Damien
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MASSIMO MORATTI: "LES COMPTES NE SE FERONT QU'A LA FIN"
MILAN – Le président nerazzurro Massimo Moratti s'est livré à une brêve interview aux journalistes lors de sa sortie de son bureau à Saras, au centre de Milan. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l'intégralité des déclarations du Président Nerazzurro: Président, peut-on dire que l’Inter a prit beaucoup de distance ? "Non, je pense que c’est un bon moment et que quelques équipes ont des problèmes. Ce qui fait plaisir est que l’Inter a joué une très bonne première mi-temps et ça nous donne beaucoup de confiance." Cette première place est méritée et hier il y eu aussi un faux pas du Milan. Êtes-vous satisfait ? "Les comptes ne se feront qu’en fin de saison. Le championnat est difficile, je peux comprendre que tout le monde subi une mauvaise journée. Si on parle de ce lundi, on peut être satisfait de ce point de vue." Lors de l’après-match contre Naples, Josè Mourinho a déclaré aux supporters nerazzurri qu’ils étaient un peu froids. Est-ce que vous ressentez ce problème en tant que Président ? "Je dois dire que c’est un cas spécifique. Hier, beaucoup de supporters n’étaient pas présents dans le stade a cause des normes de sécurité." "Les supporters de l’Inter qui ne résident pas à Milan, malheureusement, ne pouvaient pas venir au stade et même ceux de Naples, sinon le stade aurait été plein. Cependant, en regardant la température, il faisait un peu froid, le caractère d’un intériste est d’être un peu critique. J’espère qu’on arrivera à le changer." Que pensez-vous de l’avertissement de Mourinho à l'attention de Mario Balotelli ? "Je l’ai trouvé sérieux, affectueux et professionnel. Comme Balotelli est intelligent, il l'aura certainement prit ainsi." Confirmez-vous un intérêt de la part de l’Inter, pour l’attaquant de Chelsea, Didier Drogba ? Et en cas d’intervention lors du mercato de janvier, serait-ce plutôt pour un attaquant ou un milieu offensif ? "Je pense que nous n'interviendrons pas lors du Mercato." Après le match contre Naples, Mourinho a décrit Lavezzi comme un joueur fantastique. Pensez-vous qu’il viendra à l’Inter ? "Non. Lavezzi est un joueur de Naples et, effectivement, il joue très bien, mais il y a aussi d’autres bons joueurs comme Lionel Messi." "L’Inter a une équipe très forte. J’apprécie mes joueurs et, je le répète, nous n'interviendrons pas sur le mercato." Durant le match contre Naples nous avons vu que Zlatan Ibrahimovic était un peu fatigué.... "C’est possible quand on voit le nombre de matchs qu’il a disputé." Rédigé par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)
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ESTEBAN CAMBIASSO: "UN NOUVEAU MEMBRE DANS LA FAMILLE"
MILAN - Chaque semaine, un joueur de l'Inter est mis en vedette par l'intermédiaire de Skysport via l'émission "Spécial100one", qui est retransmise chaque vendredi à 18h30. L'invité de cette semaine est Esteban Cambiasso et Internazionale.Fr, via Le Kid, a l'honneur de vous retranscrire en intégralité et en exclusivité française cet entretien. Cambiasso: comment s'est passée la première nuit avac ton bébé à la maison ? "A merveille, avec beaucoup de joie et d'émotions. (ndlr: il sourit) Cependant le travail le plus dur est pour ma femme en ce moment...". Ta femme Claudia va maintenant se concentrer sur le nouveau membre de la famille... "Je connais ma femme et je crois qu'avec l'arrivée de notre enfant, elle réussira à ne plus penser à mes problèmes et mes soucis: pour moi c'est impossible de ne pas y penser, mais maintenant ma fille sera la priorité." Pourquoi avoir choisi Victoria comme prénom ? "Nous avons cherché un nom qui aurait la même consonance en Italie et en Argentine. (ndlr: il sourit). Ici, par exemple, depuis 15 ans ils ne parviennent pas à prononcer le nom de Zanetti, Javier, correctement." Pour un grand professionnel comme toi, donner son maximum n'est pas suffisant pour gagner en Champions League comme on a pu le voir mercredi, n'est-ce pas ? "On essaie de faire le maximum à chaque match. Pour nous le premier objectif était la qualification et cela a été atteint. Contre le Panathinaikos nous n'avons pas réussi à faire tout ce que nous voulions. Les grecs ont joué avec valeur pour obtenir le résultat de l'autre soir. Ils avaient l'esprit clair dans le jeu et ont joué intelligemment." Mais c'est un grand avantage de terminer premier de son groupe en Champions League ? "Je ne crois pas. Les dernières années nous avons terminé en tête et en seconde place, tout dépend alors de l'équipe que l'on rencontre et de son état de forme à ce moment là. Tu peux être au sommet lors des poules et être moins bien en février, nous verrons ce qu'il en sera à cette période en fonction de notre adversaire." Est-ce qu'il y a une compétition que tu préfères gagner cette saison? Par exemple la Ligue des Champions pour montrer quelque chose de plus par rapport à ce que vous avez déjà fait... "Si nous faisons bien nous pouvons tout gagner, mais nous savons qu'il n'y a pas une autre façon de faire que de jouer chaque match. Je connais bien l'Italie, c'est comme l'Argentine dans ce sens: si tu n'as pas une bonne formation et si tu ne fais pas de ton mieux à chaque match, tu ne réussiras jamais à gagner. Il y a d'autres équipes qui ont un bon effectif, cependant un seul club gagne à la fin. Nous ne jouons pas pour prouver quelque chose, nous jouons pour faire bien et pour donner des satisfactions à nos tifosi et au président qui met beaucoup du sien. Jouer pour prouver quelque chose est une des erreurs les plus banales qu'une équipe puisse faire. Nous partons avec la volonté de tout gagner: nous avons commencé avec la Supercoppa, puis nous en sommes au championnat, la Ligue des Champions et la Coppa. Nous voulons gagner tous les matchs, mais il peut arriver un soir que l'on y parvienne pas." Cette année le championnat est plus équilibré que les précédents... "Certaines équipes ont fait des investissements importants. La Juventus a, par exemple, une ossature de base qui était celle qui a remonté l'équipe de Serie B. Dire que l'année dernière la Juventus a fait un résultat moyen ce n'est pas vrai, elle a fait ce qu'elle pouvait avec son potentiel. Peut-être auraient-ils pu arriver en seconde position, mais ils se sont mis le frein de se convaincre qu'ils ne pourraient pas aller plus haut. Le Milan a aussi fait des investissements et ils voudront combattre jusqu'à la fin pour faire mieux que les dernières années. La surprise a été la Roma qui a mal débuté. De quelque manière que ce soit, nos victoires ces dernières années ont été très belles, conserver notre titre a été incroyable. Ce n'est jamais facile de gagner tant de matchs d'affilés comme nous l'avons fait." Quel est la force de cette Inter ? "La mentalité, parce qu'elle ne s'est pas construite en un jour, cela prend du temps. La soirée de mercredi par exemple, il y a quelques années nous aurions été satisfaits d'être qualifiés, maintenant non car nous avons avant tout conscience d'avoir perdu le match." Quel est le pourcentage d'impact d'un entraîneur dans une équipe de football ? "Donner un pourcentage est impossible. Pour moi l'entraîneur peut changer quelque chose à la mi-temps et faire trois changements, mais il ne peut pas, comme dans le basket-ball, demander un temps mort et changer la stratégie. Le travail de l'entraîneur se voit dans la semaine et lors des sélections, moins dans le jeu. Même s'il réussit à changer la rencontre avec une substitution." Est-ce que c'est vrai que Mourinho est très bon pour déresponsabiliser les joueurs du football ? "Déresponsabiliser les joueurs du football est impossible parce que ceux qui entrent sur le terrain c'est nous. Nous devons écouter les consignes de l'entraîneur. Dans les victoires comme dans les défaites, il y a notre responsabilité et celle de Mourinho." Qu'est-ce qui vous a le plus frappé chez Mourinho ? "En premier lieu, qu'il se soit présenté à l'Inter lors de sa première conférence de presse entièrement en italien. Il aurait été plus facile pour lui de parler en anglais ou en portugais, mais il a choisi de parler italien car il avait déjà commencer à travailler de son côté." Quand l'Inter a prit Mourinho, est-ce que tu as songé que ton rôle sur le terrain allait être quelque peu différent et que tu aurais peut-être moins d'occasions de but ? "A ce moment, je n'ai pas pensé ce qui allait devenir de mon poste: les dernières années j'ai évolué dans des positions différentes, la chose la plus importante est la capacité à s'adapter et devenir utile à l'équipe. Marquer n'est pas le plus important, ce qui compte c'est le scudetto sur la poitrine." Quel est de Zlatan Ibrahimovic ou de Zidane, le joueur le plus important avec lequel vous avez joué ? "Pour moi Zidane est incomparable. Au delà du fait que j'ai eu la possibilité de jouer aussi avec Messi en équipe nationale. Zidane était ce genre de joueur capable de tout faire, quand tu pensais qu'il allait sûrement faire quelque chose, il l'avait déjà fait. Zidane avait tout." Ibra est un grand attaquant, quel est son classement personnel ? "C'est difficile de dire un chiffre, sûrement parmis les plus forts." Tu penses au Ballon d'Or ? "Le Ballon d'Or, pour un joueur qui évolue derrière les avants c'est un miracle. Vous avez vu ce qui est arrivé au mondial en Allemagne, l'Italie qui n'a pas eu de buteur marquant 5-6 buts, le trophé a été donné au capitaine... Mais quand je vois que Raul ou Maldini ne l'ont pas gagné, deux phénomènes, penser que je puisse l'avoir ne sert à rien." Est-ce que c'est bon pour un argentin de battre des argentins qui jouent à Naples ? "C'est bon de voir que les autres dimanches ils jouent bien. Une fois que notre match avec eux se termine, que nous soyons de Naples ou de Gênes, nous redevenons amis. Dans ce sens le match de dimanche est égal aux autres." Que penses-tu de Lavezzi ? "C'est un très bon joueur, il faudra le tenir à l'oeil. Il est difficile à marquer. Il faut être prudent avec lui parce qu'il est rapide balle au pied." Est-ce qu'il réussira à convaincre Maradona de l'appeler pour faire partie du groupe qui participera au Mondial de 2010? "La seule façon d'appartenir à l'équipe nationale est de faire de grosses prestations en club. Pour ma part, la seule recette que j'ai est de faire de mon mieux à l'Inter." Rédigé par Le Kid (Inter.it)
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BUON COMPLEANNO TOLDONE!
