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Nom du Club: Real Madrid Club de Futbol

Pays:
Espagne

Fondation: 1902

Stade: Santiago Bernabeu (80000 places)

Président: Ramon Calderon Ramos

Entraineur:
Fabio Capello

Site officiel: http://www.realmadrid.es


Effectif


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Voici un topic pour parler de tout ce qui concerne le Real Madrid

Modifié par Liri

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il y a 7 minutes, Aurios-Inter a dit :

😲😳🤔

 

 

Comment le Real paierait 100 millions à Dortmund alors que la clause de Haaland est à 75 millions ??! 🤔

il y a 1 minute, Kamilito a dit :

Comment le Real paierait 100 millions à Dortmund alors que la clause de Haaland est à 75 millions ??! 🤔

Effectivement 🤔

À moins d'une tentative cet hiver. Mais je n'y crois pas.

Même si c'est un fake news il faut arrêter avec les commissions, c'est au joueur de payer l'agent et non au club. Il faudra paye Raiola, le père de Haaland sans oublié les cousins cousines de Haaland.:bigrin:

il y a 23 minutes, ultra-inter a dit :

Même si c'est un fake news il faut arrêter avec les commissions, c'est au joueur de payer l'agent et non au club. Il faudra paye Raiola, le père de Haaland sans oublié les cousins cousines de Haaland.:bigrin:

Et le nutritionniste 

  • 3 mois plus tard...

Carlo Ancelotti, premier entraîneur sacré dans tous les Championnats du Big 5

L'entraîneur italien, sacré avec le Real Madrid ce samedi, a désormais été champion dans les cinq Ligues majeures.

Milan, comme à la maison

Carlo Ancelotti n'a été champion d'Italie qu'une fois, en 2004, et c'en est presque étonnant tant son long passage à la tête de l'AC Milan (huit ans) correspond aux derniers feux du club alors présidé par Silvio Berlusconi. La grande maison lombarde n'est plus le laboratoire novateur des ses années de joueur (1987 à 1992) sous les ordres d'Arrigo Sacchi, mais elle reste une référence nationale et européenne. Avec Milan, Carlo Ancelotti éloigne son image de perdant née d'une expérience peu concluante à la Juventus Turin (1998-2001), où on lui a reproché une certaine rigidité.

Chez les Rossoneri, il ajoute deux Ligues des champions à celles déjà gagnées comme joueur, en 1989 et 1990. Entre les conquêtes de 2003 et 2007, il y a le traumatisme d'Istanbul, cette finale perdue aux tirs au but contre Liverpool après avoir mené 3-0 à la pause, en 2005. Mais c'est quelque part après cet échec que l'entraîneur Carlo Ancelotti s'affirme. Le schéma en arbre de Noël (4-3-2-1), puis l'installation de Pirlo en sentinelle ou la titularisation, contre toute logique apparente, de Filippo Inzaghi en finale de la C1 2007, ce sont autant de coups restés dans les mémoires italiennes.

Le titre conquis en 2004 est celui de la maîtrise des instants clés : l'AS Rome a marqué plus de buts que l'AC Milan, elle en a concédé moins. Mais Milan a gagné les matches clés, dont l'affrontement décisif entre les deux clubs (1-0), avec une équipe très solide (Maldini, Costacurta, Cafu, Nesta, Pirlo, Kaka, Rui Costa, Seedorf, Redondo, Chevchenko, Inzaghi...) qui commettra un impair majeur cette saison-là : la défaite 0-4 sur la pelouse de La Corogne, en quart de finale de C1, après avoir gagné 4-1 à l'aller.

Chelsea, la renaissance

En débarquant en Angleterre, en 2009, il découvre un environnement différent, avec un propriétaire beaucoup moins intrusif mais tout aussi exigeant. Sa réussite est immédiate, avec le premier doublé Championnat-Cup de l'histoire des Blues. Carlo Ancelotti ramène une forme de sérénité après la tumultueuse saison 2008-2009. Son équipe bat le record de buts sur une saison de Premier League (103), Didier Drogba est meilleur buteur (29 mais aussi 13 passes décisives), secondé par un Frank Lampard au sommet (22 buts, 17 passes décisives). Ancelotti affirme sa capacité à se mettre dans les chaussons de ses prédécesseurs.

Après les mandats douloureux de Luiz-Felipe Scolari et Guus Hiddink lors de la saison précédente, il a ressuscité la force du Chelsea de José Mourinho, en se basant sur les hommes de base de l'époque du Portugais. Mais il ne conquiert pas cette C1 qui est alors l'obsession de Roman Abramovitch, stoppé en huitièmes de finale par l'Inter Milan du « Special One ». Et la deuxième place derrière Manchester United, au printemps 2011 le condamne.

