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alex_j

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Tout ce qui a été posté par alex_j

  1. > Selon vous, est-ce n mal pour un bien en vue de la saison prochaine ? Ben, t'as quand même l'impression que c'est le film "Un Jour Sans Fin"... le même jour qui se répète... et cela vaut aussi pour les ITW de Conte (pas mal les photos, au passage). Comme on dit: l'espoir fait vivre 😉
  2. @bouba930 : j'ai même vu la Rube gagné une C1 😁 ... et le Farça se faire démonter par le Bilan (quel pied!) 🤭 ... après, je n'ai pas tout vu... faut pas exagérer non plus... 😉
  3. @bouba930 : je te comprends même si je vous trouve assez impatients. Rassure toi, il n'y a pas que l'Inter qui est comme ça! On peut parler de Man U 😁 où ce n'est pas mal. Si tu veux, quand t'as connu cette fameuse saison 1993-1994, plus rien ne t'étonne! On gagne l'UEFA alors qu'on a failli descendre en plus... l'équipe de France qui se fait sortir par la Bulgarie... C'est pour ça, keep cool, calm down and be patient... Faut juste espérer que je vive assez longtemps pour voir l'Inter regagner une C1... en 2055, j'aurai 75 ans
  4. @bouba930 et @Victor "Antony" Newman : soyons honnêtes... comme tu l'as dit, @Victor "Antony" Newman , cette équipe est capable de tout (du meilleure comme du pire, les périodes de disette après avoir tout raflé...) et c'est pour ça qu'on l'aime... Trente ans que je la suis et soutiens, trente ans de montagnes russes 😁 ... et ce n'est pas fini...
  5. Dans une interview accordée à PassioneInter.com, l'ancien défenseur Jocelyn Angloma a notamment évoqué son temps avec nous. Il commença avec: "L'Inter a été une belle période de ma vie. J'ai pu grandir encore plus après mon expérience à Turin, dans une grande équipe. Je voulais rester plus longtemps mais je devais aller à Valence. Depuis ce moment, j'ai toujours suivi les Nerazzurri, je les ai vu grandir. Nous avons atteint la finale de la Coupe UEFA (1997, ndlr), mais Valence, l'année après mes adieux, a gagné cette C3 (en 2004, ndlr). Ceci dit, l'Inter reste toujours dans mon cœur, pour moi, c'était un plaisir et un honneur de jouer à Milan." Angloma, qui est actuellement le manager de l'équipe nationale de Guadeloupe, s'est ensuite vu demander quel était son meilleur souvenir de sa seule saison avec le club Nerazzurro. "Nous n’avons pas remporté de titres, mais nous avons eu une bonne saison. Nous avons joué une finale, fait de bonnes choses en championnat et j'ai joué avec des champions comme Pagliuca, Zamorano, Djorkaeff, Ince et Winter. Nous avions une équipe pour faire de grandes choses, même si nous n’avons pas tout fait. Puis il y avait Moratti, un gentleman. Il me manque beaucoup." A propos de Moratti. "Nous avions une relation normale, mais il connaissait bien le football et a établi une relation spéciale avec les joueurs. Il était toujours présent, il parlait de la bonne façon, j'aimais beaucoup cette facette de lui. Nous avions une relation d'homme à homme normale. Mais, d'un certain côté, elle ressemblait à celle d'un père avec son fils. Les joueurs ont toujours eu cette affection pour lui." A propos d'il capitano. "J'ai un grand souvenir de Zanetti, c'était un grand joueur et j'aime aussi beaucoup le travail qu'il fait maintenant. Il est important pour l'Inter d'avoir quelqu'un comme lui qui a écrit l'histoire et qui reste ensuite dans la direction. J'ai pu jouer avec Javier et il était incroyable. Il pouvait jouer à l'arrière, au milieu et il a même joué une fois en attaque. Nous avons eu une belle relation." Sur Roy Hodgson. "Il a certainement été un peu mal traité, car nous n’avions pas les résultats qu’une équipe comme l’Inter devait avoir, en particulier avec des joueurs de classe mondiale. Il savait comment gérer les joueurs, il était très affectueux. Une équipe comme l'Inter a besoin de quelqu'un avec une grande personnalité et il l'avait, mais il lui manquait quelque chose. Il ne pouvait pas terminer le travail comme il le voulait mais c'est comme ça. Les grandes équipes changent souvent de managers." Souvenirs de Youri et Ivan. "Je connaissais déjà Djorkaeff, jouant avec lui en équipe nationale. Je savais très bien ce qu'il pouvait faire. Je me souviendrai toujours de son but contre la Roma. Zamorano? L'hélicoptère, Bam Bam Zamorano! Il a fait de grandes choses, il était notre buteur. C'était une vraie équipe, il y avait une vraie amitié dans cette équipe, nous sortions manger de temps en temps puis repartions chez nous. Tous deux étaient deux champions." Suit-il l'Inter? "J'ai joué dans sept équipes et je les suis toujours. En particulier, l'Inter, qui est une excellente équipe et qui joue bien au football." Sur l'Inter actuelle. "Cette équipe a quelque chose de spécial. Cette année, je pensais que les Nerazzurri pouvaient gagner, ils avaient bien commencé, mais à long terme, ils ont perdu beaucoup. C'était difficile pour Conte d'arriver et de gagner immédiatement. Mais je sais qu'il fait tout pour gagner et même maintenant, il fera tout pour donner du fil à retordre à la Juventus. L’année prochaine, l’Inter pourra de nouveau retourner en Ligue des champions et c’est très agréable pour les fans, c’est fondamental." ®alex_j - internazionale.fr
  6. Disons que c'est plus facile de marquer contre Burnley, West Ham et autres Southampton... Fort contre les faibles, faible contre les forts et faible dans l'effort (un peu comme la Belgique non?). Bonne soirée
  7. L'Inter ne pourra peut-être pas compter sur Alexis Sanchez et Victor Moses lorsque la Ligue Europa reprendra en août, selon Sky Sport Italia. Le chilien et le nigérian sont tous deux actuellement en prêt à l'Inter et elle est actuellement en négociations avec Manchester United (toujours dans la compétition) et Chelsea pour prolonger leurs prêts jusqu'à la fin de la saison. Cependant, il n'y a actuellement aucun accord entre les clubs pour leur permettre de jouer en Ligue Europa. Si aucun accord ne serait être trouvé, l'Inter ne pourrait donc pas faire appel à l'un ou l'autre joueur pour les tours finaux de la C3, qu'elle peut raisonnablement gagner. ®Samus - internazionale.fr
  8. alex_j a répondu à un message dans un sujet de toone10 dans Premier League
    Ça, c'est clair... d'ailleurs et sauf erreur de ma part, il a gagné la PL avec le Blackburn Rovers FC en 1995 (avant de venir chez les Magpies). +1 et pas le même style. ça aussi, on pourrait débattre pendant des heures! Canto qui s'est fait connaître en PL avec Leeds United. Il faut aussi dire que les années 90 étaient le come back des clubs anglais après le ban consécutif au drame du Heysel.
