Damien

MILAN - Julio Cruz, auteur du but de la victoire lors du match de championnat contre Lecce, a analysé le match aux micros de Inter Channel : " Le résultat de ce soir est très important. L’équipe voulait gagner à tout prix". Le but ? " Ibra m’a donné une balle parfaite, je devais juste cadrer et j'ai réussi" Les indications de l’entraîneur avant de rentrer ? " Mourinho m’a dit que vu le déroulement du match, nous devions attaquer constament. Mon devoir était d’aider aussi bien l'attaque que le milieu de terrain" Le derby ? " C'était important de gagner et d'arriver au derby en tête du classement. Le match contre le Milan est un match très différent de tous les autres. Le Milan cherchera de gagner à la maison et nous, nous devrons imposer notre force. Nous espérons que ce soit le début d’un long chemin qui nous portera à un autre scudetto". Par Ibracadabra Il Genio ( Inter.it )

MILAN - Voici les déclarations d’après match de Amantino Mancini aux micros d’Inter Channel : " Nous savions que ça allait être un match difficile. Lecce se refermait en défense avec huit voir neuf défenseurs. Ils effectuaient un marquage attentif sur nos attaquants. Nous n’avons jamais lâcher et, à force d’insister, nous avons été récompensé par le but de Julio". "Je pense que nous aurons des matchs difficiles cette année, c'est ça le championnat Italien. L’important est d’avoir remporté les trois points. Et puis une victoire comme celle là, où nous avons souffert, te boost le morale pour affronter le Milan qui renaît". "Tous mes compliments à Zanetti pour ses 600 présences en nerazzurro, c’est un exemple de capitaine et de joueur ". Par Ibracadabra Il Genio ( Inter.it )

MILAN – Voici les déclarations d’après match de Zlatan Ibrahimovic aux micros d’Inter Channel : " Sur mon coup franc, je l’ai bien tiré mais elle n’est pas rentrée". "C'était difficile de jouer aujourd'hui. Lecce est venu pour défendre et ils l’ont bien fait, ils étaient tous en défense, les attaquants aussi. Ils nous ont mis en difficulté mais finalement, c'est nous qui avons marqué. Nous avons remporté trois bons points vu que nos adversaires ont perdu des points importants". "En deuxième mi-temps, nous étions quatre, même cinq en attaque en comptant Cruz. Nous voulions gagner et l’entraîneur a tout fait pour obtenir cette victoire. J'ai beaucoup de plaisir avec cette équipe, je suis content et ça faisait longtemps que je ne jouais pas autant que ça". Le 600ème match de Zanetti ? " Je veux en faire plus de 600, enfin j’espère. Nous devons récupérer en vue du Derby, nous sommes premier et ce sera un beau derby. Nous viendrons pour le gagner". Par Ibracadabra Il Genio ( Inter.it )

APPIANO GENTILE - L'international français, Olivier Dacourt, souffle aujourd’hui ses trente-quatre bougies. En effet, le milieu de terrain nerazzurro est né le 25 septembre 1974 à Montreuil, en France. Internazionale.fr s’associe à Inter.it et aux tifosi nerazzurri pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. Par Didju222 ( Inter.it )

MILAN – Moment de très grande émotion hier soir au Stade "Giuseppe Meazza" peu avant le coup d’envoi de la partie opposant l’Inter à Lecce. Javier Zanetti, le capitaine nerazzurro qui a été inséré par Josè Mourinho dans le onze titulaire de l’équipe allait, en disputant cette rencontre de championnat atteindre les six cent matchs officiels sous le maillot nerazzurro. Et peu avant le coup d’envoi, Il Capitano a reçu une plaque commémorative des mains d’Ivan Ramiro Cordoba, son vice-capitaine. Internazionale.Fr vous propose la déclaration offerte par San Siro au Capitano: AMIS NERAZZURRI DANS CETTE ANNEE DU CENTENAIRE NOUS FETONS CE SOIR LE PRESENT QUI DEVIENT HISTORIQUE ET QUI NOUS PROJETE TOUS ENSEMBLE VERS LE FUTUR. SIX CENT FOIS INTER, SIX CENT FOIS JAVIER ZANETTI!!! AU NOM DE L’INTERNAZIONALE FC, DE L’EQUIPE ET DE TOUT LES TIFOSI, IVAN RAMIRO CORDOBA A REMIS AU CAPITAINE DE L’INTER, JAVIER ZANETTI, UNE PLAQUE COMMEMORATIVE CELEBRANT LES SIX CENTS MATCHES OFFICIELS SOUS LE MAILLOT NERAZZURRO. MERCI JAVIER, LE SEUL ET L’UNIQUE. FORZA INTER!!!!!!!!! Par Randy (Inter.it)

MILAN – L’Inter s’est imposée ce soir 1-0 à San Siro face à Lecce. Pour l’occasion, Josè Mourinho alignait une équipe proche de l’équipe-type, et ne laissait en aucun cas, et à la surprise de tous, de place à un quelconque turn-over. L’équipe était donc composée de Julio Cesar dans les buts, épaulé en défense par Zanetti, Cordoba, Burdisso et Chivu, suivi d’un milieu composé par Vieira, Cambiasso et Stankovic et du trident offensif Ibrahimovic, Adriano et Mancini. A RETENIR EN PREMIERE PERIODE : Après un léger retard de quelques minutes, suite à un Julio Cesar quelques peu empâtés avec ses protège-tibias et autres chaussures, l'Inter démarrait assez rapidement la rencontre en tentant de se montrer assez entreprenante. Mais le match, au fil du temps allait rapidement se renfermer. En effet plus le temps passait, plus ce dernier devenait ennuyeux et morose avec une équipe nerazzurro qui était, certes, techniquement supérieure à son adversaire, mais qui ne prouvait en rien cette différence durant les quarante-cinq première minutes. La seule occasion à sortir du lot émane des pieds d’Ibrahimovic sur un coup franc, son tir légèrement dévié frappait de plein fouet la transversale. Adriano manquait peu de temps après, lui aussi, d’adresse devant le but. En effet, la tête du brésilien ne parvenait pas en effet à redresser la course du ballon sur un corner impeccablement tiré. Au contraire, l’équipe la plus mériteuse lors de cette première période était bel et bien le Lecce qui ne faisait aucun complexe d’infériorité, Zanchetta s’essayait même à tester les reflexes de Julio Cesar, avec un tir précis à 20 mètres du but. A RETENIR EN SECONDE PERIODE : Josè Mourinho, qui n'était guère satisfait d’une première période de bien triste facture procédait à deux changements : Quaresma pour Stankovic et Maicon en lieu et place de Vieira. Les intentions du Spécial One était claires, il voulait la victoire, celles de Lecce étaient tout aussi claires, employer le Catenaccio et procéder en contre attaque. Catenaccio qui allait faire ses preuves à la à la quarante-septième minute de jeu, lorsque Quaresma tentait de se mettre en évidence par un centre, mais la défense des promu anéantissait cette tentative. Maicon, en forme olympique depuis quelques matches tentait à nouveau de se mettre en évidence à la cinquante-cinquième. En effet, le brésilien parti dans un raid de quarante mètres s’infiltrait dans l’axe et passait le ballon à Adriano qui le lui remisait de suite, seul devant le but Maicon voyait cette occasion de but réduite à néant par le portier leccese, cependant la balle terminait, par un concours de circonstance, dans les pieds d’Ibrahimovic, qui, préssé par les défenseurs, ne parvenait pas à conclure cette action. Josè Mourinho est un entraineur qui aime l’attaque et son dernier remplacement allait confirmer cette conviction. En effet, Julio Cruz allait remplacer à la soixante-et-onzième minute de jeu Cristian Chivu, ce qui équivalait à avoir cinq joueurs à vocation offensive pour finir le match. L’Inter allait dès lors évoluer dans une sorte de 3-2-5, et ce coup de poker allait s’avérer décisif. La défense lecesse, prise à la gorge allait tout d’abord plier par l’intermédiaire de Mancini qui allait partir dans un raid solitaire au cœur même de cette dernière, hélas son tir ne posait aucun problème à Benussi. Cruz quant à lui, allait prendre la température à la soixante-quatorzième minute de jeu, mais encerclé par les défenseurs adverses, il ne parvenait pas à trouver le cadre. Lecce pliait et allait finalement rompre à la soixante-dix-neuvième minute. En effet dans une action, exceptionnellement bien construite, Maicon centrait en profondeur pour Ibrahimovic, le géant suédois remisait en retrait pour Julio Cruz, et l'argentin allait libérer le peuple nerazzurro sur une superbe reprise, sans contrôle du pied droit qui ne laissait aucune chance à Benussi. L’Inter, suite à ce premier but procédait par après en contre, et laissait venir à elle, une brave équipe de Lecce qui n’avait guère plus d’autre choix que de se découvrir. Ibrahimovic profitait d’ailleurs des carences défensives de cette dernière, en tentant à la quatre-vingt-et unième minute de jeu de surprendre Benussi avec un tir cadré de plus de quarante mètres, mais le portier, auteur d’un bel arrêt renvoyer ce ballon en corner. L'Inter allait par la suite contrôler la partie jusqu’au coup de sifflet final. A RETENIR : Suite au match nul 1-1 entre la Juventus et Catane, L’Inter occupe désormais seule la première place au classement. De bon augure avant le Derby della Madonnina. NOTE PERSONNELLE : L’Inter connait sa force et corrige avec le temps ses faiblesses. Néanmoins la prestation que l’équipe a offerte à ses supporters, face à une équipe du standing de Lecce n’est pas digne de son rang. Nous ayant depuis le début de la saison habitué à jouer avec un pressing, l’Inter semblait pour ce match retomber dans ses travers du passé, en éprouvant les pires difficultés à se créer des occasions et en ne parvenant pas à inscrire le moindre but, pire, à se créer, ne fut-ce qu’en première mi-temps des occasions de buts digne de ce nom. Au lieu de cela, nous avions droit à des mauvais contrôles tels que ceux de Cristian Chivu, à des pertes de balle surprenante de la part d’Esteban Cambiasso. Le joueur le plus en évidence aura été sans nul doute Mancini, de part ses tentatives, ses dribbles et sa classe, certes il s’est un peu éteint sur la fin, mais il aura mouillé le maillot. Cependant, cette année, l’Inter a un plus, un homme décisif, un homme qui se qualifiait lui-même en Angleterre de Special, son coaching et son audace se seront avéré payant en fin de match, en effet, deux de ses coups de poker se seront inclus sur le but, Maicon qui remplaçait Vieira et Cruz qui remplaçait Chivu.... Aligner cinq joueurs à vocation offensive face à une équipe aussi faible que Lecce veut tout dire, Josè est un entraineur qui en veut, un entraineur de renom qui n’a qu’une seule et unique obsession: La Victoire. Et cette soif de victoire, vient d’offrir ce soir à Josè Mourinho, le nombre incroyable de cent matches sans défaites à domicile toute équipes confondues. Son prochain objectif est un réel et un premier test grandeur nature. En effet, il s’agit ni plus ni moins du Derby entre les "Cugini", du Derby della Madonnina entre l’Inter et l’A.C. Milan TABLEAU RECAPITULATIF INTER 1-0 LECCE Buteur(s) : 79’ Cruz INTER: 12 Julio Cesar; 4 Zanetti, 2 Cordoba, 16 Burdisso, 26 Chivu (71' Cruz); 14 Vieira (46' Maicon), 19 Cambiasso, 5 Stankovic (46' Quaresma); 33 Mancini, 8 Ibrahimovic, 10 Adriano. Entraineur: José Mourinho. LECCE: 99 Benussi; 6 Angelo (51’ Diamoutene), 2 Stendardo, 14 Fabiano, 16 Esposito; 8 Munari, 7 Zanchetta, 21 Ardito, 19 Ariatti; 9 Cacia (30' Caserta); 90 Tiribocchi (54' Castillo). Entraineur: Mario Beretta. Averti(s): Chivu, Quaresma; Esposito. Expulsé(s): Néant Arbitre: Mauro Bergonzi di Genova Par Randy (Internazionale.fr)

