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alex_j

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Tout ce qui a été posté par alex_j

  1. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Gianna dans Présentations
    Désolé @Damien, j'ai achevé ce topic
  2. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Gianna dans Présentations
    @Gianna: Ne les crois pas. Je suis sage, jamais une incartade, aucune invective ou insulte, jamais un rouge, tout dans le respect de l'autre. En plus, je suis timide et intro(per)verti. Un vrai bonbon sucré. Le pire c'est l'autre là, @Nerazzuro_MGS. Lui, une vraie teigne et dur sur l'homme. @23-MMika, un vrai lèche botte (ou motte) depuis qu'il nous a quitté pour sa nana... Introperverti, ça fait titre de film X ça non? T'en penses quoi @GregButcher ?
  3. A sa sortie de l'Assemblée de la Lega, Giovanni Carnevali, directeur général de Sassuolo, est revenu pour parler de l'avenir de Davide Frattesi. Mercato ? "On commence à y aller. Des négociations ont commencé mais rien de concret." Frattesi "On a parlé au joueur et écouté son souhait de ne pas partir à l'étranger. Donc on va se concentrer sur les clubs italiens et prendre un peu de temps pour analyser. Enfin, nous verrons quelle sera la meilleure solution." Inter en pole ? "Non, pour le moment nous n'avons pas de négociations concrètes. Nous voulons prendre du temps pour analyser." Fabbian ? "C'est un joueur important, mais je pense que l'Inter ne le laissera pas partir." Mulattieri ? "Lui aussi, comme les autres." Traduction alex_j via FCInter1908.
  4. Selon les calculs de Calcio e Finanza, les pertes diminueraient de moitié cette saison. Les chiffres. L'extraordinaire parcours en Ligue des champions qui a conduit à Istanbul fait grimper les revenus de l'Inter au cours de la saison 2022-2023. Le rouge se dirigerait vers une réduction de moitié par rapport à l'année précédente. Cependant, il faut noter que d'autres mesures économiques et chiffres ne peuvent être exclus d'ici fin Juin. C'est donc une estimation. Le résultat net dans la balance devrait être -80 millions contre -140 millions en 2021-2022. Dans le détail, le chiffre d'affaires devrait avoisiner les 430 millions, en ligne avec les revenus de la saison dernière. Le chiffre d'affaires net des ventes de joueurs devrait avoisiner les 400 millions, un chiffre record pour le club nerazzurri. En particulier, le parcours en Ligue des Champions pousse les revenus vers le haut, avec des droits TV qui, en tenant compte également de ceux liés à la Serie A, devraient s'élever à 190 millions. La fréquentation du public au Meazza a rapporté environ 80 millions d'euros supplémentaires ce qui a permis de limiter les dégâts des 30 millions non perçus de Digitalbits. Un aspect auquel a également contribué l'accord avec Paramount+ pour la finale de la Ligue des Champions, avec des revenus d'environ 4 millions. Le commerce des joueurs a garanti environ 30 millions grâce aux ventes de Casadei, Pinamonti et Pirola. Du point de vue des coûts, les dépenses devraient être réduites notamment grâce à la forte baisse des amortissements liée aux départs de Pinamonti, Perisic et Vecino, avec un chiffre global qui devrait être inférieur à 100 millions. Au lieu de cela, les salaires et traitements sont rester stables par rapport à 2022. Le résultat de gestion ordinaire devrait se situer autour de -25 millions, contre -88 millions en 2021-2022, grâce à la saison exceptionnelle en termes de résultats. Cependant, les intérêts des emprunts pèsent lourdement sur les comptes des Nerazzurri et les obligations actuellement détenues par le club des Nerazzurri qui devrait avoisiner les 50 millions. Le résultat net prévisible serait de -80 millions d'euros, sur lesquels pèsent précisément les 50 millions d'intérêts et les quelque 30 millions perdus avec Digitalbit. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  5. alex_j a répondu à un message dans un sujet de Julian Ross dans Calcio