  9. La pandémie mondiale Covid-19 a eu un impact profond sur les valeurs des joueurs selon une analyse de KPMG Football Benchmark. Dans son analyse, KPMG a évalué l'impact de la pandémie sur les 32 meilleures équipes en comparant les valeurs de joueurs avant et "après" la pandémie. En février 2020, notre effectif avait une valeur totale de 653 M€. Cette valeur a chuté de 14,9% à 556 M€. Sur les six clubs italiens présents dans le top-32, l'Inter a connu la plus faible dévaluation de ses joueurs. En effet, le Napoli perd 19,8%, sa valeur de son équipe passant de 591 M€ à 474 M€. Concernant la Juve, elle dévalue de 15,4%, passant de 751 M€ à 635 M€, La Louve recule de 16,4%, la Lazio de 17,4% et celle de nos cousins de 19%. Les clubs étant incapables d'accueillir du public et de jouer leurs matches, tous leurs revenus ont été affectés par l'absence de billetterie, ainsi que par la renégociation, la suspension ou l'annulation des droits TV et de divers sponsors. Dans le même temps, les coûts d’exploitation (c’est-à-dire principalement les salaires des joueurs) n’ont pas diminué au même rythme, ce qui a eu un impact négatif sur la rentabilité financière et la liquidité des clubs. Il faut noter que KPMG a effectué deux études : arrêt total de la saison (scénario 1) et avec reprise (scénario 2). Voici pourquoi les clubs ont tenu à reprendre leurs championnats respectifs. La valeur totale des 4 183 joueurs dans les 10 championnats considérés a diminué de 10 milliards d'euros, une baisse de 26,5% depuis février pour le scénario 1. Cette valeur diminuerait de 6,6 milliards euros, une baisse de 17,7% dans le scénario 2. Bien entendu, ces chiffres seront affinés dans les mois qui suivent. Andrea Sartori, responsable KPMG des sports, a conclu que: "Compte tenu de la dévaluation des joueurs et des performances des plus grands clubs au cours des derniers mois, les prévisions de KPMG concernant la dévaluation maximale du secteur du football se situent entre 20% et 25%, par rapport à nos résultats publiés au 1er janvier 2020. Cela dit, je pense que les pics de dévaluation peuvent varier de 15% à 30%. Cela dépend de la solidité du club, du niveau d'endettement, de la composition des revenus et de la dépendance des activités de trading des joueurs. De toute évidence, la situation de chaque club et l'impact des valeurs devront être évalués individuellement lors de la disponibilité de leurs états financiers 2019/2020." ®alex_j - internazionale.fr
  10. Le directeur technique de Pordenone, Matteo Lovisa, a abordé les récentes rumeurs des médias concernant Michele Di Gregorio, qui est en prêt. Le jeune gardien a rejoint le club de Neroverdi pour un prêt d'une saison et a terriblement impressionné lors de son passage avec eux. De récentes rumeurs suggèrent que l'équipe de Monza fraîchement promue en Serie B, et dont le propriétaire est un certain Silvio Berlusconi, a déjà conclu un accord pour signer Di Gregorio dans le prochain mercato. "Dans quelle mesure cette rumeur m'a-t-elle ennuyé? Plus que contrarié, je suis heureux pour lui car il était prêt à la suite de la blessure de Bindi pour prouver sa valeur sur le terrain," a déclaré Lovisa dans une interview accordée à TuttoPordenone.com. "Je crois également au professionnalisme de Michele et je suis convaincu que jusqu'à la fin de l'année, il fera de son mieux pour ce maillot. Il est prématuré de parler du mercato aujourd'hui, Il'nter le possède et nous essaierons de discuter. Mais si Monza a déjà conclu un accord, qu'y a-t-il à dire? Bravo à eux." En prêt à Pordenone, Di Gregorio, 22 ans, qui a un contrat avec l'Inter jusqu'en 2022, a fait 27 apparitions toutes compétitions confondues. Sur le terrain, il a effectué 9 clean sheets. Di Gregorio est un produit de l'académie des jeunes de l'Inter. Il a également bénéficié de périodes de prêt avec Renate, Novara et Avellino au cours des premières années de sa carrière professionnelle. ®alex_j - internazionale.fr
  11. Dans sa dernière chronique, parue dans le Corriere della Sera, le journaliste Mario Sconcerti a partagé sa conviction que l'Inter est de retour dans la course au Scudetto. Après sa victoire 2-1 contre la Samp, notre équipe se retrouve à six points du leader, la Juventus, avec 12 matchs à jouer en cette fin de saison. Il commença avec: "J'ai été surpris par l'Inter et l'Atalanta, non pas parce qu'ils ont gagné mais parce qu'ils l'ont fait facilement. Ils ont fait ce qu'ils voulaient avec leur adversaire et c'est peut-être la fragilité de l'opposant qui les anime tous les deux. Il y avait beaucoup de bon football." Bonne prestation de l'Inter en première période. "La première mi-temps a été l'une de ses meilleures cette saison et cela grâce à un excellent état de forme d'Eriksen, qui a fait une différence dans le dernier tiers. Si la Juve est la référence, l'Inter est clairement préférable maintenant. Ils jouent mieux, plus vite et plus en équipe. Tout le monde est au service de l'Inter." L'absence de Brozo comme source de problèmes en général pour l'Inter. "Il faut signaler l'absence de Brozovic, qui est bon et garde le rythme. Sans lui, l'Inter a tout bougé rapidement et la Samp a été surprise et souvent dépassée par la vitesse à laquelle l'Inter a joué." Une chance pour le Scudetto? "Ils ne sont pas les favoris mais devraient pratiquement toujours gagner les matchs qui restent. Trois de leurs quatre prochains matchs sont à domicile et il n'y a aucune raison pour que l'Inter ne revienne pas dans la course au titre." Les points à améliorer. "Il y a eu des moments où il y a eu une perte de concentration mais cela fait partie du processus de croissance. L'Inter a gagné et s'est amusée, ce qui est presque inattendu à la fin d'une saison dure et différente comme celle-ci." ®alex_j - internazionale.fr