APPIANO GENTILE - Josè Mourinho a convoqué vingt-un nerazzurri en vue du match qui opposera, ce mercredi l’Inter à Lecce. Ce match programmé pour 20.30 et comptant pour la quatrième journée de Serie A 2008-2009 se tiendra au " Giuseppe Meazza " de San Siro à Milan. Gardiens: 1 Francesco Toldo, 12 Julio Cesar, 22 Paolo Orlandoni. Défenseurs : 2 Ivan Ramiro Cordoba, 4 Javier Zanetti, 13 Maicon, 16 Nicolas Burdisso, 23 Marco Materazzi, Nelson Rivas, 26 Cristian Chivu. Milieux de terrain : 5 Dejan Stankovic, 14 Patrick Vieira, 19 Esteban Cambiasso, 33 Amantino Mancini, 77 Ricardo Quaresma. Attaquants : 8 Zlatan Ibrahimovic, 9 Julio Ricardo Cruz, 10 Adriano, 18 Hernan Crespo, 45 Mario Balotelli, 21 Victor Obinna. Par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)

INTERNAZIONALE.FR – "CE SOLO UN CAPITANO".... Un chant qui prend une saveur encore plus agréable ce mercredi 24 septembre 2008. En effet, Javier Zanetti disputera contre Lecce son 600eme match toutes compétitions confondues sous le maillot nerazzurro. EVENEMENT EXCEPTIONNEL: Il Capitano aura pour l'occasion un brassard jaune spécialement confectionné avec l'inscription: "600 fois l'Inter" et il sera composé des noms de toutes les équipes qu'il a affrontées lors de ses 600 rencontres. Internazionale.fr a aussi le plaisir de vous proposer le parcours de celui qui par un beau jour d'été du mois d’aout 1995 allait, au fil du temps entrer dans le cœur des tifosi et entrer dans la légende de l’Inter au même titre que Giuseppe Bergomi, Giacinto Facchetti.... Javier Zanetti est né le 10 août 1973. Il est le troisième joueur le plus ''capé'' de l'histoire de l'Inter derrière Giacinto Facchetti (634 apparitions), et Giuseppe Bergomi (756). Recruté, il y a un peu plus de treize ans en 1995 pour la somme de 2 900 000 $, l’international argentin est toujours resté fidèle au maillot nerazzurro auquel il voue un amour passionnel. A peine revenu de la Copa America disputée avec l'Argentine, il montra déjà toutes ses qualités face à Varese par une belle soirée du mois d’aout et, une vingtaine de jours plus tard, débutait officiellement lors de la première journée de championnat face à Vicenza le 27 Aout 1995. Beaucoup de gens avaient vite compris que l'Inter avait, à ce moment-là, fait une très belle acquisition avec Zanetti mais qui pensait qu'il serait si précieux et si infatigable.... Il débutera donc avec l'Inter lors de la première journée du Calcio le 27 août 1995 face à Vicenza, et ne manquera au final que 2 matchs de Série A pour sa première saison. Il inscrivait par ailleurs son premier but nerazzurro face à l’équipe de Cremonese. Dès sa première saison il démontre toute l'étendue de son talent de par un jeu solide au milieu de terrain, position qu'il occupe également en équipe nationale. Milieu de terrain ou latéral, l’Argentin se fait remarquer par sa solidité et son apport offensif sur le flanc droit. Les tifosi de l’Inter le surnomment alors "Il tractor". En 1998, il mène l’Inter jusqu’en finale de la Coupe de l’UEFA, où il inscrit le deuxième but de la victoire face la Lazio de Rome. Et seulement trois ans après son arrivée en Lombardie, Javier Zanetti prend le brassard de Capitaine suite au départ de Guiseppe Bergomi seulement ce qui fait le bonheur des tifosi qui louent son engagement en chantant à sa gloire en 2002, suite au départ du "traitre" Ronaldo : "Nous avons un Argentin qui joue mieux au football que Pelé." Près de 5000 jours plus tard, 4746 pour l'exactitude, Javier joue toujours avec l'Inter et en est devenu un des piliers que ce soit sur ou en dehors des terrains de football. Beaucoup de choses ont changé en treize ans, mais pas sa forme, ni ses légendaires percées, ni même son éternelle coiffure résistant à toutes les tempêtes, ou encore son visage d'enfant... En effet, en treize années de changements quasi incessants à l'Inter, un des seuls points de repères après le départ de Zio Bergomi fut Javier Zanetti.... Capitaine depuis près de 10 ans, il est désormais considéré comme une véritable Bandiera de l’Inter en épatant tout le monde de par sa longévité et son courage. Que peut-on retenir de ses 600 matchs ? Des Victoires ? Beaucoup.... Des défaites ? De trop certainement.... Des immenses joies ? Mais on ne s’en rassasie jamais.... Des défaites qu'on oubliera jamais, des remords et des regrets ? Sans doute, mais cela ne permet que de mieux savourer les victoires.... Si Javier était certes présent lors de certains jours qui figurent parmi les plus noirs de l’histoire du club, comme le 5 mai 2002, ou lors des éliminations précoces en Europe (Euro-Derby), on ne peut qu'imaginer son esprit revanchard et sa joie lorsque les victoires sont enfin arrivées.... Quel bonheur a-t-il pu ressentir le 22 Avril 2007 à Siena ? Soit près de 10 ans après le match face à la Juventus du 26 Avril 1998.... Quel soulagement fut ce 18 mai 2008 ? Après avoir sans aucun doute repensé à ce fameux 5 mai 2002.... En 599 rencontres sous le maillot de l'Inter il a inscrit 19 buts, ils sont tellement rares que chacun a une saveur toute particulière.... Tout le monde se souvient de son but face à Siena lors de la saison 2006-2007, but attendu depuis 4 ans. Et que dire de son but, l’année passée à San Siro face à la Roma.....Un but inscrit à la 88 e minute, lors de la 25eme journée de championnat, et qui était synonyme quelques semaines plus tard de "But Scudetto". Un but qui avait délivré le peuple nerazzurro de l'angoisse de voir son rival revenir à la hauteur d’un point dans la lutte au titre..... Il fait partie des 3 joueurs les plus souvent présents avec le maillot de l'Inter, et figure au panthéon du club, derrière des monstres sacrés comme Giacinto Facchetti et Giuseppe Bergomi.... Auteur, en cas de convocation ce mercredi, de son 600eme matchs, soit 4746 jours après ses débuts, Javier Zanetti est toujours là et gâchons-nous de tous bien en profiter..... Per me, c'è solo un Capitano Javier Zanetti, c’est aussi : 3 Scudetti en 2006, 2007, 2008 1 Coupe de l’UEFA en 1998 2 Coupe d'Italie en 2005, 2006 3 Super Coupe d'Italie en 2005, 2006, 2008 Ainsi que 3 Finale de Coupe d'Italie en 2000, 2007, 2008 1 Finale de la Coupe des Confédérations en 2005 avec l'Argentine Par Le Kid & Toone10

