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alex_j

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Tout ce qui a été posté par alex_j

  1. Thymoté Pinon décrypte ce principe de verticalité, signature du jeu de l'Inter Milan de Simone Inzaghi. Nommé à la tête de l'Inter Milan en 2021 pour prendre la suite d'Antonio Conte, Simone Inzaghi s'est inspiré du système de jeu de son prédécesseur en reprenant notamment le principe de projection rapide en attaque. Un style de jeu engagé et volontaire qui comporte aussi quelques failles. Si on attendait bien Manchester City en finale de la Ligue des champions, on s'attendait moins à voir l'Inter Milan face aux Mancuniens. Il y a deux ans, l'équipe milanaise, désormais entraînée par Simone Inzaghi, était au bord du gouffre au niveau financier et enregistrait le départ de nombreux cadres de l'équipe (Eriksen, Lukaku, Hakimi) mais surtout de son maître tacticien, Antonio Conte, en partance pour Tottenham. Mais, sans révolutionner le jeu de l'Inter, Simone Inzaghi a permis au club de se maintenir à un très haut niveau en remportant notamment deux Coupes et deux Supercoupes d'Italie. Il s'est notamment appuyé sur l'héritage d'Antonio Conte en reprenant un de ses grands principes de jeu : la verticalité. Le technicien italien s'appuie sur une grande capacité de projection vers l'avant de son équipe. Un système de jeu efficace en attaque mais qui peut se retourner aussi contre l'Inter dans des phases de transition. Source: Thymoté Pinon et Valentin Gouriou, l'Equipe. Voir l'article ici.
  2. Juste avant la finale contre City, voici le long entretien que Steven Zhang a accordé à la Gazzetta dello Sport. Un rêve ? "Pour être honnête, j'en avais rêvé. Et je pensais, en regardant le moment du football et les différences entre certaines ligues, qu'il serait difficile d'atteindre un tel objectif. L'Inter m'absorbe complètement. Je vis le club avec une énorme intensité mais je m'implique rarement dans les aspects techniques ou tactiques concernant l'équipe. Je n'en parle même pas avec Inzaghi dont je respecte tous les choix. En tant que président, je déteste tous ceux qui veulent m'apprendre à gérer mon propre club et donc je ne fais pas la même erreur avec les autres, c'est logique." Concernant Skriniar, était-ce une erreur de le garder ? "Skriniar a toujours été l'un de mes joueurs préférés. Nous avons tout fait pour que la meilleure équipe gagne. Mais je répondrai à cette question après la finale… Avant le match contre City, je ne trouve pas approprié de parler d'individus. Avec le club, l'équipe et les supporters, nous sommes désormais un seul corps, tous concentrés sur le défi de demain." Cependant, vous pouvez au moins confirmer une anecdote sur Lukaku. En septembre, il aurait prédit : "Président, ne dites jamais jamais, nous atteindrons la finale de la Ligue des champions." C'est vrai? "Oui, j'ai souri en pensant 'il est fou'. Mais il avait raison." Romelu a-t-il obtenu confirmation avec cette heureuse prédiction ? "Pas de questions sur les joueurs, s'il vous plaît..." Et on arrive à Inzaghi... "Si Conte a été le plus 'difficile', Simone est le plus simple. Il a un grand sens de la gestion et insuffle un calme incroyable. Quand je le vois avant les matchs, je suis plus tendu que lui. Inzaghi a été un cadeau pour moi. Et c'est l'homme de la finale de la Ligue des champions. On se demande souvent qui est le meilleur ou le plus brillant entraîneur. Je pense que ce sont les mauvaises questions. Chaque club a une histoire différente. Le travail d'un entraîneur dépend de la phase que traverse le club, des joueurs disponibles, de beaucoup de choses. Le football n'est pas une science exacte." L'idée d'embaucher un top man comme Guardiola n'est-elle pas fascinante pour un président ? On vous promet de ne pas titrer "Zhang rêve de Guardiola". "C'est un très bon entraîneur capable de gagner partout où il est passé, ce serait certainement un plaisir de travailler avec lui, mais je préfère choisir des entraîneurs avec une expérience en Serie A." Au début de la saison, une banderole "Zhang casse-toi" était affichée sous le siège. En repensant aujourd'hui que vous êtes en finale de la Ligue des champions, quel est votre sentiment ? Vengeance ? "Non. D'abord, il faut dire que les manifestants étaient vraiment un tout petit groupe, et puis que le football, comme la vie, a des hauts et des bas : il y a des phases à problèmes et des phases de joie. Ça fait partie du jeu. Le travail d'un président ou d'un CEO est similaire à celui d'un coach : souvent on est seul, et il faut l'accepter." Avez-vous préparé des discours de motivation pour l'équipe ? "Ce n'est pas nécessaire. Les résultats du mois dernier ont