alex_j
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Ernesto Paolilo sur la Super League, le Suning et la course au Scudetto
Notre ancien manager Ernesto Paolilo a longuement parlé à FCINTER1908. Il s'est penché sur la Super League, l'équipe et le Suning. On a beaucoup parlé de la Super League, quelle idée avez-vous de ce projet qui a échoué en 48 heures? "Dès le début j'ai dit que c'était une vraie folie. C'est un projet qui aurait affaibli tout le système du football d'une part, et d'autre part aurait créé un tournoi assez étrange pour cette élite. Un cirque qui voyagerait partout dans le monde pour jouer à des matchs ensembles. Il y aurait eu un vainqueur mais sans l'attrait de battre tout le monde. J'ai aussi eu l'idée qu'il était en fait temps de revenir à la distribution des revenus de l'UEFA. Dans ses bilans, les revenus devraient être redistribués et le mécanisme devrait être plus gratifiant pour ceux qui ont les meilleurs résultats." Disons que l'objectif d'obtenir plus de revenus est compréhensible, les moyens et la manière dont cela a été communiqué sont complètement à côté de la plaque... "Bien sûr, j'aurais préféré qu'un combat sévère soit d'abord mené avec l'UEFA pour la redistribution des fonds. Et puis une scission aurait eu lieu si vous étiez pénalisé ou ne trouviez pas d'accord. Sans bataille, les 12 s'autoproclamant être l'élite n'est pas bon. En fait, vous avez vu comment les fans ont réagi." D'après les entretiens réalisés par Marotta et Maldini, on a compris à quel point c'était un discours mené par les entreprises. Est-il possible que ces cadres ne savaient rien ou du moins en savaient peu sur ce projet? "C'est possible. Je vois comment cela se passer. Cela commence par des négociations secrètes et puis ça continue, par peur de le transmettre aux collaborateurs par crainte qu'une rumeur puisse fuiter. Ces choses doivent d'abord être réfléchies au sein de la direction et ensuite discutées avec tout le monde. Il est possible que Marotta et Maldini n'en savaient rien." Maintenant, comment ces clubs s'en sortent-ils à la fois au niveau national et international? "L'UEFA s'est avérée assez sage, quiconque revient est automatiquement pardonné. À ce stade, j'aimerais que les 12 clubs démontrent le bien fondé de leurs revendications en engageant une discussion sur les méthodes de redistribution. Ce serait légitime. Si je voulais faire scission parce que je n'étais pas content de la façon dont les choses allaient, alors j'aurais expliqué pourquoi j'attends une alternative." D'un certain point de vue, il partage le raisonnement de Conte qui condamne la Super League, mais l'UEFA doit faire un pas vers ces grands clubs... "Absolument. Mais il faut être juste, même les clubs doivent faire un peu d'autocritique: il n'est pas possible de souffrir tout ce qu'ils ont souffert à cause du Covid et de tout donner aux joueurs et aux agents pour les retenir. Quelque chose ne va pas du côté des coûts et pas seulement du point de vue des revenus." Ce projet de Super League à votre époque, avec vous dans la direction et Moratti en tant que président, aurait-il été réalisé? "Non, je pense que l'Inter se serait retirée. La bataille aurait été menée à l'UEFA sur la redistribution des revenus et non en organisant un championnat ad personam, à la société." Conte a demandé plus de clarté aux propriétaires. Comment jugez-vous la situation? L'arrivée de Zhang peut-elle arranger les choses? "Conte a travaillé en harmonie avec le club même lorsque les salaires n'étaient pas payés. Il a su maintenir la relation avec les joueurs, créer la confiance et surmonter ce moment. Garder la continuité et la stabilité est important pour rester compétitif. Il me semble correct pour un entraîneur de demander ces garanties, peut-être faudrait-il en demander plus au sein de l’entreprise et moins dans les journaux." Comment résoudre la question d'entreprise? Le Suning devra-t-il vendre un joueur, un nouveau partenaire se joindra-t-il? "Seul le Suning le sait. J'espère que la situation économique en Chine s'améliorera. Le pays est le moteur de la hausse du PIB et de la reprise de l'économie mondiale. Le gouvernement sera progressivement libéré." Si ça va bien avec le Scudetto, alors il va falloir investir pour faire un pas de plus en Europe... "Absolument oui, mais les dépenses doivent toujours être prudentes. Parfois, vous dépensez beaucoup et vous ne gagnez pas. L'affaire Cristiano Ronaldo en est la preuve." Comment voyez-vous l'Inter après ces deux matchs nuls? "Même avec la Spezia, elle méritait de gagner. A Naples, le but est venu d'un csc, puis ils ont égalisé et ce n'est pas facile contre une bonne équipe comme le Napoli. Et elle méritait de gagner. Un match est passé et l’avantage s’est accru. Maintenant il faut aussi savoir gérer et ne pas se jeter la tête la première. Je suis résolument optimiste."