APPIANO GENTILE - En effet, Francesco Toldo, le natif de Padoue, qui est né le 02 décembre 1971, soufflait aujourd'hui ses 37 bougies. Internazionale.fr s'associe à Inter.it, et à l'ensemble des tifosi nerazzurri, pour lui souhaiter un très joyeux anniversaire !! Rédigé par Antony (Inter.it)
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ZLATAN IBRAHIMOVIC: "QUEL EST L'ADVERSAIRE LE PLUS DANGEUREUX ?"
MILAN - Grande surprise hier après-midi au nouvel Inter Store de piazza Liberty à Milan. En effet, Zlatan Ibrahimovic a fait une apparition dans les 150m² du magasin du centre ville. L'attaquant nerazzurro a signé plusieurs autographes et a salué les nombreux tifosi présents. Internazionale.fr à le plaisir de vous proposer la brève interview accordée aux journalistes qui étaient sur place. Ibra, contre le Panathinaikos, l'Inter n'a pas été brillante comme elle l'a été contre la Juventus, mais la qualification a quand même été acquise ... "Nous n'avons pas fait un grand match, mais l'important est de s'être qualifier pour le prochain tour et nous sommes contents de cela. Ce n'est pas bien allé, il n'y a rien à dire sur le match. Nous devons aussi apprendre de nos défaites". On pouvait tout de même entrevoir votre envie de marquer, vous avez vraiment tout essayé ... "Un attaquant a toujours envie de marquer et de bien faire. Quelques fois, ça peut ne pas bien aller. L'important est de s'être qualifié pour les huitièmes de finale". Est-ce que ça vous dérange qu'à chaque fois que l'Inter dispute un mauvais match, l'histoire qu'Ibrahimovic ne marque pas en Europe ressorte ? "Absolument pas, nous sommes une grande équipe. Ca arrive que je joue bien même si je ne marque pas, comme il y a aussi d'autres joueurs qui marquent en jouant mal. J'ai quand même marqué sept buts en championnat et je suis content de mon rendement". Dimanche vous affrontez le Napoli. Que pensez-vous de Lavezzi et de l'équipe napolitaine en général ? "Le Napoli est une grande équipe qui, pour l'instant, est en train de faire un bon championnat. Lavezzi est un grand joueur qui a beaucoup évolué l'année dernière. Nous devons faire attention et avoir beaucoup de respect pour nos adversaires". Le fait que vous vous exprimiez mieux à l'extérieur qu'à la maison est-il seulement une coïncidence ? "Non. Quand tu joues à l'extérieur, les autres équipes ne défendent pas comme quand tu joues à la maison. Nous sommes une grande équipe, c'est pour cela que nous devons être concentrés au maximum autant quand les adversaires nous attaquent, autant quand ils défendent. Nous devons toujours gagner et c'est normal que les équipes défendent quand nous attaquons". Que demandez vous à l'année 2009 vu que nous sommes proches de la fin de l'année ? "Ce que je demande ? Un bon Noël. Nous devons continuer sur ce chemin comme nous l'avons fait jusqu'à aujourd'hui. Nous sommes premiers en Champions League et en Championnat. Plus que ça, nous ne pouvons pas faire". Mercredi soir au stade, il y avait peu de spectateurs présents, cela ne vous a pas aidé ... "Ceux qui sont venu au stade sont les tifosi qui veulent vraiment venir nous aider et soutenir l’équipe afin qu’elle obtienne la victoire. Tous nos tifosi nous encouragent afin de remporter aussi la Champions League mais ceux qui ne viennent pas au stade ne nous aident pas à obtenir de grandes victoires." On s’attend, pour ce dimanche, à un stade beaucoup plus garni par rapport à mercredi ... "Le stade est toujours plein en championnat. Les tifosis désirent que nous le remportions aussi et s'ils le veulent, nous le remporteront, ce n’est pas un problème." Quel est l’adversaire le plus dangereux : la Juventus ou le Milan ? "Les deux. Ils ont vraiment réalisé de belles prestations ces dernières semaines, ils sont aussi de retour, nous devons rester attentif avec tout le monde, même si avant tout de chose, nous devons prêter attention à nos propres prestations." Votre futur est interiste ou aimeriez-vous, dès demain, d’autres expériences ? "J’ai signé pour cinq ans, j'en suis très content. Je me vois encore à l’Inter pour cinq autres années." Et changeriez-vous d’équipe par après ? "Tout dépend de l’Inter, si elle veut que l’on continue l’aventure, cela me conviendrait parfaitement. Pourquoi leur dire non ?" Qui mérite de remporter le Ballon d’Or ? "Cela dépend. Si on regarde la prestation individuel, Casillas mériterait de le remporter. Si on regarde par contre ceux qui ont démontré quelque chose, Cristiano Ronaldo devrait le gagner." Le Championnat ou la Ligue des Champions ? "La Ligue des Champions." Didier Drogba comme partenaire d’équipe, cela vous plaîrait-il ? "C’est un grand joueur et un grand attaquant car il marque énormément de buts, il porte l’équipe avec beaucoup de force. Mais nous avons Adri, Cruz et Crespo. Nous avons énormément d’attaquants à l’Inter. Je suis très content des notres et je ne veux pas les échanger." Adriano est réapparu sur les terrains lors de ces derniers matches ... "Il a fait de belles prestations. Il s’entraîne très bien et comme je le réaffirme, il figure parmi les attaquants les plus forts du monde. Cela me fait plaisir de jouer à ses cotés. C’est un attaquant qui m’aide sur le terrain et qui me laisse beaucoup d’espace. Lorsque nous jouons ensemble, les défenseurs le surveillent énormément, ce qui m’offre des espaces et cela me permet de jouer beaucoup plus facilement." Vous venez de déclarer qu’avant de regarder les prestations des autres équipes, il faut tout d’abord regardez les votres. Mourinho a dit la même chose. Cela signifie qu’il faut améliorer le mental de l’équipe ? "Nous devons continuer à bien nous entraîner durant la semaine et à rester concentrés durant le match et ce, même lorsque nous affrontrons des équipes plus faible. Nous devons toujours chercher à l’emporter, aussi bien en affrontant la Juventus ou Milan que lorsque nous affrontons l’Atalanta et le Panathinaikos." "Il faut toujours respecter tout le monde et vouloir l’emporter. Après le match de la Juventus, nous avons connu une baisse de concentration alors que nous aurions du la maintenir en vu d’y affronter le Panathinaikos." Rédigé par Didju222 & Antony (Inter.it)
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SERIE A: "UN IMBROGLIO VIEIRA ?"