contribué à augmenter la conviction et l'énergie. Tout le monde à l'Inter est concentré sur cet événement dont nous voulons profiter pleinement." City est l'équipe la plus forte du monde, les craignez-vous ? "Je respecte profondément City, une équipe magnifique. Mais nous avons la qualité pour les affronter. Ces dernières années, plus l'adversaire était fort, mieux nous nous sommes comportés. L'Inter encaisse avec des équipes fortes. C'est contre celles qui sont moins compétitives que nous avons perdu des points." On l'a vu en championnat. Regrettez-vous les trop nombreux faux-pas qui vous ont empêché de combattre pour le Scudetto ? "C'était difficile de garder une concentration élevée dans toutes les compétitions. La fatigue s'est installée, plus mentale que physique. Mais nous devons jouer pour une finale, pensons-y maintenant." Passons aux aspects financiers. Prêt Oaktree : quelle est la situation ? "C'est un fonds important géré par des gens très professionnels. Nous avons l'intention de renégocier le prêt. Nous trouverons ensemble une solution pour le refinancement." Les fans peuvent-ils être rassurés ? Le projet Inter avance-t-il avec de grandes ambitions ? "Tant que je serai ici, il y aura une Inter stable et compétitive." L'Inter aura-t-elle un sponsor principal l'année prochaine ? Et sera-ce Qatar Airways ? "Nous avons trois ou quatre candidats. Je ne peux toujours pas dire lequel sera choisi. Nous voulons une marque stable et adaptée à l'Inter." Aujourd'hui, il existe de nombreuses propriétés étrangères en Italie : Suning, groupes américains, fonds. Mais le sentiment est qu'il n'y a toujours pas de grande intégration avec les clubs italiens qui permettrait un changement de rythme en Serie A et une modernisation du système. "Ce n'est pas facile de changer un état d'esprit. Cela prend du temps." Nouveau stade : où en sommes-nous ? "C'est le même problème que les droits TV. Il y a de la difficulté à accepter de nouvelles choses et à changer de rythme. L'Inter et Milan sont deux clubs concurrents mais avec le même objectif de croissance. Un stade partagé garantirait cela plus que deux sites. Cela a toujours été notre idée. Milan, en revanche, a changé 4 propriétaires et autant d'idées." Mais si Milan le fait tout seul, l'Inter pourrait-elle rester à San Siro ? "Non, notre priorité est un nouveau stade, avec ou sans Milan." Demain se jouera la compétition la plus importante de l'UEFA. L'Inter avait été parmi les créateurs de la Super League mais aussi la première à abandonner le projet le soir où l'affaire a éclaté. "La Super League n'avait pas le bon format mais c'était une tentative d'innover et de changer. Elle était particulièrement utile pour les clubs italiens qui étaient derrière les autres. Mais nous ne voulions pas entrer en conflit avec l'UEFA. Et la Ligue des champions reste le meilleur tournoi possible aujourd'hui." Au rez-de-chaussée se trouve la salle des coupes. Au centre se trouve la Ligue des Champions 2010. A quel point rêveriez-vous d'en ajouter une à vous ? "J'ai pensé plusieurs fois dans ma tête à ce que cela aurait été de gagner une Ligue des champions. Mais même rêver de gagner cela semblait impossible... Maintenant que nous sommes en finale. Cependant, nous tous dans le club ont une incroyable envie d'essayer. Et nous sommes unis. Comme il l'a dit Inzaghi : nous n'avons pas peur, il n'y a qu'une grande excitation qui nous attend pour jouer ce match. Nous y croyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. L'Inter se prépare pour la finale de la Ligue des Champions et lance sur sa boutique en ligne le kit qui sera porté par Lautaro et ses associés lors du match contre Manchester City. Le nouveau maillot, enrichi du sponsor Paramount+ et de l'écriture dorée qui rappelle la finale à Istanbul, de l'écusson Coupe d'Italie et de l'écusson Ligue des Champions, est proposé au prix de 104,99 euros (sans nom ni numéro). La version de base, sans sponsors et sans patchs, coûte 89,99 euros. Le maillot de match Home Stadium célèbre les valeurs historiques de l'Inter en embrassant la tradition avec le retour des rayures classiques noires et bleues, inspirées du design des années 60, et renforce le lien avec la ville. En effet, à l'intérieur du col il y a un écrit avec le nom de Milan. Le nouveau Home Kit est complété par un short et des chaussettes noirs. Le maillot, en polyester recyclé, est en tissu respirant avec la technologie Nike Dri-Fit qui favorise une évaporation rapide de la sueur afin d'assurer un confort et une fraîcheur idéale. Il est possible de personnaliser le maillot avec le nom et le numéro de notre joueur préféré et ajouter le patch Lega Serie A 2022-2023. Traduction alex_ja via FCInterNews.