  12. L'agent de l'attaquant de Manchester City, Gabriel Jesus, a été en contact avec l'Inter et la Juventus au sujet de possibles actions, selon le Corriere dello Sport. Pour l'Inter, l'attaquant de l'équipe nationale brésilienne, voit l'ange Gabriel comme un remplaçant potentiel pour Lautaro Martinez. De plus, son transfert pourrait coûter jusqu'à 70 M€, une somme que l'Inter pourrait se permettre si Barcelone répondait à ses demandes pour Lautaro. Gabriel Jesus, 23 ans, n'est pas le seul joueur que l'Inter vise pour remplacer Lautaro. Le Corriere dello Sport stipule que le capitaine d'Arsenal, Pierre-Emerick Aubameyang, et Andrea Belotti du Torino seraient également visés. ®alex_j - internazionale.fr
  13. Personne ne s'en plaint (même pas mes copines éphémères)... sauf mes adversaires Il a toujours été plus ou moins volcanique... Blague à part, ça fait chier car Gattuso que beaucoup décrivent (à tort) comme un rustre, un braillard et sans finesse tactique et stratégique, il a un trophée, lui
  14. "mais si tu veux être protagoniste et gagner, tu dois apprendre à être méchant et lorsque tu as la possibilité de marquer un but, tu dois tuer l’adversaire", "il faut être vicieux"... cela me semble évident... Et cela est vrai pour tous les sports. Spécial dédicace aux amateurs de "beau jeu"...
  15. alex_j a répondu à un message dans un sujet de toone10 dans Premier League
    En stand by apparemment: https://www.eurosport.fr/football/premier-league/2019-2020/premier-league-rachat-au-point-mort-newcastle-a-du-plomb-dans-l-aile_sto7781125/story.shtml Les fans de Saint James Park ont un peu le blues et la nostalgie du Newcastle des Ginola, Les Ferdinand et Shearer (Owen un peu plus tard) avec des managers comme Keegan, Dalglish et Robson... mais Newcastle et rachats c'est comme chien et chat, ça ne fait pas bon ménage.
  16. Dans cette longue lettre, Roy Hodgson évoque, avec nostalgie, son passage à l'Inter de Milan. Il parle de sa solide amitié avec notre légende Giacinto Facchetti, la haute estime qu'il a de Massimo Moratti, des débuts d'un certain Javier Zanetti ainsi que des spécificité de la Serie A et culture italienne. Roy Hodgson a entraîné des équipes comme Malmö, Neuchatel Xamax, Grasshoppers Zurich, Fulham et Liverpool et a également managé les équipes nationales de Suisse et d'Angleterre. Suite à sa défaite contre l'Islande (2-1) lors de l'Euro 2016, il entraîne le club de Crystal Palace. J'étais encore le manager de la Suisse quand je suis rentré chez moi un après-midi pour un message au téléphone de Giacinto Facchetti. C'était un message très bref: "Je suis Giacinto Facchetti - pouvez-vous m'appeler?" Je l'avais rencontré à quelques reprises lorsque j'étais avec Malmö, et nous avions joué contre l'Inter Milan en C1 (le 1er tour de la C1 1989-1990, ndlr). "Je me demande de quoi il s'agit?" Dis-je à ma femme. Quand je l'ai rappelé, il m'a expliqué que Massimo Moratti cherchait un nouvel entraîneur et qu'ils m'avaient identifié comme le manager qu'ils aimeraient avoir. Une réunion a donc été mise en place. Le jour de la rencontre, il y avait aussi un match entre Bâle et les Grasshoppers au St Jakob Park. Le plan était donc que j'irais au match et que je partirais directement de là pour Milan pendant la nuit. Je rencontrerais ensuite Massimo Moratti le lendemain. Il a fallu plus de temps que prévu pour m'éloigner du stade et le tunnel a été fermé. J'ai donc dû passer par le col ce qui, avec la neige, a été une très mauvaise expérience. J'ai également dû m'arrêter près de Bellinzone lorsque j'avais franchi le col. C'était aux premières heures du même jour que je devais rencontrer Moratti. Le fait qu'on m'ait finalement demandé de prendre le poste semblait à peu près écrit dans les étoiles. La fédération suisse avait précédemment refusé pour moi les contacts de clubs européens. Mais à cette occasion, j'ai clairement indiqué que c'était une réelle opportunité, et que j'aimerais en profiter. Au départ, l’idée était de prendre le dernier match amical de la saison (qui était contre l’Angleterre à Wembley) les matches amicaux en mars, puis de les amener à l’Euro 96. L'Inter avait accepté, mais la fédération suisse avait changé d'avis après un certain temps et avait décidé qu'elle avait besoin d'un manager à temps plein pour bien se préparer, quelque chose qu'elle ne pensait pas que je pouvais faire tout en gérant l'Inter. Le résultat est que je ne les ai pas managés lors de ce tournoi. L'Inter a connu un début de saison 1995/1996 médiocre. Je suis arrivé en octobre, alors qu’ils avaient déjà joué plusieurs matchs qui n’avaient pas très bons. Je savais que ça n'allait pas être facile, mais après quatre ans de travail en tant que manager de l'équipe nationale suisse, je voulais revenir chaque jour sur le terrain d'entraînement. Le glamour et l'enthousiasme, le fait de gérer une équipe comme l'Inter étaient également trop difficiles à refuser, même si je quittais quelque chose de beaucoup plus stable que l'Inter ne l'aurait jamais été. J'ai eu la chance que Moratti soit derrière moi pour signer, mais le plus important