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alex_j

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Tout ce qui a été posté par alex_j

  1. Tu as raison, d'ailleurs, on avait publié des articles historiques. Mais d'expérience, je trouve que c'est assez chronophage et que ça demande pas mal d'analyses (revoir des extraits de matchs, vérifier qu'on ne se trompe pas...). Il existe des articles déjà écrits, mais la traduction et vérification prennent du temps (des fois, il y a des erreurs). De mon point de vue, c'est presque un boulot à plein temps pour le forum. @Damien, juste une question, toi qui a accès aux stats par article, les articles historiques, ça fonctionnent bien ?
  2. Notre ancien interiste Mario Balotelli, interrogé par la Gazzetta dello Sport, évoque la finale de la Ligue des champions ainsi que Edin Dzeko, l'Inter et l'Italie. Inter ou City ? "J'ai reçu tellement d'invitations pour la finale à Istanbul, je suis indécis. Je pense que je vais m'asseoir au centre du stade, pour éviter les malentendus. Mon cœur est partagé en deux, il vaut mieux ne rien dire d'autre. Ma tête dit que j'aimerais qu'ils gagnent tous les deux mais c'est impossible." Maintenant, l'Inter est en forme. "Sans aucun doute. Et elle a beaucoup de joueurs qui font la différence. A commencer par mon ami Dzeko, mais je ne négligerais pas Lukaku et le déchaîné Lautaro : le deuxième but contre la Viola était magnifique." Tout le monde voit City gagnant. "L'expérience me dit qu'en finale, sur un seul match, il vaut mieux arriver outsiders. En tout cas, l'équipe de Guardiola joue un super football mais celle d'Inzaghi est aussi très efficace." Que retenez-vous de votre Nerazzurra Champions League ? "Le but contre Rubin Kazan m'a fait sentir comme un protagoniste, pour moi c'était une expérience merveilleuse : un garçon qui touche le ciel avec un doigt. Et puis en soulevant cette coupe, j'ai encore des frissons." Immédiatement après le roi de la Premier League à City avec Dzeko... "Il y avait un sentiment incroyable avec Edin. Quand il est venu en Italie chez des amis romains, je l'ai dit immédiatement : attendez-le, c'est un phénomène. Même à Milan, il fait la différence. J'ai beaucoup de bons souvenirs cette année-là, à commencer par ce doublé à United." Vous étiez à San Siro au derby. "L'ambiance des meilleures soirées. J'ai vu beaucoup de monde, Leao entre autres. Je lui ai conseillé de rester à Milan : il y a une équipe avec des perspectives, avec quelques renforts ils peuvent avoir leur mot à dire n'importe où." Haaland contre tout le monde : est-ce vraiment comme ça ? "Erling est extraordinaire. Mino Raiola avait aussi une grande intuition sur lui. Les assisteurs ne manquent pas à City : Guardiola sait bien le servir et c'est un sniper redoutable." Alors la clé du match ? "Je n'ai pas dit ça. L'Inter a aussi des attaquants de haut niveau. Ils seront très opportunistes." Qui est l'attaquant le plus fort du monde ? "Les chiffres disent Haaland mais pour moi c'est une question de goût. Osimhen, par exemple, est spécial. Il peut tout faire sur le terrain, un peu comme moi dans mes belles années. Et puis c'est un garçon unique." Vous êtes-vous réjoui pour le Scudetto de Naples ? "Bien sûr. Je me sens lié à la ville. Avec ma fille, une partie de Naples est toujours avec moi. Et puis l'équipe de Spalletti a tout mérité." D'autre part, depuis combien de temps n'avez-vous pas parlé à Roberto Mancini ? "J'attendais son appel avant la Macédoine. Je ne sais pas ce qui s'est passé." Votre amour pour l'équipe nationale est resté intact. "Bien sûr. Le maillot est une chose, puis les relations avec les personnes en sont une autre." Retournerez-vous en Italie ? "Doucement, j'ai encore un an de contrat avec Sion. Mais la Serie A resterait un objectif passionnant." