déboule dans les 50 m adverses pour relancer le jeu, son run fait un bien fou. Son déboulé fait comprendre à Drew que c'est sur lui qu'il faut jouer, il lui envoie la balle pour gagner encore 6 yards, les Saints ne sont plus qu'a 15 yards du but adverse ! Le talent du Quaterback fait le reste en seulement deux passes envers Pierre Thomas et Jeremy Stockey, le touchdown est inscrit, les joueurs se libÚrent et Jeremy Stockey bombe le torse tel un gladiateur romain. Sean Payton se dit alors qu'il faut en avoir dans le caleçons à l'image de ses joueurs et décide de tenter les deux points en transformations. Drew Brees s'exécute et envoie Lance Moore sur orbite ! Seul problÚme la transformation est refusée, mais on ne l'a fait pas à Sir Payton. Ce dernier dans une colÚre immense demande la vidéo et obtient gain de cause (24/17).

 

Les 5 derniĂšres minutes vont ĂȘtre trĂšs longues pour Payton et ses hommes, Brees est sur le banc car la phase est dĂ©fensive mais ne tient pas en place ! Il reste alors 3 minutes et 20 secondes lorsque Peyton Manning lance dans les 25 yards des Saints pour Reggie Wayne lors du 3Ăšme essai mais Tracy Porter surgit pour l'interception et s'en va inscrire un touchdown plein de culot en parcourant 74 yards ! Le commentateur s'Ă©crit "THE GAME IS OVER", Ă  3 minutes de la fin Tracy a tuĂ© le match ! Plus rien ne sera marquĂ© dans cette partie, Peyton tentera bien de soliciter les receveurs mais la dĂ©fense des Saints est omniprĂ©sente. Drew Brees sera Ă©lu MVP de la finale, quoi de plus normal pour celui qui a dĂ©logĂ© le roi de son trĂŽne ? "It was like a dream come true" diront certains mais c'est un fait, les Saints de la nouvelle Orleans enlĂšve ce super bowl avec une classe naturel. De la tristesse Ă  la joie il n'y a qu'un pas mĂȘme si cette phrase peut paraĂźtre Ă©goiste envers les 1500 dĂ©funts de la nouvelle OrlĂ©ans lors de ce tragique accident, personne n'oubliera cela et leur mĂ©moire fut honorĂ© ce 7 FĂ©vrier 2010 ...

 

 

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TrĂšs bel article !

 

 

Devait ĂȘtre vraiment intense la finale. Avec un parcours et une situation pareille, mĂȘme une dĂ©faite et une fin tragique aurait un cĂŽtĂ© sublime. ^_^

Modifié par gladis32

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Comme vous ĂȘtes nombreux Ă  le savoir, Kurt Warner a dĂ©cidĂ© de mettre un terme Ă  sa carriĂšre le 29 Janvier 2010. La carriĂšre de ce joueur au destin atypique n'a pas Ă©tĂ© de tout repos, mais a fait connaĂźtre aux Rams de Saint Louis une pĂ©riode d'orĂ©e.Retour sur ce quarterback qui a dĂ» s'employer pour intĂ©grer l'Ă©lite du football amĂ©ricain.

 

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Kurt Warner naquit le 22 Juin 1971 Ă  Burlington dans l'Iowa. Ville d'Ă  peine 30 000 habitants, plutĂŽt reconnu pour ĂȘtre le siĂšge du comtĂ© des moines et d'avoir comptĂ© parmi eux l'inventeur du Nylon ( Wallace Hume Carrothers en 1896). Vous l'avez donc compris, rien ne prĂ©destinait le jeune Kurt Ă  une carriĂšre reconnue.