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Florentino Pérez persiste et signe: "We'll be back!"
Florentino Pérez a déclaré que les 12 clubs annoncés la semaine dernière comme fondateurs de la Super League européenne ne pouvaient pas l'abandonner en raison des contrats et a promis que le projet reviendrait bientôt. Voici ses déclarations à AS. "Je n'ai pas besoin d'expliquer ce qu'est un contrat contraignant, mais effectivement, les clubs ne peuvent pas partir. Certains d'entre eux, en raison de la pression, ont dit qu'ils partaient. Mais ce projet, ou un projet très similaire, ira de l'avant et j'espère très bientôt." JP Morgan, qui avait accordé une subvention de 3,5 milliards d'euros aux clubs fondateurs, a déclaré vendredi qu'il avait "mal évalué la façon dont l'accord serait perçu". Pérez, cependant, a déclaré que la banque était toujours à bord: "Ce n'est pas vrai qu'ils se sont retirés. Ils ont mis du temps à réfléchir, tout comme les 12 clubs. Si nous devons faire des changements, nous les ferons, mais la Super League est le meilleur projet auquel nous ayons pensé. Le partenariat existe toujours, tout comme les membres qui composent la Super League. Ce que nous avons fait est d'avoir pris quelques semaines pour réfléchir au vue de la fureur de certaines personnes qui ne veulent pas perdre leurs privilèges et qui ont manipulé le projet." Pérez a réitéré la nécessité pour la nouvelle compétition de stimuler les clubs qui luttent pour faire face aux pertes liées à la pandémie de coronavirus. Il a ajouté que les 12 clubs de Super League avaient perdu au total 650 M€ l'année dernière et risquaient de perdre jusqu'à 2,5 milliards d'euros cette année. Il n'était pas non plus convaincu par la réforme de la Ligue des champions menée par l'UEFA. "La Super League est le meilleur projet possible pour aider le football à sortir de la crise. Le football est gravement atteint et nous devons nous adapter à l'époque dans laquelle nous vivons. La réforme de la Ligue des champions n'est pas la meilleure, et de plus, nous ne pouvons pas attendre 2024." Pérez en a profité pour expliquer pourquoi PSG et le Bayern n'étaient pas dans les douze. "Pourquoi le le PSG et le Bayern Munich n’ont pas pris le train de la Super Ligue selon moi ? Pour différentes raisons. Dans le cas du Bayern, il est en train de changer de direction et celle du PSG, parce que nous allions le dire plus tard. Parce que le groupe des douze travaillait et fonctionnait depuis de nombreuses années. Mais les deux allaient être invités."
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👍🏻 Good or 👎🏻 Bad ?
De rien, merci et désolé pour toi également. J'ai eu la même sensation: une partie s'est éteinte et il y a eu un avant et un après. Difficile à expliquer... si on m'avait dit qu'un cancer pouvait emporter quelqu'un en 2 mois, je l'aurais difficilement cru. En tous cas, tout internazionale.fr (membres, staff, admins...) soutient @23-MMika dans cette douloureuse épreuve.