    Putain... Pourquoi ce sujet est "chaud" ? Ce club de chiasse est descendu en Serie B ou taille-t-il une pipe à l'UEFA pour être dans ses draps douillets et ses bras velus ? Au fait @Damien, si tu pouvais perdre le password des Rubentini au passage 🤭
  6. Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Messages d'Edin Dzeko et Romelu Lukaku aux fans de l'Inter suite à la défaite contre City. C'est vraiment difficile de mettre des mots sur toutes les émotions, sur ce qui s'est passé à Istanbul. Je suis très fier de notre parcours, du chemin parcouru depuis le premier jour de cette saison de l'UCL. Toute l'équipe croyait que nous pouvions faire quelque chose de grand, et nous l'avons vraiment fait. Nous avons fait de notre mieux, nous avons joué pour réaliser nos rêves et les vôtres, mais malheureusement nous n'avons pas pu atteindre le sommet. J'en suis désolé et je suis triste pour le club et mes coéquipiers, mais surtout pour nos fidèles supporters qui nous ont soutenus tout au long de la saison et surtout lors du dernier match où ils ont été incroyables : merci pour tout le soutien. Nous avons fait de notre mieux, mais cette fois ce n'était pas suffisant. Forza Inter ! Tout d'abord merci à tous les fans de l'Inter pour l'amour et le soutien témoignés tout au long de la saison. Vous êtes restés à nos côtés à chaque instant et personnellement, je tiens à vous en remercier. Ce n'était pas censé l'être. Nous avons tout donné. C'est un sentiment de merde pour nous tous qui aimons ce beau club… Mais ce club a faim et nous nous battrons pour atteindre ce moment de gloire un jour. Traduction alex_j via Instagram.
  8. Le prochain papier de @Victor "Antony" Newman: 🤗
  9. Francesco Acerbi s'est exprimé en conférence de presse à Coverciano. Il a évoqué divers sujets. Une amertume avec la défaite en finale face à Manchester City ? "Il faut être fier de ce qui a été fait mais il y a un peu d'amertume, oui. La finale, bravo, bravo... mais si tu ne soulèves pas le trophée, il n'y a rien d'écrit et ça te ronge un peu. Aussi parce que mon sentiment sur le terrain était que nous n'avions pas conscience que nous pouvions vraiment tuer Manchester City. Nous avons trop parlé de sa force et nous avons payé cela un peu inconsciemment. Même City avait peur de nous, on a tout fait pour que la Ligue des champions aille à Milan... Dommage, un gros regret." Que dire de ce cru du football italien ? "C'est une année importante pour l'Italie. Cela ne s'est jamais produit. Je ne sais pas si c'est le début de quelque chose... La Premier League est la plus forte en ce moment mais nous sommes l'Italie. Un pays avec beaucoup de joueurs forts , beaucoup de jeunes qui peuvent jouer. Preuve que le football italien est toujours à un excellent niveau. Même en équipe nationale, nous devons récupérer, nous connaissons notre valeur et ce que nous voulons faire. Nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes." Êtes-vous prêt pour Jeudi ? "Même le lendemain de la finale à Istanbul, alors vous jouez nerveusement. J'ai passé une journée au cours de laquelle vous réfléchissez et réfléchissez à ce que vous auriez pu faire de plus, analysez le match et la défaite. Ces résultats font partie de la vie, le Le l'important est de faire de mieux en mieux chaque jour. Vous êtes en équipe nationale et maintenant vôtre tête est là, pour le match de jeudi. C'est un match qui se prépare, bien." La finale de Samedi était-elle une opportunité unique ? Quelle impression Haaland a-t-il faite? "C'est deux fois le joueur que j'ai affronté contre Dortmund il y a trois ans. Un grand attaquant mais il a fait un excellent travail d'équipe. Après le match, zéro réflexion, pendant dix minutes, je n'ai voulu parler à personne. Occasion unique, penser avant au match, mais une fois dedans, je ne pensais qu'à tout donner et qu'il pourrait y avoir une autre opportunité. D'abord vous pensez à tout, puis vous vous sentez mal de la défaite." Pensez-vous aux chants "Acerbi on n'en veut pas" des fans l'été dernier ? "Je suis assez fort, je m'en fous. Ce qui m'a donné de l'énergie et de la force, c'est ce que je veux, aller plus