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alex_j

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Tout ce qui a été posté par alex_j

  1. J'ai pensé à toi quand j'ai lu ça Et j'avoue que j'ai éclaté de rire Mais, en fait, il a détruit (involontairement) la seule coupe coupe remportée par Klopp... comme il a gagné son seul trophée contre les Spurs
  2. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Nathy dans Les Débats
    @Jazzi, si tu veux faire dans le trash, tu as un maître 😅 Antonio Cassano lève le nez devant les quarts de finale de l'Inter et de la Roma. Lors de BoboTV, l'ancien attaquant des Nerazzurri et des Giallorossi a déclaré avec une certaine candeur que les deux équipes doivent remercier la chance. "L' Inter a mal et mal joué au match aller et au match retour, a eu un sacré cul et a continué. Et c'est mon équipe, mais c'est passé grâce un cul énorme et elle ne le méritait pas. La Roma a également joué un match normal à l'Olimpico et a fait un désastre au match retour; elle ne méritait absolument pas de passer." Source FCInterNews. Perso, si ma bien aimée a un sacré cul, je m'en fous du moment qu'elle a une belle chute de reins
  3. Un Antonio Conte plutôt furieux après le match contre Southampton, match terminé sur un 3-3 alors que les Spurs avaient pris les devants 1-3 et ont été rejoints dans les dernières minutes. Des propos qui feront certainement débat et qui pourraient avoir des répercussions sur l'avenir de l'entraîneur. Musique maestro ! "Le problème, c'est qu'on a montré qu'on n'était pas une équipe. On est 11 joueurs mais je vois sur le terrain des joueurs égoïstes, des joueurs qui ne veulent pas s'entraider et qui ne jouent pas avec leurs cœurs. Mais ici, ils y sont habitués depuis longtemps. Le club a la responsabilité du marché des transferts, les entraîneurs viennent ici et ils ont la responsabilité. Et les joueurs ? Les joueurs ? Où sont les joueurs ? Ils ne veulent pas jouer sous pression. Ils ne veulent pas jouer sous pression. L'histoire de Tottenham, c'est ça, 20 ans et rien n'a jamais été gagné. Pourquoi ? Est-ce juste la faute du club ou de tous les entraîneurs qui viennent ici ? Jusqu'à présent, j'ai essayé de cacher la situation. Il reste maintenant 10 matchs. Est-ce que les gens pensent que tu peux te battre ? Se battre pour quoi avec cette attitude, cet esprit, cet engagement ? Pour la septième ? Huitième place ? Je suis vraiment choqué. S'ils veulent continuer comme ça, ils peuvent changer d'entraîneur, beaucoup d'entraîneurs, mais la situation ne change pas comme ça." Bizarre, bizarre, bizarre, ça me rappelle quelque chose. Ceci dit, a-t-il complètement tort ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Sur LinkedIn Niklas Lindahl s'est exprimé après le tirage au sort de la C1. "Une soirée épique pour l'Inter Milan et Manchester City, tous deux qualifiés pour les quarts de finale. Le groupe LeoVegas est fier d'être un partenaire important des deux clubs et je suis heureux de voir que nous avons travaillé ensemble pour gagner !" "La nuit de la Ligue des champions nous a montré une fois de plus que pour réussir, il faut avoir un mélange qualitatif de personnes, état d'esprit, détermination, vision et esprit d'équipe. Félicitations à l'Inter et à City, espérons que les deux équipes atteignent la finale ! Inter-Benfica et City-Bayern seront certainement des matches intéressants !" C'est vrai qu'une finale de C1 City-Inter serait un coup double pour LeoVegas. Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Même pas le temps de se débarrasser de l'adrénaline de Porto et de celle du tirage au sort de la Ligue des champions que l'Inter doit tout de suite se concentrer sur un match qui est tout sauf anodin. Demain soir, la Juventus arrive au Meazza, en plein élan pour se raccorder au train européen et l'objectif des Nerazzurri sera de défendre sa deuxième place. Simone Inzaghi est la star de la conférence de presse d'avant-match. Voici ses mots. Les affrontements européens ont drainé beaucoup d'énergie mais ont donné à la fois à l'Inter et à la Juve force mentale et confiance. "C'est sûr qu'on sait ce que représente ce match pour le club et les supporters. Deux équipes en forme s'affrontent, il y aura de la course, de l'agressivité et de la détermination comme cela arrive dans certains matches." Allegri dit que sur le terrain, ils sont deuxièmes à +3 de l'Inter. Considérez-vous la Juventus deuxième ou septième ? "Nous les considérons comme une grande équipe, avec des joueurs très forts. Nous les respectons, nous les avons affrontés lors de finales très dures. Nous aurons également deux matches de Coppa Italia devant nous. Nous savons à quel point la préparation mentale est importante et avec la Juve ce sera l'être davantage." Combien peut peser l'enthousiasme de Do Dragao ? Le mois d'avril qui vous attend peut-il être un coup de pouce ? "La qualification est une grande fierté mais nous savons que la période est dense et qu'il y a de la fatigue et des blessures. Maintenant, nous devons nous tourner vers demain, un match très important pour notre carrière. Après, nous aurons un mois d'avril intense, il y aura certainement encore 16 matchs et espérons qu'il y en aura encore quelques-uns de plus. J'aurai besoin de tous, en espérant en avoir de plus en plus dans un match pour augmenter mes choix." Plus inquiet des absences en défense ou des ratés après de belles performances ? "C'est un fait, après des matchs importants, nous avons subi des ratés. Nous avons travaillé deux jours et demi, parmi ceux de la course à la Ligue des champions, nous serons les plus occupés en avril. Nous devons nous améliorer. Demain, nous n'aurons pas Skriniar , Gosens et Bastoni, d'autres joueurs devront être évalués lors de la séance d'aujourd'hui. Mais je suis confiant, nous connaissons l'importance du match de demain." Peut-on vraiment rêver d'un grand final de saison en Ligue des champions ? "Nous l'espérons tous, mais en tant qu'entraîneur, mes seules pensées sont la Juventus. Nous sommes fiers du match contre Porto pour nous-mêmes, pour le club et les supporters, mais l'accent est mis sur la Serie A. Nous voulons bien faire lors du dernier match d'un cycle terrible." A quel stade en est Lukaku ? Pouvez-vous vous exposer sur son cas ? "Il augmente son temps de jeu, c'était très important de se qualifier pour le quart de la Ligue des champions. Au match aller contre Porto, il a marqué, il a joué plus de 90 minutes à La Spezia, il est bien entré à Porto. Ensuite, je dois faire des choix à chaque fois, mais je suis très content que Correa se soit aussi bien entraîné pendant quatre jours, nous aurons besoin de tout le monde." A Porto, l'Inter a été en difficulté à la fin. Dans les autres matches, elle risquait trop pendant le match. Pouvez-vous trouver un équilibre pour attaquer et ne pas prendre de risques ? "Absolument, on doit s'améliorer. Les matchs sont faits de transitions, beaucoup de buts sont encaissés quand on a le ballon. On y travaille. A Porto on a souffert entre la 93e et la 97e minute. En attaque, nous aurions pu faire mieux mais nous avons joué un huitième très important face à une équipe forte qui revient d'une sale défaite." Stramacccioni a dit qu'à la Juve, Di Maria élève la qualité de l'équipe. Demain, avez-vous pensé à un plan spécifique ? "Nous connaissons tous Di Maria, champion du monde, sud-américain... C'est un grand joueur, lors du dernier match de la Juve avec Kean et Vlahovic, il a été excellent, puis il y a Chiesa, peut-être Milik. Ils ont un énorme potentiel, une équipe très importante avec des joueurs qui peuvent changer le destin du match. Une attention maximale sera nécessaire, Di Maria comme d'autres sera observé d'une manière particulière." Vous sentez-vous deuxième au classement ou est-il légitime que vous vous sentiez de bonne humeur ? "Je regarde le classement maintenant, puis il y a les procédures judiciaires et les instances en charge qui travaillent. On verra ce qui se passera, on espère que ça arrivera bientôt car toutes les équipes ont besoin de clarté." Est-ce