  4. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Damien dans Annonces & Support
    @Victor "Antony" Newman, tu as un concurrent
  5. Oui, c'est en real brésilien qui 0.2€. J'avais vérifié avant
  6. Perso, j'aime bien les petites poitrines. C'est comme les oeufs sur le plat: facile à cuisiner et à manger. Au bout du compte, tout le monde apprécie
  7. Notre ancien Imperator croît en la victoire de l'Inter contre City... et voici la preuve! Adriano croit que l'Inter terminera championne d'Europe. Et il en est tellement sûr qu'il mise sur le succès final des Nerazzurri à Istanbul. En effet, via son profil Instagram, il a fait savoir qu'il avait parié environ 2000 € sur la victoire des Nerazzurri en finale de la Ligue des Champions face à Manchester City. S'il réussit son pari, notre ancien Imperato qui sera en Turquie en tant que chroniqueur pour TNT Sports , empochera environ 14 000 €. Merci Adriano... mais ne parions pas notre maison ou notre appartement quand même Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Pendant la semaine de la finale de la Ligue des champions à Istanbul, la Fondation UEFA pour l'enfance collectera des dons pour aider les personnes touchées par les tremblements de terre dévastateurs en Turquie et Syrie. En étroite collaboration avec la Fédération turque de football, l'UEFA a annoncé une série d'activités de collecte de fonds ainsi qu'un soutien logistique et moral pour aider les personnes touchées par les tremblements de terre dévastateurs en Turquie et en Syrie en février dernier. Cela fait suite à un don initial de 200 000 € de l'UEFA et de son partenaire, la Fondation UEFA pour l'enfance, pour soutenir la vaste opération humanitaire au profit des victimes via un fond dédié aux tremblements de terre. Les associations membres de l'UEFA ont également soutenu l'initiative de collecte de fonds avec des dons de plus de 900 000 €. Les activités de collecte de fonds et de soutien pendant la finale comprendront : Les supporters et les visiteurs de la finale de l'UEFA Champions League seront invités à "tapoter pour faire un don" avec des terminaux fournis par Mastercard qui seront disponibles au Festival des champions de l'UEFA, au stade olympique Atatürk et dans les Fan Zones. Le produit des dons soutiendra un projet conjoint Fondation UEFA/Mastercard en Turquie. Un concert gratuit aura lieu au Festival des champions de l'UEFA au parc Yenikapı le Dimanche 11 juin, où les artistes inviteront les artistes à "tapoter pour faire un don''. L'artiste local Ferman Akgül et Can Şengün Orchestra & Friends accueillent certains des meilleurs musiciens de Turquie sur la scène principale, à partir de 19h00. Aucun billet n'est requis pour entrer sur le site du festival et pour le concert. En plus des bornes "tap-to-donate", les personnes pourront faire un don via un QR code. Dans le cadre du travail continu de la Fondation UEFA en faveur des personnes touchées, des enfants touchés par le tremblement de terre accompagneront les joueurs et l'équipe d'arbitrage. La Fondation UEFA offrira également à deux groupes d'enfants de la région touchée la possibilité d'assister aux séances d'entraînement officielles des équipes des deux finalistes, Manchester City FC et FC Internazionale Milano, la veille du match au stade olympique Atatürk. Comme les spectateurs ne sont pas autorisés à apporter des pièces dans les stades de Türkiye conformément aux réglementations locales, les pièces retirées avant d'entrer dans la finale seront également reversées au Earthquake Fund en soutien aux personnes touchées par les tremblements de terre en Turquie et en Syrie. Les dons seront distribués par la Fondation UEFA pour l'enfance en étroite collaboration avec la fédération turque à une série de partenaires qui aident activement les communautés touchées. Ces partenaires offrent un soutien en matière de santé mentale aux enfants par le biais d'initiatives liées au football et aident à la réadaptation des enfants qui ont subi de graves blessures à la suite des tremblements de terre. Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. Pep Guardiola, entraîneur de Manchester City, s'exprime sur le site officiel de l'UEFA avant la finale de la Ligue des champions. "Nous allons à Istanbul pour réaliser un rêve et nous allons essayer de faire un bon match. Nous avons eu l'occasion il y a deux ans et nous ne l'avons pas fait alors que l'année dernière, nous l'avons manquée de peu. Cette année, nous Nous allons essayer de faire de notre mieux. Nous aborderons ce match comme nous le faisons toujours en Premier League, nous veillerons à ce que les joueurs soient concentrés sur ce qu'ils ont à faire, rien d'autre." "Cette compétition m'a apporté plus que je n'aurais jamais pu imaginer. Si ma vie se terminait aujourd'hui, j'en aurais gagné une en tant que joueur du club que j'aime tant et deux en tant que manager. Cela m'a apporté des moments tristes et de grandes joies. C'est comme ça que ça marche, la vie, et aussi le sport. Nous devons accepter que pour les autres, tout ce que nous avons fait ces dernières années n'a aucun sens si nous ne remportons pas ce trophée. Nous allons réessayer et le plus important est de revenir ici dans quelques années. C'est ce qui fait de vous un grand club : vous allez toujours jusqu'au bout, et il arrive que tôt ou tard vous gagniez. L'échec n'existe pas dans le sport. Admettre que vous avez échoué, c'est comme dire que ton adversaire ne vaut rien: n'est-il pas possible qu'il ait mieux joué ? Il suffit d'essayer, le sport c'est comme ça. Réessayez et relevez-vous." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. @Damien, tu ne peux pas faire un bar virtuel ici ?
  11. Francesco Acerbi et Federico Dimarco ont livré leurs ressentis aux micros de RSI à quelques jours de la finale de la Ligue des champions. Le scepticisme initial. "Je connais mes qualités et je savais que je pouvais tout donner sur le terrain. J'ai joué et essayé de faire quelque chose d'important. Personne ne s'attendait à atteindre la finale, même si après la phase de groupes, nous avons commencé à penser que nous pouvions faire quelque chose. Nous ferons de notre mieux pour que ce rêve devienne réalité." Haaland sera le danger numéro un. "C'est un joueur très fort, chaque balle qu'il touche il marque, mais il n'est pas le seul à faire la différence : ils ont des joueurs comme Gundogan et Grealish. Ils ont été parmi les meilleurs clubs du monde depuis des années, mais c'est une finale et on va se battre pour ça. On va essayer de faire quelque chose d'extraordinaire parce qu'on le mérite." Comment ça va ? "D'un point de vue émotionnel, cette finale se prépare, il va falloir travailler les détails car ceux-ci comptent en finale." Une expérience difficile à Sion ? "Chaque joueur connaît des hauts et des bas et j'ai connu plus de bas que de hauts au début. Mais maintenant, je suis heureux d'être ici parce que je sais que je l'ai mérité avec le travail et avec tous les sacrifices que j'ai faits. Je suis allé en Suisse parce que je crois que chaque footballeur doit prendre ses propres responsabilités, j'ai pris les miennes, j'ai fait des bons et des mauvais choix mais j'ai toujours été conscient de ce que je faisais. Et je suis heureux d'être ici aujourd'hui." Sur la finale de 2010. "Je l'ai vu lors d'un tournoi avec Giovanissimi de l'Inter à Rimini, on l'a tous vu ensemble. Les meilleurs souvenirs ont été le deuxième but de Milito et le moment où Zanetti a soulevé le trophée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Aujourd'hui est une journée dédiée aux médias au Suning Training Center à Appiano Gentile. Le premier à performer est Simone Inzaghi, protagoniste de la conférence de presse qui anticipe celle d'avant-match à Istanbul. Suivez ses paroles. À quel moment avez-vous réalisé que vous iriez en finale ? "Ce fut un long périple qui a commencé le jour du tirage au sort. Un jour pas très chanceux où nous avons croisé le Bayern et Barcelone. En parlant avec le staff et l'équipe, nous nous sommes dit que nous pouvions faire un bon parcours. Maintenant nous sommes en finale mais je pense que tout a commencé l'année dernière. Dans mon esprit et dans celui des gars, les quatre matchs contre le Real et Liverpool, alors finalistes, sont restés dans nos pensées." Quelle émotion ressent-on en arrivant ici ? "Hier, j'y ai plus pensé parce qu'on s'était vu avec mon staff mais on a beaucoup travaillé sur City. On a commencé après la victoire contre le Milan. Le lendemain soir, puis après le Torino, j'ai commencé à réfléchir davantage à ce que nous