- 33ème journée: Inter-Hellas Verona
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Les accords de financement de l'Inter dissuadent les prétendants au rachat et accroissent la pression
Bloomberg livre une analyse assez détaillée sur le rachat de l'Inter. Les financements locaux compliquent singulièrement la tâche et refroidissent les repreneurs éventuels. Introduction Niché dans la campagne à environ une heure de route au nord de Milan se trouve un terrain de football appelé le Suning Training Center. Pour l'Inter Milan, l'humble parcelle s'est avérée être une riche source de revenus car les comptes de la société révèlent que le Suning a contribué à augmenter ses revenus en payant des millions pour coller son nom sur le centre, dont 25 M€ de frais d'inscription en 2016. Les contributions financières du Suning reviennent hanter l'Inter et le Suning lui même qui explore des moyens de recruter un autre investisseur à la suite d'un renflouement parrainé par l'état chinois revenu à la maison. Pour la poignée de prétendants potentiels, il n'y a aucune certitude que les soi-disant revenus de parrainage local sont une source de revenus durable en cas de changement de propriétaire, ce qui complique l'évaluation de l'actif total, selon des personnes familières du dossier. Autrement dit, si le Suning s'en va, ces parrainages locaux resteront-ils? Entre 2017 et 2019, le club a récolté plus de 260 M€ de revenus auprès d'entités chinoises, soit l'équivalent d'un quart du chiffre d'affaires total, grâce à des accords de sponsoring régionaux. Au-delà des frais d'inscription, les comptes révèlent que le complexe d'entraînement à lui seul a généré une part de revenu annuel de 16,5 M€, plus des bonus. Coup de froid Comme de nombreux clubs légendaires à travers l'Europe, l'Inter Milan a une base de fans fidèles et un nom mondialement reconnu, mais n'a pas les poches suffisamment profondes pour soutenir une équipe coûteuse qui se chiffre à des centaines de millions chaque année. C'est pourquoi un groupe de 12 clubs de football d'Italie, d'Espagne et d'Angleterre avait envisagé ce mois-ci une ligue séparatiste qui aurait injecté des fonds indispensables dans des clubs comme l'Inter Milan. Mais le plan a été de courte durée après un tollé public des fans et des organisateurs de football, et les équipes ont recommencé à se retirer. La société de capital-investissement BC Partners avait déjà renoncé à un accord suite à des doutes sur la stabilité à long terme des paiements chinois, ont déclaré des personnes proches des négociations, demandant à ne pas être identifiées lors de délibérations privées. Outre le terrain d'entraînement, l'Inter Milan a reçu des contributions annuelles totalisant 45 M€ "chinois" indépendants pour des services tels que "le tourisme et l'éducation" ainsi que des droits de marque et des médias dans certaines régions d'Asie. Les acheteurs potentiels qui envisageaient un investissement dans l'Inter Milan ont décidé de ne pas poursuivre après avoir évalué la partie des revenus liée aux entités chinoises, ont déclaré les sources. Un acheteur potentiel a déclaré que son groupe avait identifié une dette totale au club d'environ 500 M€ et qu'il ne procéderait qu'en cas de restructuration complète de la dette et des fonds propres. Un représentant de Suning n'a pas commenté le parrainage local et la vente potentielle d'actions de l'Inter Milan, tandis qu'un responsable du club a refusé de commenter, tout comme un porte-parole de BC Partners. La pression monte sur l'Inter Milan pour consolider ses finances suite à l'effondrement du projet de Super League, qui tenait la promesse d'injecter plus de 300 M€ cash dans l'équipe. Le club n'a pas versé de salaires réguliers à ses joueurs ces derniers mois, soulignant sa situation tendue. Oaktree Capital Group est en pourparlers avancés avec l'Inter pour fournir 150 M€ pour consolider les finances du club, selon des personnes proches du dossier. Les entreprises ont tenu plusieurs réunions le mois dernier et un éventuel accord avec l'Inter pourrait conduire Oaktree à un moment donné à devenir un actionnaire minoritaire de l'équipe. Un représentant d'Oaktree a refusé de commenter. Argent chinois L'Inter Milan reste dans une situation financière difficile, en particulier après que certains des paiements de parrainage locaux se sont taris à la fin 2020. Les comptes du club montrent que le chiffre d'affaires ajusté a glissé à 372 M€ l'an dernier contre 417 M€ en 2019, après la fin des contrats avec trois entités chinoises indirectes, Fullshare Holding Limited, King Dawn Investments Limited et Beijing Yixinshijie, qui apportèrent les 45 M€ chaque année. Tout retard dans la résolution de la situation financière et des structures de propriété risque de se répercuter sur la planification de la saison prochaine, y compris d'éventuels transferts de joueurs. La course en tête a donné au club la première chance de remporter le Scudetto pour la première fois en onze ans. Sans regret La situation financière difficile de l'Inter Milan provient en partie d'une équipe coûteuse qui comprend des joueurs de premier plan comme Romelu Lukaku et Christian Eriksen. La pandémie a également pesé lourdement sur les clubs, qui jouent dans des stades vides, les privant d'une importante source de revenus. LionRock Capital, propriétaire minoritaire du club avec une participation de 30%, est de plus en plus impatient face à la situation et à la réticence du Suning à conclure un accord avec un nouveau propriétaire, a déclaré une personne familière avec le dossier. La société a activement fait pression pour obtenir un financement externe, mais se rend compte des limites de cet effort, a déclaré cette personne. Si le Suning se retire finalement de l'Inter, ce sera une autre étape dans le retrait des propriétaires chinois dans le football européen. "Presque tout ce qui appartient aux Chinois a été soit un désastre sportif, soit un désastre financier", a déclaré Keith Harris, un financier britannique expert en OPA incluant Chelsea et Manchester City. "Leur départ peut apporter du sang neuf dont beaucoup ont besoin et ne sera pas nécessairement pleuré par beaucoup."