loin et ne pas rendre les autres heureux. Pour un petit sourire, ils m'ont peint en fan du Milan et ça m'a fait un peu mal parce qu'en tant que professionnel et homme sur le terrain, personne n'avait à remettre en question mon engagement. Quelle que soit l'équipe pour laquelle j'ai joué. Mais j'ai dit que je devais continuer, c'est ma passion et ma vie et pour cela je suis fier de moi-même." Quels sont vos objectifs à ce stade ? "Gagner des coupes oui et non... Mon seul objectif est que lorsque j'aurai fini de jouer au football, je pourrai dire que j'ai tout donné pour ce que je représente. Je ne sais pas où j'en serai dans un an, où je sera dans six jours... Je ne sais pas dans deux semaines. Je ne sais pas où je serai, deux heures avant la fin du mercato j'ai dit non à Inzaghi et puis je suis parti. Le bon chemin sera le meilleur pour moi, puis à la fin de ma carrière je tirerai un trait. La finale de la Ligue des champions n'était pas prévue, je donne tout." Vous avez probablement connu la meilleure saison de votre carrière. Comment expliquez-vous qu'elle était atteinte à 35 ans ? "Après ma maladie, j'ai toujours été sur la bonne voie, j'ai toujours fait de bonnes saisons. Un joueur ne fait pas un match à huit puis à quatre. C'est toujours ce qu'on a envie de faire quand on progresse, j'essaie suivre le meilleur pour moi-même, puis la faim, l'envie, la volonté… Vous voulez aller là où les autres ne veulent pas aller, puis bien sûr il y a aussi le groupe et un peu de chance puisque je n'ai subi aucune blessure." Quelles leçons tirez-vous de la finale à Istanbul ? "J'ai perdu la finale et vous devez être conscient que vous pouvez la jouer contre tout le monde et même gagner s'il y a un groupe fort et cohérent qui continue et se relève même après les revers. C'est la seule voie qui vous permet d'avancer. Quand vous perdez, ce n'est pas un échec mais un enseignement. Vous gagnez et vous perdez, en espérant qu'il y ait toujours plus de victoires que de défaites." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. "Standing tall" est un slogan qui a été beaucoup abusé et galvaudé ces dernières années. Il a également été utilisé à l'occasion de finales déséquilibrées ou de parcours européens terminant sans succès d'équipes italiennes qui se sont présentées sur la ligne de départ de la Champions et avaient été désignées parmi les "favorites" pour la victoire finale. Toute référence est purement fortuite. Seule certitude, l'Inter sortira véritablement "la tête haute" du stade olympique Atatürk d'Istanbul. La déception restera avec nous pendant des semaines, peut-être des mois, peut-être des années. On ne le sait pas encore. Le fait que l'on ait caressé l'idée de pouvoir soulever la Coupe aux grandes oreilles pour la quatrième fois de notre histoire face au City de Pep Guardiola doit être une source de grand plaisir, de grande fierté. Cela doit être avant tout à cause de la façon dont cette nomination s'est faite et du nombre de choses irrespectueuses qui ont été dites à notre égard. Pour la planète entière, il ne devait pas y avoir de match à Istanbul. Qu'a dû penser le chanteur et fan de City Gallagher, qui voulait à tout prix nous affronter en finale, durant les 90 minutes de la finale ? Qu'a dû penser de l'ex-joueur Bale qui a prédit un sec 5-0 pour City à quelques heures du match ? Et tous les insiders italiens qui pendant toute une saison ont tenu des propos plus que moyens envers Simone Inzaghi ? Comme par magie, d'un coup, le monde entier découvre l'Inter de Simone Inzaghi. Le même qui a gagné à Liverpool l'année dernière et qui dans les 180 minutes a donné du fil à retordre à cette équipe qui a ensuite joué contre le Real Madrid. Le même capable de remporter 4 derbies de la saison contre le Milan Champion d'Italie. Le même capable d'éliminer le Barcelone de Xavi en phase de groupes, qui quelques mois plus tard a remporté la Liga contre ce Real Madrid que tout le monde a indiqué comme le grand favori pour remporter la Ligue des champions, comme City, uniquement pour une question