que tant d'Italiens devant en Europe nous conduisent à réévaluer la valeur de la Serie A ? "Nous en avions besoin, nous avons tous joué de grands matchs et nous méritons des compliments. Il faut continuer, plus l'Italie avance en Europe, mieux c'est pour notre mouvement." En pensant à la façon dont Allegri joue, il est possible qu'il soit plus en retrait pour absorber le pressing de l'Inter. Avez-vous pensé à cette situation ? Que portez-vous dans votre cœur après Porto ? "Le bonheur de mes garçons, on savait qu'on avait fait quelque chose d'important. A la fin du match, j'ai parlé des 12 dernières années, quand l'Inter a raté les quarts de finale. Je connais bien l'histoire de l'Inter. Quant à la Juve, parfois elle vous attend, d'autres elle vient vous chercher avec ses milieux de terrain à un rythme effréné. Le match n'aura pas de piste définie et il faudra être bon pour la lire." Comment vous et l'équipe vivez-vous les critiques après les qualifications ? "Après Porto, ce n'était pas un éclat, mon inquiétude mais en même temps la certitude est que nous travaillons tous les jours pour le bien de l'Inter. Nous savons qu'il y aura toujours des critiques pour le meilleur ou pour le pire, puis celles à considérer et celles à rejeter a priori." Aimez-vous penser que les joueurs ont tout donné pour vous aussi ? "Ce groupe a fait de très bonnes choses et je suis très satisfait, mais au-delà des personnalités, il ne faut penser qu'en termes Inter et supporters qui sont la base. On sait qu'on a bien fait en Ligue des champions et qu'on a eu faire plus dans la Serie A. C'est le football et nous devons tous être bons, en commençant par moi et en allant plus loin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Damien dans La Curva du Forum
    @Victor "Antony" Newman célébrant un but en Budesliga
  7. Le 27 mai 1965, l'Inter de Herrera a remporté la deuxième Coupe des champions consécutive face à Benfica, un but de Jair a suffi. Il s'est exprimé aux micros de La Gazzetta dello Sport. Jair, un match nul en Ligue des champions qui vous rappelle de doux souvenirs. "Bien sûr. Et nous gagnerons à nouveau! Maintenant, je m'organise, je retourne en Italie et je signerai à nouveau… Sérieusement, ça va être un grand match et j'ai hâte de le voir." Ce but a donné la deuxième Coupe des champions consécutive au Grande Inter. Vous souvenez-vous de cette action ? "Et comment puis-je l'oublier. C'était une bonne action sur contre-attaque, avec un bel échange entre moi et Mazzola. Sandro m'a donné la dernière passe et j'ai tiré du mieux que j'ai pu. Il avait beaucoup plu les jours précédents et même ce soir là, le terrain était mouillé et le ballon glissant. Autant de facteurs qui ont rendu l'intervention difficile pour Costa Pereira." L'Inter a eu beaucoup de grandes équipes. La vôtre était-il supérieure à celui du Triplete selon vous ? "Je ne sais pas. La nôtre avait un beau quintette offensif: moi, Mazzola, Domenghini, Suarez, Corso. Il y avait aussi de grands joueurs en défense: je pense à Sarti dans les buts ou à Facchetti, qui était aussi le capitaine de l'Italie. Une équipe de champions, cela ne fait aucun doute. Aujourd'hui, je parle de temps en temps avec Bedin, qui était notre demi-poussée à l'époque. Et c'est agréable de se souvenir de ces émotions que nous avons vécues ensemble." Mais l'Inter aujourd'hui pouvez vous la suivre de temps en temps ? "Je le fais toujours volontiers quand je peux. L'Inter est dans mon cœur. Malheureusement, ces derniers temps, je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de les suivre à la télévision, j'ai récemment passé une dizaine de jours à l'hôpital à cause de mes genoux. Je passe beaucoup de temps au lit, je suis blessé, mais j'arrive quand même à sortir un peu. Je suis un vieil homme maintenant (rires, ndlr), mais c'est la vie." Mais l'Inter-Benfica n'y manquera pas. "Absolument pas, je resterai scotché à la télé pour regarder mon Inter. Et je n'ai aucun doute : on va encore gagner !" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews.