 

 

Sa carriĂšre universitaire ne fut pas un franc succĂšs, loin de lĂ  mĂȘme. Le quarterback au physique avantageux (1m88 pour 100 kg) effectue sa carriĂšre "NCAA" dans l'Ă©quipe local de Northern Iowa, non loin de sa ville natale par ailleurs. Une proximitĂ©, qui en revanche ne lui permet pas d'Ă©voluer dans l'Ă©lite de l'universitĂ©. MĂȘme si le niveau n'est pas relevĂ©, Kurt ne sera titulaire dans son collĂšge que lors de son annĂ©e senior (4Ăšme et derniĂšre annĂ©e avant la possibilitĂ© d'Ă©voluer en NFL). Lors de cette ultime expĂ©rience avec sa bourgade, n'ayons pas peur des mots, Kurt se hisse parmi les meilleurs quarterback de sa confĂ©rence mais cela ne sera pas suffisant compte tenu du faible niveau de son Ă©quipe combinĂ© Ă  son inexpĂ©rience relative.

 

 

En 1994, les Green Bay Packers décide d'engager alors l'homme ùgé de 23 ans dans leur camp d'entrainement, mais cet engagement sera anecdotique puisque le joueur n'évolura jamais dans le club qui a révélé Curly Lambeau en 1929, le club décida en effet de ne pas poursuivre l'aventure avec lui. Kurt est donc dans l'obligation de réciter ses gammes dans des ligues à la cÎte aussi large qu'une mine de crayon. Mais, le garçon ne se laisse pas abùtre pour autant et repart au combat.

 

 

Pendant 3 ans, il jouera avec Iowa Barnstormers. Décidément Warner aime son patelin, avec cette nouvelle équipe de football américaine en salle faut-il le rappeler, il figure dans l'équipe type en 2006 et 2007. Outre le fait, d'avoir accéder à une distinction personnel, Kurt emmena les siens par deux fois à l'Arenabowl !

 

 

DĂ©cidĂ© Ă  devenir un joueur de NFL mĂȘme Ă  26 ans, L'enfant prodige de Burlington dĂ©cide alors de tentĂ© sa chance dans la filiale europĂ©enne, espĂ©rant bien entendu pouvoir intĂ©grer au plus vite la NFL. Le temps lui est dĂ©sormais comptĂ© ! Il part donc s'exiler en Hollande, royaume du Maasdam et bien d'autres belles chose que nous ne citeront pas Ă©videmment. Le quarterback sous cĂŽtĂ© jouera pour les Amsterdam Admirals durant une saison, il marquera enfin les esprits, il se distingue comme meilleur passeur (2101 yards et 15 Touchdowns). Les Rams de Saint Louis repĂšre le jeune homme Ă  27 ans, sa carriĂšre dans l'Ă©lite peut enfin commencer. Rappelons avant toute chose, que l'effectif des Rams est l'un des plus pauvre parmi les 30 Ă©quipes.

 

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Le chemin reste long, puisque à l'orée de cette saison 1998, Kurt n'est que le 3Úme quarterback du club et ne jouera que quelques minutes face aux 49ers de San Francisco, profitant de la blessure de Tony Banks et de la mise au repos forcée de son suppléant Steve Bono. Le club finira bon dernier de la NFC West. Quand vous disait que les Rams sont unes des plus faibles équipes de la ligue, ce n'était en aucun cas une exagération.

 

Lors de l'intersaison, un grand nettoyage a lieu. Tony Banks est transféré chez les Ravens de Baltimore, alors que Steve Bono prend sa retraite. Quoi de mieux pour l'évolution du petit prince de l'Iowa ? A vrai dire cela aurait été une aubaine, si Trent Green n'aurait pas signer ...

 

 

Mais le destin s'en charge, blessure de Trent Green pendant la pré saison, Kurt Warner peut enfin s'exprimer. Il prouve alors tout son incroyable potentiel, contribuant largement à la bonne saison des Rams de Saint Louis. Le public a trouvé sa nouvelle coqueluche. Il balance lors de sa premiÚre saison en tant que titulaire un total de 4354 yards (deuxiÚme de la NFL) pour tenez vous bien 43 touchdowns (1er de la NFL) et une évaluation de 109.5 !! Elu MVP de la saison réguliÚre à désormais 28 ans, Kurt Warner est une légende vivante, son parcours est sans équivalent. Pour ponctuer cette magnifique saison, les Rams se qualifie pour les playoffs, cela faisait 10 ans que ce n'était pas arrivé.