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Le Corriere dello Sport livre son analyse concernant l'avenir de Simone Inzaghi. Pour gagner un point aujourd'hui, il suffit à l'Inter de maintenir l'Atalanta à bonne distance et d'être ainsi sûre d'avoir une place en Ligue des champions. La tête des nerazzurri est focalisée sur le match contre la Dea, puis elle sera sur le rendez-vous d'Istanbul et sur le rêve de la Ligue des Champions. Une fois la saison terminée, il sera aussi temps de décrypter l'avenir de Simone Inzaghi, avec le divorce donné pour certain à un certain moment de la saison mais qui semble désormais bien loin... du moins selon les propos de la direction. De nouveaux changements de cap, arrivés à ce point, seraient surprenants, avec le renouvellement du contrat expirant en 2024 parmi les priorités marquées à l'ordre du jour. Peu importe comment la saison se terminera, la direction et l'entraîneur devront s'asseoir à une table pour comprendre non pas si, mais comment aller de l'avant. En effet, malentendus et turbulences n'ont pas manqué durant ces mois et il s'agit d'aplanir d'éventuelles divergences, pour commencer la nouvelle année sans gaspillage et avec l'idée de ne pas revivre le même type de situation. Il est clair que l'objectif, à préciser tout de suite, sera la chasse au Scudetto et à la deuxième étoile. Cependant, il y aurait aussi un autre problème à régler. La ligne de Marotta, en fait, a toujours été de ne pas commencer la saison avec un entraîneur dont le contrat expire et sans surprise, le contrat d'Inzaghi a été renouvelé l'été dernier. Voulons-nous dire que cela se reproduira cette fois-ci ? Eh bien, si l'Inter gagnait la Ligue des champions, ce serait plus qu'évident. Sans la Coupe aux Grandes Oreilles, peut-être qu'il faudrait encore discuter... Juste une question: sommes nous vraiment sûrs qu'Inzaghi veut rester à l'Inter ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. @Damien, comme @Wahranii a fait une relance dans l'axe en déterrant un vieil article, cela m'a fait penser à un truc. Depuis 2005, tu as créé un site dédié à l'Inter qui peut, en fait, être considéré comme un almanach au, quasi, jour le jour. Avec tous les articles publiés, tu penses en faire quelque chose, une sorte d'archive ou autre ? Parce qu'on peut dire ce que l'on veut, le site est une vraie mine.
  5. Carlotta Moratti, présidente d' Inter Campus, a visité le centre de Monza. Voici ses mots. "Nous sommes très heureux de notre collaboration avec le Centre Maria Letizia Verga et nous sommes très impressionnés par leur compétence et la grande affection que les opérateurs mettent à relever les défis au quotidien. Au Centre, il y a vraiment une atmosphère familiale et une sérénité dans la voie de guérison que chacun, médecins, infirmières, enseignants, parents, bénévoles, poursuit avec les enfants, voie qui inclut aussi le moment du jeu, du sport comme outil de guérison et nous en sommes sincèrement honorés." Les mots de Carlotta Moratti résument sa satisfaction face au projet dédié aux enfants et aux jeunes du 'Centro Maria Letizia Verga', actif depuis 2012. Leur programme les implique dans des activités de football qui se déroulent chaque semaine dans le gymnase, dans les chambres et même dans le centre de transplantation de l'établissement de Monza. Une contribution précieuse qui amène les jeunes patients à pratiquer une activité sportive, utile sur le plan psychologique comme outil de récréation et de socialisation et sur le plan physique pour renforcer le corps des enfants subissant des traitements médicaux importants. La visite spéciale du Centre a été l'occasion de retracer ensemble l'histoire de ce lieu d'excellence, né il y a 43 ans grâce à l'engagement de Giovanni Verga, un père qui a perdu la petite Maria Letizia et à qui il a dédié la structure et l'énorme travail menés depuis pour enrichir la recherche, essentielle pour lutter contre la leucémie et franchir des étapes importantes dans la guérison. Aujourd'hui, 85 % des enfants touchés par ce type de cancer sont capables de récupérer et de mener une vie normale. Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. La Gazzetta dello Sport inquiète les supporters de la Juventus car les problèmes ne sont peut-être pas terminés et confinés aux frontières nationales. On vous dit tout. Attention au coup de l'UEFA. Ils attendent toujours à Nyon. Tout d'abord, un recul de la Juventus sur le dossier de la Super League, ce que, pour l'instant, les nouveaux dirigeants de la Juventus n'ont pas encore accompli, attendant peut-être le prononcé de la Cour européenne. Une stratégie dangereuse, surtout si les juges de l'UE devaient confirmer la vision proposée par l'avocat général il y a quelque temps : une autre compétition continentale serait incompatible avec les compétitions actuelles. Donc, si vous avez participé à la Super League, vous seriez exclu de la Ligue des champions et autres. Aujourd'hui, un problème pour l'UEFA mais aussi pour la Juve, le Real Madrid et Barcelone, qui bloquent toujours le projet de coupe alternative. Les risques ? Exclusion des coupes pendant plus d'un an ! Les hommes de l'UEFA ont entre les mains la tonne de pages de l'enquête Prisma par le parquet de Turin. Ils les ont toutes examinées dans une enquête indépendante et sont sur le point de parvenir à une conclusion, peut-être dès Juin. La question fondamentale est de savoir si les soi-disant plus-values fictives et les deux manœuvres salariales (2020 et 2021) ont violé les principes de l'esprit sportif et modifié les comptes de la Juventus dans une perspective de fair-play financier. Il ne faut pas oublier que la Juve avait trouvé un accord avec Nyon sur l'accord de règlement, payant une amende fortement diminuée (3,5 millions contre les 19 prévus). Mais si cet accord était basé sur des déclarations comptables jugées fausses, la Vieille Dame aurait des ennuis, et l'hypothèse d'une exclusion pour une ou plusieurs années des coupes d'Europe ne serait pas du tout farfelue. En résumé, les rapports entre l'UEFA et la Juventus Traduction (objective) alex_j via FCInterNews.
  7. T'oublie juste le fait qu'il n'a pas le même effectif que Sieur Conte, et je ne parle même pas de l'année post-covid. Je serais 100% d'accord avec toi si l'équipe serait restée la même à 100%, or ce n'est pas le cas. De plus, il doit gérer le fait que l'argent ne rentre pas. Donc, assez difficile de faire mieux avec les moyens du bord. Pour moi, les Coppas, c'est toujours mieux que rien, surtout après 10 ans de disette. Mais, et là je suis d'accord avec toi, il ne faut tout miser dessus car, et c'est vrai, elles restent des trophées mineurs (comme partout en fait à cause de la C1); le Scudetto étant juste au dessus, pas plus. Concernant Inzaghi, même si je l'aime bien, continuerai-je avec lui ? Non, je ne le pense pas. Il y a quelque chose qui me chiffonne en lui... Il lui faudrait un autre club pour qu'il puisse grandir. D'ailleurs, est-ce que lui, il veut continuer avec l'Inter ? Pour l'instant, rien ne le dit.
  8. Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. Après l'avant-première d'hier, de nouvelles déclarations de Romelu Lukaku qui joue avec deux autres joueurs belges sur Prime Video dans le premier épisode du documentaire 'One for All'. Tu appartiens à l'Inter ? "Je pense que j'ai bien fait à Chelsea la saison dernière. Mais j'ai su alors que si ça ne marchait pas à Chelsea, j'aurais toujours l'Inter disponible. Quand j'ai signé à nouveau, j'ai su que j'appartiens à l'Inter. J'ai aussi ce sentiment pour Anderlecht. Je prends ce club au sérieux. Je veux faire de mon mieux. Les gens ici le voient. Être encouragé ici est la meilleure chose qui soit." Rester ici ? "On verra, je vis au jour le jour. Je ne me sens pas stress ou pression. Vous devez prendre une décision. C'est tout." Pourquoi quitter la Premier League ? "Je n'étais plus heureux en Angleterre. Je voulais quelque chose de nouveau, il me manquait quelque chose et donc je suis parti. Mon esprit était ailleurs. Je sentais que je ne pouvais pas évoluer. J'avais donné. C'est pourquoi j'ai quitté la Premier League et l'Angleterre : parce que je n'étais plus heureux. Puis j'ai pensé : où vais-je maintenant ? L'Italie ! Ma famille est bien ici." "Je suis heureux et je suis bien avec moi-même et c'est une chose importante. J'accepte qui je suis et je me fiche de ce que les autres pensent de moi. Quand je repense à d'où je viens et comment j'étais, je ne pouvais pas être plus heureux, je réalise qu'il y a d'autres choses dans la vie et je l'accepte." Ta carrière de footballeur. "J'ai commencé quand j'avais 16 ans et maintenant j'en ai 30 : combien de buts ai-je marqués. Oui, vraiment beaucoup de buts. Mon père était aussi joueur professionnel mais j'ai vécu un peu comme un paria et cette même colère, du plus profond de moi, m'a aidé sur le terrain. Et ces buts ont grandi, se multipliant. Ce qui comptait, déjà à 16 ans à Anderlecht, c'étaient mes buts." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Ca y est, je viens de comprendre, enfin. Tu n'aimes pas Simone car une Simone t'as mis un râteau quand tu étais ado... C'est chou