- Point sur la revente et le mercato
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Point sur la revente et le mercato
Ben je viens de lire un article sur Bloomberg pour le rachat de l'Inter Je ferai la trad ce soir, là, il fait beau et les nanas sont (presque) à poil. Chacun ses priorités 🥰
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Walter Samuel: "J'aime l'Inter de Conte et la saison 2009-2010 fut difficile"
Sur le podcast officiel du Hellas Vérone, Walter Samuel s'est livré sur l'Inter, son style et cette saison 2009-2010. "J'aime vraiment l'Inter de Conte. C'est une équipe plus compacte maintenant, Conte a trouvé la bonne formule. Désormais, l'Inter est une équipe équilibrée avec de nombreux talents individuels de premier ordre. Ils vont droit au but et sont efficaces." "J'aime aussi le Hellas Vérone. Alors que la plupart des équipes se concentreront sur la défense contre l'Inter, l'AC Milan et la Juventus, Ivan Juric essaie toujours de passer à l'attaque." "Cette saison 2009-2010 fut difficile, mais nous avons obtenu les résultats à la fin. Nous savions que pour la plupart d'entre nous, ce serait notre dernière chance de remporter la Ligue des champions ou le scudetto. Nous avions une forte mentalité et un beau groupe, nous nous parlons encore maintenant." "Je nous ai toujours appelés une équipe 'pazza' parce que nous ne tuions pas souvent les matchs. C'est arrivé quand nous étions au Meazza, contre le Chievo. Nous menions 4-1 et puis c'est devenu 4-3." "Mais nous avions des champions et avec cela est venue la confiance que nous allions obtenir des résultats. La façon dont nous nous sommes défendus contre Barcelone a montré à quel point nous voulions atteindre la finale." "Contre Sienne, je voulais reprendre en défense alors que le score était de 3-3. Mais Mourinho m'a dit de rester devant." "Je ne me sentais pas très à l'aise là, mais j'ai eu la chance d'être au bon endroit et de marquer le but vainqueur. Ce sont les choses que Mourinho avait l'habitude de voir, c'était grâce à lui que je suis resté devant."
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Gianluca Pagliuca: "Handanovic pour 3 ou 4 ans, le titre est mérité"
Interviewé par Telelombardia, Gianluca Pagliuca a évoqué notre Inter et sa course vers le Scudetto, l'avenir de Samir Handanovic et autres choses. Un avis sur la saison d'Handanovic et pensez-vous que sa prochaine année sera la dernière? "Lors des deux derniers matches, il a commis deux erreurs, qui heureusement ne furent pas fatales car nos adversaires au classement n'en ont pas profité. Pour moi, il a fait une première phase suffisamment bonne, puis une deuxième incroyable et, enfin, quelques erreurs. À mon avis, il est toujours l'un des meilleurs gardiens de but, donc l'Inter fera bien d'y réfléchir avant de le changer." Qui serait un digne héritier de Handanovic? "Samir est toujours au niveau. Sincèrement, j'attendrais à nouveau. À l'avenir, sûrement l'Inter pense déjà à un remplaçant. Nous parlons de Musso, Meret... Si je dois prendre ceux-ci, je garderai Handanovic pour 3 ou 4 ans... J'aime Gollini, mais un top joueur que je prendrais tout de suite est Oblak, qui coûte cependant très cher." Après 10 ans, que signifierait ce Scudetto pour l'Inter avec Conte sur le banc? "En attendant, j'espère que l'Inter gagnera. Ce serait mérité, c'était l'équipe la plus convaincante." Sur la Super League, quelle idée avez-vous eue? "J'espérais qu'elle serait détruite, je suis resté avec le football du passé, aux anciennes coupes. Je n'ai jamais aimé la Super League, il semblait que les petits clubs n'existaient plus." Que pensez-vous de ces gardiens qui doivent savoir très bien jouer avec leurs pieds? "Le rôle a changé, maintenant tous les entraîneurs ont tendance à commencer le match par l'arrière. D'accord, mais pour l'amour du ciel, il y a des moments où le ballon doit être balancé vers l'avant." Les critiques sur le style de l'Inter... "Conte exploite les joueurs qu'il a, avec trois joueurs très forts devant. Antonio est très doué pour le faire. L'Inter est une équipe cynique, pratique, mais qui aussi joue un bon football. Si la défaite de Milan a eu un impact sur les performances au Picco? A mon avis, oui. Je ne la voyais pas aussi affamée que lors des matches précédents." Un joueur à acheter? "L'Inter a besoin d'un back-up pour Lukaku. Je peux penser à un avec les caractéristiques de Petagna mais plus fort que Petagna. Dzeko serait parfait même s'il est un peu plus âgé."