APPIANO GENTILE – L’Inter recevra, ce mercredi 24 septembre 2008, Lecce dans un match comptant pour la quatrième journée de Championnat. Ce match qui débutera à 20.30 se tiendra au stade "Giuseppe Meazza" de Milan. A cette fin, Giuseppe Baresi, l’entraineur-adjoint de l’Inter a rencontré les journalistes en conférence de presse. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l’intégralité des déclarations de l’entraineur italien: Baresi, y aura t-il un turn-over pour le match contre Lecce ? "C’est une rencontre très importante pour nous, et nous viserons comme toujours, à récolter les trois points. C’est pour cette raison que nous verrons sur le terrain, une formation qui voudra obtenir le meilleur résultat." Quel travail réalisez-vous en vue de changer la mentalité de cette équipe ? Quel faites-vous actuellement ? "Cela fait deux mois que nous travaillons, je crois que l’équipe a saisit ce que Josè voulait."Nous sommes sur la bonne route et l’équipe a cernée la philosophie de jeu que désire Josè." "Je pense que l’on doit encore travailler, mais le groupe a compris où nous voulons arriver." Mourinho donne souvent quelques indications sur la formation. Pouvez-vous, vous aussi, le faire ? "Comme il le fait, je vous propose cinq noms: Figo, Jimenez, Santon, Maxwell et Samuel." "Ce sont les joueurs qui sont indisponible, tout les autres sont disponible pour le match." Y-a-t’il un risque que l’équipe pense plus à la Champion’s League qu’au Championnat, vu que les pressions sont très fortes ? "Il y a une grande attente pour la Champion's League." "Mais je crois que José, dans la préparation de ses parties, a démontré qu’il tenait toujours à l’emporter, et ce, match après matches. Cela vaut aussi bien en Championnat qu’en Champions, aussi pour la Coupe d’Italie." "Ce raisonnement est important afin de transmettre, à nous joueurs, la volonté de remporter chaque matches." Que pensez-vous du retour de la Juventus aux commandes au classement, aux cotés de l’Inter ? "C’est important que la Juve soit de retour aux sommets, car cela faisait quelques années qu’elle n’y était plus." "C’est aussi important pour l'intérêt de tous, des journaux, des supporters et du football en général." "C’est fondamental pour tous de retrouver de la compétition en tête du Championnat, mais cela ne vaut pas que pour l’Inter et la Juventus. Nous avons aussi vu ce dimanche, un bon Milan et une belle Rome. Il y a ensuite la Fiorentina, qui marque et qui gagne. Et il y a aussi le retour de Gilardino." Est-ce possible que Zlatan Ibrahimovic soit mis au repos demain ? Car il a été souvent utilisé lors de dernières rencontres.... "Ibrahimovic figure parmi les vingt-et-un convoqués, c’est un joueur important pour l’équipe et il se sent bien." "Josè parlera aujourd’hui et demain avec lui, et une décision sera prise avant la partie." Le fait que vous soyez en conférence de presse, démontre-t’il cette grande considération de José Mourinho, vis-à-vis de son staff ? "En ce qui concerne ma présence en conférence de presse, je peux dire que Mourinho travaille énormément avec son staff et il parle tellement avec nous." "C’est important car cela nous offre la possibilité de vivre de telles expériences, et c’est l’occasion de poursuivre sur ce rapport avec lui." "Mourinho est une personne très organisé. Il sait ce qu’il veut, il a une forte personnalité, et il est sur de ce qu’il fait." "Tout ceci est très important, et ce, en vue de transmettre à l'équipe, une bonne mentalité." Verrons-nous demain des ramasseurs de balles plus âgés à San Siro ? "Non, ce sont toujours les mêmes, je ne sais pas d’où est sortie cette nouvelle, et cela n’émanent certainement pas de nous." "Quelle serait la nécessité d’avoir des ramasseurs de balles plus âgés ? Je crois qu’à l’heure actuelle, les garçons âgés de onze à douze ans sont bien plus éveillés que ceux de ma génération, lorsque je jouais." "Ce sont des gamins beaucoup plus éveillés, et ils savent comment se comporter sur le terrain. Il n’y a jamais eu, jusqu’à présent, de problémes vis-à-vis de leur travail." Comment cela se fait-il que la Primavera ne s'entraîne plus au centre sportif "Angelo Moratti" ? "C'est une solution temporaire dû à l'exigence de remettre à niveau le terrain. Lorsque tous seront opérationels, ils reviendront s’entrainer à nos cotés." "De plus, Josè tient à être proche des joueurs de la Primavera, et ce en vue de les observer, de connaitre leurs valeurs, et en vue d'en faire entraîner quelques-uns avec l’équipe première." Quelle est la chose qui vous a le plus frappé chez Mourinho, lors de cette première période de travail en sa compagnie ? "La recherche du contact." "Il m'a dit qu'il m'avait choisit après que je me sois vu proposé par la société, et il m’avait expliqué que tous, lui avaient parlé en bien de moi, ensuite il m'a demandé d’être disponible et à l’écoute." "C’est un entraineur exigeant, nous devons toujours répondre présent et nous préparer à réaliser des choses de la meilleur des façons possible." "Il est exigeant avec tout ceux qui travaillent à ses cotés, je crois qu’il connait mon passé de footballeur, et, en ce qui concerne le présent, il m'a demandé au début, de l'aider à s’insérer dans la société et à lui faire connaître les personnes qui travaillent avec nous." "Il est très certainement innovateur, il m’a aidé à améliorer l’aspect technique et l’organisation, il a même donné quelques conseils au club vu, sa grande expérience passée dans d’autres grandes sociétés." Quels sont les temps de récupérations pour Luis Figo et de Maxwell ? Pourrions-nous les revoir lors du derby ? "Figo a pris un coup samedi à l’entraînement." "C’est seulement une question de récupération physiologique qui fait suite à la douleur qu’il a ressenti sur son talon, cela devrait se résoudre dans les prochains jours." "Maxwell, lui souffre d’un problème au mollet suite à un coup qu’il a occasionné à Athènes, en Champion’s." "On pensait à quelque chose de plus grave, mais il va bien mieux ces derniers jours, nous verrons comment va évoluer sa situation." Comment va Dejan Stankovic ? "Il figure parmi les 21 convoqués, tous sont disponibles et prêts à jouer, il fait partie de ces joueurs qui peuvent descendre sur le terrain en tant que titulaire." Et Walter Samuel ? "Nous avons parlé avec lui ces derniers jours, il travaille très bien et nous l’avons d’ailleurs félicité." "C’est un garçon exceptionnel et qui fait preuve d'une grande animation, il va bien et travaille bien avec le groupe." Nous retenons aussi le fait qu’il manque encore un peu de temps avant qu'il revienne à cent pour cent pour un match officiel, mais nous en sommes très proches." Comment interpréter-vous la prudence du staff vis-à-vis d’Adriano. Vu ce qu’il a vécu, il semble que tout aille plus lentement avec lui.... "Le frein est tiré jusqu’à un certain point." "Adriano a joué à Athènes et à Turin, et il est disponible pour demain." Son passé fait sincèrement en sorte, qu'il y a un peu plus d’attention et d’écoute, et ce en vue de l’aider à poursuivre son parcours entamé depuis la préparation. Il offre une totale disponibilité, et c’est important pour nous qu’il continue sur cette voie afin qu’il s’améliore et fasse de meilleures prestations." "Mais comme je viens à peine de le dire, il est totalement disponible, nous aussi, et nous avons un long chemin à parcourir ensemble match après matches, semaine après semaines." Que peut-il encore tant manquer, avant de retrouver un Adriano en pleine possession de ses moyens ? "Je crois qu’il manque encore quelques parties, il n’en a pas fait plusieurs consécutivement." "Nous avons déjà vu un bon Adriano, et il manque encore un peu de temps avant de revoir le joueur qu’il était, il y a quelques années." Il y a quelques semaines, Mourinho a déclaré que Mario Balotelli était un très grand et jeune joueur. Nous vous demandons, à vous qui le connaissait bien, ce qu'il lui manque afin de pouvoir devenir un grand joueur ? "Mario est un très grand joueur et il possède de très grandes qualités." "Et il les a déjà exposé dans le Secteur Jeunes, il s'est retrouvé en cinq mois dans le groupe de l’équipe première en compagnie de grands professionnels." "Il travaille bien. Il est encore jeune et il a besoin d’être un peu plus ordonné, d’avoir un peu plus de conseil et ce, en vue de à trouver un parfait équilibre afin de pouvoir jouer trente parties sur l'année." "Il faudra donc encore attendre quelques temps avant d’avoir un footballeur utile à l'équipe qui pourra jouer trente matchs par an." S'il est rentré à Turin avec un peu trop de fougue et non avec trop de nervosité ? "Oui, mais cela n’est pas uniquement de sa faute, l’équipe était un peu en retrait à cet instant du match, et il a un peu moins joué. Mario est très jeune, et il n’a pas encore l’expérience pour gérer de la meilleure façon possible une partie dans une période aussi délicate." "Forcément, s’il serait rentré lors des soixante-dix-premières minutes, il aurait éprouvé moins de fatigue et sa prestation aura été bien meilleure." Ne pensez-vous pas que l’on fait moins confiance aux jeunes en Italie, par rapport à l’Etranger ? Bojan par exemple, évolue déjà en tant que titulaire à Barcelone et il a déjà fait ses débuter en équipe nationale.... "Vous me parlez de Bojan, mais il ne me semble pas qu'il est actuellement titulaire à Barcelone." "A-t-il fait trente parties l’année passée ?" "Balotelli en a, lui aussi, joué beaucoup l’année passée. Il y a, à l'Inter, Balotelli, mais il y a aussi Adriano, Ibrahimovic, Cruz, Crespo...." "Que devons-nous faire ? Envoyer Balotelli à Catane afin de le faire jouer toutes les parties ?" "Lorsque Mario ne joue pas, il ne le fait pas car il se doit d'être opérationnel. Il descend sur le terrain selon la nécessité de l’entraineur, quand ce dernier en a besoin, et quand il le mérite." "Balotelli joue titulaire lorsque nous le trouvons opportun, sinon, il irait sur le banc. Cela peut même arriver qu’il se retrouve en tribune." Etes-vous convaincu que José Mourinho est le meilleur entraîneur en circulation ? "J’ai travaillé jusqu’à présent et uniquement qu'avec lui, et c’est très sincèrement un excellent entraîneur." "Je crois que c'est un exemple à suivre. Il regorge d'un tel enthousiasme, et c’est fantastique pour moi de pouvoir travailler en étant aussi proche de lui, en volant, en voyant et en écrivant tant de choses sur lesquelles nous travaillons et nous discutons par la suite." "Je crois qu’il est le meilleur, même si je ne connais pas bien les autres." Et pensez-vous être le meilleur entraineur-adjoint en circulation ? "Pas pour l’instant." "Mais je pourrais le devenir en étant proche de Mourinho." Par Ibracadabra Il Genio & Randy (Inter.it et Inter.it)