AFP - Victime d'une inflammation à un tendon d'Achille, Patrick Vieira a dû déclarer forfait pour le match de l'Inter Milan face à Naples (2-1). A moins que son absence ne soit due à des relations difficiles avec son entraineur Jose Mourinho, comme le laissent entendre les médias italiens. Patrick Vieira avait déjà dû déclarer forfait mercredi lors de la rencontre de Ligue des Champions contre le Panathinaïkos. Sa dernière apparition avec l'équipe remonte à une semaine, lors du match au sommet remporté contre la Juventus (1-0), au cours duquel il était entré en jeu dans les toutes dernières minutes. Samedi en conférence de presse, l'entraîneur Jose Mourinho a démenti que la blessure du capitaine de l'équipe de France soit d'une quelconque manière "diplomatique" alors que les médias italiens font état de rapports difficiles entre les deux hommes depuis sa non titularisation contre la Juve. A la remarque d'un journaliste assurant qu'il ne semblait pas y avoir "un grand "feeling" dans leurs relations, le technicien portugais a répondu: "Ce n'est pas absolument pas vrai"."Patrick n'a pas joué contre la Juve en raison d'un choix tactique, puis il n'a pas joué contre le Panathinaïkos à cause d'une blessure, et il ne jouera pas demain (dimanche, NDLR) en raison de cette blessure. Mais il n'y a aucun problème entre nous", a-t-il continué. Mardi, Mourinho avait laissé entendre qu'il tenait l'équipe de France, qui a joué le 19 novembre contre l'Uruguay en match amical, pour responsable de la nouvelle blessure du milieu, contractée lors d'une séance d'échauffement lundi. Une nouvelle fois interrogé à ce sujet samedi, il a répondu: "Je ne pense rien, je pense seulement qu'il ne pourra pas jouer demain (dimanche). Dimanche, il recommencera à courir pour la première fois" a-t-il précisé. "Une course tranquille sans ballon et, je crois, avec des chaussures de tennis. Mais, ça, c'est déjà un progrès parce qu'il n'a pas pu s'entraîner de toute la semaine. Je ne crois pas que son problème sera long, mais n'oublions pas que le tendon d'Achille, ce n'est jamais facile". Rédigé par Antony (Eurosport.fr)
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JOSE MOURINHO: "UN DOUZIÈME HOMME INEXISTANT"
MILAN – C’est un Josè Mourinho visiblement satisfait de la victoire de son Inter qui se présente devant les journalistes au terme de la rencontre remportée face au Napoli: UNE QUESTION DE CARACTÈRE "Le Napoli n’a pas bien joué car nous avons trouvé la clé de leur jeu car, et le mérite revient au grand travail abattu par l’équipe sur le terrain, ils ne sont pas parvenus à réaliser une belle partie. Nous sommes entrés sur le terrain pour l’emporter, et quand nous avons la victoire entre nos mains, nous démontrons un caractère qui me plait, nous pouvons et nous devons mieux jouer." "Nous avons commis une erreur quand ils ont marqué, car nous avons réalisé une belle performance, nous menions 2-0 et nous étions confiants. Nous avons joué différemment à la reprise, avec de l’intelligence tactique et de la concentration, face à un Napoli qui a tout tenté pour nous mettre en difficulté." CAPOLISTA L’Inter déjà en fugue ? "L’Inter, le Milan et la Juventus le sont déjà vu qu’il s’est créé une petite brèche entre ces trois équipes et les autres, qui, malgré tout, ce sont amélioré par rapport à l’année passée, et cela a haussé le niveau du Championnat. Je me réfère au Napoli, à l’Udinese, à la Lazio et à Catane." A CŒUR OUVERT Les sifflets qui se sont à nouveau fait entendre aujourd’hui ? "Je pense que les joueurs méritent plus de la part du public, ils doivent toujours avoir le soutien des tifosi. Aujourd’hui, il a manqué le soutien du soi-disant douzième homme. Que l’on réalise une fois une mauvaise prestation, comme cela s’est produit contre le Panathinaikos, les sifflets sont mérités et je vais moi-même sur le terrain pour les encaisser et pour féliciter nos adversaires." "Nous pouvons très certainement mieux jouer pour convaincre les gens de venir au stade." "J’ai su qu’il y avait eu une limitation dans l’accès au San Siro, mais je parle avec mon cœur car les garçons méritent vraiment plus." LES NON-CONVOCATIONS DE BALOTELLI ET DE QUARESMA "Si un joueur s’investit, en semaine, à vingt-cinq pour-cent de ses possibilités, pour moi c’est insuffisant. Je ne me cache pas derrière mes choix, même pas envers Quaresma que j’ai fait venir à l’Inter. Je ne privilégie personne, je fais les choix les plus adaptés à la situation de l’équipe." "Cependant j'ai une qualité, je suis prêt à oublier : Pour moi, il n’y a pas de problème, si depuis la non-convocation de mardi, tu me démontres en vouloir, je reviens sur mes décisions. Cela s’est vu avec Adriano, qui avait été écarté quelques matchs, il a fait son retour face à la Juventus, et il y a réalisé une belle prestation." Rédigé par Antony (Inter.it)
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MAXWELL: "CONTINUER DE CETTE MANIERE"
MILAN - C’est au tour de Maxwell de commenter la belle démonstration de l’Inter contre le Napoli aux micros d’Inter Channel: "Nous avons remporté une victoire importante, cela nous permet de rester en tête sans nous préoccuper du résultat de ce soir. Ce sont trois points importants qui nous apportent de la sérénité pour quelques jours, mais sans pour autant nous déconcentrer." "Nous avons vraiment disputé une belle première période dans laquelle nous avons réalisé des phases de grand football, nous attaquions bien le Napoli et nous sommes parvenus aussi à arrêter leurs tentatives de contre-attaques." Le but de Lavezzi ? "C’est un grand joueur, il a marqué un beau but, je le félicite." "Nous venons de disputer quatre matches réellement difficiles, sans qu’il y ait eu une trêve, nous sommes donc heureux de cette victoire. Ne nous déconcentrons pas et continuons de la même manière." Rédigé par Antony (Inter.it)
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IVAN CORDOBA: "TROIS POINTS IMPORTANTS"
MILAN - "J’étais dans la bonne position et j’ai marqué." Telle est la déclaration d’Ivan Cordoba lors de la brève interview qu’il a octroyé aux micros de Sky au terme de la rencontre victorieuse de l’Inter contre le Napoli. "Mais au-delà de ce but, la prestation et le caractère de l’équipe ont été plus importants. Nous avons maintenu le score de 2-1 contre une équipe en grave tel que le Napoli." "Je ne crois pas que nous avons connu une baisse de régime après le 2-0. Ils ont inscrit leur but et ont cherché à nous mettre en difficulté, mais nous avions la qualité pour les contenir." "Nous avons empoché trois points importants à domicile. C’est un signal fort pour le championnat et surtout pour l'équipe, nous avons bien travaillé durant la semaine et nous voulons continuer de cette façon." Rédigé par Antony (Inter.it)
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DEJAN STANKOVIC: "UNE TRES BELLE PREMIERE PERIODE"
MILAN - C’est au tour de Dejan Stankovic de commenter la victoire nerazzurra face au Napoli: "Nous sommes montés sur le terrain décidés et agressifs. Nous avons disputé une très belle première période, on y a vu beaucoup de caractère et l’envie de gagner." "A la reprise, nous avons contrôlé la partie et nous aurions pu même inscrire un autre but. Naples a su revenir dans le match, mais ils n’ont jamais pu tirer au but. Nous sommes heureux de cette victoire qui, aujourd’hui, était vraiment importante." Rédigé par Antony (Inter.it)
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SERIE A. INTER 2-1 NAPLES : "OPERATION RACHAT REUSSIE"
MILAN - Excellente opération pour les Nerazzurri qui ont logiquement dominé Naples à San Siro (2-1), notamment grâce à une jolie talonnade victorieuse de Muntari. L'Inter prend le large au classement, reléguant la Juventus à 6 longueurs. En cas de succès à Palerme à 20.30, le Milan AC peut toutefois revenir à 3 points du leader. Après la défaite en Ligue des Champions contre le Panathinaikos (0-1), l'Inter devait se ressaisir en championnat pour espérer conserver ses unités d'avance au classement de la Serie A. Et dans une rencontre qui constituait le plat de résistance de cette 14e journée du Calcio, l'Inter, leader, a défait une équipe de Naples accrocheuse, dont la dernière victoire à San Siro remontait à 1994. Devant leur public, les joueurs de Josè Mourinho espéraient sans doute se racheter après une partie ratée en Ligue des Champions, un revers à domicile 1-0 face au Panathinaikos. La mission a été accomplie et de belle manière. Concentrés, très à l'aise techniquement en début de rencontre, les Nerazzurri ont montré en l'espace de dix minutes à quel point ils pouvaient se montrer réalistes. Sur un corner joué en deux temps, Muntari alertait Cordoba au second poteau dans la surface, lequel expédiait une reprise du gauche dans le petit filet opposé (1-0, 16e). Puis l'Inter se fendait d'une offensive magistrale pour faire le break : Cruz perçait sur le côté droit de la surface avant de talonner pour un centre-tir de Maicon, dévié par Muntari d'une superbe talonnade à la Madjer (2-0, 24e). Timing parfait et efficacité maximale. Mais la réaction de Naples ne se fait pas attendre. Comme souvent dans l'équipe d'Edoardo Reja, la solution s'appelle Ezequiel Lavezzi. Il provoque la défense interiste, sert Zalayeta qui lui remet du talon pour la réduction du score du virevoltant argentin (35e). Après cette réalisation arrivée à point nommée, Naples se décomplexe et va poser beaucoup de problèmes aux Milanais, en contre, basant son jeu sur la vitesse et la spontanéité. Après la pause, la rencontre devenait plus indécise, Naples mettant la pression sur la défense locale. Mais c'est sans compter sur un bloc défensif très solide qui permet à l'Inter de protéger son résultat. Le Napoli n'égalisera pas mais aura, une fois encore, montré qu'il avait le niveau pour rivaliser avec les gros. Les Nerazzurri enregistrent donc leur 4e victoire consécutive dans le Calcio et creusent l'écart en tête du Championnat. Néanmoins, le Milan AC se rapprocherait à 3 points en cas de succès à Palerme. TABLEAU RECAPITULATIF Inter 2-1 Naples Buteur(s): 16' Cordoba, 25' Muntari; 36' Lavezzi Inter: 12 Julio Cesar; 13 Maicon, 2 Cordoba, 25 Samuel, 6 Maxwell; 4 Zanetti, 19 Cambiasso, 20 Muntari (90' Jimenez); 5 Stankovic (84' Burdisso); 8 Ibrahimovic, 9 Cruz (66' Adriano) Entraineur: José Mourinho Naples: 1 Iezzo; 83 Rinaudo , 28 Cannavaro, 6 Aronica; 11 Maggio (33' Denis), 5 Pazienza (39' Bogliacino), 23 Gargano, 17 Hamsik (55' Blasi), 77 Mannini; 25 Zalayeta, 7 Lavezzi Entraineur: Edoardo Reja Averti(s): Zanetti; Aronica, Rinaudo, Lavezzi Expulsé(s): Néant Arbitre: Roberto Rosetti Rédigé par Antony (Francefootball.fr), (Eurosport.fr), (Inter.it)
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Bonjour à Tous !