 

 

En final les Rams doivent faire face aux Titans de Tenessee, Kurt Warner est dĂ©ja dans son match, concentrĂ© comme Ă  son habitude. Le match se joue sur 3 pĂ©nalitĂ© en premiĂšre mi temps rĂ©ussi par Wilkins, le kicker de Saint Louis. Un match dominĂ© 9 Ă  0. Lors du troisiĂšme quarts temps, Kurt distille une passe pour Holt , Touchdown !!! Les Rams mĂšne 16 Ă  0, on se dit alors que la rencontre est pliĂ© mĂȘme si la course de George rĂ©duit l'Ă©cart (16/7). On attaque alors le quatriĂšme quarts temps, la tension est palpable dans les deux camps.

 

 

Mais l'impossible devient possible, les Titans égalise alors qu'il reste seulement deux minutes et quize secondes de jeu. Un moment de grùce touche alors le nouvel idole de tout un peuple. Warner décoche une passe de 73 yards, oui oui !! 73 yards en direction de Bruce TOUCHDOWN !! Kurt passe du rang de coupeur de citron à celui de superstar. Dans les derniÚres secondes, les Titans poussent mais ils échouent à seulement 30 secondes la ligne. Kurt Warner remporte le superbowl pour sa premiÚre saison en tant que titulaire, ça force le respect non ?

 

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En 2000, il est Ă©vident que Kurt sera attendu au tournant, mais est ce vraiment un problĂšme pour lui ? Pas vraiment .. En 6 matchs il Ă©gale le record de Steve Young (ancienne star de l'Ă©quipe) en rĂ©alisant plus de 300 yards Ă  chacun de ses matchs. Durant ce laps de temps il rĂ©coltera 19 touchdowns soit plus de 3 Touchdowns par match. Qu'avez vous dit ? Ahurissant ? Oui je cherchait le mot. Durant le match face Ă  San Diego il fut le mĂȘme le second joueur de l'histoire Ă  recevoir la note parfaite de 158.3. Malheureusement, le 22 Octobre face Ă  Kansas City, une blessure vient mettre un terme Ă  un dĂ©but de saison qui fut d'un point de vue objectif, la meilleur saison d'un quarterback (Oui, all time, j'assume !).

 

 

Son retour s'effectue dĂ©but DĂ©cembre, il a ratĂ© entre temps 5 matchs. MalgrĂ© de trĂšs bonnes prestations, Kurt peine Ă  retrouver son niveau de jeu du dĂ©but de saison qui le rendait surhumain. Il qualifie son Ă©quipe pour les playoffs avec le record de 10/6, mais les Rams s'inclineront d'entrĂ©e face aux Saints de la Nouvelle Orleans 31 Ă  28, une dĂ©fense extrĂȘmement laxiste.

 

Saison 2001, Kurt Warner rentre encore un peu plus dans la lĂ©gende en rĂ©alisant le second meilleur total de tout les temps au niveau des yards (4830) juste derriĂšre la lĂ©gende Dan Marino qui en avait effectuĂ© 5084 en 1984. Tout comme en 2000, quelques interceptions viennent entacher quelques peu sa performances, elles sont au nombres de 22. Tout cela reste anecdote puisqu'avec 36 Touchdows, Warner choppe une Ă©valuation de 101.4, finissant par la mĂȘme occasion 1er du classement. Contre les Panthers le 11 Novembre il fut le quarterback Ă  atteindre le plus rapidement les 10000 yards (seulement 36 matchs). Les votes sont unanimes, le quarterback natif de Burlington remporte encore une fois le titre de MVP. Si prĂšs d'un second superbowl, les Patriots lui donnent tord. MalgrĂ© son touchdown sur une passe et un autre sur une course, ses deux interceptions coutent cher aux Rams qui perdent cette finale de trois malheureux petits points (20/17 !).