CESANO MADERNO (MILAN) - Moments riches en émotions, cet après-midi à Cesano Maderno, dans la Province de Milan. Paolo Vaghi, le syndic local était présent en compagnie de quelques membres de l’administration communale, afin d’inaugurer une place à Giacinto Facchetti, l’inoubliable et l’inoublié champion nerazzurro. L'Inter n'a pas voulu manquer à l'évènement, Bedy Moratti représentait la Société en compagnie de Javier Zanetti et d’Esteban Cambiasso. Emouvantes aussi, les paroles prononcées en souvenir du dix-neuvième président de l'histoire nerazzurra, par Gianfelice Facchetti, qui était accompagné par son frère Luca et son oncle Luigi Facchetti. Quelques anciens footballeurs de la Grande Inter étaient eux aussi présent, parmi lesquels Luis Suarez et Aurelio Milani, un adversaire de l'un des nombreux Derby du Lodetti. Une lettre du Président de la Région de la Lombardie, Roberto Formigoni a aussi été lue lors de cette cérémonie.

MILAN - Lors de sa sortie des bureaux du Saras, le président Massimo Moratti a donné une brève interview aux journalistes. Internazionale.fr vous propose la version intégrale des déclarations du Président Nerazzurro. Après trois journées de championnat, quelles sont vos premières impressions sur l'équipe ? "Hier, il y a eu une amélioration par rapport aux deux matchs précédents, donc tout va tout bien. Je dois dire que cela me fait aussi plaisir de voir l'enthousiasme et l'engagement des joueurs sur le terrain". Adriano est également revenu, un joueur qui sans donner un jugement trophâtive, montre que moralement qu'il peut redevenir celui qu'il était auparavant... "C'est juste de dire que lorsqu'il joue bien il est sur la bonne route, cependant pour ses qualités, jouer bien signifie se donner encore plus". Vu l'attitude de l'équipe sur le terrain, et les résultats obtenus jusqu'à présent , pensez-vous que Mourinho soit le meilleur entraîneur du monde ? "Je ne fais pas ce genre de comparaison parce que j'ai eu d'autres entraîneurs qui m'ont apporté des victoires." "Je crois que Mourinho ait redonné à l'équipe, en très peu de temps, des résultats et un plus beau jeu." "Mais il est vrai que lorsque je l'ai pris, j'étais convaincu de prendre celui que je considérais comme le meilleur". Considérez-vous la Juventus comme principale rivale pour la conquête du championnat ? "Oui, la Juve sans aucun doute, mais il y a aussi la Roma et le Milan qui se sont bien repris." "Ces derniers sont nos rivaux. Nous devons constamment montrer notre valeur". Quel effet cela vous fait-il de voir l'Inter en tête au classement, à égalité avec la Juventus ?" éC'est intéressant surtout pour vous, journalistes, car on peut spéculer n'importe quoi dessus." "De plus, c'est traditionnellement beau car ce sont les clubs qui ont le plus de public en Italie et, cela implique donc beaucoup plus tout le pays". Par Olivier (Inter.it)

TURIN - L’Inter de Josè Mourinho se déplaçait pour cette troisième journée de championnat à Turin, en vue d’y affronter le Torino. Et à cette occasion, The Special One alignait pour la toute première fois en championnat Adriano en attaque, épaulé par Ibrahimovic et Mancini, Cristian Chivu, était quant à lui titulaire en défense. Le reste de l’équipe était donc composé de Julio Cesar dans la Cage, de Burdisso, Materazzi et Maicon en défense, de Vieira, Cambiasso et Javier Zanetti au milieu du terrain. A RETENIR EN PREMIERE PERIODE La première équipe qui se mettait en évidence était le Toro, via une tentative hors-cadre d’Amoruso, à la septième minute de jeu. Une minute plus tard Rosina se frayait un espace, mais son tir du gauche n’inquiétait nullement Julio Cesar. L’Inter montait petit à petit en puissance et la première occasion des Champions d’Italie ne se faisait pas attendre, à la douzième minute, Chivu centrait sur son aile, Pratali renvoyait le ballon de la tête, et ce dernier était repris par Ibrahimovic qui forçait Serini à réaliser un arrêt à ras-de-terre. Le Torino, qui était bien en jambe en ce début de match réagissait une minute plus tard lorsque Pisa centrait vers Bianchi, malheureusement pour l’équipe hôte, sa tête n’était pas cadrée. L’équipe turinoise allait par la suite sombrer, et le premier danger survenait à la vingt-deuxième minute pour les Granate, Pratali ratait un dégagement, Mancini, situé à peu de mètre de la surface de réparation ne parvenait pas à profiter d’une déconcentration de Diana. La partie allait finalement se débloquer à la vingt-quatrième minute de jeu, quand Mancini qui s’était infiltré entre les lignes défensives, se voyait offrir une occasion en or de la part d’Adriano. En effet, le tir du Brésilien qui se situait au bord de la ligne de but, se voyait légèrement dévié dans ses propres filets par Pisano. Assommé, le Toro allait sombrer totalement deux minutes plus tard: Sur une action rondement menée par les nerazzurri, Patrick Vieira servait sur l’aile Droite Maicon, qui allait cette fois-ci laisser exploser la Samba Brésilienne. En effet celui qui est sans nul doute le meilleur ailier droit à l’heure actuelle au monde, punissait de façon magistrale Sereni avec un tir à la limite de la surface de la réparation turinoise, qui mourrait dans la lucarne oppossée. L’Inter allait, dès lors, se contenter de dominer et de gérer la rencontre, et la première période prenait fin avec diverses actions manœuvrée par l’Inter. A RETENIR EN SECONDE PERIODE: Les formations revenaient sur le terrain, avec pour seul changement Barone, en lieu et place de Corini. Ibrahimovic était le premier à se mettre en évidence: Sur une contre attaque et seul face à Sereni à la quarante-huitième minute. S’en suivait une tentative de Diana, le tir de l’Italien dévié par Esteban Cambiasso forçait Julio Cesar à sortir le grand jeu en parant un tir qui se dirigeait tout droit dans la lucarne interiste. L’Inter allait, à nouveau exprimer son talent à la cinquante-et-unième minute par le duo Mancini-Ibrahimovic, le Brésilien, situé au milieu du terrain servait en profondeur le numéro huit nerazzurro seul face au but, et la course de trente mettre d’Ibrahimovic allait être récompensée lorsque ce dernier battait le portier italien d’un magnifique extérieur du droit. L’Inter continuait à dominer la rencontre et une nouvelle contre-attaque à nouveau menée par le duo brésilo-suédois allait cette fois-ci offrir à Adriano une balle de but, cependant Sereni répondait présent. Le Torino souffrait, mais tentait de revenir dans la rencontre, Ogbonna d’un tir hors de la surface de réparation testait les reflexes de Julio Cesar, mais le portier brésilien montrait à nouveau qu’il était un être sur. Les efforts du Torino allaient finalement être récompensés à la soixante-seizième minute de jeu: Abbruscato déviait dans les buts, un centre de la gauche de Saumel. Ce but avait dès lors pour conséquence de voir l’équipe turinoise se ruer tête baissée devant la cage défendu par Julio Cesar qui intervenait braillement à la quatre-vingt-cinquième minute de jeu lorsque la tête d’Abbruscato de la tête mourrait sur la transversale avant de revenir dans les pieds d’Amoruso, hélas ce dernier ne pouvait rien face au numéro douze interiste. Les dernières minutes voyaient l'Inter gérer la partie en repoussant les attaques turinoise, après seulement deux minutes de jeu, Stefano Farina, l’arbitre de la rencontre renvoyait tout le monde au vestiaire sur le score de 3 buts à 1 en faveur de l’Inter. A RETENIR DE LA RENCONTRE : La première période aura été très intense avec un Torino fort agressif en début de match, mais qui ne parvenait pas à débloquer la rencontre. Bien au contraire, l’Inter allait monter en puissance, et il aura fallu deux minutes et un but venu d’ailleurs de Maicon pour mettre à néant les espoirs turinois. L’Inter, une fois placée aux commandes se contentait de gérer sereinement la rencontre et de procéder en contre, contre qui se sera avérer payant sur le troisième but signé par Ibrahimovic. La Seule fausse note de la partie aura eu lieu lors du dernier quart d’heure, lorsque l’Inter qui, jusque-là avait un contrôle totale de la partie permettait au Torino de se relancer en inscrivant un but. Il y avait bien entendu encore deux buts d’écart, mais la performance de l’équipe lors de ces dernières minutes de la rencontre, ne satisferont très certainement pas l’entraineur lusitanien. NOTE FINALE : L'Inter remporte trois points précieux sur un terrain difficile et se partage actuellement, avec la Juventus, la première place de Serie A au classement. TABLEAU RÉCAPITULATIF: TORINO 1 – 3 INTER Buteur(s): 24' Pisano (aut.), 26' Maicon, 51'Ibrahimovic; 76' Abbruscato TORINO: 1 Sereni; 19 Diana, 22 Di Loreto, 50 Pratali, 3 Pisano; 27 P.Zanetti (76' Ogbonna), 5 Corini, 24 Saumel; 10 Rosina (29' Abbruscato), 11 Amoruso; 90 Bianchi. Entraineur: Gianni Di Biasi. INTER: 12 Julio Cesar; 13 Maicon, 16 Burdisso, 23 Materazzi, 26 Chivu; 14 Vieira, 19 Cambiasso, 4 Zanetti; 10 Adriano (67' Balotelli), 8 Ibrahimovic (88' Cruz), 33 Mancini (64’ Quaresma). Entraineur: José Mourinho. Averti(s): P. Zanetti, Pisano, Pratali; Balotelli Expulsé(s): Aucun Arbitre: Stefano Farina (Novi Ligure) Par Randy (Internazionale.Fr)

