alex_j
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Javier Zanetti: "Mon lien avec l'Inter durera toujours, les fans de l'Inter m'ont accueilli dès le premier jour"
Notre légendaire vice-président, Javier Zanetti, a admis qu'il était convaincu qu'il pouvait se tailler une place lorsqu'il nous a rejoint en 1995. "C'est vrai que Rambert était présenté comme un joueur plus fort que moi, il était le meilleur buteur du championnat. J'étais le quatrième étranger que l'Inter pouvait aligner car ils avaient signé Ince, Rambert et Roberto Carlos", a-t-il expliqué dans une interview accordée à l'émission Inter Futbol Club. "J'étais convaincu que je pouvais abattre mes cartes. Je savais que l'Inter, avec son histoire, était un grand saut. C'était une belle opportunité et je devais tout faire pour bien faire." Il a ensuite expliqué comment Massimo Moratti l'a découvert. "Il y avait des cassettes à l'époque, ne disons pas combien d'années se sont écoulées depuis!" "J'ai très bien joué dans ce match, mais l'Inter regardait Ortega. Lorsque Mazzola a appelé le président, ce dernier a répondu: «Je veux le numéro 4». C'est comme ça que tout a commencé." Le lien fort entre l'Inter et l'Argentine. "Il est vrai que dans le passé, il y a eu de grands entraîneurs et joueurs qui ont laissé leur empreinte ici, puis nous sommes venus. Je pense que ce sentiment est dû à la passion et à la façon dont nous vivons le football, qui va de pair avec l'ADN de l'Inter." "Pour nous, l'Inter est une famille, nous avons apporté nos coutumes au club, à la Pinetina. Lorsque vous portez ce maillote, vous ressentez quelque chose de spécial et nous, les Argentins, le percevons." Ensuite, Zanetti a rappelé un match au début de sa carrière entre Banfield et Boca Juniors au cours duquel le commentateur a suggéré que son prochain club serait River Plate. "C'est le match où le monde a commencé à me connaître, nous avons gagné à la Bombonera et j'ai fait un très bon match." "Le lendemain, toutes les informations et tous les journaux ont commencé à parler de moi et de l'intérêt du River, mais personne ne connaissait l'Inter." Il a ensuite parlé du fort contingent sud-américain qui était à l'Inter pendant son passage. "Chacun de nous a sa propre personnalité. Je suis proche de beaucoup d'entre eux. En plus des Argentins, je suis proche de Cordoba et de Zamorano." "Parmi nous, il y a eu immédiatement de l'empathie, notre amitié va durer. Ils sont pratiquement frères, il y a eu l'alchimie du premier jour." Son adversaire le plus difficile à marquer. "L'un d'eux est Giggs, nous allions et venions sur l'aile en se défiant à grande vitesse. J'ai eu la chance d'affronter de grands champions, j'ai marqué Zidane qui est quelqu'un à qui vous avez à peine enlevé le ballon." "Kaka du Milan était l'un des adversaires qui vous oblige à toujours rester tout le temps concentré." Pourquoi le numéro quatre? "Pour moi, c'était un numéro important, c'était gratuit, je l'ai pris et je l'ai emporté avec moi aujourd'hui". Ses chansons préférées que les fans lui ont dédiées. "Le chant 'Un capitaine, il n'y a qu'un seul capitaine' ou 'Parmi les Nerazzurri, il y a un joueur qui…' Les fans de l'Inter sont fantastiques, c'est un lien qui durera pour toujours." "Ils m'ont fait sentir le bienvenu dès le premier jour où j'étais un étranger et je n'oublierai jamais cela."
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Handanovic, Hakimi et Lukaku inclus dans le classement FC100 du diffuseur sportif ESPN
Notre gardien Samir Handanovic, notre arrière droit Achraf Hakimi et notre attaquant Romelu Lukaku font partie des 10 meilleurs joueurs à leurs postes respectifs cette année selon le classement FC100 de la chaîne sportive ESPN. ESPN a publié son classement annuel des 10 meilleurs joueurs par poste avec nos trois joueurs. En commençant par Handanovic, il se classe 9e au classement général de la catégorie des 10 gardiens. Il devance David De Gea de Manchester United et la catégorie a été "gagnée" par le gardien du Bayern Munich et de l'Allemagne, Manuel Neuer. Hakimi, qui a rejoint l'Inter cet été, s'est classé deuxième parmi les arrières droits et a été battu pour la première place par Trent Alexander-Arnold de Liverpool. Lukaku, qui est à l'Inter ce que Maradona était à l'Argentine, a terminé cinquième dans la catégorie des attaquants, juste devant Zlatan Ibrahimovic et derrière Harry Kane. Robert Lewandowski a été nommé meilleur attaquant de la planète cette année civile dans le cadre du classement FC100.