 

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On sent alors le malaise de l'équipe, les passes de Warner sont moins précises, la défense des Rams n'y est plus, les réceptions sont bancales. DÚs le début de saison, la ligne des bloqueurs est à la peine, sa contribution est trop faible. Comme pour perpétuer cette poisse ambiante, Kurt se blesse lors du quatriÚme match de la saison réguliÚre et laisse Marc Bulger supporter seul le poids qui a pesé durant

 

 

trois ans sur ses Ă©paules.Contre toute attente, les performances de Bulger sont loins d'ĂȘtre mauvaise, puisqu'au retour du double MVP, il est encore titulaire. Une saison inqualifiable tellement Kurt nous Ă  habituer Ă  mieux.

 

Seulement 3 Touchdowns et 11 interceptions avec une évaluation d'à peine 70 points, que dire ... Si on exclut ses mauvaises perf' en 2002, le joueur aura battu encore quelques records. Il deviendra le quarterback le plus rapide de l'histoire de la NFL à réussir sa 1 000e passe en seulement 47 rencontres et 1 487 tentatives. Il sera aussi le plus rapide à atteindre les 1 500 tentatives, devançant des grands noms comme Dan Marino ou encore Joe Montana.

 

 

La rupture est proche avec les Rams, puisque Kurt ne disputera qu'un seul match en tant que titulaire, une nouvelle blessure (commotion cérébrale) subit à cause d'une ligne de bloqueurs qui semblait dubitative sur chaque action. Son suppléant Marc Bulger, ne sera pas exempt de tout reproche mais ce dernier est plus jeune.

 

Kurt Warner s'exile donc Ă  New York oĂč il retrouvera un coach de renom en la personne de Tom Coughlin. Le Quarterback ne rĂ©ussit pas Ă  convaincre son nouveau coach et cette signature sera un Ă©chec total. En concurence avec Eli Manning (Rookie en 2004), qui malgrĂ© une piĂštre performance affichĂ© : 1 victoire pour 7 dĂ©faites reprĂ©sente selon le coach, le futur de la Big Apple.

 

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Nouveau challenge pour le détenteur de tout les records, il signe un contrat en la faveur du club d'Arizona Cardinals qui rappelons le est d'une des franchise les plus soporifiques de la ligue depuis 40 ans. Il annoncera au cours de la saison et poussé sur le banc par Josh Mccown qu'il mettra un terme à sa carriÚre. à la fin de la saison 2006. L'émergence de Matt Leinart au poste de quarterback crée une certaine rivalité entre les deux hommes. L'orgueil de l'ex Rams est touché, mais à l'aube de la saison 2007, l'homme ùgé de 36 ans décide de poursuivre l'aventure avec les Cardinals, déclarant que la concurrence avec Matt le stimule.

 

Les insuffisances de Matt Leinard au poste, accorde à Kurt un temps de jeu conséquent, il réalise une belle saison, sans pour autant émerveiller comme lors de l'année 2000 par exemple.

 

2008, Matt Leinard est prié d'aller s'assoir sur le banc des remplaçants pour regarder jouer Kurt Warner. A 37 ans, Kurt saisi cette opportunité, il se dit que c'est le moment ou jamais de prouver au monde du football américain qu'il n'est pas fini. Il le prouve, mais en plus il met tout le monde d'accord. Kurt Warner était le meilleur il y a déjà bientÎt 10 ans et il reste encore le maitre incontesté de la discipline. Grùce à ce second souffle et à l'émergence de Larry Fitzgerald au poste de Wide Receiver, les Cardinals parviennent à se qualifier pour les playoff. Une distinction inespéré pour les Cardinals, la saison s'achÚve sur un record de 9 victoires et 7 défaites.La légende refait surface, ca ne s'invente pas.

 

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Le 3 Janvier, Kurt et tout sa clique s'impose pour le premier tour des playoff face Ă  la Wilcard : Les Falcons d'Atlanta (30 Ă  24), il accĂšde par la mĂȘme occasion en demi finale de confĂ©rence. Les fans sont Ă©bahis, ils n'imaginaient vraiment pas une saison comme celle ci. La demi aura lieu 7 jours plus tard face aux Panthers de Carolina.