pour moi était Giacinto Facchetti. Il était en quelque sorte un chef d'équipe. Il m'a soutenu jusqu'au bout et m'a conduit à travers les situations politiques qui se développent dans un club comme celui-là, où il y aura toujours des factions et qui eut un passé aussi glorieux sans en avoir un récent glorieux. Il fallait toujours tester pour quelqu'un qui n'était pas habitué à cet environnement. Rien dans ma carrière ne m'avait préparé à une telle étape, j'ai donc dû apprendre très rapidement. J'ai eu la chance d'avoir un ami à mes côtés, Facchetti. Je ne pense pas que j'aurais pu survivre sans lui. Ma façon de travailler est intense. Ma compréhension limitée de l'italien signifiait que la communication reposait souvent sur des exaltations, des encouragements, de la positivité. Pendant les séances d'entraînement, vous vous en sortez souvent avec des démonstrations et grâce à votre personnalité. Les joueurs sont également rapides à s'adapter. Ce n'est pas comme si vous enseigniez quelque chose qu'ils n'ont jamais fait ou pensé. En ce qui concerne les choses nécessitant des explications spécifiques, Giacinto m'a aidé. Il ne pouvait pas parler anglais, donc je lui parlais en français. Le problème était que parce qu'il était si consciencieux, il ne voulait rien dire de ce que je n'avais pas dit et les réunions prenaient trop de temps. Nous avons essayé avec Paul Ince et Massimo Paganin qui traduisaient de l'anglais. Rien de comparable à cette passion arriva. Giacinto m'a dit: "Écoutez, cela ne fonctionne pas. Vous devrez essayer de le faire et d'essayer parce que vous comprenez l'italien." Pour être honnête, je l'ai fait. "Même si vous vous trompez, et même si vous ne comprenez pas nécessairement les mots correctement, ils comprendront quand même." J'ai eu de la chance d'avoir des personnes autour de moi qui m'ont vraiment aidé, mais tout dépend de moi et des facultés d'adaptation du coach. C'était très exigeant, en particulier avec toute la pression qui existe à Inter et à un moment où, le cas échéant, ils échouaient. L’équipe de Giovanni Trapattoni avait remporté la Serie A à la fin des années 1980, mais depuis lors, il y avait eu un net déclin. Le père de Massimo Moratti était propriétaire du club pendant ces beaux jours. Massimo était depuis devenu propriétaire, et c'était son rêve de la reconstruire à nouveau, de faire ce que son père avait fait pour que l'Inter soit définitivement liée au nom Moratti. Il était très cultivé, très poli, très courtois, classe et, surtout, un très grand fan. Il vit et respire l'Inter plus que quiconque, mais cela peut être un léger inconvénient. En effet, cette passion pourrait le mettre en contact avec de nombreuses autres personnes qui lui ont dit ce qui devait être fait lorsque Giacinto ou moi-même disions autre chose. Travailler avec lui était très intéressant, donc je suis reconnaissant pour ce temps. Il m'a bien traité, et nous avons certainement eu un respect mutuel, même si nous n'avons pas continué à faire de l'Inter le club qu'il voulait. J'avais hérité d'une équipe relativement modeste. Roberto Carlos était là pour la première saison - il était une star, mais un jeune avec les U21 du Brésil. Comme Marco Branca, il avait un talent naturel donné par Dieu. Javier Zanetti est devenu un grand nom, mais il ne l'était certainement pas à l'époque. Paul Ince était l'autre grand joueur étranger, qui avait récemment remporté la Premier League avec Manchester United. Nous avions aussi Gianluca Pagliuca dans le but et Giuseppe Bergomi à l'arrière. Javier n'était même pas transféré pour être le grand joueur qu'il est devenu, il s'est imposé comme ça. Il avait un professionnalisme incroyable et une volonté de tirer le meilleur parti de lui-même. Quoi que ses managers ou entraîneurs de conditionnement physique voulaient qu'il fasse, il allait montrer qu'il pouvait le faire. Bergomi était le même. Il s'agissait de la quantité de leur travail, de leur sérieux en tant que professionnels et de faire des sacrifices. À mon arrivée, je craignais que cette équipe hésite à s'adapter à mes méthodes. J'étais déterminé à ne pas simplement continuer avec la méthode infructueuse, le catenaccio, des défenseurs marquant l'homme pour l'homme, par exemple (quelque chose maintenant considéré comme un vieux défaut italien). Les Allemands avaient également joué ce type de football et y avaient réussi. Mais j'étais déterminé à ne pas faire ça. Nous allions jouer avec une défense à quatre, où tout le monde allait se compléter de la manière qui est tenue pour acquise aujourd'hui, et avec deux attaquants. Je ne voulais pas non plus nécessairement que mes milieux de terrain soient des ailiers, mais plutôt sortant de la ligne. Mais je venais en Italie après une période, à bien des égards, de succès énorme. Cela incluait ces cinq dernières années en Suède, où notre équipe de Malmö avait remporté le championnat chaque saison, et rien avec la Suisse ne m'avait dissuadé de ma capacité à amener des équipes à jouer de cette manière. Si j'avais été particulièrement inquiet, j'aurais réfléchi plus attentivement avant d'accepter le poste. Je savais qu'ils pouvaient jouer de cette façon s'ils y adhéraient, et j'étais assez surpris de l'humilité et de la modestie de ces joueurs. Il n'y avait vraiment personne qui s'y est opposé tout en déclarant: "Mais nous le faisons de cette façon depuis des années." Giuseppe Bergomi était un exemple typique. Il avait passé toute