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@bouba930 : tu ne vas pas directement à l'essentiel. Explication: la Juve va se qualifier pour la fameuse Ligue Europa Conférence car elle est le seul club qui a remporté TOUTES les compètes officielles de l'UEFA (C1, C2, C3 et coupe Intertoto) voire toutes les compètes officielles en incluant la Coupe Intercontinental de 1985. Donc, Ronaldo faisant son suuuuhhh à Zorya va être kiffant
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La Super League européenne est la métaphore parfaite du capitalisme mondial
Désolé de ne t'avoir point compris, mais les messages avec 100 mots ne sont pas terribles pour s'exprimer Non, non, non, ne t'inquiète pas pour ça amigo. Je suis cette Super League pour avoir, je l'espère, le fin mot de l'histoire, et aussi pour comprendre comment vont évoluer les compètes européennes (ce genre de truc en dit long). Comme l'Inter est impliquée, je partage (autrement, on s'en foutrait comme de l'an 40). Bien sûr, quand le Scudetto arrivera, là, on en parlera, c'est sûr et l'ESL n'empoisonnera pas ce titre... ... sauf si la Rube est interdite de C1 pendant 1 ou 2 ans 🤗
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La Juve et l'Inter dans le viseur de Dal Pino
Oui, on peut penser ça. Malheureusement, il faut un peu de temps pour acvoir une analyse plus fine. Les journaux ont eu accès aux documents, je pense, et il faut analyser. Mais on sent que les articles vont un peu dans le même sens: Real, Barça et Juve en meneurs, les autres en suiveurs avec deux tiédasses City et Chelsea. Mais bon, pour certains on parle trop de l'ESL
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L'Inter et le Milan auraient gagné moins d'argent que la plupart des rivaux de la Super League selon Der Spiegel
Der Spiegel a publié des documents démontrant que les Nerazzurri et le Milan auraient reçu une part moindre du "montant de la subvention d'infrastructure" de JP Morgan que la plupart de leurs rivaux. En effet, Barcelone, le Real Madrid, Manchester City, Manchester United, Liverpool, Chelsea, Arsenal et Tottenham Hotspur devaient recevoir 7,7% du paiement versé aux membres fondateurs, ainsi que le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain, qui devaient être invités. L'Inter, l'AC Milan, l'Atletico Madrid et le Borussia Dortmund, qui devaient compléter la formation de 15 clubs membres, n'auraient reçu que 3,8% de ce montant. D'autres parties du document publiées ont révélé que Barcelone et le Real Madrid, les deux seuls clubs qui ne se sont pas retirés de la Super League, devaient recevoir 60 M€ supplémentaires de "compensation supplémentaire'' au cours des deux premières saisons. Il y avait également une "pénalité'' de 130 M€ pour tous les clubs souhaitant se retirer du tournoi, ainsi que le droit pour les clubs de diffuser exclusivement quatre matchs par saison sur leurs propres "plates-formes de club de base'', telles que leur site Web ou en chaîne TV maison. L'Inter et ses 11 homologues ont signé un contrat de 23 ans pour participer à la Super League, mais le projet s'est effondré dans les trois jours suivant son annonce après une condamnation généralisée de l'UEFA, de la FIFA, des fans, des joueurs, des politiciens et des clubs rivaux. Les Nerazzurri devraient éviter les sanctions de l'UEFA pour leur implication dans le projet, à la suite d'une réunion du conseil d'administration. Sur Bein Sport, Aleksander Ceferin s'est encore auto-congratulé de l'effondrement de l'ESL en se prenant pour le chevalier blanc. "Nous avons réussi à gagner la guerre du football. Nous nous sommes demandé: est-ce que tout est à vendre? Pouvez-vous détruire l'histoire, tout changer et privatiser le football? La réponse est non, vous ne pouvez pas!" "Le projet de la Super League était complètement absurde et les clubs ont sous-estimé les organisations, les gouvernements, les supporters et les joueurs d'hier et d'aujourd'hui. Ils ne pensaient qu'à l'argent et c'est toujours une erreur; ils ont sous-estimé le pouvoir de la société et le fait que le football est un jeu pour nous tous." "Pour les clubs séparatistes, c'était une grosse erreur, mais je ne pense pas qu'il faille en parler davantage. Les clubs ont juste besoin de savoir: n'essayez plus jamais cette idée stupide." Réponse: LOL
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La Juve et l'Inter dans le viseur de Dal Pino