 

C'est définitif, Kurt Warner retrouve une seconde jeunesse, aprÚs avoir effectué 2 touchdowns face aux Falcons, il en remet 2 face aux Panthers. Seul point négatif, la défense des Cardinals n'a pas su protéger son fer de lance, qui a encaissé 5 plaquages d'une violence inouïe. Mais le gaillard est costaud et ne veut surtout pas raté la finale de conférence, car les Cardinals ont encore gagné. Cette fois ci sur le score de 33 à 13.

 

La finale de confĂ©rence Ă  lieu face aux Eagles de Donovan Mcnabb, un quarterback au physique impressionnant et qui rĂ©side ĂȘtre l'un des meilleurs quarterback du moment. Il en faut nĂ©anmoins un peu plus pour faire peur Ă  Golden Kurt. Les commentateurs en perdent la voix mais la regagne trĂšs rapidement pour distiller un "ARE YOU KIDDING ME" tellement la performance de Kurt est invraisemblable, la foule scande son nom durant tout le match, Donovan n'existe plus pour le public, le demi dieu est en action et rien ni personne ne l'arrĂȘtera.

 

 

4 Touchdowns, aucune interception et une évaluation de 145.7, Kurt Warner prend feu. Les boys bands ne peuvent rivaliser avec cet homme. Le gendre idéal de toute l'Amérique qualifie son équipe pour le superbowl qui s'effectuera devant plus de 70 000 spectateurs et un nombre incalculable de téléspectateurs.

 

Tout le monde souhaite alors un happy ending, le rĂȘve amĂ©ricain il n'y a que ça de vrai. Pour l'anecdote ce superbowl sera surnommĂ©, Recession Bowl, compte tenue de la crise Ă©conomique qui touche les Etats Unis. Ford, Chrysler et General Motors renoncent Ă  payer des spots publicitaires pendant le match. Les billets pour le match seront vendu 2500 dollars soit une rĂ©duction de 40 pour cent vis Ă  vis de l'annĂ©e derniĂšre.

 

 

Le match en lui mĂȘme ? Un des plus superbowl si ce n'est le plus beau de la dĂ©cennie. Ben Roethlisberger quarterback des Pinguins tente de tenir la dragĂ© haute Ă  Kurt Warner mais c'est peine perdu. Malheureusement, seul deux joueurs effectueront une partie exceptionnelle cĂŽtĂ© Cardinals. Larry Fitzgerald Ă  la rĂ©ception fut immense et le second pas la peine de vous prĂ©cisez tellement la logique vous le permet. 3 Touchdowns, 1 Interceptions, ce qui lui permet d'atteindre le nombre de 11 Touchdowns sur ses playoffs.

 

 

Le chef d'oeuvre de cette finale est sans aucun doute la passe de 64 yards envoyĂ© par Kurt Warner (qui d'autre le peut ?) vers Larry pour un Touchdown. A ce moment lĂ , les Cardinals mĂšne de 4 points mais Ă  deux minutes de la fin, Santonio Holmes inscrit le Touchdown de la victoire (il sera d'ailleurs Ă©lu MVP). Ce sera par ailleurs le seul touchdown distillĂ© par Ben ! Mais c'est loin d'ĂȘtre la principale occupation, comment Kurt Warner a t-il rĂ©ussi Ă  transformer cette Ă©quipe de looser, en une Ă©quipe du superbowl ? Le gĂ©nie suffit-il ? Je n'en suis pas sĂ»r.

 

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Nouvelle saison, 39 ans ça force le respect mais pas seulement. Kurt réalise 26 Touchdowns pour plus de 3700 yards, néanmoins rien ne prédestinait les Cardinals à se qualifier pour les playoffs au vue de la pré saison (4 défaites en 4 matchs). Le déclic ? Sans l'ombre d'un doute le match remporté pour le compte de la 11Úme journée face aux Vikings de Breet Favre et d'Adrian Peterson.

 

3 Touchdowns de Sir Warner au cours de ce match, une évaluation de 127.7, mais ce n'est pas le seul gros match de Kurt. Face aux Bears de Chicago Kurt avait dépassé les 130 en évaluation avec pas moins de 5 Touchdowns et seulement 260 yards de parcourus.

 

 

Les playoffs sont désormais une évidence pour le vétéran des cardinals, l'équipe n'est pas bonne défensivement mais n'ayez crainte .. Kurt est présent.