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JOSE MOURINHO: "NOUS SOMMES L'EQUIPE A BATTRE"
APPIANO GENTILE - Inter-Napoli se déroulera ce Dimanche 30 Novembre à 15h au stade Giuseppe Meazza de Milan, match comptant pour la 14ème journée de Serie A. Josè Mourinho a rencontré les journalistes au centre sportif Angelo Moratti pour la conférence d'avant-match. Internazionale.fr vous offre la version intégrale des déclarations de l'entraîneur nerazzurro. Mourinho, un match comme celui du Panathinaikos doit-il être oublié ou les joueurs doivent s'en rappeler ? "Je pense qu'il doit être oublié. Je n'aime pas prolonger un moment négatif. Le championnat est le championnat, une histoire complètement différente. Je pense que nous n'avons pas encore mérité de se qualifier en Champions League, nous le sommes par chance, c'est la conséquence d'une victoire très importante à Athènes lors du premier match. Nous avons quand même la tranquilité d'avoir passé le tour." "Le championnat est une autre histoire, nous sommes premiers au classement et nous avons joué deux grands matchs et obtenu deux victoires dans ces deux derniers matchs, contre Palermo et la Juventus, qui étaient très importants. Pour le match contre le Napoli, il n'y a pas besoin que l'entraîneur travaille psychologiquement sur l'équipe. Tout le monde sait que c'est un match difficile et que le Napoli est une équipe avec qualité et ambition et qui a la possibilité de nous poser des problèmes. C'est pour ce motif que nous sommes très concentrés et rechargés pour un match important qui peut aider l'équipe à arriver là où elle veut." "En ce moment, nous avons trois points d'avance sur le deuxième : ce n'est pas synonyme de tranquilité, mais synonyme de confiance, d'estime de soi et ça donne la motivation de les augmenter ou au moins de les garder". Quel est le joueur le plus imprévisible du Napoli? "Pour moi, le Napoli est une équipe qui joue très bien. Quand j'analyse l'adversaire avec mon équipe, nous l'avons fait aujourd'hui, la chose la plus importante pour moi est la dynamique globale du groupe et c'est comme cela que l'on s'organise. Ils ont un entraîneur qui possède beaucoup de qualités, un entraîneur qui a des idées claires sur le jeu qu'il faut pour son équipe. Son schéma de jeu est très adapté aux joueurs." "C'est bien sûr un groupe très solide défensivement, avec une certaine stabilité dans son jeu de position, avec une attaque dynamique, sorties de zone et contre-pieds très importants. C'est une équipe rapide, avec de la créativité et de la dynamique, c'est une belle équipe pas facile à jouer". En disant que pour le match contre le Napoli, il n'y ait pas besoin que l'entraîneur ne motive l'équipe plus que ça, est-ce que ça signifie que vous n'avez pas l'impression négative que vous aviez avant le match contre le Panathinaikos ? "C'est vrai. Le Panathinaikos me préoccupait pour la façon dont on pourrait y arriver, moi y compris, et j'avais peur de nous. Le match contre le Napoli préoccupe parce que nous affrontons un adversaire de qualité, bien meilleur que l'équipe grecque et je n'ai aucun doute. Un match difficile nous attend, contre le Panathinaikos, nous nous sommes créés nous-même un match difficile." "Le Napoli viendra à Milan pour faire son match et ce ne sera pas simple. Je dis une chose dont je suis certain : avec notre concentration et un comportement complétement différent de mercredi, même si nous jouons le troisième match en une semaine et que nous sortons d'un match de Champions League, j'ai confiance en le fait que nous regagnerons et que nous atteindrons les résultats que l'on veut." Mourinho, vous avez déclaré que Zlatan Ibrahimovic n'irait pas jouer à Brème en Champions si l’Inter était sur de terminer à la première place du groupe. Maintenant que vous êtes qualifiés pour les huitièmes de finales, mais que vous devez encore jouer pour la première place, comment vous comporterez-vous ? "Dans chaque cas, je continue à penser qu’il n’y aura pas une grande différence d’arriver premier ou second du groupe. Finir second signifierait que l’on pourrait affronter, par exemple, Barcelone ou Manchester United, et en finissant premier, tu peux rencontrer le Real Madrid ou Chelsea. Qui peut dire qu’une partie pourra être plus facile que l’autre ? Je ne le sais pas ... Je ne sais pas s'il sera plus facile de jouer le premier match à domicile ou à l’extérieur, je pourrais seulement le déclarer à la suite du tirage au sort. C’est pour cette raison que je dis que finir premier ou second ne me semble pas être une question vitale." "La vraie question, pour moi, est que cela ne fait pas plaisir de me qualifier avec huit points, cette mentalité ne me convient pas. Nous nous sommes qualifiés et nous sommes sereins, ok, mais je n’aimerais pas terminer le match face au Werder avec encore huit points, telle est la mentalité que je ne veux pas pour mon équipe." "L’expérience nous dit à tous que la vraie Champions débute à la fin Février, tant de fois une équipe fini avec douze, quatorze ou quinze points et elle se présente ensuite en huitième ou en quart de finale avec une fatigue mentale, fatiguée de bien jouer et de gagner et se retrouve éliminée. Nous devrons rester vraiment forts lorsque la vraie Champions va débuter, mais je le répète, je n’aimerais pas finir la vraie Champions avec huit points." "Nous irons à Brême pour l’emporter, je ne sais pas si Ibra jouera ou s'il ira sur le banc. Nous devrons être vraiment forts lorsque le vraie Champions débutera. Je n'aimerais pas laisser Ibra sur le banc, mais il est évident qu'il n'aura pas les trois jours de repos que je lui avait reservé." L’entraîneur bianconero, Claudio Ranieri, a déclaré que seul l’Inter et le Milan doivent penser au Scudetto et que la Juventus luttera pour la seconde place. Qu’en pensez-vous ? "C’est difficile, pour moi, de commenter. Une telle déclaration mériterait que la semaine prochaine, lorsque Ranieri tiendra son autre conférence de presse, que vous cherchiez à comprendre s'il pense vraiment de cette façon ou quelle est son intention." "Je ne peux pas en parler, je peux dire que je regarde la Juventus et que je la vois comme une belle équipe avec un grand potentiel, que c’est une équipe qui peut remporter n’importe quel match. J’observe la Juventus de la même façon que le Milan, comme des candidats pour remporter le Championnat. Je respecte la Juventus de cette manière." "Si la Juventus est à un niveau similaire à celui du Milan ?" "Je ne parle pas du niveau de la qualité, je ne veux pas entrer dans un discours qui dépend tellement d’une opinion personnelle et de la façon de penser de l’un et de l’autre. Mais ces deux équipes, je pense, sont d’un niveau similaire ; le Milan joue l’Europe, dans une compétition qui n’est pas au même niveau que celui qu’exige la Champions League : pour gagner la phase de groupe de la coupe de l’UEFA, tu n’as pas besoin de jouer au maximum de tes possibilités." "Contre le Braga, par exemple, l’équipe réserve a joué et ils ont aligné Seedorf et Ronaldinho à quinze minutes du coup de sifflet final. S'ils auraient jouer en Champions League, ils auraient disputé des matches d’un autre niveau, une chose que je ne comprends pas, heureusement pour nous, qui avons tiré au sort des équipes tel que le Panathinaikos, et l’Anorthosis, les rossoneri se seraient comportés de façon différente. Le Milan a cet avantage : Jouer un match qui ne fait pas partie de la Champions League." "Mais je respecte le Milan et la Juventus de la même façon. La Roma est loin au classement, cependant c’est une grande équipe. L’année passée, elle était distancée au classement et elle était championne à 45 minutes de la fin du championnat." "De plus, il y a des équipes considérées de second plan qui sont vraiment de très belles équipes. Durant le championnat écoulé, et du au fait que je n’avais plus d’équipe à partir du mois d’Octobre, j’ai vu tellement de matchs à la télévision et tellement de football européen." "Je peux me tromper, mais cette Serie A actuelle n’est pas comparable à celle de la saison passée. Toutes les équipes sont meilleures que celles de la saison écoulée et je me réfère à Naples, la Fiorentina, le Genoa, l’Udinese, la Lazio et à d’autres équipes qui ont un niveau grandissime de qualité qui fait que notre championnat s’avère difficile à jouer et à gagner." On a énormément parlé de Didier Drogba qui semble vouloir quitter Chelsea.... "Pour moi, parler de Drogba est d’un coté facile et d’un coté difficile. Facile car c’est un des joueurs que je considère quasiment comme un fils. Nous n’avons pas le même âge, mais pour tout ce que nous avons fait ensemble, il est presque un fils." "Je me souviens de chaque moment que j’ai passé en sa compagnie, du moment que j’ai dit que je voulais l’avoir à Chelsea, à son arrivée à Londres, de quand nous avons joué et gagné la finale de la Coupe d’Angleterre à Wembley et où il est encore venu me chercher comme un fou dans le vestiaire avant d’aller faire la fête avec l’équipe.Je me rappelle de chaque moment passé avec lui, c’est pour cela qu’il m’est facile de parler de lui." "D’un autre coté, c’est difficile de parler de Drogba car c’est un joueur de Chelsea, il a un contrat et ce genre de joueur a tellement d’équipes à choisir, si un jour, il décide d’en changer. Si je dois dire la vérité, cela fait longtemps que je n’ai plus parlé avec lui. Je l’ai appelé pour savoir comment il allait après la blessure dont il a été victime en Champions en