sa vie à jouer en tant que marqueur, très heureux si le ballon était de l'autre côté du terrain et qu'il ne participait pas au jeu, tant qu'il était à côté de son vis-à-vis. Pour lui, jouer arrière droit dans une défense à quatre, ce qui n'était pas du tout sa meilleure position, et accepter cela en disait beaucoup sur lui. Javier Zanetti aussi. À l'entraînement, les joueurs s'arrêtaient pour me poser des questions. "Que dois-je faire ici? Que voulez-vous que je fasse?" C'était un véritable environnement de coaching. Nous nous sommes qualifiés pour la Coupe UEFA de la saison suivante par la petite porte, ce qui fut un coup de chance, car nos grands rivaux de la Juventus battant l'Ajax en finale de la C1 avaient libéré une nouvelle place. Pagliuca était notre gardien de but; puis il y avait Bergomi, Paganin, Gianluca Festa et Roberto Carlos. Au milieu de terrain, nous avions Zanetti, Salvatore Fresi, Paul Ince puis Davide Fontolan avant que Nicola Berti ne se remette d'une blessure. Marco Branca et Maurizio Ganz étaient nos attaquants et ont complété notre équipe. C'était pour la deuxième saison où nous avons signé des noms plus célèbres, Youri Djorkaeff, Jocelyn Angloma et Ivan Zamorano étaient parmi eux. Mais, étrangement, cela ne nous a pas fait une meilleure équipe. L'équipe précédente était plus cohésive à bien des égards même si nous avons réussi un peu plus en termes de résultats. Vous pouvez avoir trop de richesses et de joueurs qui ne se complètent pas ou qui veulent faire le même travail. Pour cette deuxième saison, Angloma est devenu arrière droit, Fresi est passé défenseur central aux côtés de Paganin ou Fabio Galante, et Alessandro Pistone a joué arrière gauche. Javier et Aron Winter étaient souvent nos grands milieux de terrain, avec Ince et Ciriaco Sforza au milieu de terrain, derrière Zamorano et Branca ou Ganz. Nous avons eu la témérité de perdre la finale de la Coupe UEFA à la fin de cette saison, face à une équipe inférieure à Schalke. Nous aurions fait encore mieux dans l'ensemble, mais nous avions une très petite équipe qui, à la fin de cette saison, avait atteint sa limite par tous ces matchs de coupe supplémentaires. Au final, cela nous a coûté. Massimo Moratti m'avait proposé un nouveau contrat et a dit qu'il voulait que je reste au-delà de la saison 1996/1997, mais ce contrat ne s'est pas concrétisé. Nous avons eu une relation respectueuse, mais pour une raison ou une autre, je ne pense pas qu'il voulait aborder ce sujet avec moi. Blackburn est venu me chercher et j'ai dit à Moratti: "Ecoute, je ne suis pas sûr que tu le veuilles. Blackburn veut vraiment que j'y aille, donc à la fin de cette saison, je vais y aller." Il a dit: "Non, non, non. Nous ne voulons pas que vous y alliez. Je veux que tu restes." Alors j'ai appelé Jack Walker et je l'ai déçu, vraiment, parce qu'il était assez convaincu que je venais. En signe de bonne volonté, il m'avait proposé des frais de transfert qui seraient ensuite déduits de mon salaire. Massimo m'avait persuadé de ne pas le prendre, mais un autre mois s'est écoulé et nous nous débattions un peu dans la Serie A, à cause des blessures. Je ne lui ai pas donné une seconde chance de changer d'avis. Il pensait probablement que deux ans suffisaient; Blackburn me voulait vraiment, alors c'est là que j'y suis allé. Ce n'était pas facile de partir. Il y avait beaucoup de choses sur la vie italienne et l'Inter qui m'ont manqué au départ, qui me manquent encore, qui inclut le glamour et tout cela. Vous vous demandez si vous essayez de rester, avez des si, mais je ne me permets pas souvent de me vautrer ou même de contempler ces choix parce que ma carrière a été si bonne pour moi. Et tant de décisions impulsives se sont avérées être de bonnes décisions. Même les mauvais m'ont donné quelque chose, ne serait-ce qu'en termes d'expérience de vie et de connaissance d'autres pays et cultures. Au lieu de cela, je suis heureux que mon amitié avec Giacinto et ma relation avec Massimo soient restées malgré mon départ. ®alex_j - internazionale.fr
  17. Roy Hodgson, manager de l'Inter Milan de 1995 à 1997 livre ses impressions sur la Serie A de l'époque ainsi que sur notre équipe. Lors de ma première saison en tant que manager de l'Inter, la Premier League était encore à ses balbutiements. C'était en 1995, et l'Italie était la destination de tous meilleurs joueurs... et c'est aussi où l'argent était. Il n’y avait pas alors de joueurs touchant 1M£ en Angleterre, mais il y en avait certainement en Italie. De nombreuses stars mondiales y jouaient. Les meilleurs internationaux néerlandais, allemands et brésiliens sont tous venus en Italie. À cet égard, c'était une ligue fascinante! C'était un peu comme la Premier League d'aujourd'hui. Chaque semaine, vous regardiez les équipes, et chacune auvaient trois top-joueurs étrangers et qui avaient des noms connus. La passion en Italie était aussi comme en Angleterre. Les clubs signifient beaucoup pour leurs fans qui se se massaient en foule car chaque match était d'une importance vitale. Cette intensité a été le plus grand changement par rapport à tout ce que j'avais vécu auparavant dans ma carrière. À Malmö, par exemple, la pression n'a rien à voir avec ça! Lorsque vous gagnez tout le temps là-bas, la vie peut même devenir assez facile. C'était incroyable de travailler pour l'Inter même si je n'étais pas aussi bien préparé que j'aurais dû l'être pour ce club monumental. Même si