 

Premier match des playoffs face aux Packers de Green Bay, Hum les packers ça ne vous dit rien ? Comme un air de vengance pour Kurt.

 

Si le Cardinals vs Steelers était l'un des plus beau match de superbowl d'ailleurs, le Cardinals vs Packers est le plus beau match all time qui m'a été donné de voir. Il obtiendra par ailleurs la note de 97/100. Aaron Rodgers vs Kurt Warner, un duel au sommet et comme d'habitude, au poste de quarterback c'est toujours un mano à mano, mais à la fin c'est toujours Kurt Warner qui gagne.

 

 

Un mot sur Kurt ? 29/33 soit 4 passes ratés un pourcentage affolant les compteurs, bref il fait payer ce manque de confiance aux Packers lors de son début de carriÚre. 15 ans aprÚs la vengeance est terrible. La Franchise de l'Arizona se qualifie pour la demi finale aprÚs avoir gagné ce match 51 à 45 en overtime.

 

Mais la suite sera impossible. Reggie Bush, Drew Brees, Pierre Thomas, Marques Colston, Jeremy Stockey. La défense des Cardinals va passer une sale soirée. Personne ne se démarque pour recevoir les passes stratosphériques de Sir Kurt, le score est sans appel : 45 à 14.

 

Kurt Warner déclarera peu de temps aprÚs qu'il mettra fin à sa carriÚre. Une carriÚre que dis je une ode, une oeuvre, une épopée. Nul doute que ce dernier sera introduit au Hall of Fame, puisque lors de ses 24 derniÚres années, 15 quarterback ont été introduits au Hall of fame et tous ont été moins impressionnants que Sir Kurt.

 

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Bien, beau travail.

J'ai été visiter ton site, il y a pas mal de bon article intéréssant, nickel continue..

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Merci c'est sympa à toi. Une saison sans Kurt ça m'fait bizarre bordel !

 

Ce soir pour les interessé Manning vs Sanchez ou Jets vs Giants ! 2h du mat'

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Oh yeah

Le foot Us, mais qu'est ce que je kiffe d'ailleurs je suis en pleine reflection a essaye ce sport en Ile de France.*

Y a t'il des joueurs qui joue?

 

 

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La pré saison a déjà commencé. Le week 1 de la pré saison est terminé. Il y'a encore 3 Week end normalement pour la pré saison et aprÚs Here We go ! Celle de 2009 avait démarré le 10 septembre.

 

Steve Smith : La perle des Giants

 

Le Wide Receiver des Giants de New York vient d'effectuer une somptueuse saison avec son club, remplaçant de Plaxico Burress. Smith désormais ùgé de 25 ans fait l'objet d'admiration de la part des spécialistes. Mais alors qui est Steve Smith ?

 

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Ce californien naquit dans l'Alaska Ă  Anchorage pour ĂȘtre complet. Un nom prĂ©destinĂ© tout comme l'acteur canadien des annĂ©es 90, le joueur de basket amĂ©ricain, l'ancien dĂ©fenseur des Oilers d'Edmonton et des Blackhawks de Chicago et bien entendu le footballeur amĂ©ricain des Panthers de Carolina qui a dĂ©jĂ  effectuĂ© un Pro Bowl.

 

Steve Smith sait absolument tout faire. La preuve il a joué au basket ball dans son université au cÎté de l'actuel meneur des New Jersey Nets : Jordan Farmar. DÎté d'un physique infatigable, l'ex joueur de USC dans laquelle il a évolué avec notamment Reggie Bush, Lendale White et Sam Baker, a également été le seul joueur a remporté un titre avec son équipe avec trois équipe différentes dans trois championnats différents : High School football avec Taft dans laquelle il jouait pour les Toreadors, College Football et le titre avec l'université de USC, enfin le titre avec les Giants en 2008.

Steve Smith fut repĂȘchĂ© par les Giants au 2Ăšme tour en 51Ăšme position, bien loin des Joe THomas, Adrian Peterson ou encore Patrick Willis.