  8. Marco Materazzi interviewé par les chaînes officielles de la Lega Serie Aavant le derby italien prévu demain évoque sans équivoque ce derby. Sur la rivalité Inter - Juventus. "C'était mon deuxième match en Serie A, marquer contre la Juventus malgré une défaite 2-1, avec une petite équipe comme Pérouse était un motif de satisfaction... C'est peut-être là que ma feud avec eux a commencé. Nous avons joué plusieurs fois contre eux, je pense que ce sont les adversaires les plus acharnés, avec ceux avec qui il y a le plus envie de se battre. Le meilleur souvenir est la Supercoppa car elle nous a permis de démarrer un cycle de succès incroyables et gagner énormément. Quand il y a des équipes fortes c'est normal qu'il y ait de la 'haine' sportive, peut-être qu'avec la Juventus il y en avait plus car il y a toujours eu une rivalité au niveau des clubs car nous sommes deux superpuissances qui voulaient se battre. Quand on me parle de Milan, je dis 'non, la Juventus'. Il y a une rivalité sportive avec Milan, la Juventus est l'équipe à battre et à abattre. Ils ont toujours été des challengers très passionnés. On se connaissait tous et il y avait un maximum de respect mais ensuite, une fois sur le terrain, c'est normal qu'il y ait la volonté de gagner et on était prêt à tout pour y arriver. Ensuite, en dehors du terrain, on se marrait mais sur le terrain..." Sur Inzaghi. "A mon avis, Inzaghi fait un super boulot, il est un très bon entraîneur qui a gagné plusieurs coupes. Il lui manque sans doute la plus importante qui lui ferait faire le saut qualitatif. Il faut gagner les titres de champion. L'Inter doit marquer des points pour aller en Ligue des champions, la Juve sait qu'ils ont une pénalité qui ne sera décidée qu'à la fin. Les points serviront aussi à se qualifier à la Champions car c'est la Champions qui fait la différence." L'home clé du match ? "J'espère qu'il est fan de l'Inter, et par fan de l'Inter, je veux dire un vrai, pas seulement parce qu'il porte le maillot de l'Inter. Barella, Dimarco, Calhanoglu qui est devenu fan de l'Inter, je l'aime bien, Bastoni... Peut-être un un attaquant aussi, Lautaro... Nous avons beaucoup de supporters de l'Inter qui, au-delà du maillot qu'ils portent, ont l'Inter dans leur cœur et j'en suis très content. Ce sera un beau scénario car je pense il y aura au moins 75 000 spectateurs, le monde entier verra ce match. Il y a des gens là-bas qui s'excitent quand ils trouvent une grande scène. Et j'espère que l'Inter gagne parce qu'on est à la maison et on essaie de gagner les trois points qui sont très importants pour nous." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. @SANGOKU: je n'ai jamais dit le contraire! Mais il faut aussi comprendre que je ne peux pas m'empêcher de lancer une pique aux zèbres
  10. Trois Italiens en Ligue des champions ? Alessandro Del Piero a eu son mot à dire sur Skysport. "Une énorme importance pour notre football car nous sommes derrière d'autres puissances, principalement l'Angleterre. Énorme parce que le football peut se jouer non seulement avec des milliards, comme l'a fait Naples ou en créant l'environnement comme l'ont fait Milan et l'Inter, démontrant qu'être uni est la chose la plus importante. À partir de là, cependant, nous devons élever le niveau pour le prochain tour, je parle surtout pour Milan et l'Inter car le Napoli me semble être à ce niveau même en termes de cynisme." Ben oui, et la Juve doit élever le niveau en quart de la C3 contre le Sporting. Admirez la symétrie Traduction alex_j via FCInter1908.