Calcioefinanza.it a révélé que Dal Pino avait eu des "mots très durs'' envers les Nerazzurri et la Juventus après leur tentative de rejoindre la Super League européenne. L'Inter et la Juventus étaient deux des sept clubs (avec l'Atalanta, Fiorentina, Lazio, Naples et Hellas Verone) à s'opposer à un accord qui aurait vu la Serie A vendre une participation de 10% dans sa société de nouveaux médias à un consortium de capital-investissement pour 1,7 milliard d'euros. Dal Pino les a accusés d'avoir tenté de saboter cet accord et de nuire à l'image de la ligue avec leur tentative de rejoindre la Super League. Autrement dit, pendant la journée, quelqu'un a tissé la toile d'intérêt de la Ligue de Serie A, la nuit, il l'a démontée. L'Inter faisait partie de plusieurs clubs qui auraient réclamé la démission de Dal Pino la semaine dernière, mais il a insisté - à la fin d'un discours qui a duré plus d'une demi-heure - qu'il continuerait et espérait revenir à un dialogue constructif. Beppe Marotta pourrait être contraint de démissionner de son poste de conseiller de la Fédération italienne de football après le fiasco de la Super League, mais les clubs ont décidé que la question serait discutée à une date ultérieure.
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La Super League européenne est la métaphore parfaite du capitalisme mondial
De rien @Oxyred Maintenant, pour ceux qui en ont marre de l'ESL, ils sont mal barrés car tous les médias en parlent (pas toujours de la bonne manière) et on relaient les infos publiées. Après, au lieu de critiquer notre travail, ils sont libres de proposer et on verra ce qu'ils font... ou d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte
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Point sur la revente et le mercato
Alors que la Super League a fait pschit, l'Inter est toujours en pourparlers pour revendre les parts de LionRock. Voici le point. Calciomercato.com a déclaré que le Suning serait susceptible de conclure un accord avec Fortress, Bain Capital Credit ou King Street Capital Management, tous basés aux États-Unis.cAyant manqué les 350 M€ que JP Morgan avait promis à l'Inter pour son implication dans la Super League européenne, le président du club Steven Zhang s'est tourné vers Goldman Sachs pour aider le Suning à trouver un accord de financement d'une valeur de 250 M€. Quiconque rejoindrait l'Inter reprendrait la participation de 31,05% de LionRock Capital dans le club, Zhang s'engageant à contrôler à 100% Great Horizon, la société luxembourgeoise par l'intermédiaire de laquelle Suning contrôle Inter, dans le cadre de l'accord. Le Suning a déjà promis des actions de la société de médias d'Inter, Inter Media & Communication, à des créanciers qui leur ont émis deux obligations d'une valeur totale de 375 M€. En plus de cela, ils ont également promis une participation majoritaire dans l'Inter elle-même à Alibaba, la société contrôlée par le milliardaire chinois Jack Ma. Les dispositions ci-dessus montrent clairement que la situation actuelle est très difficile pour Inter et le Suning, mais l'article offre au moins une nouvelle encourageante. On s'attend à ce que le Suning respecte toutes les échéances de paiement des Nerazzurri à l'approche du 30 juin, y compris le paiement des salaires impayés des joueurs. En plus des trois groupes mentionnés ci-dessus, l'Inter est également en pourparlers avancés avec Oaktree Capital Group sur un accord annoncé de 150 M€. En effet, Bloomberg a déclaré que des personnes proches du dossier suggérant qu'un accord pourrait conduire Oaktree à devenir le nouvel actionnaire minoritaire des Nerazzurri. Oaktree détient actuellement le stade Malherbe de Caen. L'Inter est liée à diverses entreprises alors que le Suning cherche de nouveaux investissements pour garantir la stabilité économique à long terme des Nerazzurri. Un représentant d'Oaktree a refusé de commenter. Plus tôt dans la journée, un rapport dans les médias français indiquait que l'Inter était en train de négocier avec la société d'investissement américaine King Street pour un accord d'une valeur potentielle de 250 M€. Les Nerazzurri semblent prêts pour un autre été d'austérité sur le marecto, ce qui pourrait forcer le club à envisager de vendre un ou deux acteurs clés. Le président de l'Inter, Steven Zhang, devrait clarifier la situation à son retour à Milan, peut-être