d'ADN. Heureusement, les prédictions et l'ADN tant vanté ne vont pas sur le terrain, mais les idées oui. Il y a de l'abnégation au travail. Vient la préparation. Voilà l'étude. "Vous avez retrouvé Porto, Benfica et Milan dès le deuxième tour" est une thèse qui ne tient pas et ne tiendra jamais. Une équipe "chanceuse" dans le tirage au sort ne joue pas de manière égale contre une équipe extraterrestre, les forçant à changer leur nom de Manchester à Bristol City pendant 90 minutes. Une équipe qui s'y trouvait Samedi est sortie du stade olympique d'Atatürk avec un fracas historique. Au football, il n'y a qu'un seul vainqueur à la fin, mais l'Inter gagne toujours. Pour l'Inter, gagner n'est pas la seule chose qui compte, cela ne l'a jamais été. Mais avoir fait repenser au monde entier qui pensait que nous étions perdus est une source de grande fierté. La certitude d'avoir été grand n'est pas affectée par les mesquineries. Au final, les épisodes décident et c'est comme ça que ça s'est passé Samedi. C'est du sport, c'est du foot. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve mais nous le vivrons comme ça. Arrivederci Inter. Georges Courteline a écrit "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet". Une phrase que Gallagher et comparses auraient dû connaître avant de l'ouvrir. Mais quand on est un imbécile... Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
  12. Le milieu de terrain Nicolò Barella tente de remonter le moral des Nerazzurri après la défaite contre Manchester City. "J'ai toujours pensé que gagner équivalait à la gloire, tandis que perdre équivalait à l'échec. Mais au cours de ces années, vous m'avez appris qu'il y a plus. Il y a la fierté et surtout l'amour que vous nous avez témoigné. Il y a le vestiaire composé d'hommes qui ont travaillé dur pour ramener l'Inter là où elle le mérite. Il y a cette sueur, et je vous assure que nous l'avons toujours versée pour ce maillot. Il y a la victoire qui nous a procuré tant d'émotions que nous porterons en nous pour toujours. Il y a aussi une défaite, amère, difficile à supporter mais qui, à sa manière, nous pousse à essayer de faire quelque chose encore plus grand. Pour cette raison, la médaille d'argent sera là devant, avec celles des victoires et non cachée dans un coin. Merci à tous pour ce fantastique voyage !" Beau texte ! Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. L'UEFA a dévoilé son XI type. Deux Nerazzurri présents au milieu de l'océan bleu-ciel. Federico Dimarco et Alessandro Bastoni sont les deux seuls Nerazzurri à avoir été inclus dans l'équipe type de la saison de la Ligue des champions. Manchester City domine inévitablement le top 11. Ci-dessous, le tweet avec les compliments de l'Inter. Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Le compte rendu officiel de l'UEFA rend hommage à l'Inter. "Une campagne incroyable et une performance dont vous pouvez être fiers. Ayez la tête haute, Nerazzurri." Ainsi le compte rendu officiel de la Ligue des champions rend hommage et loue l'Inter après le KO en finale contre Manchester City, avec la touchante photo de Lautaro et Onana en larmes. L'équipe de Simone Inzaghi, malgré la défaite, revient d'Istanbul sous les applaudissements du monde entier. Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Après avoir dépensé 1.5 B€ et avoir de la moule de jouer contre l'Inter la plus forte des 5 dernières années
  16. La Gazzetta dello Sport chante les louanges de Simone Inzaghi fraîchement et définitivement diplômé au niveau international à Istanbul. Si pour les Italiens, comme le dit Guardiola, un 0-0 est une victoire, alors l'Inter a remporté la première mi-temps et une bonne partie de la seconde, des minutes pendant lesquelles Manchester City ressemblait à une équipe comme les autres, voire peut-être pire. Cela pourrait être du au fait que les Anglais n'étaient pas dans un soir de grâce. Oui, peut-être. Mais nous nous en doutons car nous sommes convaincus que le plan tactico-stratégique de Simone Inzaghi a eu un impact sur la "banalisation" de City. Il a privé