  11. André Onana est le protagoniste du sixième épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur Inter TV. Le gardien des Nerazzurri se livre en faisant le point sur sa carrière. Sur le football. "L'humilité et le sacrifice ont été décisifs, sans sacrifice il n'y a pas de récompense. Le monde du football est très compliqué, si vous ne donnez pas le meilleur de vous-même, vous risquez d'en payer les conséquences. Au final, le football, c'est comme les montagnes russes, il y a des hauts et des bas, il faut toujours être bien préparé. Mon endroit préféré est un petit terrain près de chez moi. Quand j'étais enfant c'était le plus beau du monde, parfait pour apprendre à jouer." Sa phrase. "Je ne perds jamais : je gagne et j'apprends toujours " Ex-intéristes. "En tant que colocataire, j'aurais aimé avoir un gardien comme Julio Cesar. Il était explosif, jouait très bien avec ses pieds et était parmi les meilleurs au monde dans les buts. Sur le terrain, Materazzi à la place, pour sa grande personnalité." Passé et présent. "Yaoundé est très important pour moi et pour mon pays dont c'est la capitale. Pour moi c'est la plus belle ville du monde, je m'y sens chez moi. Enfant, je n'aurais jamais imaginé devenir un joueur de l'Inter. Mon rêve a commencé là-bas, quand je jouais au football avec mes amis et que nous rêvions tous d'un avenir meilleur. J'aime beaucoup Milan et l'Italie. J'aime l'histoire, l'Empire romain et les gens que j'ai rencontrés m'ont impressionné." Assez littéraire notre André national... Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Après le tirage au sort qui a eu lieu à 12h à Nyon, l'UEFA a officialisé les dates et horaires des quarts de finale de la Ligue des champions. Les deux rendez-vous qui verront l'Inter de Simone Inzaghi affronter le Benfica sont prévus le Mardi 11 avril, jour du match aller au Da Luz, et le Mercredi 19 avril, jour du match retour évidemment au Meazza. Les deux matches débuteront à 21h. Voici le calendrier complet Quarts de finale aller: Mardi 11 avril : Benfica-Inter et Manchester City-Bayern Munich Mercredi 12 avril : Real Madrid-Chelsea et Milan-Naples Quarts de finale retour: Mardi 18 avril : Naples-Milan et Chelsea-Real Madrid Mercredi 19 avril : Inter-Benfica et Bayern Munich-Manchester City Demi-finales : Milan/Napoli contre Benfica/Inter Real Madrid/Chelsea contre Manchester City/Bayern Munich Traduction alex_j via FCInterNews
  13. Peu de temps après le tirage au sort de la Champions, Javier Zanetti a commenté ce quart de finale. "Un tirage délicat, le Benfica est une équipe forte. Mais chaque adversaire que vous affrontez maintenant est difficile." On n'avait pas vu un tel tirage italien depuis longtemps. "C'est vrai, et c'est une bonne chose. Nous sommes heureux de représenter le football italien. Au vue du tirage au sort, nous avons tous de bonnes opportunités. Nous espérons être à la hauteur." Benfica-Inter était une finale de la Coupe des Champions. "Je me souviens bien quand je suis arrivé à l'Inter, Facchetti et Mazzola m'avaient raconté l'histoire de la Grande Inter. Ils ont évoqué cet exploit de gagner contre Benfica. Maintenant, nous y sommes, nous espérons honorer ces quarts de finale de la meilleure façon possible et atteindre les demi-finales." Otamendi ne sera pas présent au match aller, il manquera un joueur important. "Je suis d'accord, il l'a montré à la Coupe du monde. Il a beaucoup de caractère et d'expérience, ce sera une perte importante pour eux. Cela peut être un avantage pour nous mais nous devons être prudents et très concentrés sur le reste de l'équipe. Ils ont beaucoup de qualité et de joueurs qui peuvent créer du jeu. Nous le jouons, nous le préparerons de la meilleure façon possible." Cette fois, vous avez suivi le tirage au sort sans effusions particulières. "J'étais très concentré, entre autres j'avais Benfica à mes côtés et quand on a vu le tirage au sort on s'est bit à bientôt." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Beppe Bergomi donne son mot à dire quelques instants avant le verdict de l'urne de Nyon. "L'Inter était arrivée dans un moment difficile et ils ont eu un match compliqué. Ces dernières années, Porto avait éliminé tous les clubs italiens, ce n'était pas évident. A part les 7 dernières minutes, elle s'en est bien sortie. Pour moi, parmi les clubs italiens c'est la moins européenne. Elle n'a pas d'homme qui presse et ne se donne pas les moyens de bien défendre et reconstruire. Cela ne signifie pas pour autant qu'elle doit partir battue. Si elle se libère de la tête, l'Inter devient aussi un adversaire redoutable pour tout le monde." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Il est également possible que j'ai traduit d'une manière biscornue. Dans ce cas, n'hésite pas nous dire, par MP, les phrases qui te semblent incompréhensibles