À Londres, pourtant, il affine son management. Lors de cette deuxième saison, après une entame quasi parfaite, Chelsea est amoindri par des blessures majeures (Drogba, Lampard, Terry...) mais refait surface au printemps malgré le flop du transfert de Fernando Torres, acheté 58 millions d'euros à Liverpool lors du mercato d'hiver (près de trois mois sans marquer). Confronté, comme à Milan, à un effectif sur le déclin, comme repu de titres sous l'ère Mourinho, il montre son art de la navigation au sein des ego, établit sa capacité à exporter son savoir.

Paris, l'évidence

À Paris, c'est l'ancien de Milan qui débarque en décembre, pendant la trêve, recruté par Leonardo, un ancien du club lombard, pour remplacer un Antoine Kombouaré pas assez glamour aux yeux du nouveau propriétaire qatarien. Le PSG est alors en tête de L1, avec trois points d'avance sur Montpellier. Il échoue pourtant à remporter le championnat en fin de saison. Il y parviendra un an plus tard, avec une équipe aux ressorts très « italiens ».

Au mercato d'été, Leonardo a recruté essentiellement en Serie A (Lavezzi, Verratti) et déniché ses cadres (Thiago Silva, Zlatan Ibrahimovic) à l'AC Milan. C'est le troisième titre du club, le premier titre de l'ère QSI. Mais il est acquis dans un climat étrange, rappelé récemment par le « Mister », dans une interview au quotidien espagnol AS : « La culture française ne se résume pas au football, il y a le rugby, les chevaux... Les Français arrivaient une demi-heure avant l'entraînement et repartaient une demi-heure plus tard. On a commencé à construire une structure, à installer une cuisine... J'ai aimé le projet mais la deuxième année, ils n'étaient pas si contents de moi. Pour un match de Ligue des Champions pour lequel nous étions déjà qualifiés, nous avons perdu un match de Championnat avant de gagner et ils m'ont dit que si je ne battais pas Porto, ils me licencieraient... Je leur ai dit comment ils pouvaient me dire ça, ça brise la confiance. J'ai décidé en février que je voulais partir, même s'ils désiraient me renouveler. »

Bayern Munich, l'exception

Quand il débarque au Bayern Munich en 2017, après une année sabbatique, Carlo Ancelotti est devenu une sorte de marque établie : son premier passage au Real Madrid (2013-2015), validé par la conquête de l'obsessionnelle « décima » (la 10e Ligue des champions du club espagnol), a convaincu la planète foot de sa capacité à tirer le meilleur parti d'un effectif en préservant la concorde. « Si l'ambiance avec Ancelotti était si bonne, c'est parce que, entre autres choses, il protégeait le vestiaire du président et de tout ce qui pouvait perturber l'équilibre de la famille », expliquera ainsi Cristiano Ronaldo.

En Bavière, Carlo Ancelotti semble imposer d'entrée son style : pour son premier match officiel à la tête de l'équipe, il gagne la Supercoupe d'Allemagne face au Borussia Dortmund après trois années d'affilée sans succès dans cette épreuve sous Pep Guardiola. C'est aussi le premier match depuis l'ère du technicien catalan où le Bayern finit la rencontre avec une possession de balle inférieure à l'adversaire.

De fait, le Bayern version Ancelotti revient à un jeu plus direct, plus proche de celui prôné par Jupp Heynckes, vainqueur de la C1 en 2013. L'Italien parvient enfin à gagner le titre national dès sa première saison, avec 21 points d'avance sur le deuxième, Schalke 04. Une routine : c'est le cinquième Championnat d'affilée, et la série est toujours en cours (le Bayern vient de conquérir le 10e à la suite). Mais la saveur de l'échec s'invite en demi-finale de la Ligue des champions, perdue face au Real Madrid (1-2, 2-2)

Recruté pour gérer l'après-Guardiola, il est éjecté au début de sa deuxième année, après une défaite 0-3 contre le PSG en phase de groupes de la Ligue des champions. Pour une fois, il a braqué une partie du vestiaire, et pas les moindres de joueurs : Franck Ribéry, Mats Hummels, Jérôme Boateng (les trois étaient sur le banc lors de la défaite face au PSG) et même Robert Lewandowski ne comprenaient plus la gestion du « Mister », selon les médias allemands. Le magazine Kicker révèle même ce jugement terrible d'Arjen Robben aurait même estimé que les "entraînements de son fils (qui jouait alors chez les jeunes du Bayern) étaient meilleurs" que ceux d'Ancelotti. Sa composition d'équipe illisible et sa passivité sur le banc, au Parc des Princes, semblent trahir un entraîneur dépassé.