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Arrigo Sacchi: "Antonio Conte fait toujours un excellent travail"
Le légendaire manager Arrigo Sacchi a partagé sa conviction que Antonio Conte fait un excellent travail avec les Nerazzurri. "L'Inter de Conte gagne avec mérite et progresse dans le jeu. Une victoire contre le Shakhtar pourrait signifier, si le Real et le Borussia ne font pas match nul, une accession en 8e de la C1", a-t-il déclaré dans la Gazzetta dello Sport. "Antonio Conte, comme toujours, fait un excellent travail. C'est un grand professionnel qui aime son travail et qui donne vie au football. Il n'a qu'une certitude et c'est que vous pouvez toujours faire plus et mieux." "Il est réceptif et c'est ce qui lui permet de corriger les erreurs et le timing de ses gars à l'entraînement. L'engagement des joueurs et l'esprit d'équipe progressent." Sur l'attaque et la défense de l'Inter. "Désormais, l'attaque est excellente et létale en contre-attaque, discrète en possession du ballon avec de la marge pour la participation des 11 joueurs. Peut-être que l'équipe devrait être plus compacte pour faciliter la tâche." "Brozovic joue un rôle stratégique à la fois en termes de changement de jeu et pour la défense. La phase défensive est à améliorer, cette défense n'est pas toujours coordonnée." "Le pressing pourrait être plus efficace si l'équipe était plus compacte, donc la phase défensive et les contre-attaques s'en trouveraient nettement améliorées. Si les Nerazzurri suivent leur entraîneur, les résultats suivront, c'est certain."
- Il n’y a qu’avec l’Inter que tu vis une soirée pareille
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Antonio Conte: "Nous sommes une vraie équipe, Matteo Darmian laisse le temps à Achraf Hakimi de grandir"
Mets toi à ma place 😂 Je m'amuse aussi dans le topic insolites 😅
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😮 Insolites !
hé bé voili voilou Cela te va? 🤭 Document d'époque en vente libre, sans censure ni exagération!
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Antonio Conte: "Nous sommes une vraie équipe, Matteo Darmian laisse le temps à Achraf Hakimi de grandir"
Notre très cher entraîneur Antonio Conte (presque qualifié en 8e ?) a partagé sa conviction que l'Inter méritait de gagner ce match crucial contre le Borussia Monchengladbach. "Si vous n'êtes pas une vraie équipe, d'un point de vue tactique, de caractère et de désir, vous ne venez pas ici et ne gagnez pas, surtout en ce moment", a-t-il expliqué dans une interview avec Sky Sport Italia juste après le match. "C'était un match que nous méritions de gagner et nous aurions pu éviter ce stress inutile. Le Borussia est aujourd'hui le meilleur du groupe!" "Mais, comme Gloria Glaynor, nous avons survécus et le mérite revient aux gars, quand ils ont cet esprit et ce désir de s'entraider, nous devenons un problème pour les autres." Sur les déclas de notre phare, Romelu Lukaku. "Lukaku a-t-il dit qu'il faisait partie des 25? Il a raison! Je demande à tout le monde de prendre ses responsabilités, car c'est la seule façon de s'améliorer et de viser quelque chose d'ambitieux. Des matchs comme celui-ci témoignent que l'équipe est là et qu'il y a une unité, un objectif commun!" Sur ce qu'il a dit à la mi-temps. "Ce but juste avant la pause aurait pu nous tuer car nous avions créé beaucoup de jeu et ils n(ont pas fait grand chose. Nous avons analysé certaines situations et je leur ai dit de jouer comme nous l'avions fait en première mi-temps." "Cela aurait pu nous tuer, mais honnêtement, ces gars-là ont besoin d'être soutenus! Ils savent que pour le meilleur ou pour le pire, nous sommes avec eux. Nous devions simplement continuer à faire ce que nous faisions et à la fin nous aurions été récompensés." Sur Marcelo Brozovic. "Le milieu de terrain change un match, c'est inévitable! Brozovic est revenu après avoir chopé ce virus, Barella a eu un problème de mollet et joue toujours. Nous avons pris des risques mais c'était aussi difficile d'intervenir depuis le banc des remplaçants car nous avions tellement de qualité." "Brozo est important dans les deux phases de jeu, quand il travaille, il est un joueur important. Gagliardini est également fiable à tous points de vue." En conclusion, il a été interrogé sur les italiens interistes. "Barella et Bastoni progressent beaucoup, mais ils ont encore beaucoup à faire. Ce sont des gars fiables à tous points de vue, je dois les faire progresser." "Je suis heureux pour Darmian. Nous avons cru en lui après son expérience en Angleterre et à Parme. Il donne également la possibilité à Hakimi de grandir avec patience. Les ailiers ont beaucoup de mal et il est juste de les remplacer pendant le match."