TURIN - "Le dispositif tactique n’est pas important pour moi, le plus important est la façon de jouer. Ce n’est pas important d’avoir un ailer en plus ou de jouer avec deux attaquants. C’est important que la façon dont l’équipe joue s’améliore match après match. Je comprends qu’on parle beaucoup en Italie de tactique, mais c’est trop compliqué. Pour moi, la façon de jouer est importante." Telle est la déclaration de Josè Mourinho au terme de la rencontre qui opposait l’Inter au Torino, ce dimanche 21 septembre 2008. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l'intégralité des déclarations de l'entraineur lusitanien: "Je pense que la partie dure quatre-vingt-dix minutes, il n’existe pas des périodes de dix, vingt ou trente minute." "C’est difficile de dominer toute la rencontre, surtout lorsque tu jouer contre une équipe aussi bien organisée, qui a un entraineur de talent et qui a toujours évolué avec trois attaquants." "C’est difficile avoir un contrôle total. Nous avons été les plus forts, nous avons inscrit trois buts, mais nous aurions pu en mettre cinq. Ils jouaient à domicile et ils ont clairement eu une période où ils réalisées de bien meilleurs chose que nous, et ont prouvé leur potentiel en inscrivant un but en étant mené 3-0." "De plus, je pense que le Président Moratti ne paye pas Julio Cesar sans qu’il n’ait à s’employer. Il n’a rien eu à faire durant soixante-quinze minute, mais il a tout de même réalisée des parades importantes. Je suis content, mais je le répète, pour arriver où je le veux, nous devons travailler avec continuité." En parlant de ses joueurs, Ibrahimovic veut être le meilleur jouer du monde: "Et nous tous voulons ceci, il a besoin de toujours jouer, s’il veut le devenir. Il a fait deux parties en trois jours absolument merveilleuse." "Ibrahimovic a été phénoménal, même au niveau comportemental car il me semble que Monsieur Farina s’est montré trop agressif envers lu,i et Zlatan a montré une bonne maitrise de soi, et c’est aussi très important pour moi." "Si l’arbitre nous parle de façon sereine, c’est plus facile de contrôler nos émotions. Aujourd’hui par exemple, quand le quatrième homme m’a dit d’aller m’installer sur le banc, je l’ai fait sans trop créer de problèmes." "Mais Monsieur Farina a réalisé un excellent travail et pour cette raison, je ne peux pas émettre de jugement négatif." "C’est un très bon arbitre. Tout les arbitres que j’ai rencontrés jusqu'à présent ont tous été très bons et ils ont tous réalisé de très belles prestations. Mais ce n’est pas une surprise, car cela m’est déjà arrivé d’être en contact avec des arbitres italiens en Champions League." Adriano ? "Il veut revenir à son niveau." "Tout le monde parle du but qu’il a inscrit à Athènes, mais le plus important pour moi est qu’il joue comme il l’a fait aujourd’hui, en travaillant une heure pour l’équipe." "Cela signifie qu’il change de mentalité et j’en suis très heureux." "Je dois dire que je suis satisfait de l’équipe car elle a jouée des belles parties en concédant peu à l'adversaire." Par Randy (Inter.it)

TURIN – Voici le commentaire de Mancini après la victoire 3-1 contre Torino : Ma danse? "Elle me plait beaucoup. Aujourd’hui, je l’ai faite deux fois avec Maicon et j’espère le faire souvent, parce que j'aime le faire. C’est beau car ça apporte aussi un peu de joie aux gens". "Le 4-3-3 est un module offensif. C’est une tactique qui plait beaucoup à notre entraîneur". "Ce résultat est très positif, nous devons continuer de progresser car cela fait deux mois que nous travaillons ensemble. Nous avons très bien commencé, nous devons encore progresser". "Je suis sur que cette année nous ferons une grande saison, parce que nous avons des joueurs de grande qualité et un groupe très fort". Par Ibracadabra Il Genio (Inter.it)

TURIN - Voici les déclarations de Christian Chivu aux micros de Inter Channel à la fin du match contre Torino: "Je suis content car j'ai vaincu des moments qui ne sont pas beaux à vivre: j'ai été opéré." "Après, j'ai été victime d'une blessure musculaire qui m'a tenu éloigné des terrains, et j'ai réussi à rejouer aujourd'hui, après quatre entraînements." "Tout s'est bien déroulé car l'équipe a bien évoluée, elle a marqué à trois reprises, et il y a eu une grande preuve de maturité de la part de l'équipe." " Le terrain n'était pas facile, nous sommes sur la bonne voie. Nous sommes à la troisième journée et nous sommes contents, cela fait trois ans que l'Inter domine le championnat et le fait que l'Inter possède de grands champions m'a beaucoup aidé à m'intégrer dans l'équipe." Par Didju222 (Inter.it)

TURIN - Voici les déclarations de Maicon après la victoire des nerazzurri face au Torino: "Cet après-midi nous avons très bien joué, on a vu un beau football et nous avons réussi à faire ce que l'entraîneur a demandé. Nous avons seulement été en difficulté pendant dix minutes. Nous devons améliorer cet aspect car dans un match de Champions League, les distractions du genre peuvent changer le match". Le but? "J'essaie souvent des tirs de loin à l'entraînement et ça a fonctionné aujourd'hui." "J'ai essayé de tirer et ça donne un très beau but. J'en suis aussi très fier." Par Didju222 (Inter.it)

TURIN – Voici les déclarations d’après match d’Adriano qui a été élu homme du match par SKY: " Je suis content, j’ai travaillé pour l’équipe et j’ai fait ce que m’a demandé Mourinho. J'étais blessé depuis un mois et l’entraîneur m’avait dit qu’il allait me faire jouer une heure car si j'avais joué plus, j'aurais ressenti la fatigue." "Je veux tout faire pour l’équipe, j’ai couru pour l’équipe, j’étais là principalement pour aider l’équipe, nous avons obtenu les trois points en marquant trois buts, c’est le plus important. Lorsque je suis sortit Mourinho m’a dit qu’il était content pour moi. Je parle beaucoup avec lui et ça m’aide beaucoup, sur le terrain je pense tout le temps à cela et c’est très positif." "Je voulais sortir de la situation dans laquelle j’étais et redevenir ce que j’étais avant. Le dernier quart d’heure, nous nous sommes un peu déconcentrés, mais c’est clair, nous avons beaucoup couru et savons que nous devons nous améliorer." "J’espère que dés le prochain match, nous serons plus attentif en fin de match " Par Ibracadabra Il Genio Source : Inter.it

VIAREGGIO – "Je suis fier et honoré par ce prix. Toute l'Inter a travaillée pour qu'il puisse nous être assigné, et j’ai le plaisir de le partager avec l'ensemble de la société." Tel est le commentaire de Massimo Moratti, qui été présent sur la loge du théâtre-cinéma Politeama de Viareggio, à l’occasion de la "Soirée d'Honneur du Festival Des Cultures" promu par le Conseil de l’Europe et par le Ministère des Activités Culturelles, suite au prix spécial assigné à Inter Campus comme "exemple d'intégration et de dialogue interculturel." Internazionale.fr a le plaisir de vous livrer les réactions du Président Nerazzurro: "C’est un projet que nous mettons en avant depuis des années, et qui a des buts exclusivement sociaux. Ce n’est pas un investissement du Secteur Jeune, c’est une activité née par instinct et qui porte en avant, et avec un caractère professionnel et une passion, un groupe de garçons vraiment exceptionnels." "Mario Balotelli est le résultat d'un investissement à travers le Secteur Jeune." "Avec l’Inter Campus nous ne cherchons pas de talents, mais nous nous efforçons, avec notre expérience et au nom de l'Inter, d’ouvrir beaucoup de portes et de poser des bases qui opèrent en faveur des enfants, et ce dans les zones plus périphériques du monde." Dans le courant de la soirée, et peu avant la remise du prix à Massimo Moratti, un documentaire dédié à Inter Campus et réalisé par Gabriele Salvatores a été projeté. Et les applaudissements du cinéma-théâtre Politeama de Viareggio ont confirmé, encore une fois, que les gens ont compris les buts de projet, son histoire, sa valeur humaniste et sa solidarité. Par Randy (Inter.it)