devrions faire lors du match de Samedi." Quelles sont les chances de gain ? "Je ne suis pas très doué pour les pourcentages. Nous affrontons l'équipe la plus forte du monde qui a remporté la Premier League cinq fois en six ans. Nous devrons être très prudents et jouer en équipe car nous savons que nous affrontons les meilleurs. Une équipe fantastique, un entraîneur qui a marqué une époque. Dans le football moderne, il y a un avant et un après Guardiola. Ce sera un match très important." Est-ce le match le plus important de votre carrière ? "Nous avons des joueurs qui ont joué en demi-finale mais pas en finale. Cela porte ses fruits pour un périple long et délicat. Mais au cours des trois derniers mois, j'ai eu des rotations plus profondes avec tous les joueurs et nous avons fait du bon travail." Quels souvenirs gardez-vous de vos matchs face à Guardiola ? "Les deux équipes auront les meilleurs joueurs, Lautaro est l'un d'entre eux pour l'Inter. J'ai rencontré Guardiola en tant que joueur et j'ai une curieuse anecdote. Lors de ma lune de miel après mon mariage à New York, il y avait une personne assise à la table, en 2019. C'était lui." City a-t-il plus de pression avec le Triplé comme objectif ? Le Real Madrid était-il meilleur ? "Ce sont deux grandes équipes qui ont dominé l'Europe ces dernières années. Nous avons un grand respect pour les deux. City a remporté deux titres mais nous aussi. Nous connaissons les joueurs et l'entraîneur qu'ils ont, mais l'Inter mérite d'être à Istanbul comme eux." Que vous a apporté Real-City ? "Il y a tellement d'admiration pour Guardiola et City. J'ai senti que City atteindrait la finale parce que le match aller avait été un match équilibré. L'année dernière le Real a marqué deux fois dans le temps additionnel mais cette année j'ai dit à ma fille et ma femme qu'ils allaient gagner." Le doute Lukaku-Dzeko existe. Avez-vous déjà décidé? "Non, ni là-bas ni dans les autres départements. Pour le moment, j'ai la possibilité de choisir. Dans la première partie, je n'avais pas la même possibilité d'alterner. Les joueurs importants ne se trahissent pas. Il reste encore quatre séances, un coach peut avoir des idées mais souvent tu arrives le soir et tu penses à une chose, puis le matin tu réveilles tes muscles et tu changes tes idées. Tu portes tes doutes jusqu'au bout." Quelle ambiance attendez-vous à Istanbul ? "Un stade avec beaucoup de monde, avec des supporters de City et de l'Inter ainsi que des supporters turcs répartis entre Calhanoglu et Gundogan. Nous finirons le stade, ils me disent que le terrain est en excellent état." Que vous a apporté la finale de la FA Cup ? "Plus vous voyez City, plus vous comprenez leurs résultats. Ils ont de la technique, du physique, ils sont complets, ils font de belles possessions et attaques. Une équipe avec très peu de points faibles. Ils trouveront une Inter qui a fait ses preuves avec le parcours qu'on a fait. Nous devrons leur enlever un peu de possession couvrant chaque centimètre carré du terrain. Ils sont vraiment forts." Pour City, la Ligue des champions est une obsession, vous êtes l'outsider. Cela peut-il être un avantage ? "Nous verrons, c'est difficile à prévoir. C'est un match très important pour les deux, le dernier acte de la compétition la plus importante. City le suit depuis des années, nous avons fait de grands progrès. Nous avons traversé de nombreux défis, le dernier étant le derby. Nous essaierons de faire un grand match en sachant ce que nous trouverons devant nous." Quelles sont les qualités de l'Inter cette saison ? "Dans les matchs importants, malgré le manque de certains hommes dû à des défections importantes, les gars ont sorti des ressources qu'on pensait tous ne pas avoir. On s'est très bien débrouillés dans des matchs très difficiles, présentés comme dernier recours, même si nous savions que nous devions jouer comme une grande Inter. Ils étaient très bons dans ce domaine." À quel point sera-t-il important de commencer fort ? "Fondamental, on l'a vu. C'est un aspect très important. On sait que City démarre très fort et on est très attentifs et concentrés à cet égard. Il va falloir être très bons." Si Guardiola est le meilleur au monde, êtes-vous celui qui a le plus survécu ? De quoi avez-vous peur? "Rien, on parle de football. Guardiola