je n'étais pas jeune en termes d'âge, j'étais probablement assez jeune dans ma préparation mentale pour prendre en charge un si gros travail. J'ai eu la chance que les deux hommes qui comptaient le plus pendant mon séjour là-bas, Massimo Moratti et Giacinto Facchetti, m'ont soutenu à travers cela en m'encourageant constamment et en ne prenant pas le risque de me débarrasser de moi. La Juventus et l'Inter étaient les deux plus grands clubs italiens. Nous avions plusieurs centaines de fan disséminés dans toute l’Italie, il n’était donc pas question que seule la moitié de Milan s’intéresse à notre sort, c’était pratiquement tout le pays. Le plus grand derby est toujours Inter-Juventus, pas Inter-Milan. Cette intensité. Giacinto me disait: "Cela viendra en Angleterre. Nous menons en ce moment, mais vous nous rattraperez certainement et cela ne m'étonnerait pas que vous nous rattrapiez et que vous nous dépassiez." Je me plaignais parfois de certains aspects du football italien. L'un d'eux, qui était important à l'époque, était le processus judiciaire que les télévision menaient après chaque match. Un groupe d'experts démontait l'équipe, entraîneurs, joueurs et propriétaires inclus. Quand je suis retourné en Angleterre, au Blackburn Rovers après avoir quitté l'Inter, j'ai rencontré des gens comme Gianluca Vialli et Ruud Gullit, qui avaient joué en Italie. À cette époque, il était considéré comme un monde différent. La Premier League était considérée comme un environnement bien meilleur que la Serie A. C'était tellement plus détendu. C'était comme ça le football en Angleterre, vous ne vous sentiez pas comme si vous étiez dans un bocal pour poisson rouge, et que votre vie ne valait pas la peine d'être vécue si vous n'aviez pas marqué de but samedi. Mais cela a changé. Très courant en Italie était la suggestion que tel ou tel entraîneur ne "mangerait pas le panettone". C'était classique, chaque jour de chaque semaine, quand il y avait des spéculations sur la question de savoir si un entraîneur serait toujours employé lorsque le panettone circulerait à Noël. "Qui sera le prochain à partir?" Bien sûr, les flammes étaient également alimentées par les spéculations et les rumeurs. Cela a souvent conduit les fans à se retourner contre les gens, et à ce moment-là, il faut des propriétaires forts pour vraiment lutter contre ce genre de chose. Je suis arrivé à Milan avec une certaine confiance, car j'avais de bons résultats et de moins bon avec la Suisse, et avant en Suède. Mais cela ne m'a pas préparé au type de réception que tous les managers reçoivent dans le football italien. J'ai trouvé très difficile de traiter avec la presse. J'aurais peut-être trouvé cela plus facile si j'avais parlé plus couramment l'italien, ou si je l'avais fait dans ma propre langue. C’était la première fois que j’étais dans cette situation où il y avait tant de journaux sportifs qui devaient remplir au moins une page, chaque jour, sur l'Inter. Donc, chaque jour, il y avait des conférences de presse au club. Je n'avais pas à faire tout seul moi-même, mais chaque jour tant de choses étaient écrites dans La Gazzetta dello Sport, Tuttosport, etc. Il y avait une aura autour du club et de l'endroit que je n'avais jamais connu auparavant, peut-être dans un match international étrange, mais rien de tel. C'était un baptême du feu. À moins que vous ne soyez Pep Guardiola ou Jürgen Klopp, chaque emploi qui devient disponible en Angleterre mène à: "Est-il le bon homme?" Même José Mourinho avait subi cela quand il a rejoint Tottenham, même un manager de cette qualité. Pendant mes deux années à l'Inter, Milan était un club qui avait plusieurs entraîneurs différents. Ils se sont rapidement débarrassés des gens - même ceux de la qualité d'Arrigo Sacchi et Fabio Capello. De nos jours, il y a très peu de managers qui vont obtenir le soutien sans réserve de grands groupes de fans, car il faut avoir une position presque inébranlable en termes de perception. J'ai été malheureux, en ce sens, avec le timming de mon arrivée à l'Inter. Dans les années 1990, il y avait beaucoup de managers étrangers dans le pays et cela aurait été mieux si j'étais l'un des deux ou trois uniquement. Il n'y avait alors que trois joueurs étrangers autorisés dans une équipe, donc c'était différent de ce que la Premier League est devenue. Pendant que j'étais le sélectionneur de l'Angleterre, j'ai assisté à des matchs de Premier League dans lesquels il ne pouvait y avoir qu'un ou deux Anglais. Ce n'était certainement pas le cas en Italie. Chaque match auquel vous avez participé aurait présenté 16 Italiens sur les 22 sur le terrain. L'Italie est aussi un pays cultivé et les Italiens ont un énorme sens du style. Les gens venaient juste au nord du pays jusqu'à Milan pour faire leurs courses sur la Via Monte Napoleone. Comme c'est aussi le cas en Angleterre - mais moins à Londres, parce que c'est tellement cosmopolite - vous ne pouviez pas sortir trop souvent sans que les gens vous regardent ou veuillent vous parler. C'était certainement comme ça à Milan. Milan était un endroit difficile pour errer tranquillement dans les rues si vous ne vouliez pas être impliqué avec les fans. Cependant, je n'ai jamais rien trouvé trop intrusif car neuf fois sur dix, les personnes étaient agréables et positives. L'Inter était un club incroyable pour lequel travailler. Mais c'était la qualité des gens et des fans qui était particulièrement mémorable pour moi.
