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  • Poste : Milieu

  • Date de naissance: Aucune valeur
  • Pays : Allemagne

  • Ville : Erlagen

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Lothar Matthaus est un milieu de terrain allemand né le 21 Mars 1961 à Erlangen en Allemagne.

Il commenca sa carrière à l'age de 16 ans avec le club local du Fc Herzogenaurach, il se fait tres rapidement repéré par les clubs de l'élite allemand. C'est alors qu'a l'age de 18 ans Lothar Matthaus s'en va pour l'un des meilleurs clubs Allemands du moment qui est le Borussia Monchenglabach ou il restera durant 5 longues années.

Il réalise sa meilleur saison depuis sa très jeune carrière et cela ne passe pas inapercue puisqu' a la fin de la saison avec son club, le sélectionneur de la Mannschaft décide d'emmener Lothar Matthaus avec lui pour le Championnat d'Europe des nations 1980 en Italie.

Matthaus ne jouera point lors de cette compétition, mais l'Allemagne remportera le titre en battant la Belgique 2-1, à l'age de 19 ans Lotthar Matthaus devient l'un des plus jeunes joueurs champion d'Europe.

En 1982 il sera de nouveau convoqué pour joué cette fois ci la prestigieuse Coupe du Monde qui se déroulera chez lui en Allemagne, il y fera ses débuts avec la Mannschaft en rentrant en cours de jeu face au Chili (match remporté 4-1 avec un triplé de Karl Heinz Rummenigge )

Malheuresement la finale échappera au Allemand qui se feront battre 3-1 par une exellente équipe italienne qui comptait dans ses rangs de très bons joueurs tels que: Alessandro Altobelli, Paolo Rossi, Marco Tardelli ou encore la révélation de cette finale le jeune défenseur Intériste de 19 ans Giuseppe Bergomi.

Deux années plus tard Lothar Matthaus disputa son deuxième championnat d'Europe des nations en France (1984) à seulement 23 ans mais l'Allemagne ne réditera pas son magnifique parcours de 1980 puisqu'elle se fit sortir en poule.

En 1984 Lothar Matthaus quitta le Borussia Monchenglabach après 5 années de bons et loyaux services rendus au club pour partir dans le plus prestigieux des clubs allemands : Le Bayern Munich qui malgré le départ de son attaquant vedette Karl Heinz Rummenigge pour le Fc Internazionale Milano compte encore dans ses rangs d'exellents joueurs.

C'est la consécration pour ce petit génie allemand qui a su gérer sa carrière le plus intelligement qu'il soit, il remportera lors de sa deuxième et troisième saison au Bayern Munich le titre de Champion d'Allemagne, ainsi qu'une coupe d'Allemagne en 1986.

Au Bayern Munich Lothar Matthaus réalise de très belle performance ce qui fait de lui un des leader de son équipe, Lothar est doté d'une interlligence et d'une vision du jeu hors du commun.

En 1986 Lothar participe à sa deuxième coupe du monde consécutive mais contrairement à sa première coupe du monde Lothar Matthaus jouera l'intégralité des matchs lors de cette compétition, il se fit remarqué par touts les observateurs et journalistes.

Lors de la finale de 1986 disputé face au Argentin c'est un duel entre les deux plus grands numéro 10 du monde Lothar Matthaus et Diego Armando Maradona joueur du SSC Napoli et pourtant cela avait bien mal débuté pour la Mannschaft finissant 2eme de leur poule avec seulement quatres petits points.

Malheuresement lors de cette finale le talent de Lothar Matthaus n'a pas suffit puisque l'Argentine remportera ce match de légende 3-2 devant 115000 spectateurs présent au Stade Aztèque.

Matthaus bien que très décu par l'issu de cette finale, continua de briller avec son club le Bayern Munich. Preuve en est puisque le milieu de terrain allemand remporta en 1987 un nouveau titre avec le Bayern Munich ce qui fait de Lothar Matthaus à l'age de 26 ans l'un des joueurs allemands les plus titrés (1 coupe d'europe, 1 finale de Coupe du monde, 3 championnat Allemands ainsi qu'une coupe d'Allemagne).

En 1988 Lothar Matthaus fut transféré au Fc Internazionale Milano, les Tifosi de l'Internazionale sont enchantés de la venue du joueur Allemand. Il perpétué ainsi une tradition germanique dans le club car après Karl Heinz Rummenigge (1984-1987) c'est au tour de Lothar Matthaus de jouer sous les couleur de l'Internazionale.