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Romelu Lukaku: "J'ai joué mon meilleur football au cours des 18 derniers mois"
Après sa victoire 2-3 à 'Gladbach, l'Inter est (miraculeusement) toujours en course pour une qualification en 8e de la C1. Notre cerf-volant cosmique, Romelu Lukaku, a fait diverses déclas à Inter TV et Sky Sport Italia. Sur Inter TV juste après le coup de sifflet final, notre attaquant et talisman de l'Inter Romelu Lukaku a déclaré que "Je suis très content de cette victoire car le match d'aujourd'hui était très important." "C'était une finale comme tous nos autres matches en championnat mais surtout en Ligue des champions. Je suis très content de la victoire, nous devons continuer comme ça." Interrogé sur la question de savoir si c'est une victoire qui pourrait changer la saison de l'Inter, l'attaquant de l'équipe nationale belge a expliqué: "Nous l'espérons, nous devons continuer à travailler." Il a ensuite parlé du match contre Bologne, qui occupe actuellement la 10e place du classement. "Samedi, nous avons un autre match contre Bologne qui est une équipe solide, l'an dernier nous avons perdu contre eux. Nous devons continuer à progresser et à travailler chaque jour également dans la Serie A." Leur sort en Ligue des champions toujours entre les mains Interistes? "Oui, nous espérons que nous aurons d'abord un bon match contre Bologne qui pourrait être une préparation. pour le match contre le Shakhtar." Ensuite, Lukaku a minimisé son importance pour l'équipe après la folle victoire 2-3 face au Borussia Monchengladbach. "Suis-je l'âme de l'équipe? Je ne suis que l'un des 25, je veux juste tout donner pour faire gagner l'équipe", a-t-il martelé dans une interview avec Sky Sport Italia, immédiatement après le match au Borussia Park. Sur son niveau: "J'en suis à ma deuxième année à l'Inter, je suis heureux de jouer avec ces mecs parce que depuis que je suis ici, depuis un an et demi, j'ai joué mon meilleur football." L'attaquant de l'équipe nationale belge, qui a inscrit ses 44e et 45e buts pour le club, a ensuite discuté du match lui-même. "Nous progressons, mais à 3-1, ce match doit être plié! Ils avaient marqué et nous avons eu de la chance qu'il soit hors-jeu. Nous sommes une équipe qui n'est pas pleinement aboutie et cela vaut aussi pour moi. Nous espérons que la victoire d'aujourd'hui donnera un coup de pouce pour l'avenir." En conclusion, il a été interrogé sur la colère qu'il affichait, en particulier vers la fin de la première mi-temps juste avant l'égalisation du Borussia Mönchengladbach. "J'étais un peu en colère, car Lautaro et moi à ce moment-là étions deux contre deux. Je pensais que dans les 40 premières minutes, nous avions très bien attaqué, donc il y a des risques à prendre, mais nous en avons trop fait."
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😮 Insolites !
Pourtant, les hardeuses hongroises, c'est des bombasses!!!! Si vous voulez, j'ai des photos 🤭
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😮 Insolites !