APPIANO GENTILE - Josè Mourinho a convoqué vingt-deux nerazzurri en vue du match qui opposera, ce dimanche l’Inter au Torino. Ce match programmé pour 15.00 et comptant pour la troisième journée de Serie A 2008-2009 se tiendra au "Stadio Olimpico" de Turin. Gardiens : 1 Francesco Toldo, 12 Julio Cesar, 22 Paolo Orlandoni Défenseurs : : 2 Ivan Ramiro Cordoba, 4 Javier Zanetti, 6 Maxwell, 13 Maicon, 16 Nicolas Burdisso, 23 Marco Materazzi, 24 Nelson Rivas, 26 Cristian Chivu Milieux de terrain : : 7 Luis Figo, 14 Patrick Vieira, 19 Esteban Cambiasso, 33 Amantino Mancini, 36 Francesco Bolzoni, 77 Ricardo Quaresma Attaquants : 8 Zlatan Ibrahimovic, 9 Julio Ricardo Cruz, 10 Adriano, 18 Hernan Crespo, 45 Mario Balotelli. Par Randy Source: Inter.it

APPIANO GENTILE – L’Inter se déplace ce dimanche 21 septembre 2008 à 15.00, au Stadio Olimpico de Turin, en vue d’y rencontrer l’équipe du Torino dans un match valide pour la troisième journée de la Serie A 2008-2009. A cette fin, Josè Mourinho à rencontré, peu de temps après la fin de l’entrainement de ce matin, les journalistes en conférence de presse au "Centre Sportif Angelo Moratti". Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l’intégralité des déclarations de l’entraineur lusitanien: Mourinho : L’Inter a remportée ses deux derniers matches, quelle qualité démontrée par l’équipe lors de ses parties, voudriez-vous que l’équipe garde en tête demain ? "L’Important est que l’équipe n’oublie pas sa grande envie de victoire qu’elle a eue depuis la première minute de jeu." "L’objectif n’est évidemment pas de marquer tout de suite à la première minute, cela peut arriver une seule fois sur les trente rencontres que nous avons à jouer. Mais nous ne devons pas perdre temps." "Nous devons entrer sur le terrain pour prendre le contrôle du match et pour montrer que nous voulons l’emporter. Il se peut aussi que l’on ne puis pas remporter les trois points." "Tel est le football, et on joue contre une équipe qui a un objectif similaire aux nôtres, et qui peut réaliser de belles prestations, comme ce fut le cas pour Catane et pour le Panathinaikos. Le Torino a lui aussi la possibilité de réaliser un grand match." "C’est pour cela que je souhaite que l’équipe ne perde pas cette pensée, en entrant sur le terrain, sans peur et en se montrant active, sans trop se préoccuper des adversaires." "Il faut penser à notre rendement personnel sur le terrain et à notre propose philosophie de jeu." Quelle est l'importance de porter en avant votre travail individuel avec les joueurs, et plus particulièrement avec Adriano, qui mardi a inscrit un très grand but? "Le plus important pour moi est l’équipe, aussi bien Adriano que les autres joueurs peuvent être pris au cas par cas. Adriano est seulement un jouer en plus, un parmi les trente que j’ai à ma disposition." "Nous sommes évidemment tous heureux du très beau but qu’il a inscrit, mais nous l'étions encore plus, car ce but valait trois points pour nous et parce qu'il nous apportait la sérénité, dans les dix dernières minutes du match qui aurait but s’avérer dangereux jusqu’à la dernière seconde. Et cela grâce au travail de tous ceux qui veulent faire chaque match." "Pour nous l’important est qu’il soit revenu avec nous, c’est un élément en plus." "Lorsque nous avons présenté Quaresma, j'ai dit une chose que je peux dire pour à tous mes joueurs : chacun peut aller sur le terrain, sur le banc ou en tribune." "Nous n'avons pas un calendrier facile avec le Championnat, la Champion’s, les rencontres internationales, nous aurons avons deux matches de Serie A en quatre jours. Cette situation n’est pas facile pour toutes les équipe, mais nous, nous nous sommes prêts." Avez-vous déjà les idées claires en vue du match de demain ? Pourrions-nous voir Adriano sur le terrain en tant que titulaire ? "J’ai toujours eu les idées claires, toujours. Mais je ne vous dirais pas qui jouera aujourd’hui." "Avant le match d’Athènes, la presse italienne déclaré qu’elle savait qui serait titulaire, je peux comprendre maintenant qu’il y a un intérêt particulier dans notre relation, et ce afin de savoir si je dirais qui sera aligné sur le terrain dès la première minute, qui sait si je le sais ou pas." "On en fera de même pour le match face à Lecce, et cela arrivera un jour que celui qui descendra sur le terrain en tant que titulaire, sera celui que je voudrais et non celui que veut la presse." Si vous pouviez choisir, vous préférez évoluer en 4-3-3 ou le 4-4-2 ? "Vous me posez cette question dans toutes les conférences de presses de prématch." "Je crois qu’il est bien mieux d'y répondre une bonne fois pour toute : Pour moi, le plus important est que ma philosophie de jeu ne change jamais, tout en respectant un système tactique ou un autre." "Nous voulons construire une philosophie et nous cherchons toujours à évoluer avec cette dernière." "La pensée que je veux transmettre à l'équipe, et que je désire que cela devienne un automatisme pour les footballeurs, et celle qui vient du Portugal s’appelle un modèle de jeu." "Il peut y avoir tellement plus de système tactique qu’un 4-4-2 ou qu’un 4-3-3, et ils peuvent être sujet à des changements, car il s’agit d’une question de positionnement. L'essentiel est d’avoir une philosophie de jeu définie, évidemment, nous ne sommes pas parvenus à y arriver et à l’avoir actuellement, mais un jour nous y arriverons et nous savons le chemin que nous avons à parcourir pour y parvenir." Combien de temps, selon vous, vous faudra-t’il afin de transmettre cette philosophie de jeu à l’équipe ? "C’est une chose qui s’obtient peu à peu, jour après jour, match après match." "Les résultats sont importants pour donner, aux joueurs, la confiance dont ils ont besoin. Mais je ne changerais pas de route, c’est ma façon de penser dans le jeu et c’est mon expérience dans le football." "Je crois par exemple qu’en Champions League, une équipe a besoin d’avoir une culture plus adaptable au style de jeu qu'elle rencontre. Jouer en Italie est une chose, jouer en Europe en est une autre." "Il peut arriver que quelque fois, on peut ne soit pas prêt à jouer en Europe avec une philosophie différente et tout devient plus dur. Je ne sais pas combien de temps il faudra, mais deux à trois mois ne seront pas suffisant, pour arriver à jouer presque à la perfection." "Je dis proche, car la perfection ne peut jamais être atteinte." Que signifie cette phrase que vous avez prononcée dans une interview octroyée à la Gazzetta Dello Sport: "Je ne dit pas que je suis le meilleur au monde, mais je pense que personne n’est meilleur que moi ?" "C’est ma phrase, bien évidement." "Puis-je y répondre avec une question : Qui pense être le meilleur journaliste au monde ou qui pense avoir quelqu’un de mieux que lui ?.... Il sourit "Si vous y croyez à ce que je viens de dire, c’est qu’il y en a beaucoup qui doivent s’améliorer, sinon c’est que l’on ne voudrait jamais que ces personnes travaillent avec nous." "Si je demande à mon préparateur, Rui Faria, (ndr. qui était présent à la conférence) s'il pense qu'il y ait quelqu'un de meilleur que lui, et que ce dernier me répond positivement, je prendrais le meilleur et lui pourra repartir au Portugal." "C’est une philosophie de vie : je ne pense pas être le meilleur, je respecte tout le monde. Je suis absolument d’accord quand quelqu’un déclare que Mourinho n'est pas aussi bon que lui. Et je ne pourrais pas vivre dans un monde aussi difficile et compétitif, en pensant qu'il y ait quelqu'un de meilleur que moi." "Dans mon travail, on ne doit pas avoir peur de prendre des risques et on ne doit avoir peur de personnes." "C’est normal que lorsqu’un architecte termine un travail, que ce dernier trouve qu’il s’agisse d’un chef d’œuvre incroyable, même si nous qui le regardons, nous pensons peut être qu’il a vraiment réalisé du très mauvais travail." "C’est la vie professionnelle pour tout ceux qui ont un travail qui entre en compétition, c’est une philosophie de vie." "Aussi bien moi-même, que ma femme et mes enfant, nous disons toujours n’avoir peur de rien, il faut savoir prendre des risques. S'ils me disent qu'ils ne sont pas capables de jouer très bien au basket-ball, je leur réponds qu'ils doivent y jouer en ayant pas peur de connaitre une nouvelle expérience." "Je respecte tout, par contre, cela me déçoit énormément lorsque quelqu'un affirme que Mourinho est le meilleur entraineur au monde, sincèrement, et je ne suis pas d’accord." "Cependant, je ne pense pas que quelqu’un soit meilleur que moi dans mon travail." Si quelqu’un avait répondu être le meilleur journaliste du monde, l’auriez-vous jugé intelligent ou arrogant ? "Confiant et avec une grande possibilité de venir à travailler avec moi....Il sourit." Vous parlez avec une telle confiance, y a t’il une personne qui vous l’a transmise en particulier ? "Je ne sais pas, je pense faire parti d’un projet global." "La confiance n’arrive pas via des mots, ou via une capacité très forte de communiquer, ou bien en transmettant une pensée déterminée, c’est un projet global: Nous