Real Madrid, la deuxième maison

Carlo Ancelotti a entamé l'été dernier, à 61 ans, un onzième mandat d'entraîneur principal, mais pas dans un onzième club : pour la première fois de sa carrière, il effectue son retour. Au Real Madrid, pour succéder à Zinédine Zidane, son adjoint lors de la « decima » avant de conquérir comme coach de trois C1 à la suite (2016, 2017, 2018) et de revenir lui aussi, en mars 2019, pour un peu plus de deux années de mandat. Comme toujours, c'est la science de l'adaptation de l'Italien que Florentino Pérez a rappelé à ses côtés.

À Madrid, il n'a rien révolutionné, fidèle à un 4-3-3 qu'il adapte vraiment à la marge, faisant invariablement confiance à des cadres qui ne vieillissent pas tous aussi bien que Karim Benzema. Toujours maître mais connecté à son vestiaire, il prend des décisions fortes, comme le remplacement de Toni Kroos en quart de finale retour de la C1 ou les sorties de David Alaba à la pause et de Luka Modric en deuxième période sur la pelouse de Manchester City, en demi-finale aller. Calme même dans la tempête extrême de l'Etihad, fidèle au précepte des entraîneurs de sa génération qui, comme Gérard Houllier, veillaient à ne surtout pas précipiter le premier changement.

Plus caméléon que jamais. Son cinquième titre de champion comme entraîneur, dans les cinq grands Championnats, est celui d'un manager qui a géré au mieux un effectif sans profondeur. Après deux expériences mièvres dans des structures de moindre envergure (Naples, Everton), il est de nouveau un vainqueur, comme s'il était condamné à ne diriger que les plus grands. « Les joueurs au-dessus du lot ont du mal à comprendre pourquoi ils ne jouent pas, même à 80 % de leurs moyens. Ce qui fait leur force, c'est qu'ils veulent absolument jouer tous les matchs, même blessés ou en méforme ».

Il est le premier technicien du Real Madrid à présenter un taux de victoires supérieur à 70 % depuis... son premier passage dans la capitale espagnole. Fidèle à sa ligne, rappelée en 2015 dans ces colonnes : « Le fouet, je ne sais pas m'en servir. »

Source l'Equipe.

Ça confirme bien ce que je disait, un match où il a perdu face à Rennes il me semble, les dirigeants l’ont menacés et il a jamais pardonné ça , dans sa tête il voulait partir.

Quelqu’un m’a contredit ici, disant que les dirigeants voulaient le prolonger mais qu’il a refusé car réal Madrid machin machin .

La plus grosse erreur de Nasser était de considérer Ancoletti comme de la mierda. Il a pas eu mieux depuis. 

il y a 30 minutes, bouba930 a dit :

Ça confirme bien ce que je disait, un match où il a perdu face à Rennes il me semble, les dirigeants l’ont menacés et il a jamais pardonné ça , dans sa tête il voulait partir.

Quelqu’un m’a contredit ici, disant que les dirigeants voulaient le prolonger mais qu’il a refusé car réal Madrid machin machin .

La plus grosse erreur de Nasser était de considérer Ancoletti comme de la mierda. Il a pas eu mieux depuis. 

Absolument d'accord avec toi ! 

Le match perdu c'était à Reims de mémoire.

 

Et citer Redondo au Milan dans l'équipe qui a remporté le scudetto en 2004, c'est comme si on citait Ronaldo chez nous entre 2000 et 2001, de la part de l'équipe ça m'étonne guère sans parler de l'installation de Pirlo, étant donné la tournure de pjrase ça sous entend clairement que ça émane de lui alors qu'en fait c'est Carlo Mazzone à Brescia, on pouvait y voir même quelques prémices lors de son prêt à la Reggina avec Colomba.

 

Pour en revenir à Ancelotti, disons que sa passivité tactique a clairement ruiné certaines saisons du Milan en championnat, je pense notamment à 2005 et 2009, sans parler des déliquescences incroyables en 2007 et 2008 qui étaient d'une logique implacable, le tout pas aidé pas un board conquis à sa cause sans pour autant que ça soit pas le grand amour zn ramenant des joueurs expérimentés qui n'apportaient une réelle valeur ajoutée ou bien des faux bons coups ( Genre on prend Senderos et Flamini car ils ont ete bons contre nous en C1 en 2008 avec Arsebal )...