Sachant que j'ai de la famille en Belgique (Dinant, Namur et Charleroi). A chaque fois qu'il y a un truc tordu qui se passe, on pense à moi
- Première indiscrétion sur le futur maillot extérieur
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Antonio Conte: “Vivre ou Mourir, c’est ça l’Europe"
- Antonio Conte: “Vivre ou Mourir, c’est ça l’Europe"
- Steven Zhang s'adresse aux Nerazzurri
- Argentine - Angleterre 1986: "Et la peluche devint le cerf volant cosmique"
- Argentine - Angleterre 1986: "Et la peluche devint le cerf volant cosmique"
Le 25 Novembre 2020 à Tigre, nous quittait Diego Armando Maradona. Ecrire un article sur Diego est très complexe cat tant a été dit sur lui et tant reste à dire. Voici un récit de ce fameux quart de final de la Coupe du monde de 1986 où Diego terrassa à lui seul l'Angleterre de Magie Thatcher. Ce fameux match où il inscrivit deux buts de légende et où la peluche devint le cerf volant cosmique. Héritage Le concept qui a dévoré le monde. C'est la question la plus ancienne à laquelle chaque millénaire a donné son propre thème. Les philosophes grecs, assis sur des rochers, réfléchissaient à ce qui resterait suite à leur transcendance métaphysique, les légions romaines ont parcouru les montagnes et les plaines pour faire partie d'un plus grand monde, et les aventuriers ont navigué sur les mers sans fin pour mettre le pied sur des terres invisibles. La progression inexorable du temps et les archives historiques sans fond qui se développent avec lui ont aidé quiconque à revendiquer un héritage personnel. Les brillants scientifiques qui ont élargi nos connaissances collectives voient leurs réalisations et efforts mentionnés dans chaque manuel. Même les vils magnats et dictateurs ne sont pas oubliés, mais réinventés dans la série Netflix. Qu'il s'agisse d'infamie ou d'éclat, les contes d'émerveillement seront à jamais racontés à mesure que leurs auteurs disparaissent. Le football n'est pas différent. Certains joueurs sont trop grands, trop magnifiques pour être oubliés et certains matchs sont tout simplement trop gros pour 90 minutes, pas plus que lorsque Diego Armando Maradona est entré sur la pelouse. Sa performance contre l'Angleterre en quart de finale de la Coupe du monde 1986 est peut-être le match le plus célèbre de l'histoire du football. Rivalité La rivalité entre les deux équipes nationales de football remonte à la coupe du monde de football de 1966, en quart de finale à Wembley. Le capitaine argentin, Antonio Rattin, a été expulsé (et on ne sait toujours pas pourquoi) dans un match très rugueux. Rattin était en colère contre l'expulsion, estimant que l'arbitre allemand, Rudolf Kreitlein, qui ne parlait pas espagnol, avait été biaisé envers les Anglais, une nation européenne et devant leurs supporters locaux. Cela a conduit le directeur de l'Angleterre Alf Ramsey à décrire les Argentins comme des "animaux", des commentaires considérés comme racistes par les Argentins. Malgré la popularité d'Osvaldo Ardiles et de Ricardo Villa qui ont joué avec Tottenham Hotspur à une période avant qu'il ne soit banal pour les clubs d'avoir des joueurs non britanniques, la rivalité est restée forte. En dehors du football, la guerre des Malouines en 1982 a accru la tension entre l'Angleterre et l'Argentine. La Grande-Bretagne administre les îles Falkland, un petit archipel de l' Atlantique Sud , en tant que territoire britannique d'outre-mer; L'Argentine revendique les îles comme Islas Malvinas. Le 2 avril 1982, les forces argentines ont envahi les îles. La Grande-Bretagne a considéré cela comme une invasion de son territoire et a envoyé une force opérationnelle navale qui a repris les îles le 14 juin 1982. Bien que les deux nations n'aient jamais été officiellement en guerre, le conflit a fait 258 morts britanniques et 655 argentins. En conséquence, le match qui se déroulait quatre ans après la guerre était chargé d'émotion. Après le match, Maradona a déclaré: "Bien que nous ayons dit avant le match que le football n'avait rien à voir avec la guerre des Malouines, nous savions qu'ils avaient tué beaucoup d'argentins là-bas, les avaient tués comme des oiseaux. Et c'était de la vengeance." Avant le match de 1986, les fans des deux pays se sont battus dans les rues de Mexico et dans le stade aussi. En conséquence, plusieurs fans anglais ont été hospitalisés tandis que certains de leurs drapeaux ont été volés par des barrabravas argentins . Ces drapeaux seraient ensuite exposés par les supporters de Boca Juniors lors de certains matches de championnat argentin. Le ton est donné! Les maillots L'Argentine a battu l'Uruguay 1-0 en