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Après Danilo D'Ambrosio hier, c'est cette fois Samir Handanovic qui est positif au Covid-19. Notre portier est donc lui aussi à l'isolement et subira les différentes procédures ces prochains jours. La peur d'un cluster au sein de l'effectif est palpable. Handanovic sera indisponible dimanche soir contre Sassuolo (qui a perdu ce jour contre le Torino). Notre second gardien Ionut Andrei Radu devrait prendre sa place et avoir sa seconde cape sous notre maillot. Il a déjà porté la tunique en mai 2016 et, pur hasard, c'était déjà contre Sassuolo. Il avait remplacé Juan Pablo Carrizo pour un total de 18 minutes. Quasiment cinq ans plus tard, c'est avec un tout autre statut qu'il devrait aborder cette échéance. ®gladis32 - internazionale.fr

Sebastiano Esposito s'est entretenu pour La Giovane Italia. Accompagné de son coéquipier le gardien Alberto Pomini, 40 ans, l'espoir italien lui rend d'abord hommage : "Je l'admire et je pense que c'est une des personnes les plus importantes dans le groupe. Si nous réussissons quelque chose d'important, nous le devons aussi à ses arrêts. Je suis encore un peu inconscient et j'agis et ensuite j'y pense. Alors sur un terrain cela peut être un avantage, mais en dehors ça peut être un défaut. Quand les anciens nous grondent nous le prenons souvent personnellement, mais quand c'est dit plus gentiment nous apprenons plus vite." Ses références : "Danilo D'Ambrosio que je connaissais déjà parce que mon père l'entrainait à la Juve Stabia. Il m'a pris comme si j'étais son petit frère et je dois l'en remercier." Pouvez-vous revenir sur l'épisode du pénalty avec Lukaku ? "Je lui ai demandé si je pouvais le tirer, et instinctivement je vais vers le ballon quand il y a pénalty puisque je les tire en Primavera, mais là il y avait cette grosse bête devant moi... Il y a pensé, il a entendu le stade crier mon nom puis il m'a lancé le ballon dans mes mains pour que je le tire. Cependant aujourd'hui j'aurais dix fois plus peur. A partir de là, la pression a commencé et la performance a chuté. La route a commencé à grimper. Comprenez que tout n'est pas bon, j'ai su profiter des opportunités mais dans d'autres occasions j'aurais pu faire plus. Mais maintenant il faut continuer." Sur l'expérience à l'Inter : "Y jouer dans son secteur jeunesse c'est quelque chose que peu de gens font et dont beaucoup rêvent. A l'Inter c'est tout autre chose. Je jouais des tournois internationaux à l'âge de dix ans. Cela m'a beaucoup donné." Sur les jugements envers les jeunes talents : "Un jour vous êtes un phénomène, un autre vous ne savez même pas comment dribbler. Vous avez besoin d'une force mentale qui sort de l'ordinaire, une personne normale ne pourrait avancer psychologiquement." Une promesse ici à La Giovane Italia ? "Si je fais carrière je réparerai le terrain près de chez moi que j'ai détruit avec mes frères." ®gladis32 - internazionale.fr

Paolo Bonolis, célèbre animateur télé italien, a livré son analyse sur la dynamique de l'Inter et nos chances de titre. Qu'aimes-tu en particulier dans cet Inter ? "J'apprécie cet Inter parce qu'Antonio Conte a réussi à créer un esprit commun. Chaque joueur a des caractéristiques particulières qui sont fonctionnelles pour avoir un mouvement uni, dans un même but. Ensemble ils attaquent, ensemble ils défendent. J'ai vu 4-5 contre-attaques qui ont été faites contre l'Atalanta qui étaient d'une rapidité et d'une exécution redoutable. Il y a des mécanismes très éprouvés et diversifiés au cours du jeu. Je pense que la saison de l'Inter a profondément changé lorsqu'ils ont cessé de pousser l'adversaire à l'offensive, en l'étouffant dans sa moitié de terrain. Cela lui enlevait l'avantage des joueurs rapides comme Lukaku, Hakimi, Lautaro et Perisic, qui sont maintenant réellement efficaces. Conte a travaillé dessus et construit un seul objectif pour 23 joueurs complètement différents." Quel pourrait être le danger pour le Scudetto ? "Les autres journées de championnat, dans le sens où chaque rencontre vous rapporte ou vous enlève des points. Vous devez donc tous les jouer car ils sont importants pour atteindre l'objectif. Avoir une équipe et un club important, c'est aussi le but de nombreuses teams telles que l'Inter, la Juventus, l'AC Milan, l'Atalanta, le Napoli et les deux clubs romains en début de saison. L'Inter doit ramener le plus de point possible. Pour le reste je pense que la formation est suffisamment carrée pour ne pas se perdre en cours de route." Est-ce que cet Inter n'attire pas le regard ? Dans le sens où il est plus concret qu'il n'est beau ? "Par tradition l'Inter ne vole pas, elle ne l'est pas..." Où cet Inter devrait-il être renforcé à l'avenir ? "L'aile gauche principalement, Perisic et Young ne sont pas tout jeunes. Je trouve Gosens merveilleux pour ce qu'il peut apporter. Cependant je doute que l'Atalanta puisse se priver d'un joueur de cette qualité. J'ajouterais un attaquant au cas où pour la rotation en Ligue des Champions. Peut être même un défenseur en plus comme protection. Ce ne sont que des hypothèses." L'Inter d'aujourd'hui aurait-il fait la même mauvaise impression en Champions League ? "Certainement pas. Il faut dire que l'Inter a raté ses rencontres, même si contre le Shakhtar il y a eu cinq montants et un but rejeté sur la ligne par Lukaku lui-même. C'est aussi ça la beauté du football. Tout comme perdre la finale d'Europa League sur un but malheureux contre son camp. Un tournoi, c'est toujours un peu une loterie. Un championnat ça en dit certainement plus sur le véritable état et la qualité d'une équipe." ®gladis32 - internazionale.fr

My Inter Top 11, c'est une nouvelle émission sur Inter TV et elle consiste à composer son onze de légende du club. L'exercice est compliqué et le premier qui s'y prête, c'est Alessandro Bastoni : "Dans mon Top 11 il y a Walter Zenga dans les buts. Je pense qu'il était l'un des gardiens les plus représentatifs de l'Inter. Une ligne défensive à quatre avec Zanetti, Bergomi, Facchetti et Materazzi. Tous ont représenté à leur manière le sentiment d'appartenance et ce que cela signifie d'être nerazurro." "Un milieu à trois avec Stankovic, Vieria et Berti. Je choisis Berti car il représente la détermination et le cœur qu'il faut avoir pour jouer dans cette équipe, et il me rappelle un peu le Barella d'aujourd'hui. Stankovic aussi pour sa détermination et la passion qu'il a donné pour ce maillot. Enfin Vieira pour sa puissance physique et c'est l'un des plus grands milieux de terrain de l'histoire." "Devant je termine avec un trident composé de Milito, Ronaldo et Vieri. Ronaldo parce qu'il n'y en pas deux comme lui, Vieri car il a lui aussi tant donné à ce club et Milito, pour toutes les émotions inoubliables qu'il nous a laissées, surtout l'année du triplé. Dans ce onze je voudrais avoir les caractéristiques de chacun d'eux. En pensant à ce qui me manque le plus, j'aimerais le courage, la méchanceté et la volonté de Materazzi." ®gladis32 - internazionale.fr