  11. Le tweet publié par Javier Zanetti au lendemain de la neuvième Coppa Italia remportée par l'Inter. "Une autre nuit magique, un autre trophée, une autre joie pour nous tous et notre peuple. Pour revivre tout cela ensemble, il est toujours essentiel de surmonter les moments de difficulté, de rester unis, d'être un groupe. Le travail d'équipe paie toujours ! Pour toujours, aller l'Inter !" Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. > nous échangeons entre nous et nous nous disons que nous allons le faire C'est beau une telle communion
  13. La Gazzetta dello Sport nous résume le CV de Steven Zhang depuis qu'il est à Milan. Tout a commencé avec le Scudetto 2021, sans oublier la finale de la Ligue Europa perdue l'année précédente lors de la pandémie. Avec une belle et grosse tasse scintillante à la main, sautant de bonheur en chantant ce refrain qu'il aime le plus : "Parce que nous sommes l'Inter..." Steven Zhang, le troisième président le plus titré de la glorieuse histoire des Nerazzurri, s'habitue à certaines scènes. Et aussi de faire continuellement de la place au tableau d'affichage à domicile : celui remporté hier avec excès de souffrance, et peut-être pour cette raison encore plus beau, est le cinquième titre arrivé au cours de sa saison. Le secret de cette lumière qui continue de briller réside dans le lien très étroit entre le président et son entraîneur. Hier, Steven et Simone ont chanté, ri et se sont fait photographier avec le trophée à la main. Cependant, c'est en coulisses qu'il a solidifié la relation, notamment dans les nombreuses périodes difficiles vécues ces derniers mois. Ce n'est pas un hasard si Steven a été le premier à annoncer la reconduction du coach, alors que l'idée d'un divorce flottait dans l'air. Aller de l'avant ensemble pour lancer l'assaut sur le Scudetto 2023-2024 après s'être arrêté à Istanbul, là où l'histoire passe. Steven et Simone, quelle belle histoire Traduction alex_j via FCInterNews
  14. En fin de match, Steven Zhang s'est également exprimé aux micros de Sky Sport et Inter TV. A qui dédiez-vous cette victoire ? "Je dédie cette victoire à tous les supporters et à ceux qui travaillent dans ce club. La victoire doit toujours être un objectif pour ce club." Troisième propriétaire en nombre de titres, qu'est-ce que cela signifie pour vous ? "C'est un honneur d'être dans l'histoire mais la famille Moratti restera toujours dans notre cœur et dans celui de tous les fans." Que direz-vous à l'équipe avant la finale de la Ligue des Champions ? "City est une équipe très forte mais nous avons beaucoup grandi ces dernières années. Maintenant nous avons un groupe de joueurs qui n'avaient pas joué en Ligue des champions mais qui ont maintenant joué de nombreuses finales et qui ont la bonne mentalité." C'est la meilleure façon de se préparer pour Istanbul. "Nous voulons bien terminer la saison. Nous avons fait de gros efforts et nous ferons certainement de notre mieux également en finale de la Ligue des champions." Inzaghi restera-t-il à l'Inter ? "Pour gagner, l'entraîneur joue un rôle fondamental, il a mené l'équipe jusqu'à la finale de la Ligue des champions, il a gagné des coupes. Il n'y a aucun doute, nous sommes fiers de lui." L'Inter peut désormais être compétitive n'importe où. "Je suis fier de dire que l'Inter est de retour au sommet, toujours compétitive, ils se battent dans toutes les compétitions. C'est quelque chose sur lequel nous travaillons depuis des années et c'est le mieux que nous puissions souhaiter." Dans quelle mesure les objectifs du marché des transferts vont-ils changer par rapport à il y a deux mois, lorsque l'Inter était en souffrance ? "Dans une saison, il peut y avoir des moments difficiles mais rien ne change, à la fin de l'été l'équipe se sera améliorée comme toujours et nous ne pensons toujours qu'à cela." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. La cocarde est restée sur les maillots de l'Inter qui a battu la Fiorentina 2-1 et remporté la neuvième Coppa Italia. Simone Inzaghi s'affirme comme un spécialiste des finales et met son quatrième trophée dans sa vitrine depuis son arrivée à l'Inter. Il s'est présenté dans la salle de conférence de l'Olimpico pour parler de ses émotions à travers les questions des journalistes présents, dont le correspondant de FcInterNews. Les quatre trophées remportés avec l'Inter ont été un exploit, parlez-nous de votre joie . "La satisfaction est énorme, nous arrivons bien en cette fin de saison. Nous savions que ce serait une finale très difficile, j'ai essayé de laisser les garçons seuls. J'ai tellement ressenti ce match, je le voulais, car nous avons dépensé beaucoup pour obtenir. On a mal débuté, il ne faut pas encaisser de but dans une finale après 3'. Les gars ont été lucides à la reprise, pas en deuxième mi-temps parce qu'on a souffert. La Fiorentina c'est de la qualité, on a souffert en équipe. J'ai félicité tout le monde." Vous avez dit 'j'apporte des trophées aux clubs et j'augmente le bilan', vous aviez raison. "Cela ne m'a pas semblé une réaction épidermique, c'était un moment difficile mais j'étais serein et calme même après ce KO contre la Roma. J'ai la chance de former de grands professionnels qui ont fait un effort fou, je les embrasse un par un, tout comme j'embrasse nos supporters. Quand ils sont entrés en jeu après 15', nous sommes entrés en jeu." Comment gagnez-vous-il toutes ces finales ? "J'ai la chance d'entraîner des équipes importantes, d'abord la Lazio entre l'équipe des jeunes et l'équipe première, puis l'Inter. J'ai des joueurs qui n'abandonnent pas. Je n'ai jamais encaissé de but en finale dans les 3 premières minutes mais nous sommes restés lucides, une belle première mi-temps. J'ai une équipe qui ne rate pas certains matchs." Quel message avez-vous envoyé à City ? "Ils auront vu une bonne finale, un bon spot pour le foot. Deux équipes en mission, on est bien arrivés. Maintenant il va falloir être bon pour profiter de la soirée et ensuite se concentrer sur le championnat. Ensuite on ira à Istanbul pour jouer une finale inattendue mais souhaitée de toutes nos forces." L'équipe n'a pas lâché après le désavantage. "Ça fait deux mois qu'on joue à ce niveau. Dans les difficultés l'équipe ne s'est pas désunie, en finale le but encaissé peut faire réfléchir. On a gagné une finale qui nous tenait beaucoup à cœur." Zhang et Marotta vous ont confirmé à 100%, mais vous avez raison : est-ce un problème ? "Ce n'est pas un problème. Mon problème est de jouer ces matches de la meilleure façon possible, je ne me suis jamais senti sur la sellette. Le contrat peut être dissous en quelques jours, la confiance a toujours été là et et gardée quand nous étions en difficulté. Mon staff et moi étions bons à écouter peu quand les choses n'allaient pas bien, maintenant nous devons terminer notre mission." Est-il clair dans le vestiaire que City n'est pas favori en finale ? "L'équipe est consciente, on est sur une série de résultats positifs, au-delà du KO à Naples. L'équipe grandit, maintenant il faut bien récupérer car dans moins de 48h on sera sur le terrain avec une dure Atalanta. Mais ces soirées te font récupérer plus vite." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Il est interdit de penser au Triplété, du moins jusqu'à ce qu'en plus de la Premier League, son Manchester City remporte également la FA Cup contre ses rivaux honnis, l'United. C'est la pensée exprimée par Pep Guardiola aux micros de Sky Sports UK. "Je ne penserai au triplé que si on va à Istanbul avec deux titres en poche. Et puis il faut considérer qu'en Angleterre, la seule équipe c'est Manchester United. On se souvient tous comment ils ont gagné la Ligue des champions contre le Bayern Munich à Barcelone en 1999... Donc c'est quelque chose de très difficile. Les deux finales qui nous attendent seront terribles. L'United va arriver avec l'envie de nous empêcher de gagner les trois titres, et puis l'Inter qui... ben, c'est l'Inter. Donc il faut y aller étape par étape, on va essayer." "Pour le moment, je ne pense pas à partir. Mais qui sait ? J'aimerais continuer la saison prochaine ici, quels que soient les résultats; mais pas ce que nous ressentirons en fonction des résultats des deux finales. J'ai toujours un contrat et quand je signerai, je veux respecter les clubs." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Simone Inzaghi s'exprime lors de la conférence de presse à la veille de la finale de la Coppa Italia contre la Fiorentina. Ses mots recueillis par FcInterNews. Qui est le favori de cette finale ? "C'est une finale. J'ai joué en tant que favori et outsider. Mais c'est toujours une finale. Nous savons qui nous affrontons, nous nous sommes affrontés plusieurs fois et cette année nous avons gagné et perdu. L'adversaire est de valeur et mérite de jouer deux finales. Ce sera un match ouvert, étant une finale, nous devrons être une équipe avec un E majuscule, lire les moments du match pour le diriger dans le bon sens." Avez-vous l'impression d'avoir une réputation particulière pour ces matches ? "Espérons que cette renommée pourra continuer car il nous reste deux finales et deux matchs en championnat. Je suis content et j'espère continuer la tradition mais je dois remercier les garçons. Cette année, nous avons vécu des moments moins heureux dont nous nous souvenons tous les jours. Les deux derniers mois au cours desquels nous avons fait des choses très importantes se passent bien. La finale de la Coupe d'Italie n'est pas évidente, en championnat nous avons eu un retard important et nous avons bien fait mais nous avons fait un petit pas. La finale de la Ligue des champions est inattendue pour la majorité, et nous avons toujours eu de l'espoir pour l'équipe depuis l'époque du tirage au sort." Y a-t-il quelque chose dans les paroles de Mattarella qui vous a interpelé ? "C'était une rencontre passionnante, j'y étais déjà allé une autre fois. Il a dit de toujours donner l'exemple car nous sommes des sportifs très populaires. En tant que protagonistes de certaines soirées, nous devons montrer l'exemple." Avec tant d'engagements et tant de tension, quelle est la chose la plus importante ? "Pensez match par match. Il en reste quatre et ils sont plus importants l'un que l'autre. Les garçons ont disputé de nombreuses finales. Demain ce sera le seizième match en cinquante-trois jours et il en reste quatre. En gros, nous allons faire une phase de poules en deux mois. On a bien fait de gérer les effectifs. Il y a une petite déception parce qu'on n'aura pas Mkhitaryan et Skriniar mais avec tous ces matches c'est inévitable qu'il y ait beaucoup de défections." Y a-t-il un risque inconscient que la Fiorentina ait plus faim ? "Non car nous savons quel match nous devrons jouer et le parcours fatigant qui nous a amenés ici. Dans un moment très important de la saison, nous voulions fortement atteindre la demi-finale avec la Juventus. Nous ferons de notre mieux et nous essaierons de ramener la Coupe à la maison." Quels sont les mérites d'Inzaghi ? "Quand tu gagnes des trophées, tu le fais tous ensemble. Tout le monde gagne et tout le monde perd. Nous étions doués pour être ensemble dans les moments difficiles et toujours à la recherche de solutions sans jamais chercher le coupable et il est difficile de trouver des solutions." Avez-vous peur que quelqu'un pense plus à l'autre finale ? "Absolument pas, car nous connaissons les sacrifices que nous avons faits. La seule chose qui ne manquera pas, c'est l'engagement total. Ensuite, il y aura un adversaire qui tentera de ramener le trophée comme nous. Il faudra savoir bien gérer ensemble les situations." Skriniar pourrait-il revenir pour Istanbul ? "Il n'a pas encore travaillé avec l'équipe. Il aura une consultation jeudi, je pense qu'il pourrait être là pour les deux derniers matches." Pour Marotta, vous restez à 100 %. Partagez-vous cela ? "Absolument, j'ai un contrat et je ne me suis jamais senti précaire. J'ai toujours travaillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec le staff. Ensuite, nous savons que nous sommes toujours jugés sur les résultats que nous obtenons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Steven Zhang offre un cadeau au président de la République Sergio Mattarella et Simone Inzaghi s'exprime. Avant les conférences de presse à l'Olimpico, dans le Salone delle Feste du Quirinale et en présence du président du Coni Giovanni Malagò, du président de la FIGC Gabriele Gravina et du président de la Lega Serie A Lorenzo Casini, le traditionnel échange de cadeaux a eu lieu lors de la visite des délégations de l'Inter et de la Fiorentina au palais du président