est le plus fort de tous, il a marqué une époque. On ne craint rien, on a beaucoup de respect. Mais nous sommes fiers de jouer cette finale car nous l'avons voulue de toutes nos forces cette année. Ce sera la dernière des cinquante-sept matchs et ceux qui nous ont amenés ici sont les cinquante-six précédents, où même certaines défaites dont on a beaucoup parlé nous ont permis d'être ici." Quelles armes de plus l'Inter peut-elle avoir que Manchester United ? "Je ne sais pas, United est parmi les plus forts de notre panorama. Nous respectons City mais l'United a fait une bonne finale." Est-ce une motivation supplémentaire pour arrêter City qui peut faire le triplé ? "La motivation est très importante dans le football, le groupe l'a toujours eu sinon nous ne serions pas arrivés ici." Vous êtes surnommé « King of Cups ». Quel est le secret ? "Je suis content de cette réputation. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes équipes à l'Inter et à la Lazio. Dans les matches décisifs, nous avons toujours joué de grands matches, en défendant et en attaquant de la meilleure façon possible. Nous devrons le faire encore Samedi." Serait-ce une victoire encore plus importante qu'en 2010 ? "Je n'irais pas jusque là. Un exploit a été réalisé et nous essaierons de le concrétiser Samedi. Le Bayern et City sont des équipes différentes, ce seraient deux entreprises." Combien espérez-vous pouvoir renverser les prédictions ? "Ils parlent de la prédiction depuis que City a battu le Real, mais nous savons tous que tous ensemble que ce n'est pas de l'arithmétique, le football est beau pour cela. Il y a de nombreux épisodes et moments dans un match dans lesquels nous devons contrôler, surtout en finale et même contre des équipes contre City. Il y aura de l'équilibre et les épisodes feront la différence." Haaland peut-il changer votre attitude? "Le match sera fait de moments, c'est normal qu'on doive être bon pour prendre un peu de possession à City parce qu'il excelle dans cet art et qu'il a toujours eu plus de possession. Ce n'est pas facile parce qu'ils mettent la pression. Nous savons qu'il y aura des moments où nous devrons souffrir tous ensemble et d'autres où nous serons plus offensifs." Serait-ce une erreur de jouer trop haut contre City ? "Vous verrez la stratégie Samedi. Bien sûr, il faut autoriser une certaine possession. Il faudra être bon pour leur enlever les certitudes, ils jouent ensemble depuis de nombreuses années avec le même entraîneur et chaque année ils s'améliorent avec le marché des transferts. Nous les affronterons avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Exact. Ces équipes ont été pillées depuis Bosman! Mais c'est vrai que les Dynamo de Tbilissi, Carl Zeiss Iéna, FC Magdebourg, MTK Budapest et un autre Lokomotive Leipzig, maintenant c'est
  14. Opta nous révèle une statistique bien singulière! Une Serie A 2022-2023 spectaculaire et particulière s'apprête à entrer dans les archives. En effet, le Napoli est champion d'Italie et la Lazio de Maurizio Sarri a terminé deuxième. Deux équipes du Sud et Centre-Sud qui bloquent les aristocrates du football italien du Nord, l'Inter, le Milan et la Juventus absents des deux premières places du classement. Un cas qui ne s'était pas produit depuis la saison 1984-85, avec en tête le Vérone d'Osvaldo Bagnoli et le Torino second. (L'Inter se classera 3e et la Lazio reléguée, ndlr) Opta s'en souvient. Hé oui, cette saison 1984-1985 fut assez incroyable avec une équipe assez haute en couleur gagnante Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Protagonistes du format Champions League Magazine, notre vice-président et légende des Nerazzurri Javier Zanetti a discuté avec notre ailier Federico Dimarco. Extraits. "L'équipe méritait la finale, ils ont fait un incroyable, maintenant il manque la dernière étape. Federico, tu vas affronter une grande équipe avec de grands champions et un grand entraîneur. Je me souviens de la demi-finale contre Barcelone qui avait une équipe impressionnante. En tant qu'équipe, nous avons de la qualité et nous pouvons rivaliser avec City. Les deux meilleures équipes qui méritaient cette opportunité ont atteint la finale." "Depuis que je suis né, ma famille m'a transmis son amour pour l'Inter, jouer ici, j'ai réalisé un rêve. Jouer la finale de la Ligue des champions n'est pas une chose anodine, surtout pour l'Inter qui en a remporté trois. Chaque gars rêve de jouer à ces jeux. Tout au long de l'histoire, l'Inter a toujours eu une grande satisfaction." "Pour moi, comme beaucoup d'autres Interisti, vous, Javier, représentez l'histoire de l'Inter. Vous êtes l'un des rares capitaines à avoir passé tant d'années avec un brassard et vous voir soulever la Ligue des champions a été une émotion unique. J'ai commencé à pleurer à la finale à Madrid." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Présence massive d'anciennes gloires de l'Inter à Istanbul pour la finale de la Ligue des champions selon la Gazzetta dello Sport. Il y aura une présence massive d'anciennes gloires des Nerazzurri à Istanbul. En effet, Steven Zhang a invité pratiquement tous les héros du Triplete 2010, l'ancien président Massimo Moratti et aussi son prédécesseur Ernesto Pellegrini. Le numéro un des Nerazzurri espère bien évidemment que l'esprit des champions d'Europe 2010 illuminera l'équipe actuelle tout comme la présence de quelques piliers de la Grande Inter l'a fait à cette occasion à Madrid. Tout le monde n'a pas encore répondu à l'invitation mais beaucoup seront présents. Naturellement, il était impossible de ne pas envoyer une invitation à Massimo Moratti, il appartient à la famille qui a écrit l'histoire des Nerazzurri avec des trophées. Le mania pétrolier a une relation profonde avec la famille Zhang. Steven a souvent parlé avec l'ancien mécène, surtout dès son arrivée à Milan et quand il a succédé à Thohir. Il a eu l'intelligence d'"absorber" l'Interismo de Moratti, de prendre conseil auprès de lui dans les premières années. Et comme Moratti, maintenant lui aussi a commencé à gagner cinq trophées. A ce stade, maintenant il ne lui manque que la Ligue des champions que seuls Angelo et Massimo Moratti ont reportée. Ernesto Pellegrini sera également à Istanbul. Il avait triomphé en Europe avant Moratti mais avec la Coupe UEFA à deux reprises. Tous les employés actuels du club sont également invités, elles prendront deux charters monopolisés par l'entreprise. Les proches des joueurs partiront Vendredi, la veille de la finale, l'équipe Jeudi. Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. T'as payé un copyright à @Boubou ? Blague à part, zéro stress pour Samedi car City a déjà gagné sans jouer d'après les experts. Si Pep foire, là, on pourra dire qu'il ne gagne pas sans Messi
  18. Notre capitaine Samir Handanovic s'est confié à Inter TV et DAZN après la victoire face au Torino. Voici ses mots. Est-ce que cette équipe va bien ? "Oui, elle va bien. Aujourd'hui, nous voulions bien finir, mettre de la qualité sur le terrain et nous avons réussi. Nous avons toujours contrôlé le match et l'avons gagné à juste titre." Place à Istanbul. "Je suis heureux que l'Inter soit de retour là où il mérite d'être. Nous attendons ce match avec impatience. Pour les apparitions dans le Top 10, je suis heureux car cela n'arrive pas à tout le monde." Comment gagner le Trophée le plus important ? "Eh bien... disons que... c'est l'examen le plus difficile de la carrière d'un footballeur parce que c'est le top du top. Il va falloir jouer le meilleur match de la saison et peut-être de la vie, je ne sais pas. Mais ça va sois que ce sera dur pour eux aussi." Le meilleur défilé ? "Je ne sais pas… tu me prends au dépourvu. Je te le dirai la prochaine fois." Comment gérez-vous cette semaine ? "Pour le moment, il n'y a rien à gérer, nous devons faire ce que nous avons fait ces deux derniers mois et jouer nos cartes. Nous savons que nous avons de la qualité et que nous sommes forts et que nous aurons des gens tout aussi forts contre nous. Voyons comment se passe Samedi, nous devons vivre pour savoir." Cordaz? "On plaisante toujours avec lui ainsi qu'avec les autres gars, c'est lui qui maintient le groupe uni. Peut-être qu'on ne le voit pas tellement sur le terrain mais il a fait beaucoup dans les vestiaires et à l'extérieur. C'est un gars positif, j'ai une grande amitié avec lui et immédiatement. Je suis content qu'il ait joué, en effet il mérite de jouer plus." Est-ce un au revoir ou pas cette salutation lors de votre échange ? "Je ne sais pas, écoute, on a une semaine en attendant pour réfléchir au match, après on pensera à des choses personnelles." Un message aux fans en tant que capitaine ? "Je peux promettre que nous donnerons tout sur le terrain et pour tout le monde. Nous les rendrons fiers de nous." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Ca y est, la Serie A est terminée. Simone Inzaghi et l'Inter peuvent se concentrer uniquement sur le grand rêve de la Ligue des champions. Après le coup de sifflet final, Simone Inzaghi s'est présenté aux micros de DAZN pour analyser la performance de son équipe. Brozovic et Lukaku remettent-ils en question votre composition pour la finale de la Ligue des champions ? "Tous les jours. Demain nous aurons un jour de repos, puis ce sera une semaine intense. Ce sera le 57e match et grâce aux 56 joués nous avons mérité le plus important. Nous avons grandi aussi grâce à quelques défaites." Quelle réponse vouliez-vous de l'équipe aujourd'hui ? "Je voulais gagner parce que nous le devons au club et à nos supporters, en consolidant notre position au classement. Lors des 9 derniers, nous n'avons perdu qu'à Naples, nous voulions jouer un match sérieux. Félicitations au Torino car c(est une équipe qui vous met en difficulté." Où pensez-vous avoir le plus touché pour le changement de vitesse ? Le point de vue mental était-il plus important ou l'équipe au complet ? "Nous n'avons pas eu de joueurs importants comme Brozovic et Lukaku pendant 5 mois : cela ne devrait pas être un alibi, mais ils sont très importants. Ensuite, les victoires et les trophées donnent une prise de conscience, l'équipe a grandi. Ces derniers mois, nous avons fait des choses extraordinaires, on a amélioré notre position dans le championnat et on est de retour en Ligue des champions. On a gagné des trophées et on a réalisé notre rêve de finale. Maintenant on va jouer avec nos armes, sachant que nous rencontrerons une équipe du top niveau." L'Inter contre City devra jouer un match parfait et agressif. S'il est mis sous pression, il peut avoir des ennuis. "C'est sûr, aujourd'hui City jouait contre United qui est une excellente équipe. Nous devrons être bons pour souffrir ensemble et jouer au football car nous devrons leur prendre la possession du ballon, attaquer avec équilibre. Nous allons nous préparer cette semaine, en espérant récupérer tout le monde. Il y a de l'espoir, puis Samedi sera un énorme défi que nous attendons tous avec impatience. Je veux applaudir les gars parce que jouer comme ça aujourd'hui contre le Torino avec une finale dans une semaine... ils étaient très bien." Vos sentiments maintenant ? "C'est clair que c'est une très grande émotion, mais heureusement, nous avions beaucoup de choses en jeu. Désormais, je vais en profiter davantage avec les garçons, le staff et tout le monde de l'Inter. Nous voulions gagner la Coupe d'Italie alors qu'on parlait de nous que pour le match Istanbul, alors honneur au groupe qui a gardé une concentration élevée. Les 5 derniers du championnat ont été difficiles, mais les garçons ont été bons. Maintenant, nous abordons le 57e match et nous y allons avec confiance." Avez-vous parlé à votre frère Pippo de la finale de la Ligue des Champions ? "Ça fait 25/30 ans qu'on parle de la Ligue des champions, entre les buts marqués et les finales. On en a toujours parlé, mais aussi à l'époque de la Lazio et l'année dernière. C'est un sujet qu'on aborde souvent." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. alex_j a commenté un commentaire de alex_j dans Coupes d'Europe
    Un carton jaune pour un uppercut, pas cher payé Exact. Quand deux deux hyènes s'affrontent, le lion se marre! Vous voyez, je sais être poète de temps en temps
  21. Exact. Exact. Mais, pour beaucoup ici objectif minimum = réussite, alors que non. T'as juste rempli ton objectif minimum et même là, tu peux te faire virer. D'où ton commentaire: Exact. Exact. Mais on va te dire que Scudetto + C1 larguée à la phase de pool dans un groupe de la mort + Aucune Coppa = saison réussie Ceci dit, il ne faut pas non plus qu'Inzaghi se cache (trop longtemps) derrière ses Coppas et parcours en C1, ça ne fait pas tout.
  22. alex_j a commenté un commentaire de alex_j dans Coupes d'Europe
    Ha ça, t'as raison! Plus cancer qu'eux, tu meurs

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