Septembre, j’étais inquiet et je voulais savoir s'il devait être opéré ou pas." "Ensuite, il y a une troisième situation : nous avons à l’Inter Crespo, Cruz, Adriano, Ibra et Balotelli. Je comprends que, lorsque l’on dit que Drogba est malheureux à Chelsea, on pense tout de suite à l’Inter vu nos rapports, c’est pour cette raison que je vous ai signifié que je fais partie de sa carrière et lui de la mienne. C’est vraiment un joueur spécial pour moi et je pense avoir été un entraîneur important pour lui, je peux parler de cette façon pour seulement six ou sept joueurs au maximum." "Je le répète : je comprends que l’on parle de nous si un de nous deux dit ne pas être heureux, pour être content on pense vite qu’il puisse aller là où il y a un entraîneur qui est pour lui comme un père. Mais dans l’absolu cela ne se passe pas de cette façon. J’espère qu’il va retrouver son bonheur, sa joie et qu’il va rejouer à son niveau, un niveau qui l'a porté à être un plus des grands attaquants en Europe". Mourinho, dans la liste des convoqués, il manque Quaresma et Balotelli, c’est du a des problèmes physique ? "Non, il n’y a aucun problème physique pour Quaresma, Balotelli, Dacourt, Materazzi, ... Contrairement a Chivu, Rivas, Vieira et Toldo." Pouvez-vous nous expliquer pourquoi Materazzi, Quaresma et Balotelli ne sont pas convoqués ? "Oui, pour ce qui concerne Materazzi, je vous dis que demain je joue avec Cordoba et Samuel, Materazzi a joué un excellent match contre la Juventus et un match très positif et équilibré contre le Panathinaikos. Demain, je voudrais un défenseur sur le banc et plus d’options offensives, il ne me semble pas que c’est un match ou je dois prendre Materazzi et Burdisso sur le banc." "Si je dois en prendre un c’est Burdisso car il est plus polyvalent et est plus frais mentalement et physiquement car il n’a pas joué durant les deux derniers matchs. Marco mérite absolument d’être dans l’équipe, c’est une option qui pouvait y avoir, je suis très content de ses deux derniers matches et la semaine prochaine il sera dans le groupe." "Mario et Quaresma ne sont pas convoqués car ils ont joué 30 et 45 minutes contre le Panathinaikos et ils n’ont pas été suffisamment bons, puis durant la semaine ils n’ont pas suffisament travaillé." Patrick Vieira a demandé des explications après l’exclusion dans la formation titulaire contre la Juventus ? "Non." Il me semble qu’il n’y a pas un grand feeling entre vous deux.... "Non, c'est completement faux." Contre la Juventus vous avez préféré d’autre milieux de terrain et maintenant vous attendez qu’il fasse un long chemin pour récupérer son poste dans l’équipe ? "Le chemin est celui de sa blessure." "Patrick n’a pas joué contre la Juventus pour choix tactique de l’entraîneur, puis il n’a pas joué contre le Panathinaikos à cause d’une blessure et il ne jouera pas demain toujours à cause de cette blessure, il n’y a aucun problème entre nous." Plusieurs personnes disent qu’on parle d’une blessure diplomatique pour Vieira, écartez-vous cette hypothèse ? "Oui, absolument." Le staff médical de l'Equipe de France dit que Vieira allait bien lorsqu’il est parti de l’équipe.... "Ok." Mourinho, continuez-vous de penser autrement ? "Moi je ne pense à rien, je pense seulement que demain il ne pourra pas jouer." Votre sensation sur Vieira, parlez-vous avec le staff médical et sera-t-il encore longtemps en dehors du terrain ? "Le Feedback entre le département médical n’est pas comme cela, ils ont fait des examens et tout ce qu’il faut faire. Demain, ça sera le premier jour où il recommencera à courir, courir tranquillement et sans ballon et je crois avec des chaussures de tennis." "Mais ceci est déjà une évolution parce durant toute la semaine, il n’a pas pu s’entraîner. Je ne crois pas que ça sera pour une longue durée, mais je n’oublie pas que ce n’est jamais facile lorsqu’on se blesse au talon d’Achille." Ibra, hier, a dit beaucoup de bien de son compagnon Adriano, il a sponsorisé le brésilien ? "Les choses ne se passent pas comme cela. Ibra sponsorise tous ses compagnons, je ne l’ai jamais entendu dire quelques chose de négatif sur un de ses coéquipiers." "Je crois que sa vraie préoccupation est d'être le premier choix et pour lui ce n’est pas un problème au vu de son travail fait en semaine et lors des matchs. Il peut jouer avec deux ailiers ou un attaquant a côté, je ne pense pas que cela lui pose un problème." "Il aime jouer avec Adriano, comme quand il joue avec Crespo, Cruz, Balotelli ou les ailiers. Hier, Zlatan a répondu a une demande directe sur Adriano et si la demande avait été un peu plus générale, même sur les autres attaquants, il aurait dit de bonnes choses sur eux." L’Inter fait un bon championnat et une Ligue des Champions moyenne. Notre sensation est que l’équipe travaille beaucoup mais est toujours un peu plus fatiguée après chaque match et les résultats arrivent après un gros effort. Pourquoi ce gros effort, quels sont les motifs ? "Je crois qu’en Ligue des Champions, il y a beaucoup de petites conséquences, comme par exemple, on était dans un groupe dit "facile" après un tirage "facile". Au niveau mental, c’est différent. Par exemple, jouer contre une équipe qui te fais, entre guillemets, peur ça augmente le niveau de la tension et ça te permets de jouer un match a un haut niveau." "J’ai l’expérience. J’ai entraîné Porto et gagné un championnat avant d’arriver second, puis j’ai gagné deux titres avec Chelsea, la troisième saison nous ne l’avons pas bien commencée. Maintenant, je suis à l’Inter qui reste sur une victoire lors de la saison passée." "C’est beaucoup plus dur d’être champion à nouveau que d’être champion pour la première fois. Parce que le champion est l’équipe à battre. Quand on pense qu’une équipe est difficile à battre, on part toujours du fait qu’il ne faut pas perdre. Contre l’Inter on joue d’une autre manière comparé aux autres équipes et ça me paraît évident." "Un exemple, nous pouvons comparer la manière ou Gênes a joué contre l’Inter et leur façon de jouer contre la Juventus. Si on regarde ce match on va directement comprendre, l’équipe est venu à San Siro avec beaucoup de concentration, avec une motivation de haut niveau." "L'Inter est l'équipe qui a été sacrée championne lors du dernier championnat, et elle n'avait uniquement concédé à Milan qu'une défaite face à la Juventus." "Nous sommes une équipe forte et qui fait peur, toujours entre guillemet parce que dans le football, la peur n’existe pas. La preuve, nous sommes de nouveau premiers au classement." "Je pense que les équipes qui viennent chez nous sont différentes, ils ferment bien les espaces, avec beaucoup d’envie et de concentration. Les joueurs veulent écrire l’histoire parce que s'ils marquent contre nous, ils savent que le lendemain on parlera d'eux." "Si le gardien part de San Siro avec de belles parades et sans but encaissé, il sera en première page. On parlera bien d’un entraîneur qui jouera bien contre nous, et on parlera bien d’une équipe qui jouera bien contre nous." "Ceci c’est déjà reproduit lorsque j’étais à Porto et Chelsea, notre difficulté est la conséquence qu’on est l’équipe à battre". Selon Luis Figo, on parle toujours sur un ton trop critique de l'Inter et cela n'est pas le cas pour les autres équipes, êtes-vous d'accord ? "Je ne sais pas. Luis est ici depuis beaucoup de temps, c'est un joueur très expérimenté avec une expérience très grande du haut niveau international. Il peut établir une comparaison avec l'Espagne ou le Portgual avec toutes les années qu'il a passé ici, il connait plus la presse italienne que moi. La presse écrit tous les jours quelque chose en plus de ce qu'il m'arrive de notre bureau de presse. Je ne suis pas une personne qui passe une demi-heure à lire chaque journal et je ne regarde pas trop le football parlé à la télé." "De plus, il me semble que le Président Moratti n'a réalisé aucun investissement dans le département de la communication, l'Inter est un club absolument indépendant qui n'a pas un soutien évident. Cela me semble normal. Nous avons Inter Channel qui parle toujours en bien de nous, c'est difficile quand on ne parle pas en bien de nous car nous formons une chose unique, nous sommes un ensemble." "Peut-être que d’autres équipes ont un soutien différent, peut-être qu’il est plus difficile de parler en mal d’autres équipes que de nous, mais je ne pense pas qu’il s’agisse d’un gros problème. Cela ne semble pas trop évident car je l’aurais compris de suite. Pour moi, il n’y a pas de problème, nous devons rester forts, nous devons continuer notre route, gagner les rencontres que nous devons gagner." "Le jour où nous ne gagnerons pas résultera du fait que nous n’aurons pas joué à un grand niveau. Mais je ne vois pas de gros problème." Y a-t-il un joueur de Naples qu’il vous a particulièrement impressionné ? "Je ne veux pas parler en faveur de nos adversaires, je ne veux pas mettre en avant le niveau émotionnel de mes adversaires, et ce afin de ne pas leur octroyer la possibilité de s'auto-estimer personnellement." "Avant la Juventus, j’ai dit qu’il n'y avait personne qui me plaîsait et que je préfèrait mes joueurs, avec Naples, j'ai dit la même chose. Mais j’espère que j’ai été clair dans mon message, je ne le fais pas pour manquer de respect car je le dit en les respectant." Rédigé par Didju222, Antony, Ibracadabra Il Genio, Doudoune (Inter.it), (Inter.it),(Inter.it)
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MASSIMO MORATTI : "IBRADEPENDANCE ?"