huitièmes de finale avec des maillots en coton bleu qui, selon l'entraîneur Carlos Bilardo , s'avéreraient trop inconfortables dans la chaleur de Mexico. Bilardo a demandé au fabricant du kit argentin de proposer des maillots bleus plus claires pour les quarts de finale, une demande impossible à réaliser étant donné le court délai. A trois jours du match, il a envoyé Ruben Moschella, un membre de son staff, parcourir les magasins de la capitale mexicaine pour trouver un kit adapté. Il est revenu avec deux maillots de bleus différents, qu'ils ont pesés par la suite, mais n'ont pas pu choisir. C'est alors que Diego Maradona est apparu et a déclaré: "C'est un joli maillot. Nous battrons l'Angleterre avec celui ci!" Moschella est retourné à la boutique et en a acheté 38. Un designer a confectionné des badges de fortune de l'Association argentine de football (AFA), qui ont ensuite été cousus sur chaque maillot face au logo du Coq Sportif, qui fournissait les kits pour l'Argentine à l'époque, avec des numéros de maillot de football américain argentés repassés à la hâte sur le dos. Le début L'Argentine et l'Angleterre avaient deux styles de football qui n'étaient pas si différents que ça. L'Angleterre est souvent allée directement vers l'avant, dans l'espoir d'un renversement de jeu ou d'un rebond favorable pour les envoyer encore plus loin. L'Argentine a joué avec une formation à trois arrières, un 3-5-2. Maradona et Valdano, le duo offensif et un trio de milieu de terrain composé de Burruchaga, Enrique et Batista, se tenaient derrière eux. Toute la créativité provenait de Maradona, le cœur et métronome incontesté de l'équipe. L'Angleterre a essayé de compliquer la vie des Argentins ce jour-là. Ils ont commencé le match avec leur meilleure équipe et ont marqué et attaqué de manière très agressive les deux attaquants argentins; Fenwick récoltant un jaune à la 9' et cela aura une conséquence terrible. Mais au fur et à mesure que le match avançait, le côté droit est devenu un repaire de supercheries mystiques ou une zone de magie, c'est selon. C'était la zone de Maradona. Chaque fois qu'il contrôlait un ballon ici, un défenseur anglais de plus le bloquait. À maintes reprises, ils ont regardé la petite peluche sprinter. Finalement, la meilleure tactique était de laisser Maradona courir vers la surface et espérer simplement que sa passe en retrait, son tir ou son centre n'atteignait pas sa destination. Pour la première mi-temps, cela a fonctionné. L'Angleterre n'a pas beaucoup montré mais la domination de l'Argentine n'a rien donné non plus. Ce fut un combat serré auquel l'arbitre a fait preuve de clémence. Les deux équipes se sont dirigées dans le tunnel à la mi-temps avec confiance pour renverser l'égalité en leur faveur. La main de Dieu La seconde mi-temps a commencé de la même manière. Il y avait beaucoup d'obstacles à franchir avant la surface. La foule assise attendait un moment d'éclat pour altérer la dynamique fermée et fermante du match. Il est finalement venu, cet éclat. Mais un moment d'infamie inégalée qui continue de susciter le dégoût des Anglais. Il n'y avait pratiquement pas d'espace à exploiter sur les ailes, alors quand Maradona a chipé le ballon à mi-chemin de la moitié anglaise, il a couru au centre, a passé le ballon à Valdano pour un une-deux, mais l'Argentin a mal contrôlé et le ballon s'est légèrement relevé. Sur ce, un mauvais dégagement de Hodge a envoyé le ballon plus profondément dans la surface de réparation où il n'y avait que Maradona et le gardien Peter Shilton. Les deux ont sauté pour le ballon et d'une manière ou d'une autre, Maradona, haut de 1,65 m, a touché le ballon pour le faire passer de justesse au-dessus de Shilton. Immédiatement, protestations anglaises! Les joueurs anglais ont couru vers l'arbitre tunisien Alin Bin Nasser, affirmant que le but était à la fois hors-jeu et illégitime. Maradona n'avait pas marqué avec sa tête, ses pieds ou ses épaules, mais avec sa main - la Main de Dieu. Lorsque Maradona a sauté, il a serré un poing juste à côté de sa tête et l'a étiré pour frapper le ballon sur Shilton! Problème, pas de VAR à l'époque et tant mieux! Tous les joueurs l'avaient, cette mimine, mais pas les arbitres. Maradona lui-même avait vérifié avant de se faire congratuler. C'était sale, aussi sale que possible. Mais à la Coupe du monde, toute mesure est considérée comme bonne tant qu'elle vous fait gagner! Point barre. Maradona a dit: "J'attendais mes coéquipiers m'embrasser, et personne ne venait ... Je leur ai dit: Venez, venez ou l'arbitre ne va valider le but!!!!" Lors de la conférence de presse d'après-match, Maradona