Son temps d'adaptation sera très cours, en partie grace à la signature la même année de son ami et coéquipier en sélection nationale Allemande Andreas Brehme.

Lors de sa première saison avec l'Inter Lothar Matthaus réalise une très bonne saisons ne rattant que 2 matchs de championnat italien et inscrivant 9 buts en 32 matchs, cette année l'Internazionale est quasiment inaretable, il surclasse tout les équipes de Serie A et remporte par la même ocasion son 13ème titre de champion d'Italie.

La saison suivante sera la meilleur pour le génie Allemands, en effet il remporta la Supercoupe d'Italie battant au passage la très bonne équipe de la Sampdoria de gênes 2-0

Mais ce n'est qu'un début, Lothar remporta enfin la coupe du monde en inscrivant quatres buts durant la compétitions, un véritable soulagement après les deux échecs consécutifs de 1982 et 1986 ou l'Allemagne avait finit finaliste lors de ses deux éditions. L'allemagne remportera la finale une fois n'est pas coutume face à l'Argentine du génie argentin Diego Armando Maradona qui cette fois si ne pourra rien face aux Allemands. Lothar finira deuxième meilleur joueur de la coupe du monde 1990.

Après sa brillante coupe du monde, Lothar fut nommé Ballon d'or 1990 ce qui fut un rêve pour le joueur allemand devenu une évidence tellement il avait surclassé tout ses concurents direct comme Schillaci, son coéquipier Andreas Brehme ou encore Paul Gascoigne. Lothar fut également nommé joueur fifa 1990 et 1991 ainsi que meilleur joueur allemands les mêmes années.

Pour Giovanni Trapattoni, Lothar est un véritable leader pour son équipe et c'est lors de la saison 1990/91 qu'il réalise la meilleur saison de sa carrière jouant 31 matchs de championnat italien et inscrivant 16 buts, assez incroyable pour un milieu de terrain mais la ou Lothar avait échoué les années précédentes avec l'Inter il le réussit cette année puisqu'il gagne la coupe de l'Uefa avec l'Inter jouant tout les matchs de la compétition et marquera 6 buts (Finale gagné face l'As Roma de Rudi Voller) , il inscrira d'ailleurs le premier but de son équipe lors de la finale retour.

En 1991/92 Lothar Matthaus se montre moins décisif avec son club ne marquant que 4 buts en 27 rencontres, malheuresement l'ami et entraineur de Lothar, Giovanni Trapatoni n'entrainera plus l'Inter la saison prochaine. Il sera remplacé par Orico qui jugera que l'Inter n'a plus besoin de Lothar Matthaus, malheuresement Orico a semble t'il pris la mauvaise décision.

Lothar Matthaus repart pour le Bayern Munich club ou il jouera à un nouveau poste qui est celui de Libéro, Avec le Bayern Munich Lothar a tout gagné à l'exception d'une coupe européenne et cela sera chose faite en 1996 puisque le Bayern Munich gagne la coupe de l'Uefa face aux girondins de Bordeaux (2-0 à l'aller et 3-1 au retour) puis en 1998 et 1999 gagnera deux coupes d'Allemagne.

A l'age de 35 ans Lothar Matthaus à tout gagner et en plus d'avoir un palmarès flamboyant avec ses clubs respectifs, il a des statistiques avec la Mannschaft qui seront difficilement égalables (150 sélections pour 23 buts), participant à 5 coupes du monde et jouant 25 matchs lors de ces 5 coupes d'une monde, c'est en effet un record jusqu'a présent jamais égalé.

En 2000 et à l'age de 39 ans Lothar Matthaus partit aux Etats Unis pour jouer avec le club de New York Metrostars, il y jouera durant une saison avant de faire une dernière compétition européenne (Euro 2000) et pris sa retraite en tant que joueur de football.

Il débuta une nouvelle carrière, celle d'entraineur ou dans un premier temps il entrainera l'équipe autrichienne du Rapid de Vienne puis le Partizan Belgrade. En 2003 il se voit proposer le poste de sélectionneur de la Hongrie, Lothar saute sur l'ocasion mais il démissionera de ses fonctions 3 ans plus tard estimant que les résultats de l'équipe nationnale ne sont points satisfaisants (29 matchs, 13 victoires, 3 nuls et 13 défaites) mais surtout pour l'unique et bonne raison que la Hongrie n'est pas qualifié pour le mondial 2006 qui se jouera en Allemagne.