MILAN – Le président Moratti s’est livré à une brève interview aux journalistes présents à l’entrée des bureaux du Saras. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer la version intégrale des déclarations du Président Nerazzurro : Il s'agit d'une défaite certes pas terrible, mais c’était à domicile ... "C’est un ensemble entre le négatif de la défaite et la satisfaction d’avoir passé le tour. L’équipe a pragmatiquement réalisé la chose principale." "Et le mérite ne nous en revient certainement pas, il a tout de même fallu la valeur d'un résultat positif dans l’autre match et ce dernier aura eu une belle repercussion." Les journaux d'aujourd'hui écrivent que la formation, hier, n'était pas beaucoup inspirée ... "Ce sont les problèmes de l’entraîneur." "S’il a aligné cette formation, cela signifiait qu’il pensait avoir trouvé la meilleure des solutions. Cela peut arriver par la suite que la partie prenne une autre direction et le mérite en revient aussi aux grecs qui ont disputé ce match au-delà de leurs possibilités." Comment est-ce possible qu’en Europe, Ibrahimovic éprouve tant de difficultés ? "La partie d’hier était un ton en-dessous, cela peut se comprendre." Mourinho a dit qu'il manque de la pression. Cette Inter a besoin d'affronter des grandes équipes pour disputer des grandes parties ? "Jouer forcément comme cela serait ennuyeux car le championnat n’est pas composé que de grandes équipes." "De plus, l'équipe semble aussi parvenir à maintenir sa concentration dans d’autres matches. Nous avons, nous aussi, connu en Champion’s League des expériences dans le passé qui font que lorsque tu rencontres une grande équipe, cela te conditionne en vue de l'affronter avec encore plus de volonté." Cette Inter semble dépendre d'Ibrahimovic, ce dernier ne marque pas depuis un an en Champion's League ... "Nous avons remporté trois Scudetti avec lui ..." Vous attendiez-vous à un plus grand public pour ce match de Ligue des Champions ? "Non, il faisait froid, les gens ont bien agi." Dimanche il faut tourner la page face au Napoli ... "Si c’est une page similaire à celle de la Juve, cela me convient parfaitement." Avez-vous des souhaits à formuler à Roberto Mancini qui fête aujourd’hui son anniversaire ? "Je lui présente mes vœux les plus sincères." Rédigé par Antony (Inter.it)
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CORDOBA : " CHAQUE MATCH EST DIFFERENT"
MILAN - "Chaque match est différent, ils ont fait une bonne partie, tous les mérites leur reviennent, mais nous n’avons pas été à la hauteur de la situation comme les autres fois" déclare Cordoba à la Sky après la défaite de l'Inter contre le Panathinaikos. "Nous avons eu des difficultés sur les balles arrêtées, nous aurions du mieux gérer la balle, nous sommes une équipe qui a besoin d’avoir le contrôle du jeu." "A chaque fois que nous le pouvons, nous les défenseurs essayons d’aider les attaquants et quand ça nous réussi nous sommes très contents." "Nous avons donné le maximum de notre force à Reggio et cela s'est bien passé, mais notre principal objectif est de ne pas encaisser de but et nous sommes très déçu d’avoir prit un but comme celui-ci." Rédigé par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)
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MASSIMO MORATTI : "UNE LECON QUI PEUT SERVIR"
MILAN – Le président Moratti s’est livré à une brève interview aux journalistes présents à l’entrée des bureaux du Saras. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer la version intégrale des déclarations du Président nerazzurro : Président, un jour après la défaite face au Panathinaikos, voyez-vous le verre à moitié plein au vu de la qualification ou à moitié vide pour cette défaite inattendue ? "A moitié plein pour le fait de s’être qualifié, ce qui est très important. Cela n’a pas dépendu de nous-même, mais du résultat des autres équipes et cela nous tranquillise un peu." "Et objectivement, je ne peux être satisfait. Il reste la mauvaise prestation de la part de l’équipe qui a perdu ce match. Même si je dois dire qu'au-delà de toute les excuses psychologiques et d’un manque de motivation, ainsi qu’un millier de choses que l’on peut se trouver comme excuses, le Panathinaikos a, en réalité, réalisé une belle prestation et a évolué intelligemment, c’était une partie difficile." Josè Mourinho a énormément critiqué ses joueurs soulignant que l’équipe n’aurait pas du aller disputer l’ultime partie du groupe à Brême avec la qualification déjà acquise ... "J’ai aussi entendu qu’il s’est autocritiqué." "Il a critiqué la manière avec laquelle la partie a été abordée et il a été très courageux de faire cette analyse, puis dans sa façon de juger l’évolution de la partie, il a été très humble et professionnel." "J’ai rencontré les joueurs depuis ce match et ils sont tous sincèrement très déçus. Je crois que parfois certaines leçons peuvent servir ..." Du point de vue mental, l’Inter doit encore accroître en Europe en démontrant une compétitivité plus cinglante, qui par ailleurs, ne manque pas lors des matches de championnat ... "La période de croissance est celle des confrontations directes et tu peux, en phase de groupe, concéder quelques erreurs." L’Inter est-elle réellement intéressée par l’acquisition de l’attaquant de Chelsea, Didier Drogba ? "Non, je ne pense pas, car nous avons trop d’attaquants en ce moment." Rédigé par Antony (Inter.it)
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SERIE.A: INTER-NAPLES "LES CONVOQUES"
APPIANO GENTILE - Josè Mourinho a convoqué 21 nerazzurri pour le match Inter-Naples. Match comptant pour la quatorzième journée de la Série A Tim 2008-2009 , qui se déroule ce dimanche 30 novembre 2008 à 15.00, au stade "Giuseppe Meazza" de San Siro à Milan. Gardiens: 12 Julio Cesar, 22 Paolo Orlandoni, 51 Vid Belec; Défenseurs: 2 Ivan Ramiro Cordoba, 16 Nicolas Burdisso, 6 Maxwell, 13 Maicon, 25 Walter Samuel, 39 Davide Santon; Milieux: 4 Javier Zanetti, 5 Dejan Stankovic, 7 Luis Figo, 11 Luis Jimenez, 19 Esteban Cambiasso, 20 Sulley Muntari, 33 Amantino Mancini; Attaquants: 8 Zlatan Ibrahimovic, 9 Julio Ricardo Cruz, 10 Adriano, 18 Hernan Crespo, 21 Victor Obinna. Rédigé par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)
- 🔴⚫️ BBilan AC
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JOSE MOURINHO: "UNE DEFAITE MERITEE"
MILAN – "C’est un zéro pointé, de l’entraîneur à l’ultime joueur qui est entré sur le terrain. Mais je suis l’entraîneur et l’ensemble des responsabilités sont miennes. Je n’ai pas réussi à motiver l’équipe de la meilleur des façons afin d’affronter ce match. Ils étaient plus concentrés, plus attentifs, plus convaincants." "Nous n’avons jamais remporté un second ballon, ni en défense, ni en attaque et la défaite est donc méritée. Nous n'aurions pas du être ici, aujourd’hui, avec la tranquillité de se sentir déjà qualifiés. Cependant tel est parfois le football : Nous sommes premiers en championnat en ayant peu de chance et nous nous sommes qualifiés avec de la chance en Champion's." UN MATCH A NE PAS OUBLIER L’honnêteté de Josè Mourinho caractérise dans ses déclarations d'après-match, l’Inter a été battue à domicile par le Panathinaikos et l’entraîneur lusitanien ne s’en cache pas : "C’est un match à se remémorer, à ne pas oublier." "On aurait pu en fin de match égaliser, mais on ne peut pas dire qu’ils ont été chanceux, ils ont été bien meilleurs que nous." CHOIX DIFFICILLE "On peut parler, pour l’Inter, de fatigue aussi bien mentale que physique suite à une grande démonstration de force comme ce fut le cas face à la Juventus." "Dans ce genre de situation, c’est difficile pour un entraîneur de choisir la formation. On y apporte tant de changements et le résultat est négatif. C'est à ce moment-là que tu te dis que tu n’aurais pas du la changer." "J'ai misé sur la confiance, avec Cordoba en lieu et place de Samuel qui n'est pas repris dans la liste de l’UEFA et avec Figo en remplacement de Stankovic qui a terminé le match face à la Juventus en étant à la limite de ses capacités physiques." "Mais je le répète, ce n'est pas question d'hommes ou de schémas qui aurait pu changer la physionomie de la rencontre." "Je ne suis pas énervé envers les footballeurs, je n’ai pas été assez bon et dès la première minute de jeu, j’ai compris que cela n’allait pas être notre soirée." ROLE D'ENTRAINEUR "Je suis l’entraîneur de l’Inter aussi bien quand l’équipe gagne que lorsqu’elle perd et je n’ai pas envie de dire que la vraie Inter a été vue contre la Juventus." "Je dirais plutôt, qu’après ce résultat, nous devons nous représenter dans notre stade, face au Napoli, avec une juste motivation et avec vélocité et ce en vue de disputer un match totalement différent que celui que nous avons méritoirement perdu face au Panathinaikos." LA TIFOSERIE "Les tifosi ?" "J'espère qu'ils seront encore avec nous et je les comprends." "Ce n'est pas simple de venir au stade en semaine lorsque, toujours à domicile, tu joues la Juventus et ensuite le Napoli. Je crois qu’actuellement, pour les tifosi, le championnat offre plus d'émotion, plus d'intensité que cette phase de groupes de la Champion's et ce problamblement influencé par le fait d’avoir récolté huit points. Une chose étrange s'est produite, surtout en regard à notre première victoire à Athènes." CLASSEMENT "Maintenant, sincèrement, je ne peux pas dire s'il peut être mieux ou pire de finir à la première ou à la seconde place, mais nous irons à Brême pour l’emporter et pour réaliser un match sérieux. Les tifosi doivent rester sereins, ils doivent savoir que même si l’on joue bien ou mal, que l’on gagne ou que l’on perde, ce groupe de joueurs est très sérieux, très professionnel et très attaché au club et au maillot." UN VERITABLE ADVERSAIRE "Nous sommes qualifiés avec humilité et nous pouvons dire que notre groupe s’est révélé un peu étrange dans ses résultats et dans son classement." "Mais si on me demande ce qu’il manque à l’Inter pour avoir la mentalité de la Champion's League, je dirais qu’il manque à l’Inter une vraie partie, face à une grande équipe, contre des grands adversaires, avec une grande pression, une grande attente et une grande peur. Je crois que nous aurons cette partie lors des huitièmes de finale et il faudra, à ce moment-là, se faire entendre." "Je crois que l'Inter peut remporter la Champion’s comme elle peut se faire sortir en huitième, mais c’est sur qu’elle ne peut plus réitérer la même rencontre que celle qu’elle vient de disputer contre le Panathinaikos." Rédigé par Antony (Inter.it)