a facétieusement commenté que le but était marqué: "un poco con la cabeza de Maradona y otro poco con la mano de Dios" ("un peu avec la tête de Maradona et un peu avec la main de Dieu "), après quoi il est devenu connu comme le but de la "Main de Dieu". Pedro Pasculli a déclaré: "Dans le salon de l'hôtel, Diego nous a lancé en rigolant: Fils de putes, j'attendais que vous veniez me congratuler pour faire douter encore l'arbitre!". Cesar Luis Menotti a également dit: "Les gens ont dit: Génial! Mieux, beaucoup mieux, que le but était si injuste, si cruel, parce que cela faisait plus mal aux Anglais!" Six minutes après le début de la seconde période, l'Argentine était en tête. Dans les minutes qui ont suivi, l'Angleterre a semblé une nation libérée. Visiblement agressée, mais visiblement plus calme. L'intégralité des 50 minutes de blocage, les joueurs anglais ont passé à trembler devant la présence de Maradona. Il y avait une peur à concéder quand la petite star Argentine était sur le ballon, et avec le score de 0-1 exigeant que les Three Lions soient plus courageux, il y avait des courses en avant et des exploits offensifs à faire. Leur jeu typique, en somme... Le but du siècle Malheureusement, cela a un prix, un prix qui s'appelle la ré-organisation et la re-concentration. Lorsque Maradona contrôlait le ballon à la 55e minute, toujours dans sa moitié de terrain et pressé par trois anglais, Beardsley , Reid et Butcher, il les passait sans effort et avait la majeure partie du flanc droit libre pour accélérer et prendre son élan, là où il devient injouable. Un autre défenseur est intervenu, Butcher, Maradona l'a dépassé. Aucun Anglais ne pouvait égaler sa vitesse. Maradona a évité le dernier défenseur, Fenwick, sur le bord de la surface de réparation, et avait maintenant juste Shilton à battre, l'ultime rempart. Maradona contourna le gardien et glissa le ballon dans un but ouvert malgré un retour désespéré de Butcher. Un but brillant, magique, cosmique. Entièrement légal celui-là, mais peut-être plus insultant que le main illégale. Maradona a enrhumé la moitié de l'équipe anglaise d'un seul coup. Il a passé des plots, pas des hommes! Et lorsque l'argentin a viré au poteau de corner lors de célébrations orgueilleuses, il y avait un consensus tacite selon lequel l'Angleterre avait été battue non pas par la force du football argentin, mais par la magie, la ruse, la roublardise et le génie de Diego Maradona. À propos du but, Maradona a déclaré: "J'ai fait le jeu pour le donner à Valdano , mais quand je suis arrivé dans la surface, ils m'ont entouré et je n'avais plus d'espace. Par conséquent, j'ai dû continuer le jeu et le terminer moi-même." Il a plus tard complimenté le fair-play de l'équipe anglaise, en disant: "Je ne pense pas que j'aurais pu le faire contre n'importe quelle autre équipe parce qu'ils avaient tous l'habitude de vous tacler; ils sont probablement les plus nobles du monde". Néanmoins, Fenwick a confessé qu'il aurait bien envoyer valser Maradona s'il n'avait pas été averti dès la 9'. De plus, toujours d'après lui, ce but du siècle est la conséquence de la main de Dieu dans le sens où l'équipe anglais était désorganisée, d'où cette chevauchée fantastique. Bin Nasser déclara: "J'ai porté mon sifflet à la bouche dès qu'il a driblé le premier Anglais, car je pensais qu'ils allaient le découper. J'étais prêt à siffler tout au long de l'action et j'ai été sur e point de la faire à deux reprises. A la fin, j'ai même failli siffler un pénalty sur la faute de Butcher, mais c'était trop tard. Maradona avait déjà marqué." Enfin, dans les pays hispanophones, ce but est généralement associé au commentaire en direct hystériquement passionné du journaliste uruguayen Víctor Hugo Morales: "Il va le passer à Diego, il y a Maradona avec, deux joueur sur lui, Maradona avec le ballon, là il descend sur le flanc droit, le génie du football mondial, il quitte l'aile et il va le passer à Burruchaga ... Toujours Maradona! Génie! Génie! Génie! Ta, Ta, Ta, Ta, Ta, Ta! Goaaaaaaaal! Goaaaaaaal! Je veux pleurer, ô saint Dieu, vive le football! Quel but! Diegoal! Maradona! C'est pour pleurer, excusez-moi! Maradona, dans une chevauchée mémorable, dans le meilleur but de tous les temps! Cerf-volant cosmique, de quelle planète viens-tu? Pour passer tant d'Anglais, pour que le pays soit un poing fermé pleurant pour l'Argentine? Argentine 2, Angleterre 0! Diegoal, Diegoal, Diego Armando Maradona! Merci mon Dieu pour le football, pour Maradona, pour ces larmes, pour cette Argentine. Argentine 2, Angleterre 0." La fin L'avance de l'Argentine a forcé l'Angleterre à