la semaine prochaine. Concernant le mercato, Tuttosport prévenait que les Nerazzurri seraient exactement dans la même situation qu'en Janvier et l'été dernier, après l'effondrement du projet de Super League européenne. Antonio Conte veut que l'Inter fasse signer Emerson Palmieri et Rodrigo de Paul pour renforcer l'équipe. Au lieu de cela, l'Inter pourrait être obligée de sacrifier un ou deux joueurs clés pour équilibrer les comptes, Lautaro Martinez étant considéré comme celui qui suscite le plus d'intérêt. Le journal a averti le Suning qu'ils devraient assumer la responsabilité publique si l'Inter était limitée à encore plus d'austérité en matière de transfert, afin de donner à Conte et aux fans la "clarté'' dont ils ont besoin. Le Suning est actuellement en pourparlers avec trois groupes américains pour un prêt de 250 M€ pour aider à soulager les difficultés financières actuelles. Il pourrait être difficile de conclure un accord avec l'une de ces parties, explique le journal, car la dette élevée d'Inter signifie que les créanciers auront besoin de garanties solides dans tout accord. L'Inter a déjà promis certaines de ses actions en Chine alors que ses revenus sont à peu près au point mort, notamment parce qu'ils n'ont pas encore obtenu de remplaçant pour Pirelli en tant que principal sponsor pour le maillot (Samsung reste en lice).
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Antonio Conte et Giuseppe Marotta veulent rester à l’Inter
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idem 😔- La Super League européenne est la métaphore parfaite du capitalisme mondial
C'est quoi ton problème? Si ça ne te convient pas, tu ne lis pas, point.- 7 commentaires
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- La Super League européenne est la métaphore parfaite du capitalisme mondial
Du football d'élite aux géants de la technologie, nos vies sont de plus en plus gouvernées par des marchés "libres'' qui se révèlent truqués. Ce texte est une traduction de "The European Super League is the perfect metaphor for global capitalism" de Larry Elliot publié sur le site du Guardian. A l'époque de l'Union soviétique, il était courant d'entendre des gens de gauche critiquer le Kremlin pour avoir poursuivi le mauvais type de socialisme. Il n'y avait rien de mal avec la théorie, disaient-ils, plutôt la forme dévoyée de celle-ci conduite derrière le rideau de fer. Le même argument a fait surface cette semaine, au milieu de la furieuse réaction contre cette Super League européenne pour 20 clubs de football, cette fois seulement du côté la droite. Les puristes du marché libre disent qu'ils détestent l'idée parce que c'est la mauvaise forme du capitalisme. Ils ont à la fois raison et tort à ce sujet. Le capitalisme de marché libre est censé fonctionner grâce à la concurrence, ce qui signifie qu'il n'y a pas de barrières à l'entrée pour de nouveaux produits innovants. Dans le cas du football, ce serait un petit club ouvert avec un manager essayant de nouvelles méthodes d'entraînement radicales et alignant une récolte de joueurs qu'il a nourris lui-même ou dans lesquels il a investi via le marché des transferts. Les équipes de Derby County et de Nottingham Forest, gagnantes de la ligue, développées par Brian Clough dans les années 1970 en seraient un exemple. Les partisans du capitalisme de libre marché disent que le système peut tolérer les inégalités à condition qu'il y ait la possibilité de s'améliorer. Ils s'opposent aux cartels et aux entreprises qui utilisent leur pouvoir du marché pour se protéger de rivaux plus petits et plus agiles. Ils n'aiment pas non plus le capitalisme rentier où les gens peuvent tirer des bénéfices importants des actifs qu'ils possèdent, mais sans rien faire eux-mêmes. Les organisateurs de l'ESL ont pris le capitalisme de marché libre et l'ont renversé. Disposer de 15 des 20 places garanties aux membres fondateurs représente une barrière colossale à l'entrée et étouffe clairement la concurrence. Il n'y a pas beaucoup de chance de "destruction créative" si un groupe d'élite de clubs peut consolider sa position en détournant la majeure partie des recettes télévisées que ses matchs vont générer. Les propriétaires des clubs sont des capitalistes rentiers classiques. Là où les critiques du marché libre de l'ESL se trompent, c'est en pensant que l'ESL est une sorte d'aberration, un écart ponctuel par