En février 2006, Lothar Matthaus devient l'entraineur de l'équipe brésilienne de l'Atletico Paranense.

Lothar était un joueur d'exception qui en signant à l'Inter, nous a nous suporter intériste émerveillé de part sa motivation et son ame de guerrier.

Une phrase qui symbolise l'amour qu'a Lothar envers l'Inter: "les joueurs du Milan Ac peuvent embrasser mes fesses je ne quitterais jamais l'Inter pour le Milan Ac" :laugh:

"L'indomabile guerriero" restera une des légendes de l'Inter et du football Allemand.

 


Réactions & Commentaires

Commentaires recommandés

tu as serré la main de Lothar ??? put... mais revends là moi alors !!! :debile1:

 

En fait il a plutôt été poussé vers la sortie car les dirigeants d'alors ne pensaient pas qu'il reviendrait au top niveau après une grave blessure... Mais il est revenu...

Quand je disais giclé je parlais de moi et mon père Lol.

Enfaite j'étais voir un match du Bayern contre le Racing C. Strasb. et en rentrant on croise le bus de Bayern en panne avec Matthaus Helmer Lizarazu et Hoenes qui cherchait un taxi pour aller a l'aéroport, on s'est arrété pour aller les voir mais Lothar ne voulait pas qu'on reste pour évité que toute les bagnoles s'arretent et bloque la circulation.

 

Il a été un peu sec dans sa facon de parler alors Hoenes nous a envoyé les autographes de toute l'équipe (dont Matthaus) quelque jous après par courrier!

Rien qu'à voir certaines actions, qu'on ne me dise pas qu'il n'est pas possible de jouer l'offensive en Italie (même si c'est un derby)... rien qu'à voir les forces en présence côté rossonero...

 

C'est marrant mais j'ai toujours l'impression qu'à l'époque, on récompensait vraiment les meilleurs joueurs et pas juste les plus spectaculaires. Les 3 ballons d'or récents sont Kaka, CR7, Messi. Et dans le fond, ce sont tous les 3 des profils similaires : dribbleurs, rapides, ils peuvent faire le show etc. C'est pas qu'ils ne le méritent pas mais bon...

 

Quand tu vois qu'à l'époque, un Matthaüs ou un Van Basten avait un BO, ça change quand même. Enfin, ils étaient spectaculaires, mais dans le même genre qu'aujourd'hui à mon avis.

non pas dans le même genre qu'aujourd'hui, des profils différents mais aussi spectaculaires Steph' je peux te l'assurer pour les avoir vu jouer. Van Basten te collait des retournés en lucarne de près de 20 mètres, des dizaines de buts en talonnades, des têtes plongeantes décroisées comme on n'en voit rarement... C'est quand même le joueur majeur que cite Maradona quand on lui demande d'en citer un qui a évolué en Italie depuis que lui a arrêté.

Quant à Matthäus, c'était celui dont Maradona disait que c'était son adversaire le plus redoutable. Sacrément spectaculaire, bien plus complet que Messi, Kaka ou CR justement car il avait un profil un peu comme celui de Gerrard, il savait tout faire sauf qu'il était encore meilleur. Je l'ai vu coller des reprises de volées en lucarne de plus de 20 mètres, dribbler plusieurs joueurs à lui seul avant d'aller marquer... j'vais essayer de retrouver ça je crois que c'est sur le net.

Mais je t'assure qu'au niveau du spectacle ces deux là n'ont rien à envier aux derniers ballons d'or. ;)

 

Je sais que c'est difficile à percevoir pour ceux qui n'ont pas jouer au foot dans les années 80 ou au début des années 90 mais quand les mecs tirent de loin à l'époque c'est beaucoup plus difficile qu'aujourd'hui, les chaussures de foot faisaient mal aux pieds et aux orteils au bout de 30 minutes de jeu et les ballons étaient beaucoup beaucoup plus lourd. Les gestes techniques étaient plus difficiles à réaliser qu'aujourd'hui.

 

(terrible le premier but, digne de lui le vieux filou)

 

Vers les 1 minutes de cette deuxième vidéo y'a deux buts de lui supers beau qui reflètent bien ce que je disais un peu plus haut et ce qui se disait de lui à l'époque : il savait tout faire, capable de propulser des mines de 25 mètres ou de jouer en finesse.