effectuer un double changement offensif, entraînant Barnes et Waddle, et cela a failli payer: alors que l'équipe argentine commençait à se fatiguer après ses efforts précédents, l'Angleterre a commencé à presser plus haut. Poussés par Glenn Hoddle et John Barnes , ils ont créé des occasions, et Gary Lineker a marqué son sixième but du tournoi à la 81e minute sur un centre de Barnes. L'Argentine avait eu également d'autres occasions, Carlos Tapia frappant l'intérieur du poteau immédiatement après le but de l'Angleterre. L' Angleterre a été incapable de marquer un égaliseur et l'Argentine a gagné le match 2–1. Conclusion En ce qui concerne les héritages, ils ne sont pas choisis. On peut passer toute sa vie à travailler sur un projet, mais on se souvient uniquement de quelque chose qui n'a aucun rapport avec lui, comme son sens de l'humour ou son absence. Très peu de moments façonnent notre héritage. Il est donc normal qu'un match contenant le but le plus odieux et le plus beau soit considéré comme le meilleur hoorah chaotique d'Argentine. Annexe: les secrets du but du siècle- Lothar Matthaus: "Comment Diego Maradona et moi sommes passés de rivaux de la Coupe du monde à amis"
À la mort de Diego Maradona, revisitez une chronique Lothar Matthaus datant de Juillet 2019 pour le magazine FourFourTwo, où il évoque une amitié qui s'est développée grâce à la finale de la Coupe du monde de 1986. Environ deux ans avant de venir à l' Inter Milan en 1988, trois ou quatre hommes de Naples sont venus me rendre visite un samedi soir à Munich. J'avais joué un match pour le Bayern contre Cologne et je suis rentré à Munich vers 21 heures ou 22 heures. Ma direction et ces gens de Naples étaient tous assis ensemble dans un restaurant italien. C'était le restaurant de mon ami et il était généralement fermé le samedi soir, mais il l'a ouvert juste pour nous. Nos visiteurs voulaient parler en privé. Ils m'ont dit: "Diego Maradona envoie vous ses salutations et son souhait est de jouer dans la même équipe que vous". Ils m'ont demandé si je voulais rejoindre le Napoli. Ils ont dit qu'ils me donneraient un contrat de trois ans et qu'ils avaient aussi de l'argent liquide. L'argent était dans un sac sous la table. C'était un million de Deutsche Marks (500 000 € constants), et ce n'était pas mon salaire. C'était juste pour ma signature. Le salaire était au moins le double de celui du Bayern - peut-être le triple! Je n'en étais pas sûr. Je suis clean et c'était trop d'argent. Étais-je prêt à aller à Naples? Était-ce le bon moment pour changer de club? J'ai décidé de ne pas le faire, mais c'était un très bon sentiment de savoir que Diego Maradona, le meilleur joueur du monde, me voulait dans son équipe. Maradona et moi-même avons toujours eu du respect l'un pour l'autre, dès notre toute première rencontre en 1982. C'était mon quatrième match pour l'Allemagne et nous avons joué contre l'Argentine le 24 mars - je m'en souviens très bien! Il n'avait que quelques mois de plus que moi, mais à 21 ans, il était déjà une superstar. J'étais en passe de devenir un joueur de l'équipe nationale. Il avait beaucoup d'avance, il était précoce. Il était le meilleur joueur des années 80 à cause de sa personnalité, sa qualité, sa vitesse, sa technique… tout. C'était un joueur parfait - un joueur d'équipe aussi. Je ne vois personne qui ait dominé une Coupe du monde comme Maradona en 1986. En finale, on m'a demandé de le marquer. Franz Beckenbauer avait vu comment Diego avait joué lors des matchs précédents - en particulier contre l'Angleterre - et avait dit que si nous voulions gagner, nous devions d'abord arrêter Maradona. Je devais être concentré. J'ai dû le gêner quand il a reçu le ballon pour la première fois et l'attaquer immédiatement. Quand il avait le contrôle du ballon, il était difficile de l'arrêter. Il respectait le fait que j'avais essayé de le stopper équitablement - je n'ai jamais essayé de le blesser comme les autres joueurs l'ont fait. Pendant 70 ou 80 minutes de cette finale, vous n'avez pas trop vu Maradona. Malheureusement, nous avons perdu 2-0, donc j'ai eu un rôle plus offensif pendant les 20 dernières minutes. Nous avons égalisé à 2-2, mais Maradona est entré dans le match avec une belle passe et Jorge Burruchaga a marqué le dernier but. Nos pays se sont de nouveau affrontés lors de la finale de la Coupe du monde 1990, même si j'ai eu un rôle plus offensif ce jour-là. Cette fois, l'Allemagne a gagné 1-0. J'ai aussi joué contre lui en Serie A: le jour où nous avons remporté la Serie A avec l'Inter en 1989, nous jouions au Napoli de Maradona. J'ai encore une photo à la maison où je