  18. Gianluigi ‘Gigi’ Buffon a partagé sa conviction que la force de frappe de l’Inter, Romelu Lukaku et Lautaro Martinez, est parfaite pour le type de jeu qu'Antonio Conte souhaite jouer. Les attaquants de l'équipe nationale belge et argentine ont formé une formidable gâchette et ont cumulé à ce jour un total de 39 buts. Lukaku est notre meilleur buteur cette saison avec 23 buts à son actif tandis que Lautaro est le deuxième meilleur buteur avec 16 buts. Le duo a matché pratiquement dès le début et leur compréhension s'est considérablement améliorée. Notre duo infernal a été fortement impliqué pour les buts interistes et cela ne sera pas différent lorsque la saison 2019/2020 reprendra ce week-end. "Ils constituent le tandem parfait pour la façon dont Antonio Conte veut que son équipe joue," a déclaré Buffon dans une interview avec DAZN, hier après-midi.
  19. ?????????????????? C'est vrai que FF est un petit canard dédié au Football, complètement insignifiant et que personne ne lit. J'espère que c'est du 2nd degrés. ????????????????????? T'inquiète, j'avais capté. hé bé... remarque, faut de tout pour faire un monde. Je vois ça. perso, je préfère autre chose... C'est ton opinion, j'en ai une très différente. Échanger sur des "rumeurs" voire des ragots, je n'ai jamais compris l'intérêt. Si tu veux, mais perso, j'm'en fous complètement.
  20. De rien, on est là pour ça Effectivement, et j'avoue que j'avais oublié son passage chez les crocos nîmois 😁 Peut-être es-tu un peu pessimiste? Il a quand même une bonne presse, en tant que joueur. Par exemple, il a été classé 4e joueur français du siècle selon l'Équipe en 2000. Ce n'est pas rien. Et beaucoup le voient comme un libéro offensif. D'ailleurs, Desailly avait raconté sur BeIn une anecdote amusante sur le but de Blanc contre le Paraguay: "Quand j'ai vu Laurent monter, je me suis dit. Putain, il va où ce couillon? Et je me disais: Putain, s'il y a un contre, on est mort! Et il tire et il marque, après plusieurs échanges... J'vous dis pas le soulagement!" 👍
  21. Merci @Samus pour ta froide mais lucide analyse: Lautaro ne dit rien mais les média parlent pour lui... avec des spéculations sur des spéculations sur des rumeurs... et on retrouve des commentaires sur ces dites rumeurs sur ce topic, 🙄 Quand je lis que "Tous les joueurs de foot on un club de cœur sans forcément y jouer un jour." ???!!!! je réponds que "Tous les joueurs ont un salaire de cœur qu'ils rêvent tous d'y jouer avec." C'est vrai qu'Anelka avait un club de cœur... Concernant le mercato, il sera très incertain avec des valeurs en baisse de 15% à 30%, dixit France Foot qui est, à mon sens, mieux averti et au courant que ceux qui discutent ici. Quand j'avais balancé ça il y a 1 mois, beaucoup rigolaient avec des réponses... disons... qui rasaient les pâquerettes et on a vu avec Icardi... ma réaction fut 🤭 D'ailleurs, il y a un dossier spécial Mercato dans France Foot cette semaine, mais c'est vrai que les plus éminents spécialistes sont ici. Pour terminer, je suis encore d'accord avec @Samus sur le cas Lautaro. Qu'on lui foute la paix, personne ne sait rien (saufs ceux qui négocient) et on verra à la fin. Après, quand je lis que son club de cœur est le farça, il a dit ça quand? Et il y a tellement de joueurs qui ont changé de club en 24h ou 48h...