  16. Paolo Di Canio, en commentant l'accession de l'Inter en quart de finale, n'a pas ménagé Simone Inzaghi. Ses mots sur Sky Sports. "Je ne le critique pas pour le critiquer ou sur son niveau de compétence car il est très bon. Mais il doit comprendre où il est ! Même l'autre jour, ses déclarations m'ont laissé perplexe. Je suis désolé parce qu'il semble immature en termes de déclarations. Il m'a semblé puéril en termes de statut d'entraîneur. Les résultats sont excellents, il est deuxième derrière Napoli, il a ramené l'Inter en quarts de finale de la Champions après une longue disette et la demi-finale de la Coppa Italia est en jeu. Mais en l'écoutant parler pendant que je buvais une tisane, je me suis dit : 'A-t-il gagné la Ligue des champions ?'. Tu n'es pas au Chievo Verone, où ces résultats feraient partie de l'histoire; mais aussi les victoires obtenues avec la Lazio peuvent être qualifiées d'historiques. Mais l'Inter a remporté le Triplete en 2010. Quand Inzaghi est arrivé, elle avait gagné le Scudetto. Certaines déclarations ne sont pas dignes d'un grand club, c'est un peu petit comme déclaration car il n'a pas encore réalisé dans quel club il est. L'Inter a un historique beaucoup trop beau pour ces déclarations. Simone est bon mais l'Inter est trop belle, trop grande pour certaines déclarations. Les résultats sont bons, certes, mais n'ont pas marqué l'histoire. Ainsi, il diminue les niveaux de l'Inter et aussi le sien par la même occasion. Inzaghi et moi avons joué ensemble, c'est un très bon garçon mais cela m'a fait mettre mes mains sur la tête pour ces mots. L'année dernière, je lui ai reproché de gérer certains matches mais c'était ma pensée; alors peut-être que c'est facile vu de l'extérieur." Di Canio en train de boire une tisane... mais avis intéressant et argumenté d'un ex-collègue. Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. L'ambiance à Appiano Gentile, avec les Nerazzurri visés par certains journaux, en vue de l'Inter-Juventus. Ce sera certainement un très, très grand hasard si la semaine qui amènera les Nerazzurri au match face à la Juventus est jonchée de critiques médiatiques qui crient au gel entre Beppe Marotta et Simone Inzaghi... et à la sempiternelle crise de l'Inter qui est, évidemment, à la mode. L'accession en quart de finale de la Champions, après 12 très longues années, a été fêtée par certains comme un cadeau du ciel. Mieux vaut s'attarder sur "la froideur et le cynisme des managers" à Appiano Gentile... ou sur la relation tendue entre le PDG et l'entraîneur qui a enlevé quelques cailloux de sa chaussure après le match contre Porto. José Mourinho aurait rassemblé tous ces signaux dans une seule définition qui a marqué l'histoire, le bruit ancien et évocateur des ennemis. De la part des médias de Turin et de Rome, il y a mille raisons de se régaler des tensions à Appiano Gentile; inutile même de les énumérer. La Juventus affronte les Nerazzurri au Meazza et a non seulement des pensées sur le terrain mais surtout de sérieuses inquiétudes qui détermineront son avenir proche. À Rome, nous regardons évidemment les classements de la Ligue des champions dans une course bien étrange, qui se joue derrière le Napoli. L'Inter est en lice sur plusieurs fronts, même si le Scudetto a longtemps semblé être une affaire napolitaine, et sur ces fronts ils devront répondre aux critiques. Bien sûr, lire de temps en temps même un soupçon de célébration pour ce qui a été ramené à la maison avec sueur et efforts ne ferait pas de mal. Mais dans le football, tout devient instrumentalisé, même les critiques. L'accès aux quarts de finale de la Champions n'a naturellement pas effacé les faux pas de l'Inter en championnat, ni fermé les yeux de ceux qui doivent juger la saison dans toute sa complexité. Il y a forcément eu des critiques