City de ses merveilles. Il l'a drogué avec une attitude faussement soumise. Pendant longtemps il a laissé City dribbler et tirer loin de la zone, avec Haaland isolé et hors contexte comme cela arrive rarement. Une Inter défensive ? Non ! Une Inter intelligente qui a su gérer les moments d'un match très difficile. Et même les propos de Guardiola en fin de match confirment ce qui en est ressorti pendant les 90 minutes : tactiquement, City a été anesthésié. Le beau et presque invincible City ne s'est pas présenté à Istanbul. Le but est venu grâce à une action admirable mais qui s'est concrétisée sur l'un des rares échecs de la phase défensive de l'Inter, avec le côté gauche exposé et faible. City n'a pas volé la victoire, la défaite de l'Inter n'est pas méritée non plus. Inzaghi aurait mérité une prolongation pour la façon dont il a freiné et agacé City. Tous les discours de la veille sur la distance sidérale entre City et l'Inter étaient infondés. Hier soir, Guardiola et Inzaghi étaient proches, très proches, et notre prix de la critique, pour ce que ça vaut, nous le livrons à l'entraîneur d'une Inter à la hauteur absolue de City. Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Alors que les rumeurs concernant son intérêt pour l'Inter continuent, Thomas Zilliacus ne fait rien pour les apaiser. Le magnat finlandais, que beaucoup disent qu'il serait intéressé par le rachat du club, a commenté sur Twitter la finale de Ligue des champions perdue par les Nerazzurri face à Manchester City. "Si la finale avait été un match de boxe, l'Inter aurait largement gagné aux points. Mais c'est le football que les Nerazzurri ont malheureusement perdu malgré l'excellente tactique employée par Simone Inzaghi et une performance fantastique de ses joueurs. Forza Inter." Déjà à la fin de la première mi-temps, Zilliacus avait salué la performance de la formation d'Inzaghi. Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Les mots de Steven Zhang sur Sky après le KO amer en finale de la Ligue des champions contre City. Déçu ? "Gagner et perdre fait partie du sport. Je tiens à féliciter tous les membres de l'Inter : ils se sont tous donnés à 100 %. Et je félicite City pour une excellente saison. Nous sommes fiers d'avoir atteint la finale et de jouer contre les meilleurs, également pour pouvoir montrer nos qualités sans crainte, quel que soit le résultat final." Personne ne pensait que l'Inter était si proche de City... "Je pense que la mentalité et la qualité de nos garçons sont de haut niveau. Nous ne sommes inférieurs à personne et tout le monde l'a vu ce soir." Comment redémarrer ? Avez-vous déjà parlé à Inzaghi ? "Une saison positive sur laquelle réfléchir et nous avons déjà commencé à travailler pour l'avenir depuis un certain temps maintenant. Les joueurs qui ont fait une bonne saison continueront avec nous et nous serons heureux de les soutenir. Une campagne de transfert ne peut pas être planifiée sur un jour..." Que pouvez-vous nous dire sur les étapes pour l'avenir ? "C'est important de rester compétitif en retenant les meilleurs joueurs. Aujourd'hui on a montré qu'on méritait la finale et qu'on était vraiment fort. Tout le monde pensait qu'il n'y aurait pas de match... On est vraiment fiers de ce résultat, une finale doit toujours avoir un gagnant et un perdant, mais nous sommes très confiants de ces bases." La moyenne d'âge est assez élevée : pouvez-vous vous ressourcer tout en gardant un niveau élevé ? "J'ai appris du football qu'une équipe qui gagne a besoin d'un mélange de jeunes et d'experts. Là on y est arrivé, puis en finale vous gagnez ou perdez, mais c'est toujours une question d'équilibre et nous essayons de le viser chaque année." Qu'allez-vous faire de Lukaku ? "Il a montré un grand attachement à l'Inter. C'est un garçon incroyable. Il a un contrat avec Chelsea et il faudra leur parler." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. A la fin du match Simone Inzaghi se présente en conférence de presse pour analyser la finale perdue face à City. Voici ses propos recueillis. La tête haute mais avec des regrets ? "C'est vrai qu'il y en a, la défaite est la pire des choses dans le sport, les gars ont été déçus mais ils doivent être fiers du match qu'ils ont joué. On ne méritait pas de perdre, on a joué contre un super adversaire mais face à eux ils ont trouvé une grande Inter qui a fait une belle finale." Que pouvez-vous dire aux fans de l'Inter ? "Ils sont comme mes garçons, ils sont à câliner un par un, ils sont incroyables, nous avons passé de bons moments. Même dans les moments durs ils ont toujours été là et cela aurait été merveilleux pour nous de partager ce trophée avec eux contre l'équipe la plus forte du monde. Nous l'avons joué avec nos armes, il y a de la déception mais comme je l'ai dit hier, je n'aurais changé aucun joueur avec une autre personne dans le monde et maintenant le monde entier a vu pourquoi." Votre frère s'est demandé avant le match si vous alliez dormir. Mais allez-vous dormir ce soir ? "C'est le football, nous nous éloignons de ces déceptions. Une finale de Ligue des champions jouée comme ça, je me demande encore pourquoi dans ces 25 dernières minutes, le ballon n'est pas entré. Peut-être que tout était écrit, nous n'avons pas pu changer quelque chose mais il faut qu'ils aient la tête très haute, ils ont fait un parcours incroyable. City le méritait mais ils ont affronté une super Inter qui les a mis dans les cordes dans la dernière demi-heure. On le méritait mais j'ai félicité Pep. Ils s'approchaient de plus en plus du but, mais je les aurais volontiers fait patienter un peu plus longtemps." Liverpool vous a peut-être conduit à cette finale. Mais cette finale, pourra-t-elle nous amener au bout ? "C'est un long périple mais je le pense absolument. Nous avons montré que nous pouvions le jouer de la meilleure façon possible. Nous n'avions pas atteint les huitièmes de finale depuis très longtemps, l'année dernière, nous avons trouvé Liverpool et j'aurais volontiers rejoué le match retour. J'avais déjà perçu que cette équipe aurait pu faire plus sans penser aux 12 dernières années. L'équipe a grandi, acquis de la mentalité, de l'expérience, nous allons réessayer avec autant de fierté que nous l'avons fait cette année et l'année dernière. Nous avions rencontré le Real Madrid et Liverpool qui ont disputé la finale et en 4 matches ils ne nous ont pas laminés." Est-ce que tout s'est passé comme prévu ou est-ce que quelque chose d'inattendu s'est produit ? Que pensez-vous du but manqué de Lukaku ? "Lukaku, Dimarco, Gosens, on a eu beaucoup d'occasions. C'était le plan de match, je dois revoir la première mi-temps mais peut-être qu'on aurait pu faire encore mieux. En seconde mi-temps, dans une finale à fort enjeu, on a développé le jeu très bien mais ça me rend fier d'avoir affronté Manchester City comme ça. Onana a fait un arrêt sur Foden et rien d'autre, c'est une grande satisfaction." Le monde entier a vu de quoi Inzaghi est capable maintenant, vous êtes un entraîneur de niveau international maintenant. "Le temps nous le dira. Je suis fier des progrès réalisés par ces garçons et de la façon dont ils ont joué le match contre City. Le monde entier a dit que City le méritait, j'ai dit aux garçons que ce serait un match très équilibré. Tout s'est décidé sur un épisode, il fallait être bon et chanceux pour le trouver, mais c'est comme ça. Il y a beaucoup de déception mais j'ai embrassé tous les gars et j'aurais aimé le faire aussi avec les nombreux fans qui nous ont donné quelque chose en plus. Des émotions uniques. Nous avons disputé de nombreuses finales cette année, et cela peut nous habituer à jouer à des matchs comme celui-ci, et ce soir nous l'avons vu." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. Il Giornale a interviewé notre ancien président Ernesto Pellegrini et a recueilli son ressenti avant la finale de la Ligue des champions à Istanbul. Malheureusement, vous ne pourrez pas assisté au match. "J'ai été invité mais malheureusement je n'ai pas pu y aller car j'ai quelques problèmes personnels. Ainsi, je préfère rester ici au calme, et le voir à la télé. Bien sûr, je suis désolé, j'étais présent à Madrid et l'Inter a gagné, espérons qu'ils gagnent cette fois aussi. De toute façon, je ne joue pas et je ne peux pas influencer le résultat, disons-le. Bien sûr c'est un match difficile, je n'ai pas de doutes. L'Inter n'est pas favorite. City est considéré comme une équipe d'une autre planète. Cependant je suis confiant car j'ai très bien vu notre équipe ces derniers mois tant physiquement que mentalement. Nous pourrions avoir une vraie surprise." Qui voudriez-vous aligner ? "Le coach s'en chargera. Heureusement qu'il est très bon, positif, et dans les matchs à élimination directe, ceux où on gagne ou on perd, il a aussi de la chance. Alors je lui fais confiance aussi..." Par rapport à "votre" Inter, quelles différences voyez-vous ? "Une équipe un peu différente... Pendant mon temps, l'Inter n'avait que 3 étrangers car à l'époque seuls trois pouvaient jouer. Mieux ou pire? Trois peut-être pas, mais peut-être 5 serait le nombre parfait. Une équipe composée uniquement d'étrangers n'est pas beau à voir, ce n'est pas une grande satisfaction pour quelqu'un qui est né fan de l'Inter, mais c'est comme ça maintenant... avant c'était un autre type de football, Rummenigge, Matthäus, Brehme... Cependant, j'espère aussi célébrer cette victoire car le 16 juin nous aurons une soirée avec 400 personnes au dîner et un concert de Gianna Nannini pour les 58 ans de la Fondation Pellegrini." Comment est le football italien selon vous ? "Hormis l'équipe nationale qui n'a pas eu beaucoup de chance, la Roma, l'Inter et la Fiorentina se sont qualifiées pour la finale. Bref, les équipes italiennes se sont très bien comportées sur la scène européenne. Il ne manque pas grand-chose. L'équipe nationale de Mancini a besoin de récupérer un peu." Que pensez-vous du San Siro ? "Il ne faut pas le démolir. C'est un monument, il y a trop de souvenirs de l'après-guerre à aujourd'hui. C'est un beau stade, il y avait tellement de rêves. J'aimerais qu'il ne soit pas démoli." Avec qui verrez-vous le match ? "Avec mon gendre, un grand fan de l'Inter. Et avec mon neveu Guglielmo qui a 7 ans et demi. Il vient toujours avec le maillot de l'Inter et dit à ses amis que quand il sera grand, il veut être président de L'Inter comme son grand-père bien-aimé Ernesto. Et il est né le jour de la fondation de l'Inter, le 9 mars, est-ce un signe du destin ?" Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.
  22. @Sylar, @23-MMika: vous préférez traire, moi je préfère bouffer. Chacun ses priorités
  23. Simone Inzaghi s'affiche aujourd'hui en conférence de presse à la veille du match contre Manchester City. L'entraîneur répond aux questions des journalistes. Voici ses propos rapportés en direct sur FcInterNews.it. Qu'attendez-vous de ce match ? "Nous savons quel match nous devrons jouer. City est l'équipe la plus forte du monde, ils l'ont prouvé même dans les très rares défaites qu'ils ont subies. Cependant, nous connaissons notre chemin, nous sommes fiers d'être ici et nous ferons tout pour être pleinement concentrés, en limitant les erreurs car nous affrontons une équipe très forte." Être un outsider vous a-t-il encore plus rapproché ? "Demain sera le 57e match pour nous. Un très long voyage dans lequel nous avons eu des moments difficiles et nous avons grandi à travers des défaites méritées et imméritées. Nous avons perdu des joueurs importants pendant longtemps, mais les garçons se sont tous ressaisis et avec un engagement fou, nous sommes arrivés à Istanbul. Dans la dernière période, nous avons eu peu de temps pour réfléchir à ce que nous avons fait car nous devions affronter la finale de la Coupe d'Italie et arracher la qualification pour la Ligue des champions. Nous sommes très concentrés sur le combat contre un adversaire vraiment fort." Le milieu de terrain sera-t-il la clé ? "Ce sera très important mais au-delà de ça demain les jambes, la tête et le coeur seront importants. Les jambes pour faire une course de plus, la tête pour la lucidité car l'approche sera