travaillons ensemble, nous réalisons de belles prestations sur le terrain, les joueurs sont bons, doués et ambitieux, le groupe est uni et très fort, la société est prestigieuse et à de l’ambition." "Nous devons poursuivre sur notre route, je suis confiant et ils le sont toujours plus, lorsque j'ai le temps et la condition pour les faire travailler." "Après le match face au Panathinaikos, j'ai concédé un jour de repos à l’équipe, je crois que c’est important pour ces garçons qui ont joué en équipe nationale et qui ne se sont jamais arrêté." "Ils n’ont pas eu un seul jour à passer en toute quiétude, seuls ou avec leurs familles, nous avons ensuite travaillé jeudi, hier et aujourd'hui, et ce en étant concentré en vue du match à face au Torino." "Nous avons réalisé du très bon boulot, l'équipe est en condition, et c’est la raison pour laquelle je suis si heureux." Qui a la meilleure condition entre Maxwell et Chivu ? "Chivu est à disposition, même, si il n’a évidemment pas encore joué. Maxwell, quant à lui, a disputé toutes les rencontres." "Chivu est en condition et il n’a pas de problème, il jouera sur l’aile gauche ou il ira sur le banc." "Si Maxwell me dit, demain, ne pas se sentir à cent pour cents, alors il ne jouera pas. Je pourrais même aligner Zanetti à ce poste, mais je préfère avoir un joueur qui s'adapte mieux à cette position et qui puisse plus facilement passer la balle et arriver à centrer." "Je veux toujours jouer, si possible avec ce genre de joueur: Maicon et Maxwell ou Maicon et Chivu." Vous êtes allé cet été observer le Torino, qu’elle idée vous en faites-vous ? "J’ai vu le Torino jouer en amical à Lugano deux ou trois jours avant un match de coupe." "Et ils avaient aligné durant les deux périodes, deux équipes complètement différentes, mais mes collaborateurs m'ont préparé toute la documentation nécessaire." "J'y ai vu une équipe qui joue bien, avec quatre pointes et qui a confiance. C’est important pour une équipe de bien débuter la saison, cela t’apporte la sérénité nécessaire afin de réaliser du bon travail. C’est un groupe très bien organisé, avec une structure de jeu bien définie." "Mais je dois toujours émettre quelque point d'interrogation devant moi. le Panathinaikos a changé tant de choses en vue de nous affronter, comme l’avait fait la Sampdoria et Catane, qui elles aussi avaient utilisé un défenseur central comme ailier gauche." "Tous changent leur façons de jouer face à nous, c’est pour cela qu’il est même encore plus important de monter sur le terrain comme nous savons le faire avec notre philosophie, en nous oubliant un peu les analyses réalisées sur l’adversaire." "Je sais parfaitement qu’ils jouent, par exemple, avec deux attaquantes de positions et avec Rosina et Amoruso entre les lignes, en triangle au milieu du terrain et avec Diana qui attaque très bien." "Je connais, en somme, leur équipe, mais il se peut très bien demain que la situation soit tout autre." Mourinho : Comment va Stankovic ? Pourrait-il être disponible pour le derby de dimanche prochain ? "Je pense qu'il pourrait déjà être une solution pour le match contre Lecce." "Certains clubs préfèrent parler de longues durées de récupération pour leurs blessés, pour faire croire que tout va bien et que le joueur récupère plus vite que prévu." "Nous nous risquons plus, même le staff médical aime risquer, l'objectif pour Stankovic est Lecce." Mais avez-vous avez déjà en tête le match contre Milan ? "Non. Je veux six points supplémentaires avant de jouer le derby. Et pour les avoir on doit seulement penser au Torino, et seulement après à Lecce." "Sans avoir la tête au match contre Milan, même si ce sera une grande rencontre, une partie spéciale comme tous les derbys." "Mais il n'y aura que trois points en jeu, que nous pouvons perdre aussi contre le Torino et Lecce." Le fait que le derby arrive un peu tôt au niveau du calendrier par rapport aux autres années, cela a-t-il une signification particulière ? "Seul le match de demain contre le Torino compte." Pouvez-vous nous dire quelques joueurs qui seront alignés demain contre le Torino ? "Non aucun." "Mais je peux vous dire que, comme arrière gauche, j'hésite entre Chivu et Maxwell." La semaine suivant le match Inter-Catane a été source à tant de polémiques, vous attendiez-vous à une telle atmosphère en venant en Italie ? "Oui, je m'y attendais." "Nous sommes tous latins, mais même si je viens d'un football et d'un monde social complètement différents, je suis portugais et non pas anglais. J'ai travaillé plusieurs années au Portugal où j'ai aussi vécu, j'ai travaillé en Espagne, pour moi les situations de ce type ne sont pas quelque chose de nouveau." Comment s'en sont sorties, d'après vous, les équipes italiennes pour leurs premières joutes européennes de la saison en Champions League ? "A dire vrai, je n'ai regardé aucun match de Champions League." "Bien sur le résultat de la Juventus est positif parce qu'ils ont pris trois points. C'est très dur, dans les poules de la première phase, où un match se décide sur peu de choses. Ca ne fait pas beaucoup de différence de gagner 1,2 ou 3-0, ce sont les points qui comptent le plus." "Dommage pour le 2-2 de la Fiorentina, ils avaient une grande chance d'obtenir un bon résultat. Mais gagner à Lyon n'est pas facile, j'y ai joué avec Chelsea et nous aussi nous avions fait un nul. Ils ont une belle équipe, avec une belle expérience en Champions League et avec de bons joueurs. La Fiorentina a obtenu un résultat positif, qui lui laisse une bonne position pour remporter la prochaine rencontre à domicile." "La Roma, par contre, a perdu : mais, comme je l'ai dis l'autre soir à Athènes, même si je ne connais pas Cluj, la Roma est certainement meilleur et peut gagner en Roumanie. Puis dans leur groupe, tout dépend de celui qui gagnera le plus de points contre Chelsea. La Roma a le plus de chance de le faire. Je suis confiant, je crois que tous les clubs italiens peuvent arriver dans le second tour." "Maintenant nous sommes tous loin car nous n'avons joué qu'une partie sur les six, mais cela me plairait vraiment que les quatre équipes italiennes aillent en huitièmes." Avez-vous besoin de faire reposer Ibrahimovic qui, ces derniers temps, a tant joué ? "Je dois gérer avec prudence tout le groupe, pas seulement Ibra." "Le rapport entre moi et les joueurs est plein de confiance, l'opinion du joueur est primordiale." "Si l'un d'entre eux me dit qu'il va bien, qu'il n'a pas besoin de repos en ce moment, qu'il peut jouer deux-trois match dans la semaine, je dois avoir confiance. Si par contre il me dit le contraire, nous avons un groupe avec des alternatives." "Maintenant nous avons comme pointes centrales, Ibra, Adriano, Cruz, Crespo et aussi Balotelli, il n'y a aucun problème." "Si nous avons le moindre petit problème de rotation dans un secteur de jeu, c'est bien au milieu de terrain avec Stankovic et Jimenez indisponibles et Muntari exclu." "Dans les autres secteurs tout va bien : même en défense, où il y a peu de temps je devais faire jouer Cambiasso, maintenant nous sommes tous au point, car j'ai à disposition Cordoba, Materazzi, Burdisso, Chivu et Rivas." Le recours de l'Inter pour l'exclusion de Muntari de 3 journées a été rejeté. Quelque chose à redire sur cette décision ? "Non, maintenant j'attend avec tranquillité le jour où un joueur fera une vraie agression pour voir la sanction." "Si Muntari a pris trois journées pour une situation où il méritait un carton jaune, quand il fera une vraie faute, il aura minimum six journées de disqualification." "Mais je dois patienter." Après deux jours de championnat, nous avons déjà une idée de la Serie A italienne et sur qui pourra être un adversaire majeur pour la lutte au scudetto ? "Après seulement deux matchs ? Ca ne veut rien dire." "Milan a zéro point, la Roma un seul, l'Inter et la Juve quatre, on ne peut pas dire qui est le candidat le plus sérieux à la victoire finale." "Attendons décembre quand on sera à la trêve hivernale, à la moitié du championnat, à ce moment nous pourrons analyser qui est en meilleure position." "C'est absolument impossible de le dire aujourd'hui." L'autre jour à Athènes, avant de faire rentrer Adriano, vous avez consulté votre staff. Ils vous ont aidé a prendre la bonne décision ? "J'arrive d'un championnat, la Premier League, dans laquelle tous les collaborateurs sont sur le banc. En Italie il n'y en a pas un." "En Angleterre il n'y a pas de dirigeant sur le banc, seulement les collaborateurs techniques." "Cela me plait, qu’à chaque fois que j'en ai le besoin, de demander un avis ou de rigoler un peu." "Maintenant j'ai uniquement près de moi Beppe (ndr. Baresi), les autres sont à vingt mètres de moi. Ces vingt mètres sont positifs, parce que ça me relax un peu de les parcourir." "A Athènes je les ai fait pour aller leur parler, je leur ai expliqué que j'avais deux choses en tête à faire et ils m'ont donné leur avis sur la chose." "S’ils m'ont bien conseillé ?" "Il sourit....Demandez à Rui Faria ici présent." Par Randy & Karon Source(s): Inter.it & Inter.it