rapport à la pratique établie, plutôt qu'une métaphore de ce que le capitalisme mondial est devenu: un édifice construit sur des piles de dettes où les propriétaires d'entreprises disent aimer la concurrence mais font tout ce qu'ils peuvent pour l'éviter. Tout comme les meilleurs clubs européens ont des équipes nourricières qu'ils peuvent exploiter pour de nouveaux talents, les géants américains de la technologie ont été occupés à acheter tout ce qui ressemble à de la concurrence. C'est pourquoi Google a acheté un grand nombre de fournisseurs de publicité en ligne rivaux et pourquoi Facebook a acheté Instagram et WhatsApp. Pour ceux qui veulent comprendre comment l'économie du football a changé, un bon point de départ est The Glory Game, un livre que Hunter Davies a écrit sur sa vie dans les coulisses avec Tottenham Hotspur, l'un des membres en herbe de l'ESL. Le livre de Davies consacre un chapitre aux directeurs des Spurs au début des années 1970, qui étaient tous des supporters à vie du club et qui ne recevaient aucun paiement pour leurs services. Ils vivaient à Enfield, pas aux Bahamas où réside l'actuel propriétaire Joe Lewis en exil fiscal. Ce n'étaient pas des hommes radicaux. Ils ne pouvaient pas concevoir qu'il y ait des femmes au conseil; ils se sont opposés à la publicité sur le terrain et venaient tout juste de venir à l'idée d'un magasin de club pour vendre la marchandise officielle des Spurs. Ils étaient conservateurs dans tous les sens du terme. Au cours du demi-siècle qui a suivi, les hommes qui gagnaient leur argent avec des noix et des boulons et des entreprises de papier de rebut dans le nord de Londres ont été remplacés par des oligarques et des fonds spéculatifs. La télévision, à peine mentionnée dans le Glory Game, est arrivée avec ses milliards de livres de revenus. Les installations se sont améliorées et les joueurs sont plus fits, plus forts et bien mieux payés que ceux du début des années 1970. Dans très peu de secteurs de la Grande-Bretagne moderne, on peut dire que les travailleurs reçoivent le plein fruit de leur travail: la Premier League est l'un d'entre eux. Même ainsi, le modèle ne fonctionne pas vraiment et aurait encore moins bien fonctionné si l'ESL avait été créée. Et cela va beaucoup plus loin que la cupidité, quelque chose qui peut difficilement être considéré comme nouveau dans le football. Pas de doute, la cupidité fait partie de l'histoire, car pour certains clubs, la perspective de partager un gâteau initial de 3,5 milliards d'euros était tout simplement trop tentante compte tenu de leurs dettes, mais il y avait aussi un problème avec le produit proposé. Une partie de la verve compétitive a déjà été aspirée du football grâce à la concentration des richesses. Dans les années 1970, il y avait beaucoup plus de chances qu'un club moins prospère ait son moment de gloire: non seulement Derby et Forest ont remporté la ligue, mais Sunderland, Southampton et Ipswich ont remporté la FA Cup. Les fans peuvent accepter le désespoir de la défaite s'ils peuvent parfois espérer le frisson de la victoire, mais l'ESL était essentiellement un moyen pour une élite de s'isoler contre le risque d'échec. En présentant leur idée à moitié cuite comme ils l'ont fait, les clubs ESL ont commis l'un des péchés capitaux du capitalisme: ils ont endommagé leur propre marque. Les entreprises, en particulier celles qui comptent sur la fidélité à leur produit, le font à leurs risques et périls, notamment parce que cela oblige les politiciens à réagir. Les fans ont le pouvoir, tout comme les gouvernements, s'ils choisissent de l'exercer. L'ESL a démontré que le capitalisme mondial fonctionne sur la base de marchés truqués et non de marchés libres, et ceux qui dirigent le spectacle ne s'intéressent qu'à enraciner les inégalités existantes. C'était vraiment une mauvaise idée, mais en donnant une leçon d'économie à des millions de fans, il a peut-être rendu un service public.- 7 commentaires
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@Oxyred : pour moi le foot, c'est TOUT!!! Sans le foot, je ne suis RIEN!!! Mais t'as eu une idée de génie: prendre le drapeau estonien comme étendard de l'Inter 🥰- Serie A Coca-Cola 2020/2021
Hum... vu les derniers messages de @bouba930, je me demande s'il n'est pas Safari lui même... 🤔- Super League: JP Morgan se défile aussi
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