fête le coup franc qui noue a fait gagné le Scudetto, et Maradona est à l'arrière-plan, regardant l'herbe. Une fois on a même joué dans la même équipe, pour le Reste du Monde contre la France lors du match d'adieu de Michel Platini. Diego m'a donné le ballon et j'ai marqué - sur le terrain, c'est le plus beau souvenir que nous ayons entre nous. En dehors du terrain, nous avons eu des fêtes - quand il a rejoint Séville en 1992, je suis allé avec le Bayern jouer un match amical. Ensuite, il y avait une fête sans fin jusqu'à 7h ou 8h. Maradona dansait sur une table, il parlait avec tout le monde, il était très heureux d'être de retour en Europe! Après cela, nous étions toujours heureux quand nous nous sommes vus - même si la dernière fois que je l'ai vu à la Coupe du monde en Russie, il avait l'air malade. Cela m'a rendu triste. Quand il était à Naples, j'ai entendu des histoires sur des gens qui vivaient de son argent. Je pense que beaucoup de gens l'entourent parce que c'est Diego Maradona, pas parce que c'est leur ami. Ils abusaient de sa gentillesse. Sur le terrain, il était magique. Quand il est venu à Munich pour jouer à mon match d'adieu, cela signifiait beaucoup. J'ai aussi été invité à son jeu d'adieu. Cela dit tout sur le sentiment que nous avons toujours eu l'un pour l'autre: le respect absolu.- Maradona: la légende du football est décédée
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- Romelu Lukaku : "Nous ne sommes pas une grande équipe"
- Conte: "Notre approche n'était pas la meilleure. Nous devons donc retrouver cette férocité"
MILAN - L'Inter est revenue d'un 2-0 pour battre le Torino 4-2 après un but de Sanchez, un doublé de Lukaku et un petit dernier de Lautaro. Voici ce qu'Antonio Conte avait à dire après le match. Après une heure difficile, l'Inter a revit. Que pensez-vous des deux côtés de l'Inter que nous avons vus aujourd'hui? "Nous devons analyser comment nous avons joué tout au long de manière attentive et détaillée. Notre approche n'était pas la meilleure, je n'ai pas aimé ce que j'ai vu. Nous aurions dû être plus féroces et déterminés. Le Torino a joué de cette façon et nous avons perdu de nombreux duels. Je comprends qu'il y a des difficultés liées au retour des joueurs après la trêve internationale, ce n'est pas facile de se remettre dans le mouvement et de comprendre l'importance d'un match. Pendant la première partie du jeu, nous manquions d'avantage de férocité. En seconde période, cependant, nous avons montré que nous avions quelque chose dans le bide, y compris au niveau de notre caractère: le 2-0 aurait pu nous détruire. Ce n'était pas facile, et j'aimerais féliciter les gars pour la réaction qu'ils ont eue. Nous avons réussi à marquer quatre buts, mais nous devons montrer un côté impitoyable au bon moment. Nous devons également travailler dur pour élever nos niveaux de concentration. Par rapport à la façon dont nous avons terminé la saison dernière, nous en avons beaucoup perdu, nous devons donc retrouver cette férocité. J'espère que ce jeu servira de leçon pour l'avenir, car si nous voulons gagner quelque chose, nous devons être prêts à retrousser nos manches et à travailler dur pour rendre la vie difficile à nos adversaires. Indépendamment de nos qualités techniques et athlétiques, c'est ce qu'il faut." Que pensez-vous des déclas de Lukaku après le match? Il a dit que l'Inter n'était toujours pas une équipe de premier plan. "Je sais que j'ai des gars intelligents à ma disposition: quand nous traversons des difficultés ou des périodes négatives, ils font des évaluations appropriées. Je suis heureux que Romelu ait dit ces choses, car nous ne devrions pas y prêter attention à ce que disent les autres mais suivre notre propre chemin. Nous devons avoir un désir de gagner qui peut être ressenti par nos adversaires même dans les vestiaires. Nous avons un groupe solide et intelligent, je suis entièrement d'accord avec ce que Romelu a dit: "Nous avons encore un long chemin à parcourir pour devenir une équipe de premier plan, car en douze matchs, vous ne devriez pas être obligé de revenir au score si souvent."." En première mi-temps, y a-t-il eu également des difficultés tactiques, notamment pour les trois milieux de terrain? "Ce n'est pas une question de tactique car nous avons joué avec Sanchez dans le rôle de trequartista en seconde période, avec Vidal et Barella plus loin derrière au milieu de terrain. C'est notre attitude qui a changé, notre détermination et la férocité avec laquelle nous avons joué. On a marqué quatre buts et on aurait pu en mettre plus."
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