 

Lors de sa premiĂšre saison au Giants, Steve Smith joue trĂšs peu, bloquĂ© par Plaxico Burress il ne joue que 5 matchs sans inscrire le moindre touchdown et effectuant 63 yards en 8 rĂ©ceptions. Les Giants gagneront le superbowl avec un Eli Manning inspirĂ© dans cette finale (ca sera peut ĂȘtre la seule fois de sa carriĂšre mais ce n'est pas le sujet), et des Wide Reicever qui abbĂątent un boulot monstre Ă  la fin du match puisque les Giants l'emporteront dans les 30 derniĂšres secondes. N'oublions pas de citĂ© dans ce superbowl Osi Umenyiora !!

Steve s'avoure le titre avec la franchise de la Big Apple mais il prépare déjà la saison prochaine.

 

Plaxico Burress est en déclin, cela laisse un peu plus de place à Steve au cÎté de Amani Toomer qui rappelons le, fin 2007 détenait le record de réceptions cumulées pour un joueur des Giants juste devant le légendaire Tiki Barker. Toomer aidera d'ailleurs Smith lui permettant de mieux s'intégrer en le prenant sous son aile. Une saison correct pour le néo Giants, qui parcourra plus de 574 yards en 57 réceptions, soit plus de 3 réceptions par match. Malgré tous ses efforts le receveur natif d'Anchorage ne marquera qu'un seul petit touchdown.

Début de la saison 2009, Amani Toomer part en direction des Chiefs de Kansas City et Plaxico Burress a été coupé par les Giants pour diverses histoires. Le champ est libre, l'incroyable histoire de Mister Smith peut alors commencer.

 

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Premier match de la saison réguliÚre, Smith aide les Giants a batre les Redskins de Washington en parcourant 80 yards, sans touchdown certes mais le Freshman redouble d'effort pour parcourir les yards lors de ce match. Plusieurs grandes performances pour Steve, notamment ce match face aux Chiefs d'Amani Toomer, son mentor. 2 Touchdowns pour Steve et une victoire pour les Giants grace à sa nouvelle perle.

 

Les Giants ne se qualifieront pas pour les playoffs cette annĂ©e mais Steve Smith aura marquĂ© les esprits avec notamment 1220 yards parcourus (autant que Reggie Wayne et encore plus que Larry Fitzgerald), 7 Touchdowns et 107 rĂ©ceptions (record pour la franchise). Ces stats ont valut Ă  l'athlĂ©tique receveur de figurer au pro bowl, appelĂ© en derniĂšre minute pour remplacer la superstar Larry Fitzgerald. Steve Smith n'a pour le moment pas eu l'occasion de confirmer son excellente saison car nous n'en sommes qu'au stade de la prĂ© saison, mais nul doute que l'ex pensionnaire de USC sera encore une fois redoutable. Il faudra tout de mĂȘme que Eli Manning fasse un peu mieux que sa saison en demi teinte pour que la marge de progression de Smith soit effective.

 

Combinons Ă  cela l'Ă©mergence d'Hakeem Nicks dont les rĂ©ceptions sont ahurissantes de part son contrĂŽle et sa dextĂ©ritĂ©. Pour sa premiĂšre saison Hakeem Nicks a dĂ©jĂ  inscrit 6 Touchdowns et parcouru prĂšs de 500 yards nul doute que ce dernier sera un des maillons fort du renouveau des Giants, espĂ©rons juste que Tom Coughlin ne fasse pas la mĂȘme erreur de gestion qu'en 2005 (Virer Kurt Warner pour faire confiance Ă  Manning mĂȘme si ce dernier a gagnĂ© le superbowl, mais on ne refait pas l'histoire).

Autre bonne nouvelle pour les Giants malgrĂ© le dĂ©clin perpĂ©tuelle de Brandon Jacobs au poste de running back, c'est la superbe partie de Victor Cruz. Avec 3 touchdowns bien aidĂ© par Jim Sorgie, et 6 rĂ©ceptions pour 145 yards (25 yards de moyenne), le rookie pourrait ĂȘtre une nouvelle attraction dans les annĂ©es Ă  venir.

 

 

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