sur le travail de l'entraîneur à moins de vouloir penser que ramener 2 points sur 15 face à des équipes de rang moyen-inférieur est une pierre d'achoppement physiologique pour une équipe comme l'Inter. La gestion des joueurs aussi en rapport avec les blessures, les querelles sur le terrain (la dernière concernant les tireurs de penalty) et les défaites sont des sujets d'analyse pour nos dirigeants et sont naturellement des sujets de discussion avec le guide technique qui siège sur le banc. Il n'y a pas de gel, il y a un débat raisonnable sur tout ce qui peut aider les Nerazzurri à atteindre leurs objectifs. Beppe Marotta, qui ne s'exprime pas uniquement en cas de victoire mais qui met généralement son nez quand il le faut, a souligné l'importance vitale de se rendre aux matches de la Champions (et en tout cas à ceux qui comptent) avec l'équipe en état de forme optimale, sans blessures. La colère de Simone Inzaghi, qui a toujours déclaré savoir d'où venaient les critiques (faisant évidemment référence à des critiques extérieures), était une colère honnête d'un technicien habitué à travailler et à essayer d'atteindre les objectifs requis malgré les difficultés. Le faire à l'Inter n'est jamais une chose simple. Quand ça arrive, c'est tout sauf aléatoire... ou par grâce reçue. Traduction alex_j via FCInter1908, texte de Sabine Bertagna
  18. Après que l'Inter, Milan et Naples se soient qualifiés pour les quarts de finale de la Champions, la Lega doit revoir les jours où se joueront les matches en Avril. Hé oui... Les quarts de finale de la Ligue des champions se joueront deux le Mardi 11 Avril et le Mercredi 12. Le tirage au sort le Vendredi 17 Mars, à Nyon, définira les appariements et le calendrier européen. Ce n'est qu'alors que l'on saura quand Milan, l'Inter et Naples entreront sur le terrain à la fois au match aller et au match retour. "Lecce-Napoli est prévu samedi 8 à 12h30 et Milan-Empoli (même jour à 16h30) sera certainement avancé et aura lieu Vendredi. Le match Salernitana-Inter (samedi 8 à 14h30) pourrait connaître le même sort. Cependant, si le match du quart de finale de la C1 était le Mercredi 12, il y aurait un petit doute car l'équipe de Simone Inzaghi sera engagée à Turin en demi-finale aller de la Coppa Italia le Mardi 4 avril. Cependant, il est presque certain que l'Inter demandera aussi d'anticiper." Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. A travers les ses réseaux sociaux, l'Inter a exprimé ses félicitations à Gianni Infantino, réélu numéro un de la FIFA pour les 4 prochaines années. Ce dernier prend la Serie A comme élément de comparaison pour se défendre des critiques. Le Tweet de l'Inter suite à la réélection de Gianni Infantino. "Le président Steven Zhang et l'Inter Milan félicitent Gianni Infantino pour sa réélection à la présidence de la FIFA jusqu'en 2027." Gianni Infantino, tout juste reconfirmé président de la Fifa jusqu'en 2027, utilise la Serie A comme base de comparaison pour se défendre des critiques. Ces dernières l'accusent de l'expansion excessive de la Coupe du monde (48 équipes, ndlr) et de l'édition au Qatar, avec les problèmes de droits de l'homme qui en découlent. Infantino répond ainsi: "Ils disent que la Fifa ne pense qu'à en rajouter mais nous sommes la seule organisation au monde à avoir supprimé les compétitions pendant le Covid. La Coupe du monde comporte, pour ceux qui y participent, en moyenne 4 matchs de plus, soit un match par an. Pourquoi quand en Italie ils annoncent une Supercoppa en Arabie Saoudite avec 4 équipes personne ne dit rien ? Je ne comprends pas pourquoi ces attaques contre la Fifa à chaque fois. J'ai travaillé dur toute ma vie pour être là où je suis, plus de 200 pays pensent que nous avons fait du bon travail et nous le ferons encore dans les 4 prochaines années." Note: Infantino aurait pu citer la Super Coupe d'Espagne qui a le même format. Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Sachant qu'un Scudetto rapporte moins qu'un 8e de C1, bon calcul Et il faudra m'expliquer en quoi aligner les Scudetti te permettra de t'installer en C1. En tout cas, pas avec l'autre chauve De toutes façons, la C1 a tellement tout vampirisé que les titres nationaux ne valent plus grand chose. Ce qui est arrivé aux coupes arrivera aux titres... t c'est déjà plus ou moins le cas.