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DOUGLAS MAICON : "JOUER AVEC ATTENTION ET CONVICTION"
APPIANO GENTILE – Douglas Maicon s’est livré ce mardi 25 novembre 2008, à l’occasion de la conférence de presse d’avant-match qui oppose l’Inter au Panathinaikos, au jeu de l’interview. Ce match compte pour la cinquième journée du groupe B de la Ligue des Champions 2008-2009 à 20h45 au stade "Giuseppe Meazza" de San Siro à Milan. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l'intégralité des déclarations du défenseur brésilien : Maicon, quel type de jeu attendez-vous du Panathinaikos ? "Un jeu offensif, c’est grâce à cela qu’il ont gagné à l’extérieur, ils avaient disputé un beau match et je m’attend qu’ils réitèrent le même match qu’ils ont fait contre le Werder de Brême." Le Panathinaikos a gagné 3-0 en Allemagne. Aaprès ce résultat avez-vous changé votre opinion sur les Grecs ? "Non car ils avaient, aussi face à nous, réalisé une belle prestation, mais nous avons gagné car nous avons mieux joué. Mais pour moi cela ne change rien. Leur schéma tactique est toujours le même, comme l’envie de gagner, qu’ils s’agissent d’eux ou de nous." "Le Panathinaikos l’a emporté sur le terrain du Werder de Brême, qui est une bonne équipe, et ils ont confiance en leurs possibilités." A Chypre, vous avez un peu sous-estimé l'adversaire, mais par après, il y a eu des bons résultats face à l’Udinese, Palerme et la Juventus. Y a-t-il un risque de sous-estimer le match du Panathinaikos ? "A Chypre, c’était une mauvaise soirée pour l’équipe, même quand on joue bien nous ne récoltons pas ce que nous méritons. Quand on se prend trois buts d’une équipe qui joue bien jusqu’au coup de sifflet final, tout devient plus difficile." "C’est une bonne chose d’y avoir fait un nul car maintenant, face au Panathinaikos, nous allons avoir l’occasion de réaliser une belle prestation et de nous qualifier." Quelle sensation cela vous fait de savoir que vous faites partie des quatres intouchables de José Mourinho avec Julio Cesar, Ibrahimovic et Zanetti ? "Je n’ai jamais pensé que j’étais intouchable, je fais seulement mon travail pour aider mon équipe." "Puis si l’entraîneur me titularise toujours, cela me fait plaisir et j’espère faire de mon mieux à chaque match afin de rester titulaire." Maintenant Maicon est reconnu pour être le meilleur défenseur droit du monde, vous êtes à l’apogée de votre maturité ? "Sincèrement, oui." "Je me sens bien, je me sens en confiance aussi bien en équipe nationale qu’avec l’Inter. Chaque jour d’entraînement ou lors d’un match, je me sens toujours en parfaite condition." "Je dois continuer à travailler comme je le fais pour rester au sommet dans le monde du football et c’est une chose qui me fait très plaisir." Rédigé par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)
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C1. INTER 0-1 PANATHINAIKOS: "L'INTER SE QUALIFIE SANS GLOIRE"
MILAN - Un match paradoxal. Malgré la défaite surprise concédée face à de courageux joueurs du Panathinaïkos (0-1), l'Inter Milan a décroché son billet pour les 8e de finale de la Ligue des Champions grâce au partage des points réalisé par Anorthosis et le Werder Brême (2-2). Anorthosis et le Pana se disputeront la dernière place.. Malgré sa première défaite dans la compétition, l'Inter demeure en tête du groupe B (8 pts) devant le Panathinaïkos (2e, 7 pts), l'Anorthosis (3e, 6 pts) et le Werder Brême (4e, 4 pts). Et grâce à une différence de buts particulière favorable par rapport à ses deux poursuivantes, qui s'affrontent lors de la 6e et dernière journée, la championne d'Italie est certaine de terminer au moins à la 2e place. Quatre jours après leur victoire 1 à 0 contre la Juventus au terme d'une rencontre de très haut niveau, les Nerazzurri, peut-être trop sûrs d'eux, ont été méconnaissables. Empruntés et sans punch au cours d'une première mi-temps ennuyeuse au possible, durant laquelle Adriano touchait le poteau sur une violente frappe et vingt minutes plus tard, Ibrahimovic manquait de précision en lobant le portier adverse, Galinovic (31e). Après la pause, les occasions les plus dangereuses étaient encore et toujours en faveur de l'Inter. Maicon tentait sa chance de loin (52e), avant que Sarriegi ne sauve sur sa ligne une tête de Cambiasso (54e). Le latéral espagnol du Pana endossait même un costume de héros en trompant Julio Cesar après une parade de ce dernier sur une tête de Koumas (69e). Les Grecs, eux, ont parfaitement joué le coup en laissant l'Inter s'épuiser en vain avant de marquer sur une de leur rare occasion, Sarriegui marquant de près après avoir récupéré un ballon détourné par le gardien Julio Cesar suite à une tête puissante de Goumas sur corner (69). Julio Cruz s'illustrait d'une reprise de volée (84e), avant de voir sa tête repoussée par Galinovic dans le temps additionnel (90+1e). L'Inter aura eu beau aligner quatre attaquants - Ibrahimovic, Adriano, Balotelli et Cruz - pour tenter d'égaliser, les Grecs tiendront en défense jusqu'au bout Dans deux semaines face au Werder à Brême, l'équipe milanaise aura néanmoins tout intérêt à s'imposer afin de s'approprier définitivement la 1re place, laquelle garantit ensuite en huitièmes d'affronter un 2e de poule avec le match retour à domicile. TABLEAU RECAPITULATIF INTER 0-1 PANATHINAIKOS Buteur(s): 68' Sarriegi Inter: 12 Julio Cesar; 13 Maicon, 2 Cordoba, 23 Materazzi, 6 Maxwell (75' Cruz); 4 Zanetti, 19 Cambiasso, 20 Muntari (46' Quaresma), 7 Figo (72' Balotelli); 8 Ibrahimovic, 10 Adriano. Entraineur: Josè Mourinho. Panathinaikos: 1 Galinovic; 29 Nilsson, 24 Vyntra, 8 Goumas, 3 Sarriegi, 31 Spiropoulos; 19 Gabriel ( 84' Tziolis), 23 Simao, 15 Gilberto Silva, 21 Karagounis (63' Salpingidis); 26 Mantzios (94' Rukavina). Entraineur: Henk Ten Cate. Averti(s): Galinovic, Goumas Arbitre: Tom Henning Ovrebo (Norvège) Rédigé par Antony (Sport.fr), (Afp), (Inter.it)
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[ Live ] Inter vs Panathinaikos
Phoooook Forza Raggazzi !!!
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🎮 Topic Jeux Vidéos
Ah ouai j'ai vu la pub, sa me fait penser a un jeux sur Dreamcast avec un chinois dont je me souviens plus le nom !
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UN NOUVEL INTERSTORE OUVRE A MILAN!
MILAN - Depuis quelques jours est ouvert au plein centre de la capitale économique d'Italie à Milan, un Inter Store, un magasin où sont spécialement vendus des produits dérivés du club de l'Inter. Une ouverture exceptionnelle en partenariat avec l'équipementier américain Nike qui accueillera le public du 22 novembre au 28 décembre prochain. Un choix marketing judicieux à l'approche des fêtes de Noël où, au-delà de la simple vente de maillots, aura un riche agenda d'évènements, d'animations et de promotions diverses. En marge de cette initiative unique en Italie, une étude vient d'être publiée par un cabinet d'audit allemand Sport und Markt spécialisé dans le sport et dans le marketing. Une étude portant sur le développement du Merchandising dans le football européen, principalement dans les grands championnat (Espagne, Angleterre, Italie, ...) durant la saison 2007-2008. Et cette étude montre la suprématie du football Anglais avec un chiffre d'affaire de 171 Millions d'€ générés par la vente de produits dérivés. l'Italie, elle, est très loin derrière avec un chiffre d'affaire de 64 Millions d'Euros, devancé par l'Espagne, l'Allemagne et la France. Symbole de ce retard : l'Inter se situe derrière les clubs français de l'Olympique Lyonnais et de l'Olympique de Marseille. Peter Rohlmann, l'un des participants à cette étude explique qu'un des facteurs de cette différence de résultats se trouve dans le rapport existant entre les ventes de produits dérivés et la capacité d'accueil des stades et aussi un facteur culturel : celle par exemple que le fan Italien porte moins le maillot de son club que son homologue anglais. Un résultat décevant pour l'Inter et ce malgré l'intention de s'exporter vers l'International et notamment dans des marchés porteurs comme la Chine où l'Inter a ouvert en Juillet 2007, un Inter Store à Shanghaï et où le site internet officiel du club milanais est traduit en mandarin. Rédigé par Krif (Inter.it)
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JOSE MOURINHO: "JE N'AI PAS PEUR DU PANATHINAIKOS"