  22. Cette série d'articles nous rappelle les joueurs dont nous avons (peut-être) oubliés, qu'un jour, ils ont porté notre maillot noir et bleu. A travers eux on refait l'histoire, on discute et on dissèque leur temps à l'Inter ainsi que le reste de leur carrière. Retrouvez l'ensemble des articles de cette série ici : Les visages oubliés de l'Inter. Nous poursuivons cette dernière en analysant le court séjour en noir et bleu de notre super défenseur Laurent Blanc. Un homme qui est peut-être plus célèbre pour son sens du but que pour ses deux ans au Meazza. Blanc a passé la majorité de sa carrière à jouer en France commençant par Montpellier. Le Français a passé huit saisons avec La Paillade, disputant plus de 250 matchs et marquant 80 buts en tant que milieu de terrain. C'est à 26 ans que Blanc décida de franchir le pas et de quitter le club qui lui avait donné sa chance pour rejoindre le Napoli. Le transfert a été perçu comme une surprise, mais Blanc sembla s'intégrer aux côtés de Gianfranco Zola et Careca, le tout sous la tutelle de Claudio Ranieri. Le Napoli, pour sa première saison sans Diego Maradona, a terminé à une respectable 4e place et Blanc a joué un rôle clé en disputant 34 matchs et marquant 6 buts. Cependant, Laurent voulait revenir en France après seulement un an passé en Italie. L'heureux élu fut Nîmes. Les Crocodiles avaient fait un sacré coup en signant Blanc et il est clair qu'ils ne pourraient le retenir longtemps compte tenu de son rapide essor. Une offre de Saint-Etienne est arrivée et Blanc décida de rejoindre les verts. Il est devenu un sujet de discussion car il était le deuxième meilleur buteur de la 1ère division lors sa première saison à Saint-Etienne, marquant 13 fois en D1. Blanc a attiré l'attention de l'équipe nationale et a commencé à nouer une relation spéciale avec la légende milanaise Marcel Desailly qui apporterait finalement à la France sa première Coupe du Monde en 1998. En raison de sa nouvelle exposition retrouvée avec les plus grandes équipes de D1 et de ses performances sur la scène internationale, Guy Roux a financièrement persuadé St-Etienne de se séparer de son bijou. Dans sa seule année avec Auxerre, Blanc a remporté son premier titre majeur, le championnat de D1. Les passages rapides de clubs en clubs après son long séjour à Montpellier sont devenus un élément de base de sa carrière. Cependant, il ne peut pas être blâmé d'avoir quitté Auxerre après une seule saison car il s'est retrouvé attiré par un transfert vers Barcelone. Un transfert au Camp Nou a été une réussite pour Blanc qui avait vraiment atteint les sommets après ses années de travail acharné dans son pays d'origine et sa brève période avec le Napoli. Encore une fois, il n'a passé qu'un an au club avant de partir à nouveau. Vingt-deux apparitions pour Barcelone était tout ce qu'il avait réussi avant un retour en France avec Marseille. Johan Cruyff était l'homme qui avait fait venir Blanc mais son départ peu après l'arrivée du Français l'a conduit à être managé par Bobby Robson. Cela n'a jamais emballé Blanc. Marseille s'est avéré être une bonne décision, mais qui s'est finalement terminée dans la tristesse après cette défaite en finale de la Coupe UEFA contre Parme et cette deuxième place en Ligue 1 lors de sa deuxième année au club. Blanc rira bien le dernier car il était un pilier de l'équipe de France vainqueur de la Coupe du Monde de 1998 malgré la finale manquée en raison d'un incident controversé avec le Croate Slaven Bilic. À l'été 1999, à l'âge mûr de 34 ans, Blanc a décidé qu'il tenterait à nouveau sa chance et est arrivé au Meazza. L’arrivée de Marcello Lippi a vu un changement généralisé au club. Le record de transfert le plus cher a été battu pour signer Christian Vieri, Clarence Seedorf a été ramené du Real Madrid et notre légende Iván Córdoba est arrivée de San Lorenzo. Blanc, qui était maintenant le capitaine de l'équipe de France, avait peut-être quelques kilomètres au compteur, mais était considéré comme un homme qui pouvait ajouter de l'expérience à une équipe qui cherchait à se remettre d'une 8e place décevante. Lippi a mené l'Inter à une quatrième place et à une finale de Coppa Italia lors de son premier mandat et le club a ensuite pu revenir en C1. Sur le plan personnel, la saison a été bonne pour Blanc qui a joué presque tous les matchs de Serie A et a été nommé pour le prix Golden Pirate de l'an 2000, un prix décerné par l'Inter Club San Pietro Nerazzurra Seveso. Les fans de l'Inter l'ont adopté et il s'est avéré être une acquisition astucieuse pour une équipe qui, sous Lippi, semblait bien fonctionner. Cependant, l'ère Lippi a été trop courte, Marco Tardelli le remplaçant à peine deux mois après le début de la saison suivante. Les Nerazzuri n'arrivèrent pas à se qualifier pour la phase de groupes de la C1 après une défaite contre Helsingborg. Contrairement à Robbie Keane, Blanc a conservé sa place sous Tardelli alors que l'Inter a connu une étrange série de haut et de bas qui les a amenés à la 5e place. Au cours de l'été, Blanc a fait l’objet d’un intérêt de Manchester United de la part de Sir Alex Ferguson. Ferguson avait essayé de signer Blanc deux fois avant (Barcelone et Inter), mais cette fois, il devait réussir. L'Inter et United ont conclu un accord pour que l'homme de 35 ans termine sa carrière à Old Trafford et a ainsi mis fin à sa courte histoire en noir et bleu. Il a ensuite remporté la Premier League avec United avant de raccrocher ses crampons en 2003 à l'âge de 37 ans. Le sort de Blanc à l'Inter est très différent de ceux que nous avons précédemment étudiés dans cette série. Aucun de ces joueurs n’a remporté le prix du joueur de l’année ou n’a été membre régulier de l'équipe première avant de passer à autre chose simplement parce qu’il a obtenu une meilleure offre. Bref, si l'Inter n'avait pas été aussi "pazza" et n'avait pas fait autant tourner ses managers, Blanc aurait certainement pu faire partie d'une équipe gagnante. Sûrement sous un bon management et avec les bons réglages tactiques, une équipe composée de Blanc, Ronaldo, Seedorf et Christian Vieri aurait pu être des challengers au Scudetto et une force pour la C1. Blanc ne pouvait tout simplement pas dire non à Ferguson une troisième fois.
  23. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Julian Ross dans Calcio
    Ne me chauffe pas non plus... car je trouve ton avatar scandaleux (même s'il m'excite)
  24. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Julian Ross dans Calcio
    Justement, je sais de quoi je parle Et quand tu dis érotique... c'est plus R18 que R16 🤭 Crois-tu qu'il la connaisse? Mais c'est vrai que je suis surpris que certains yeux chastes n'aient rien dit 🤭 Y a notre @Serpent-NA national qui croyait que c'était une boulangère

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