  21. LOL: 300 M€ vs 100 M€ et ça discute encore 🤭 Bon, fêtez et rêvez du Scudetto à 300 M€ avec des performances hallucinantes en C1 🤭 Et vous chouinerez car on aura un classement de merde pour la C1 🤭
  22. Les chiffres derrière l'explosion post-match de Simone Inzaghi. L'Inter a tamponné son laissez-passer pour les quarts de la Champions et aujourd'hui Tuttosport a analysé les investissements réalisés par le club ces dernières années. Voici les comptes, de l'Inter de Conte à celle d'Inzaghi. "’Un Scudetto qui a causé des problèmes économiques.’ La déclaration d'Inzaghi depuis le ventre du Dragão a retenti fort, très fort. Une phrase étudiée et réfléchie par l'entraîneur, évidemment raisonnée en regardant combien l'Inter a investi depuis son arrivée sur le banc, à l'été 2021, et combien le club avait dépensé les deux années précédentes (2019-2021), celles avec Antonio Conte sur le banc. Une phrase correcte ?" "En regardant les coûts des joueurs dans les derniers bilans du club et le montant des différents salaires, oui. Et évidemment en considérant les investissements réalisés pour les achats uniquement, même si sur les deux périodes de deux ans, l'Inter a certainement vendu plus sous Inzaghi que sous Conte. Il faut rappeler que le COVID-19 a amené toutes les équipes et surtout l'Inter du Suning contrainte par les directives rigides du gouvernement chinois, à fermer les vannes et obliger ses dirigeants à s'orienter vers l'autofinancement." "Donc si, d'une part, la phrase d'Inzaghi de ces derniers mois ‘mon historique parle pour moi : là où j'entraîne, les revenus augmentent, les pertes sont divisées par deux et les trophées arrivent’ se reflètent dans les comptes de l'Inter. Cependant, il faut aussi souligner comment deux grosses ventes de Marotta et Ausilio (Lukaku (113 millions) et Hakimi (68) , ndlr) ont été faites à l'été 2021, donc après la conquête du Scudetto par Conte et au début de l'œuvre d'Inzaghi. Mais il est également vrai que Lukaku (76 millions) et Hakimi (43) eux-mêmes étaient arrivés pour Conte et Inzaghi ne les avait pas en place." "Revenant à la phrase initiale d'Inzaghi, voici les investissements entrants de l'Inter lors des deux directions techniques. Pour Conte, le club a dépensé environ 275 millions pour les joueurs de l'équipe A, auxquels il faut ajouter 35 millions supplémentaires pour les jeunes joueurs comme Brazao ou Agoume. Les principales dépenses, en plus des deux déjà citées (Lukaku et Hakimi), concernaient Barella (48,5), Eriksen (27) et Sensi (27), sans oublier les 21 millions pour Lazaro et Pinamonti. Les coups sûrs pour Inzaghi ont été Correa (32,6) et Gosens (26,7), ainsi que Dumfries (13,1), Asllani (14) et le prêt de Lukaku (8). Pour le reste, faibles dépenses (Dzeko 2,7), beaucoup d'éléments à zéro euro (Onana, Calhanoglu et Mkhitaryan plus Acerbi en prêt) et de nombreux départs pour alléger la masse salariale (Sanchez, Perisic, Vidal, Vecino, Ranocchia et Nainggolan)." Alors, quelle conclusion s’impose ? Traduction alex_j via FCInter1908.

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