APPIANO GENTILE – Demain c'est le jour d'Inter-Panathinaikos, match comptant pour la cinquième journée de l’UEFA Champion’s League 2008-2009, qui se tiendra à 20h45 au stade Giuseppe Meazza de San Siro à Milan. Josè Mourinho a rencontré les journalistes lors de la conférence de presse au centre sportif "Angelo Moratti" avant la séance d'entraînement des nerazzurri. Internazionale.fr vous propose l'intégralité des déclaration de l'entraineur lusitanien: Mourinho, la belle partie face à la Juve est-elle un point de départ au niveau du jeu et du module ? "Je dois dire que notre période négative, celle dans laquelle l’équipe a le moins bien joué, est survenue à la suite d’un grand match contre la Roma." "A partir de ce moment là, nous avions entamé une période difficile et il y a deux jours nous avons réalisé notre meilleure partie, et il y a le danger de refaire les faux pas précédents car c’est ce qu’il peut se produire parfois dans le football." "Pour l’heure, c’est important d’oublier la partie contre la Juve. Demain nous repartirons sur de nouvelles bases, nous ne devons pas prêter attention au Championnat. L’expérience me fait dire aussi que si nous perdons demain, nous courons un grand risque dans notre parcours dans ce groupe. C’est important de rester serein et de croire en nos forces, et ce, depuis un instant magnifique surtout pour le club." "Ce que nous risquons demain est de nous qualifier en cas de partage de points, mais si nous perdons nous prenons des risques. Nous pouvons nous créer une belle atmosphère et certainement pas une similaire à celle d'Athènes, mais avec comme objectif minimum de pouvoir démontrer que nous avons un stade où les garçons peuvent sentir la chaleur du public." Vous venez de Premier League, d’après-vous, de combien sont inferieurs les arbitres italiens par rapport aux arbitres anglais ? "Pour moi, ils ne sont pas inférieurs car c’est plus difficile d’être un arbitre en Italie." "En Angleterre c’est plus facile, il y a un jeu avec beaucoup de fair-play et le jeu se termine au coup de sifflet final de l’arbitre." "Il n'y a pas tant d'analyses de tout ce qui se passe dans la partie, ici cependant avec ces dernières, l’arbitre est toujours mis sous pression." Il se dit en Angleterre, que l’on aurait vu votre agent accompagné de Marco Branca et de l’agent de Didier Drogba, en train de dîner ensemble ... "Pour Branca, je n’en sais rien." "Ce que je peux vous dire c’est que moi-même, ainsi que Rui Faria et nos familles, nous étions dans un restaurant de Cernobbio, mais je ne sais pas où se trouvait Branca." Êtes-vous content que tous reconnaissent maintenant le grand travail que vous abattez avec l’Inter ? "(Il Sourit) Si vous parlez des journaux, je peux vous dire que je les lirais le jeudi qui suivra le match de demain soir." Avez-vous peur du Panathinaikos ? "Non, je n’ai pas peur d’eux, mais de nous-mêmes." Vu qu’en Italie, ces derniers aiment tant les statistiques : utiliserez-vous demain le 4-3-3 ou préférerez-vous un 4-4-2 en triangle qui plaîsait tant à Roberto Mancini ? "En 2003, le FC Porto a remporté la Coupe de l’UEFA avec un 4-4-2, en triangle au milieu du terrain. J’ai ensuite gagné la Champion’s League de la même façon. En 2003, toujours avec le même schéma, Porto avait affronté une équipe italienne en demi-finale de la Coupe de l’UEFA et il l’avait emporté." "Ce système n’est pas une invention de Mourinho, comme ce n’est pas une invention de Mancini. Le 4-4-2 est utilisé depuis tant d’années, en variant avec un triangle en milieu de terrain, c’est le même système tactique mais il permet de jouer de façon différente." "Le même système, les mêmes hommes sur le terrain, mais avec un module différent. Le système peut être blanc ou noir, il n’y a pas deux façon similaires de le jouer. J’affectionne énormément le 4-3-3 et j’ai remporté deux championnats avec Chelsea en l’employant." "Je pense que le 4-3-3 est mieux pour une équipe qui veut toujours dominer et jouer un football avec toujours plus de vitesse, d’expérience et de mobilité pour les joueurs. Je me préoccupe toujours de l’emporter, tout comme je me préoccuppe de l’année à venir, je me préoccupe du sport, qui est ma vie, et pour la qualité du jeu." "Je préfère le 4-3-3, mais comme je l’ai dit la première fois que j’ai discuté avec vous en tant qu’entraîneur de l’Inter, je ne suis pas un couillon et j’ai compris deux choses importantes : la première est la façon dont jouent les équipes italiennes contre nous, la seconde est l’évolution du module de jeu de mon équipe qui a démontré qu’elle savait jouer d’une certaine façon." "J’ai apporté des changements face à Palerme car ils jouaient l’homme et c’était difficile de presser un joueur comme Liverani. Tandis que contre la Juve, c’était important que l’équipe soit solide d’un point de vue psychologique, forcément qu’elle le soit au milieu du terrain et qu’elle abatte un grand travail de zone qui permettait aux défenseurs de se dédoubler." "Jouer en 4-4-2 aura finalement eu raison car nous avons gagné et réalisé une belle prestation et ce schéma est donc quelque chose de très important pour nous." Si j’emploierais encore le 4-3-3 dans le futur ? "Très certainement, mais cela ne veut pas dire que je le ferais demain ou par exemple ce dimanche face au Napoli." "C’est évident que nous devons aussi éprouver des situations dans lesquelles nous pourrons bénéficier du meilleur potentiel de joueurs tels que Balotelli, Cruz, Mancini et Quaresma." Qu'est-ce qu'il vous fait peur au Panathinaikos? "Je n'ai pas peur du Panathinaikos, mais il arrive souvent qu'après un match spectaculaire on se déconcentre." "Demain à San Siro, il peut y avoir 20 à 30 000 spectateurs et quand c'est ainsi notre stade est vide. Nous devons avoir beaucoup de respect pour nos adversaires, même si je pense que nous sommes meilleurs qu'eux." "Mais le football est ainsi : ils ont beaucoup de motivation en ce moment car ils peuvent se qualifier pour le prochain tour et jouer les huitièmes de finale. Je me dois de transmettre à mes joueurs ce type de message." On dit que Mourinho est arrivé à l'Inter pour donner une dimension internationale à une équipe qui lors des dernières saisons est sortie trop tôt de la Ligue des Champions. Le 4-3-3 est-il le meilleur système pour gagner en Europe ? "Je pense qu'en Europe la chose la plus importante est la mentalité. Je crois que toutes les équipes les plus importantes seront en huitièmes de finale et je crois que la chose fondamentale dans la Champion's League est l'expérience et le fait d'être toujours courageux, que tu sois sur le terrain de Manchester ou sur celui du Panathinaikos. "Il faut toujours jouer avec une mentalité de gagnant. Je crois que pour réussir à donner une mentalité très forte à mon équipe il faut que nous soyons heureux de jouer ces matchs au lieu de les craindre. Demain je leur dirai avant le match qu'ils doivent gagner et terminer premiers en restant calmes et sereins et qu'ils aient conscience qu'ils ne doivent avoir peur de rien ni de personne." "Demain, je le répète, ce ne sera pas facile de gagner." Mourinho, l'autre soir en conférence de presse, vous parliez des attaquants et vous n'aviez pas cité Mario Balotelli. Vous le voyez plus comme un ailier ? "Non, je l'ai simplement oublié. Mario peut jouer comme tout le monde et avec tout le monde. C'est un joueur avec un immense potentiel et je pense que demain il sera dans les retenus". Que pensez-vous du coach du Panathinaikos, Henk Ten Kate ? "Je l'ai déjà affronté quand j'étais le second de Rijkaard à Barcelone, puis il est allé à Chelsea comme assistant et je n'y étais pas. Nous nous sommes affrontés la première fois en Champion's League, je peux dire qu'il sait organiser ses équipes". Vous ne voulez pas parler des joueurs des équipes adverses, mais est-il possible que vous vous interessiez à Didier Drogba ? "Je ne connaissais pas cette rumeur. Drogba est un joueur qui a fait l'histoire de Chelsea et il appartient à l'histoire de Chelsea." Demain vous pourriez laisser quelques joueurs au repos en vue du match de Samedi ? "Je ne sais pas. L'entraîneur n'a pas toujours réponse à tout et là je ne l'ai pas. Je ne sais vraiment pas, j'y penserai". Vous croyez les joueurs quand ils vous disent être au top physiquement ? "Quand un joueur me dis ça, il m'offre l'occasion de le tester. Cela me plaît d'avoir une confrontation directe avec lui, en un contre un, ça permet de le responsabiliser." Faisant référence à ce que vous avez dis au début, quelle importance de finir premier ou second du groupe ? "Tout dépend de ce que tu fais de tes autres matches par la suite. J'aime jouer le premier match à domicile après les huitièmes de finale. Parce qu'à la maison, tu le fais pour gagner, et la seconde, si la première ne s'est pas bien passée, tu vas la jouer comme une finale. Mais en ce moment je ne veux pas parler de ça parce qu'il y a encore une chance qu'on n'arrive pas aux huitièmes". Vous avez dis ne pas vous sentir aimé de l'Italie. Suite à la victoire sur la Juventus, ressentez-vous une évolution positive dans vos différents entretiens ? "Avec les supporters de l'Inter, cette semaine oui (ndlr : il sourit). On verra la semaine prochaine. Mais je comprends bien cette situation parce que j'ai connu la même au Portugal. Après une victoire c'est superbe mais pas non plus le paradis, après une défaite ce n'est pas non plus l'enfer". Vous aviez dis à plusieurs reprises que 29 joueurs vous font un trop gros groupe, mais vous vous y êtes adapté. Janvier sera synonyme de dégraissage ? "Ce serait une satisfaction de terminer avec le même groupe qu'au départ. Nous sommes ensemble et travaillons ensemble depuis le début, ça me déplaîrait d'arriver en fin de saison avec un groupe différent. Même si je ne change pas d'idée sur le fait que nous sommes trop. Nous travaillons avec deux groupes, ceux qui jouent et ceux qui ne jouent pas parce que, du point de vue méthologique, on peut travailler avec les deux groupes de joueurs. Si l'un pense à partir en janvier, il est libre de le faire. Nous ne sommes pas là pour ouvrir la porte mais pour parler, communiquer, chercher de trouver la solution même pour ceux qui ne jouent pas mais qui sont heureux de faire partie du groupe. Je serai heureux de finir la saison avec eux". Vieira s'est blessé hier, comment va-t-il ? "Peut être n'est-il pas blessé". Un rapport avec son équipe nationale ? "Je ne sais pas, j'ai besoin de lui parler. Il a joué deux minutes avec nous. Si il est vraiment blessé ? Il est vrai que demain il ne jouera pas". Il risque de rester écarté longtemps ? "Je pense que match après match, il reviendra. Je ne sais pas quand. Demain il ne viendra pas, puis on verra". Il n'a pas joué dimanche parce qu'il avait le même problème samedi ? "Il n'a pas joué dimanche parce que nous avions un milieu différent avec Zanetti à droite de Cambiasso". Comment s'est-il blessé en seulement cinq minutes ? C'est étrange.... "Qui sait si le problème ne date pas de la semaine passée...." Rédigé par Antony & K-Rim (Inter.it) & (Inter.it)