fondamentale, le coeur car dans ces matches c'est ça qui vous fait trouver une énergie que vous ne pensiez pas avoir." Vous avez la possibilité d'écrire l'histoire. "Absolument, ce sera difficile mais nous allons essayer. Ensemble, c'est le mot qui nous a amenés ici et c'est le mot avec lequel nous jouerons la finale." Votre frère Pippo dit qu'il n'est pas sûr que vous dormirez. "Nous savons ce que ce match représente pour l'Inter et nos supporters qui nous ont beaucoup aidés dans cette route européenne. Les deux derbies en demi-finale sont l'emblème mais je n'oublierai pas Plzen, Barcelone, Porto. Demain ce match et ce sacrifice supplémentaire, nous le devons à nos fans." Comment avez-vous maintenu cette tranquillité dans le groupe ? "J'ai la chance d'entraîner un groupe de vrais hommes que je ne changerais avec personne. Ce groupe me procure une grande joie et nous l'avons également donné à nos fans. Les garçons sont sereins, ils s'entraînent au mieux. Nous avons des doutes sur certains joueurs, Mkhitaryan et Correa qui semblent se remettre." Comment va Mkhitaryan ? "Aujourd'hui, c'est la dernière séance d'entraînement. Hier, il a fait son premier set complet après 22 jours. Il y a de bonnes sensations mais je déciderai." Avez-vous lu les mots du président sur votre « force tranquille » ? "Ils me font plaisir après un parcours avec des trophées et des victoires mais il y a aussi eu des moments difficiles et vos appels téléphoniques m'ont toujours donné une grande force. Il en va de même pour mon staff." Que ferez-vous demain pour canaliser Haaland ? "Nous connaissons la force de City et Haaland. Clairement, il sera un élément spécial comme tous leurs joueurs. Nous avons préparé quelque chose mais toute l'Inter devra se défendre et devra le limiter lui et tout le City." Cette défense de City concède peu. Qu'en pensez-vous? "C'est une défense solide qui a concédé très peu en Ligue des champions. Ils ont construit d'une manière et défendu d'une autre ces derniers temps mais nous savons qui nous rencontrerons demain. Nous essaierons de jouer le jeu dont nous avons besoin en une finale." Comment vous êtes-vous préparé aux tirs au but ? "Nous les avons toujours essayés au cours de l'année et nous le ferons encore aujourd'hui." Les deux autres équipes italiennes ont perdu leur finale. Pensez-vous que vous devez montrer quelque chose de différent pour le football italien ? "Ce serait important pour tout notre mouvement. Je suis désolé pour la Roma et la Fiorentina qui ont malheureusement perdu. Quelle que soit la fin, je pense que cette année, une étape importante a été franchie avec trois finalistes italiens. C'était un signal formidable." Qui alignerez-vous demain entre Brozovic et Mkhitaryan ? "Au cours des deux derniers mois, j'ai dû faire des choix, malheureusement dans les cinq premiers mois, je n'ai pas pu le faire comme maintenant. Pour demain, nous évaluerons l'état de Mkhitaryan qui ne peut pas être à 100%. Mais hier, il a donné bons résultats." Vous êtes un spécialiste de la coupe, comment préparez-vous psychologiquement les joueurs ? "J'ai la chance d'entraîner des joueurs qui savent jouer ces matches car nous n'avons pas de joueurs qui ont atteint la finale. Cependant, beaucoup ont joué des matches importants. Nous avons des champions du monde et d'Europe. Il nous faudra clairement être très lucide et bon, bien gérer les détails car ils font la différence dans ces matches." Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. Gianluca Di Marzio a révélé une anecdote intéressante. Elle concerne Beppe Marotta et Nasser Al-Khelaifi. "Marotta et le président du PSG ont longuement parlé, je ne pense pas qu'ils aient parlé des opérations du mercato en cours. Dans un passé récent, cependant, les deux entreprises ont conclu des coups comme Hakimi, par exemple, et avaient également discuté pour Skriniar. Ils ont eu une longue conversation ici à Istanbul." Juste une question: c'est aujourd'hui la Saint Martin? Traduction alex_j via FCInter1908.

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