Amantino Alessandro Mancini se dévoile ce vendredi, dans cette nouvelle émission de trente minutes qui est dédiée aux Nerazzurri sur la chaine thématique Sky Sport 1. Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer l'intégralité de cette interview : Comment est née l'idée de la danse sur le terrain à Athènes ? "Maicon, moi et les brésiliens étions mis d'accord depuis un moment, à Athènes j'ai réussi à marquer et donc il m'est venu spontanément l'idée de faire cette danse." "À Rome, j'exprimais ma joie différemment, je faisais de la Capoera (ndr: mixte entre danse et art martial), fortement utilisé chez nous". Restera-il un rite chaque fois que vous marquerez un but pour l'Inter ? "Je chercherai à faire des choses différentes, peut-être une autre danse, peut-être referai je de la Capoera : c'est bon d'exulter de cette manière, tu t'amuses et t'amuses également le public". Vous attendiez vous à un début de saison aussi brillant ? "Oui, je m'y attendais, parce que cela fait six ans que je joue dans le football italien et m'insérer dans un groupe de qualité et avec un entraîneur aussi bon comme Mourinho a été très facile. Même si je dois encore m'améliorer, je suis très satisfait du départ avec l'équipe". D'où vous vient toute cette sûreté ? "Du fait de croire en moi. Connaître mes qualités et ensuite travailler dans un groupe et une équipe aussi fort te transmet tant de tranquillité pour réussir à bien jouer dans n'importe quelle occasion". C'est étonnant la complicité que vous avez avec Zlatan Ibrahimovic sur le terrain: une question de feeling ? "Jouer à côté de Zlatan est facile, il a une technique fantastique ; tous connaissent sa force, il est donc facile de le comprendre, donc il est facile de jouer avec lui sur le terrain." "C'est important pour nous : nous devons continuer ainsi, en sachant que nous devons encore nous améliorer. Jouer avec est très simple, parce qu'il comprend tout très vite. Je dis toujours que Zlatan sert un ballon rond, jamais un ballon carré…". Vous avez marqué à Athènes, à Gênes et dans l'action finale d'Inter-Catane vous avez effleuré le but… "Ce sont des schémas que nous réalisons toujours pendant les entraînements. La technique et la vitesse sont notre force, donc tout devient facile." "L'Inter, dans son histoire, a toujours eu des joueurs brésiliens et cette année nous sommes cinq. Ce sont des gars de grande qualité et qui montrent leurs valeurs. Nous sommes contents que cette chose arrive et aussi pour ce qui arrivera plus tard." "Du moment que nous jouerons bien ici, n'importe qui arrivera dans le futur jouera également bien. J'ai commencé ma carrière en tant qu'ailier, mais j'ai toujours eu des caractéristiques offensives, je défendais parce que je devais défendre, même si dans le football d'aujourd'hui on ne peut pas avoir un défenseur en équipe avec mes caractéristiques." "Aujourd'hui je peux dire que je préfère attaquer plutôt que défendre, parce que ma force consiste à attaquer". Qu'est-ce qui a changé par rapport à la Rome de Luciano Spalletti ? "Lorsque je jouais à Rome je reculais beaucoup plus." "Avec Mourinho, ils nous demandent, attaquants que nous sommes, de reculer jusqu'à un certain point. Il me donne plus de liberté d'attaquer." "Ici je recule moins par rapport à la façon dont je jouais à la Rome. Comme cela, lorsque tu arrives devant la porte, tu as plus de force et de lucidité". Que signifie avoir la mentalité de Champions ? "Tu dois être une équipe concentrée, conscient de ce que tu veux obtenir." "Une équipe dangereuse, pleine d'enthousiasme qui joue dans des stades pleins de gens, donc une Inter déterminée et connaissant sa force… Si tu n'as pas tout cela, tu joues mal et tu perds". Est ce vraiment important un entraîneur comme Josè Mourinho ? "Il est fondamental d'avoir un entraîneur qui t'estime et qui te désire. Je suis content des mots que le mister a employé pour me comparer." "Maintenant je cherche à donner ma contribution sur le terrain, et à faire toujours au mieux. Avoir un entraîneur comme Mourinho, qui t'estime, te donne toujours l'envie de jouer et d'aider l'équipe. Moi j'apprécie ses entraînements." "Les méthodes qu'il utilise sont différentes : cela fait deux mois que nous sommes ensemble et nous n'avons jamais répété le même exercice. Lorsqu'on arrive le matin tu ne sais jamais qu'est-ce que tu feras sur le terrain. Tu as toujours le ballon aux pieds. Tu t'y habitues et t'exécutes les exercices avec plus de gaîté parce qu'avoir le ballon toujours aux pieds c'est une chose merveilleuse." "Mourinho est une personne très sincère, qui te dit toujours tout en face. Et il sait te dire « aujourd'hui, tu as mal joué »… Sa sincérité m'a fortement frappé". Quels sont les points communs entre Mourinho et Fabio Capello ? "Je n'aime pas faire de comparaisons. Je préfère laisser cela à vous journalistes, cependant il y a beaucoup de similitude dans le discours en ce qui concerne la gestion du groupe, ils sont semblables en ce point. Ce sont deux entraîneurs qui connaissent le football". Mourinho a dit que, sans Mancini, la Rome n'est pas la même que l'année passée… "Dans la vie personne n'est irremplaçable." "Certes, ces mots font plaisirs. Mais ce n'est pas forcément vrai. Personne ne peut ressentir un manque lorsque quelqu'un s'en va." "A la Rome j'ai donné ce que je pouvais. J'ai marqué une soixantaine de buts, ce qui fait beaucoup pour un joueur qui joue à mon rôle. Mais j'ai tourné la page." "Aujourd'hui, j'appartiens à l'Inter et je pense seulement à l'Inter." "Je suis navré tout de même pour les mauvais moments que traversent les giallorossi. Cela fait pas mal d'année qu'ils n'avaient pas aussi mal démarré une saison. Je suis resté un peu surpris, même si je pense qu'ils se reprendront, parce que c'est un groupe qui possède tant de qualité". Qu'est ce qui vous manque le plus de Rome ? "Je dois remercier Rome, le club, la ville et les tifosi. Même si maintenant je suis à l'Inter et qu'ils me sifflent, c'est normal." "Cependant, à mon avis, j'ai écrit des pages importantes avec la Rome. Donc la Rome restera dans mon coeur : elle m'a tout donné. Je suis reconnaissant à la Rome". Luciano Spalletti a dit que lorsque tu étais remplacé tu faisais la grimace. Maintenant avec Mourinho cela n'arrive plus… "Ce n'est pas vraiment cela mais, durant ce moment là je voulais donner ma contribution à l'équipe et il me l'enlevait. Cependant, c'est son choix. C'est normal qu'il se fâche à ce moment là". Amantino, vous avez peu gagné par rapport à votre valeur ? "Je suis arrivé trois fois second dans le championnat italien, même si il me manque de gagner quelque chose d'important, un championnat ou la Champion's League." "Je suis très confiant pour cette année. Je pense que nous pouvons gagner quelque chose de très important…. Plus nous gagnerons, mieux ce sera. Une équipe comme la nôtre doit toujours penser à la victoire". Tant de grands clubs vous désirez: Lyon, Barcelone, Milan et Juventus. Pourquoi avez vous choisi l'Inter ? "C'est un club qui m'a toujours plu, je suivais toujours Ronaldo lorsque il jouait ici, au Brésil on parlait beaucoup de l'Inter. L'équipe me plaisait beaucoup dans son nom comme dans sa structure". A la Rome il y a Francesco Totti, un symbole… Est-ce la même chose avec Javier Zanetti ? "Totti à la Rome est un symbole, ils le portent en bras. Ici il y a « Pupi », qui fait parti de l'histoire de l'Inter". Au Championnat : qui craignez vous le plus ? "Les habituels: Juve, Rome, Milan." "La Fiorentina a fait de bons achats et joue très bien.Je pense qu'il puisse être la surprise : un groupe très qualifié et un bon entraîneur. Je l'ai eu seulement pendant 40 jours à la Rome, mais on voyait que Prandelli était fait pour cela". La Champion's League ne risque pas de devenir une obsession ? "Nous visons fortement sur la Champion's, cependant nous n'oublions pas le championnat. Nous n'excluons rien, l'important est de faire ses preuves". Y a-t-il une équipe en Europe plus en vigueur de la gagner? "Je dirais peut être Chelsea". Dans quel championnat voudriez vous jouer dans le futur ou dans lequel vous auriez voulu jouer si vous n'étiez jamais venu en Italie ? "En Espagne. J'aime ce type de football parce qu'il y a beaucoup de technique. Cependant le meilleur et le plus difficile reste le championnat italien". Une promesse aux tifosi de l'Inter ? "La promesse que je fais aux tifosi de l'Inter est de donner toujours le maximum. Je ne peux pas promettre le championnat, la Champion's, ou les buts. Tout ceci vient en conséquence". Regrettez-vous l'équipe nationale brésilienne ? "J'étais dans l'équipe brésilienne il fut un temps de cela, mais comme ailier." "J'ai participé à l'avant-dernière coupe d'Amérique. Je faisais partie de ce groupe qui par la suite l'a gagné. J'ai toujours été orgueilleux de mettre le maillot verdeoro." "Je poursuis encore cet objectif." "À l'Inter, peut-être, j'aurai plus de visibilité, je peux avoir plus d'opportunité. J'espère bien jouer avec l'Inter pour revenir en nationale et peut-être participer au mondial en Afrique du Sud en 2010". Que vous reste-t-il comme souvenir de Gianfranco Bellotto ? "À Venise je l'ai eu comme entraîneur pendant cinq mois. À part que je ne jouais pas, mais c'était son choix, cela a été une expérience qui m'a beaucoup aidé." "J'ai réussi à connaître plus en profondeur le football italien, même si j'étais en serie B. J'ai appris l'italien. J'ai appris à connaître votre culture. Je regardais la serie A et jouais en B." "Je suis reconnaissant à Venise parce qu'elle a été une expérience importante. Cependant, Bellotto, aurait pu me faire jouer un peu plus…" "Blagues à part, nous nous sommes revus deux ans après, lorsque il entraînait à Modène : je le respecte et le salue". Questions fûtiles. Pâte et haricots ou cuisine japonaise ? "Pendant l'hiver, pâte et haricots, j'aime bien cela parce que ca tiens chaud. Cependant, une fois par semaine, la cuisine japonaise". Amatriciana (ndr: spécialité de la ville d'Amatrice, à la limite du Latium et des Abruzzes) ou risotto à la milanaise ? "Amatriciana". Par Olivier (Inter.it)