Modifié par Kartmann

Ben voilà justement c'est ça que j'aime. Aujourd'hui on tend à privilégier un style particulier, maintenant on demande à tous les joueurs de savoir dribbler 2 adversaires à la Ronaldo (ok j'extrapole mais bon). A l'époque je pense pas qu'on louait les mérites de Van Basten à venir défendre par exemple (là encore c'est toi qui peut mieux m'informer). On l'aimait pour ce qu'il savait faire, ce pour quoi il était fait. Après c'est sûr que le foot a changé, mais d'un côté il ne s'est pas totalement transformé non plus.

 

Pour moi les Kaka, Messi, Cristiano sont d'excellents joueurs mais ils sont peut-être trop parfaits et surtout y'a une effet de mode qui les accompagne que j'aime pas. Un Lampard aujourd'hui est certes très connu, mais pourtant on ne le cite presque jamais parmi les plus réguliers alors que c'est bien ce qui fait sa force.

 

Bref, j'ai l'impression qu'à l'époque, le foot privilégiait déjà le spectacle, mais pas QU'UN seul type de spectacle contrairement à aujourd'hui. J'ai malheureusement pas connu cette époque, mais par contre j'ai suivi le foot des 90's et même si c'était pas une belle période pour l'Inter, ça reste clairement mes meilleurs souvenirs dans ce sport. Aujourd'hui, trop de Barça, trop de Manchester, trop de Messi, trop de CR7, ça m'emmerde, il n'y a pas ou peu de place pour les autres.

Modifié par steph'

Là je suis 100% d'accord avec toi, d'ailleurs on l'a constaté après le succès de l'Inter en C1. Y'a une espèce de dictature du beau jeu. Il faut être être aimer des foules pour mériter le BO... alors qu'à mon sens justement Gerrard ou d'autres comme tu dis... est-ce que ce sont pas eux les meilleurs puisqu'ils savent tout faire sur un terrain... attaquer, défendre etc...

C'est clair qu'à l'époque le spectacle était présent mais il y avait les russes qui venaient avec leur foot propre, les allemands avec le leur, les anglais pareil, à la limite les foot qui se ressemblaient le plus c'était ceux du Brésil, de la France (qu'on surnommait les brésiliens d'Europe) ou les yougoslaves. Mais c'était pas quadrillé comme aujourd'hui, c'était de l'impro total au niveau du jeu offensif (enfin je schématise mais réellement les leaders d'attaque décidaient de ce qu'ils faisaient du ballon en règle général). Mais sinon chacun avait son style et on se régalait.

Enfin ça dépendait un peu des sélections aussi mais pour la France et le Brésil justement... tout le monde était d'accord pour dire que c'était les deux meilleurs équipes du monde des années 80 (bon là par contre y'avait une mode anti-allemande parce qu'ils méritaient aussi d'être cité), en tout cas les plus douées mais justement ça les perdait. Ils étaient trop naïfs, l'assumaient à fond mais difficile de gagner dans ces conditions. Aujourd'hui on ne se rend pas vraiment compte mais la France avait réalisé un véritable exploit de remporter un Euro en jouant de cette façon à l'époque. Bon ok Platoche marchait sur l'eau avec ses 9 buts mais quand même. C'était une équipe qui, si elle avait eu plus de joueurs jouant à l'étranger aurait sans doute remporté un titre mondial. Elle manquait de rigueur tactique et comme le leader de jeu voulait jouer l'offensive... Donc il y avait ce style de foot, très apprécié de la majorité, celui des allemands très physiques, ils dominaient tout le monde de ce point de vue (suffit de matter la musculature des joueurs de l'époque), celui des russes à cheval entre les deux... le kick and rush des anglais (ça c'était rigolo à voir... parfois hyper spectaculaire et parfois du grand n'importe quoi)... Y'en avait pour tous les goûts.

Modifié par Kartmann

C'était du foot d'instinct et c'est dans ce domaine qu'on fait le plus de reproche a l'Inter, car c'est un style de foot intellectuel ou tout (ou quasi) est calculé,ou la tactique prend le pas sur la technique pur.

ouais mais est-ce que celui du Barça n'est pas étudié justement ? si je le pense mais je suis assez d'accord avec toi.