de la République Sergio Mattarella. Steven Zhang et Samir Handanovic ont rendu hommage au chef de l'Etat qui a également reçu un maillot de l'Inter. Lors de la rencontre, Simone Inzaghi s'est exprimé : "Pour nous, c'est une fierté et un plaisir d'être reçus au Quirinal pour la finale de la Coppa Italia. Nous nous sentons responsables de ce que nous faisons car le sport et le football doivent être des exemples de bonnes intentions. Nous devons donner le bon exemple, en laissant de côté l'hystérie inutile et en faisant avancer les principes de loyauté et en luttant contre toutes les formes de violence et de discrimination. Le sport doit être une fête, il est absurde qu'on oublie parfois l'importance du message que l'on transmet aux plus jeunes. Les enfants nous regardent, il ne faut jamais l'oublier." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Le 22 mai 2010, l'Inter de Massimo Moratti battit le Bayern Munich 2-0 pour remporter sa troisième C1. Treize ans plus tard, un autre anniversaire tombait exactement hier et l'ex-Président l'a rappelé en en exclusivité sur FcInterNews. Comment avez-vous vécu l'attente de la finale ? "C'était avant tout le match le plus important auquel j'aurais dû assister en tant que président. Je l'ai vécu avec toute la passion possible pour que tout se passe dans le bon sens." Quelle fierté y a-t-il d'avoir été le président du Triplete ? "Nous l'avons réalisé après que ce fut une étape si importante, nous sommes heureux à ce jour d'avoir été les seuls à l'avoir atteint, quelqu'un d'autre nous suivra. Mais pour le moment, nous sommes toujours un point de référence important." Qu'attendez-vous de la prochaine finale de Ligue des Champions entre l'Inter et City ? "N'importe quoi. Si l'Inter devait s'exprimer comme elle l'a fait dans les premières minutes contre Milan, ce sera vraiment difficile pour Manchester City. Je dois dire que je m'attends à un match ouvert." Il y a trois ans, le 22 mai, Gigi Simoni nous quittait. Quel souvenir gardez-vous de l'entraîneur ? "Je l'aimais beaucoup. Il a beaucoup donné à l'Inter, il a eu le malheur de ne pas pouvoir gagner le championnat parce qu'ils nous l'ont enlevé. Sinon il aurait gagné le Scudetto la première année de Ronaldo ainsi que la coupe de l'UEFA. Pour être honnête. Je me souviens de lui comme d'une personne très riche, qui a beaucoup donné à la société, mais aussi à la relation qu'il avait avec moi." Était-ce une erreur de le virer après avoir battu le Real et Salernitana ? "Ce sont deux bonnes victoires mais elles n'ont pas pu me faire changer l'idée que j'avais : à savoir qu'avec Ronaldo, nous aurions dû gagner le Scudetto. Mais ensuite, j'ai réalisé que même avec le Brésilien, il aurait été difficile de gagner le championnat." Qui attendez-vous en attaque contre la Fiorentina et City ? "Dzeko-Lautaro a eu tellement de succès ces derniers temps que je n'y toucherais pas, je les laisserais jouer ensemble. Lukaku grandit beaucoup, il est très utile et pourrait encore être utile pendant le match." Scalvini et Frattesi pour un Inter italien, vous êtes d'accord ? "A l'Inter, il y a une bonne base italienne, voyez Barella et les autres joueurs. Mais attention, et là je fais une déclaration générale : jouer pour l'Inter, ce n'est pas comme jouer pour une équipe de province." Mais est-il vrai qu'à votre époque les joueurs italiens coûtaient plus chers que les joueurs étrangers ? "Vous économisez si vous recherchez dans le monde entier. À l'époque, c'était un marché pour lequel je ne regardais pas la nationalité, je voulais juste faire l'équipe la plus forte de toutes. Et c'était la fin." Que pensez-vous de l'affaire Skriniar ? "Une situation que je ne connais pas, ça s'est passé comme ça, ça veut dire qu'ils n'ont pas pu trouver d'accord des deux côtés. Je ne peux pas intervenir." À quel point allez-vous encourager l'Inter contre City ? "Je veux voir si je ne soutiendrai pas l'Inter, bien sûr !!! J'espère vraiment qu'ils gagneront, ce serait le bon triomphe pour se souvenir de la force de l'Inter dans le monde. Est-ce que j'irai à Istanbul ? Je dois encore décidez, voyons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. Sachant que certains phénomènes sont débiles

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