Je parle même pas du scudetto perdu en 2001 alors que la Roma, malgré un effectif de fou, avait laissé des points dans son parcours, le 2-2 contre eux à domicile de 2001 représente de toute manière, d'un point de vue domestique ce que je veux exprimer...

 

Ca a donné pour conséquence un Milan avec une masse salariale de fou où Leonardo malgré sa prétention avakt essaye de faire bouger les choses avev un vrai projet de jeu, mais on connaît la suite malgré la parenthèse Allegri et son management de fer et ses résultats malgré un jeu d'une pauvreté affligeante.

 

La parenthèse allemande est vraiment l'incarnation de l'hypocrisie globale envers Guardiola, le monde devait voir ce que cet effectif allait donner avec un " maître tacticien ", on a vu le résultat, l'équipe étant moins bonne partout.

 

Après pour être positif, évidemment qu'il reste un super gestionnaire et un préparateur hors-pair des grands rendez-vous européen, dans les bons et mauvais contextes avec un degré de chatte assez important en C1 ( je me souviens encore du PSV Milan qui à mon humble avis est une des plus grosses claques reçues par un clib italien en C1, plus que celle du Dépor en 2004 dans le contenu ), un peu plus quun Mourinho mais évidemment bine loin de Zidane qui est et restera un maître en la matière, après la C1 de 2014 tout le monde sait que c'est Pippogoat7 qui a tout fait seul comme rappelle son BO au score qui rend la saison de Benzema de cette année au rang de celle d'un Morata.

 

En tout cas, les mauvaises langues diront, énième championnat gagne sans concurrence concrète, hormis la PL de 2010 ( Son Chelsea jusqu'en février 2010 était LE favori de la C1 souvenez-vous ) ce qui est pas faux, même celui de 2004, la Juve et la Lazio sont HS,sans parler de nous-mêmes...

 

Mais il n'empêche que ça reste un grand mister, c'est pour être pointilleux en tant que passionné.

 

 

Modifié par Sky-Inter

Mais même à Naples y avait eu une embrouille entre lui et De Laurentiis. Du coup il avait décidé de se barrer en pleine saison et c'était sacrément dommage pour les napolitains car ils auraient pu aller très loin avec lui que ce soit en Série À ou en C1. Le Napoli d'Ancelotti était vraiment impressionnante à voir

Ancoletti c’est quelqu’un, il veut bosser en paix, et qu’on lui fasse confiance , il signe un projet et tu l’observe , il est pas là pour subir les caprices d’un producteur de film X, et d’un amateur de tennis .

Dans sa tête sa carrière parle pour lui, et à partir du moment où le dirigeant commence à lui mettre la pression c’est qu’il ne croit pas ou n’adhère pas au projet .

Respect Carlito, encore un titre (pas le plus compliqué) ajouté à une belle et longue carrière, en attendant le dénouement de la C1 d'ici quelques semaines.

  • 4 semaines plus tard...

Mbappe qui se fait insulté sur Paris de hijo de p*** , les chants plus les tee shirt contre lui , par les supporteurs du Real  🤣

il y a 56 minutes, Momo_Goku a dit :

Que c'est gênant ! Donc, ils ont tellement rien de grand a célébrer, qu'ils célèbrent un renouvellement ? En chambrant le Real ?! 13 C1 ? Classe 😎 

Voila comment je vois les fans du QSG !

779946-justin-berfield-dans-malcolm-que-devie-diapo-1.jpg

  • 2 semaines plus tard...

Ils ont recruté Tchouameni, ça parle de 100M. C'est abusé, c'est devenu n'importe quoi les prix.

Il y en a qui ont de l'argent

Modifié par SANGOKU

Sans commentaires...

Le gars qui s'occupe des négociations chez Monaco nous ferait énormément de bien, financièrement. On devrait se pencher sérieusement sur la question.

Monaco ils ont une politique, c’est de prendre des jeunes que personne connaît les former, les faire connaître et les vendre, ils ont rien à foutre du projet mais s’ils disent le contraire tout haut, et ils ne sont pas dans l’obligation de vendre !

Quand t’es pas obligé de vendre et qu’on sonne à ta porte, tu peut te permettre de flamber les prix. 
 

La com aussi, hein parce que répéter à tout le monde qu’il nous faut 60M bah les autres ils savent que t’es en chien . 

  • 2 mois plus tard...
  • 8 mois plus tard...

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