 

Mais dans un sens ça ça existait déjà à l'époque... on n'avait pas de mal à dire que le titre de meilleur joueur du monde passait de Rummenigge à Platini ou de Platini à Maradona ou encore de Maradona à van Basten car ça restait entre joueurs techniques (grosso modo ces mecs ont régné tout à tour). Mais quand est arrivé le moment où Matthäus a détrôné van Basten il y avait moins de compliments autour de lui car considéré moins technique et plus physique (les gens retenaient plus facilement ses aboiements, ses frappes de mules, son altercation avec Juanito que ses roulettes, ses dribbles, ses tacles glissés... oubliant qu'un tacle superbement réussi est un geste technique au même tire qu'un dribble). Donc ça existait déjà plus ou moins à l'époque.

Modifié par Kartmann

Si c'est aussi plus ou moins étudié mais la technique pur ne s'invente pas c'est le talent du joueur, alors que la tactique défensive et les contres calculé au millimètre c'est aussi du talent mais beaucoup plus calculé et qui doit autant au joueurs qu'a l'entraineur qui l'a mis en place, j'ai vraiment du mal a expliquer ce que je veux dire pourtant dans ma tête ca parait clair lol.

 

La difference entre le Hollandais et le teutons c'est le charme, un est un génie pur (le Batave) et l'autre un génie qui intellectualise beaucoup plus sa facon de faire (l'allemand).

Modifié par AlighieriNerazzurro

c'était de l'impro total au niveau du jeu offensif (enfin je schématise mais réellement les leaders d'attaque décidaient de ce qu'ils faisaient du ballon en règle général)

 

Ce qui me fait penser que Ronaldinho (à sa période Barça) aujourd'hui est l'un des rares, sinon le seul joueur d'aujourd'hui à maintenir en vie cette approche de l'attaque. Pas de stratégie, pas de schéma étudié de A à Z et appris par cœur, on attaque, on invente des gestes pour se sortir de toutes les situations. Sneijder, Xavi, Pirlo, ce sont des joueurs hyper talentueux mais ils ont une approche plus "mathématique" dans leur style.

Il a signé pour un an comme sélectionneur de la Bulgarie. Bon, désormais je vais suivre de près les résultats de cette équipe en espérant que ça se passe bien.

Notre Matthaus légendaire fait partie de l'équipe Dream Team de FF. Voici son ITW en intégralité parue dans FF. Bonne lecture.

Mattahaus_FF.pdf

Joueur légendaire, place légitime, profil hors de son temps pour l'époque, même si techniquement je trouve qu'on a beaucoup surestimé son niveau de jeu par rapport à ses contemporains, mais quelle activité, quelle implication, etc...

Il y avait même moyen pour lui de gagner un second BO en 1991 tant il fut incroyable, pas un hasard si la saison suivante, à cause de ses blessures, son absence à cause beaucoup de mal à l'équipe, sinon après au Bayern, dans les années 80 en Allemagne, en sélection, quelle régularité! 

Cependant assez malchanceux de pas avoir gagné une de ses 2 finales de C1 ou encore l'Euro 96 qu'il manque...

 

Dans mon équipe type historique de l'Inter, oublie que 4ans dans un club étranger pour l'époque c'était assez rare, ça commençait en fait cette tendance, sur les 4 saisons il y a 3 saisons de top player, avec une énorme importance dans le scudetto de 1989 et la C3 de 1991, même si l'élimination contre Malmo fait et fera toujours tâche en C1 en 1989..

 

Ps: Marquez est le second joueur à avoir disputé 5 CDM, ha ce Marchand, quand son chouchou Cristiano le fera il va pas oublier ça par contre hahaha...

 

 

Oui, effectivement, ce BO 1991 fut très marqué par la finale OM - Etoile Rouge de Belgrade: Papin premier et notre Lothar "noyé" autour de Savicevic, Pancev et Prosineki (à vérifier). Cette C1 qui lui a échappé (tout comme Ronaldo d'ailleurs). Et ce coup franc qui nous donne le Scudetto en 1989 (contre le Napoli). Bref, un géant!

Bon pour moi le BO de 1991 je le donne à Proscineki, mais quel joueur c'était, alors il a bidé au Real et au Barça à cause de ses blessures, mais c'était un Modric avant l'heure avec plus d'impact offensif, à Belgrade il avait ébloui en C1 et en qualif avec la Youglosavie pour l'Euro 1992...

Apres le BO de Papin était pas volé non plus...

 

Ps: Matthaus a dit que Barella était entouré de grands joueurs, dont.... Gaglardini...🧐

Modifié par Sky-Inter

il y a 2 minutes, Sky-Inter a dit :

Matthaus a dit que Barella était entouré de grands joueurs, dont.... Gaglardini...🧐

Ah... Enfin quelqu'un le relève... 😎

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